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649 commentaires
par Frank Dreyer il y a 8 mois
cocoM

très bonne référence ;)

cocoM
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magnifique, de la composition à la réalisation tout est sublime

cocoM

record power a plutôt bonne réputation en tournage. J'ai pris mes mandrins chez eux et le rapport qualité prix est bon, j'ai eu de bons retours sur le coronet herald ou sur la gamme DML (les tours d'établis) qui semblent repris sur les anciens woodfast avec lesquels j'ai été formé et qui marchent très bien.

cocoM

Oui..; je reste un peu dubitatif sur le coronret herald ; non pas sur sa qualité, mais sur les choix de conception (à mon sens la poupée pivotante n'a pas sa place sur une machine de si petit format, elle crée une difficulté de conception et donc un surcout qui aurait pu être mis dans l'augmentation de la hauteur de pointe au dessus du banc... j'ai l'impression que les bureaux marketing ont pris le pas sur les bureaux techniques).

Les dml 305 et 320 sont courants en tours de démonstration, perso je trouve le surcout du variateur du 320 un peu élevé pour un débutant : il vaut mieux apprendre sur un tour avec changement de vitesses pas courroie et prendre un tour avec variateur quand on est sûr de ce que l'on veut...
Le variateur fait gagner beaucoup en productivité ; pas mal en confort ; et un peu en qualité de travail. Pour autant il ne fera pas gagner en confort ni en qualité de travail si tu n'as pas déjà compris quelle vitesse utiliser pour quelle tâche, et si tu n'as pas le geste suffisamment assuré pour tourner sans pause (le changement de courroie ça fait une pause obligatoire).

cocoM

j'ai remarqué le même problème de mauvaise lubrification lors d'utilisation de la gruminette. Pour moi ça ne vient pas de la position horizontale mais
_d'une part de la durée d'utilisation continue (plus de temps pour chauffer)
d'autre part (et selon le modèle de gruminette) la pression de la gruminette sur la zone de roulement en tête de guide chaîne (roulement moins fluide = plus de chauffe)
et enfin la coupe en bois de bout fait des sciures plus fines plutôt que des copeaux ; ils s'évacuent moins bien et viennent boucher le lubrificateur.

J'ai amélioré le résultat en agrandissant le canal de lubrification (le trou qui laisse l'huile de chaîne passer) à la dremel sur le guide dédié à la gruminette ; et en mélangeant mon huile de coupe avec de l'huile végétale pour la rendre plus fluide. Malgré tout lors des séances de gruminette, je nettoie régulièrement le lubrificateur, là où ce n'est pas nécessaire ne utilisation "normale" de la tronçonneuse.

cocoM
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au sujet de la lune montante ou descendante cela me fait doucement sourire

J'ai moi aussi un esprit plutôt cartésien, c'est bien pour cela que j'ai placé ces options au rang des "expériences empiriques".
Et pourtant je ne souris pas de manière condescendante quand on me parle de lune montante ou autre : même si je suis bien conscient que l'état actuel des connaissances laisse penser que l'influence directe de la lune sur l'arbre ne va pas être remarquable ; pour autant son influence à travers les marées sur les phénomènes météorologiques est elle bien établie ; et la relation entre phénomènes météorologiques et comportement des arbres est elle aussi plutôt solidement établie.

Et même si cette causalité indirecte est négligeable et que le fait de faire attention à la lune n'a qu'un effet "placebo" en induisant une meilleure attention qui sera portée par la suite à cette pièce de bois ; pourquoi s'en priver ? La médecine a bien compris que l'effet placebo est loin d'être négligeable.

La science c'est avoir un esprit cartésien et ouvert, un grand chercheur n'est jamais aussi heureux que quand il tombe sur une donnée qui va à l'encontre de ses croyances établies, car c'est potentiellement un élément qui va lui permettre de pousser plus loin sa théorie.

par Ara il y a 4 ans
cocoM
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"La journée pour souder ça devrait le faire"...

Selon le procédé, attention aux surprises entre la pièce cintrée et la chaleur... Un coup de chauffe trop important ici, un refroidissement trop rapide par là et ta belle courbe qui colle pile poile à l'épure sera vrillée.

Je bosse actuellement avec un ferronnier d'art sur plusieurs projets, et je suis à chaque fois étonné du temps passé à résoudre des problèmes de ce genre (une fois les pièces pointées tout va bien, et puis sans prévenir quand tu fais les soudures définitives, si tu as mal fait ton réglage, ton cadre se retrouve vrillé. Du coup contrainte sur un marbre, chauffe au chalumeau etc... pour le redresser)

cocoM
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Il y a plein de choses intéressantes dans les commentaires, mais toujours le même abus de langage (qui a lieu partout, pas seulement ici) : la non distinction entre COTISATIONS, Taxes, Impôts et autre dépenses plus ou moins obligatoires (banque, assurance, expert comptable, abonnements divers...) et le fait de tout mettre dans un fourre tout qu'on appel "charges".
Or toutes ces charges ne se valent pas : les taxes et les impôts financent les infrastructures de l'état (routes, écoles, armée...) ; les cotisations financent la protection sociale (retraite, santé, handicap, chômage...) ; le reste finance des services rendus par des entreprises privées.
Selon ses convictions politiques on peut être pour ou contre le niveau de chacune de ces catégories de dépense, mais quelque soit notre orientation on devrait faire la distinction ; car si on baisse les cotisation, il faudra compenser par des assurances ou caisses de retraites privées (ou renoncer à un protection) ; si on baisse les taxes et impôts il faudra payer des droits d'utilisation des infrastructures, créer des modèles de financement non étatiques ou se passer de ces infrastructures ; si on baisse les dépenses envers des organismes privés il faudra soit apprendre à bosser sans leurs services, soit compenser par un service public (qui devra être financé par...).

cocoM

lamalleencoin on est bien d'accord... jusqu'à ta dernière phrase. Même si je pense (j'espère) que beaucoup de commentaires sont faits par des personnes qui savent faire la distinction, personnellement je la trouve très difficile à déceler dans ce qui est écrit ; surtout quand le mot charge est accolé très régulièrement avec social (là où on devrait parler de cotisation sociale)...
Et encore une fois ce n'est pas spécifique à l'ADB, c'est un coup de gueule généralisé.

cocoM

C'est à toi de trouver dans quel rôle tu te sens à l'aise. Moi j'ai mis le temps, mais j'ai enfin compris que je ne suis pas à l'aise dans le rôle de celui qui fait un devis, encaisse l'acompte puis livre le produit commandé sans interaction intéressante avec le client entre l'acompte et la livraison.

Par contre, vendre des assiettes en bois sur le marché de noël, là ça m'éclate. Parce que justement j'arrive au milieu de cette jungle de bonimenteurs et j'arrive à sortir du lot avec mes créations et à vendre non seulement mes assiettes mais aussi toute la démarche que j'applique pour cela : aller chercher mon bois moi même dans les parcs, jardins ou forêts du coin ; sélectionner les "défauts" du bois et les mettre en avant pour se rappeler qu'avant d'être un saladier c'était un cerisier qui a été greffé, taillé... ; expérimenter des techniques de séchage louches pour inviter des champignons à venir mettre leur patte sur un morceau de hêtre avant de le tourner...
En expliquant ma démarche, j'échange avec les passants sur la politique de gestion forestière en France, la botanique, la thermodynamique, la technique... et au final la question du prix devient secondaire ; même si plein de gens repartent en disant "c'est trop cher pour moi désolé" ; il y a ce petit "désolé" qui change tout...

A l'inverse, un pote qui s'est installé en Charpente en même temps que moi serait incapable de faire ce type de vente, pas assez patient. Par contre il s'éclate dans son système commercial "classique".

Les artisant ont un savoir faire , et ils ne comprenne pas que ce n'est rien sans un " faire savoir"

👍

cocoM

il existe maintenant des mandrins à stylo en m33 : exemple
Par contre cela va te faire un montage long (adaptateur m18/m33 puis mandrin qui est plus long qu'avec un cône mors) et la contrepointe bas de gamme du parkside va vite montrer ses limites.

cocoM

il est possible de se fabriquer un mandrin fait maison directement en m18 mais c'est une opération tout de même assez délicate et qui nécessite d'accéder à un tour plus précis et complet que le parkside.
Pour cela il faut : un bloc de bois à grain fin et stable (par ex du houx ou du buis, sec, stabilisé si possible). partir d'un carrelet parfaitement d'équerre sur toutes ses faces, et marquer les diagonales du carrelet sur un bout avec une scie fine. Percer sur deux cm le bout opposé bien en son centre avec une mèche qui permet de renter un écrou m18 en force. Rentrer un écrou (si besoin tailler légèrement le trou au ciseau) et le sceller à l'époxy ou avec une résine super glue/bicarbonate de soude.
Monter ce carrelet sur la broche du tour en le bloquant avec un contre écrou, le mettre au rond en mettant très peu de pression avec la contrepointe ; puis créer un cône à faible pente côté contrepointe.
Percer le cône avec une mèche diamètre 7mm (standard pour les mécanismes de stylos à priori) bien dans l'axe (c'est là que le tour parkside a ses limites : pas possible de mettre un mandrin côté contrepointe)
Démonter la pièce du tour et prolonger les traits de scie pour aboutir à un cône coupé en 4.
Utiliser une bague pour le serrage : si tu as accès à un tour plus performant et aux outils l'idéal est de faire une bague longue en bois reproduisant le cône en inversé ; à défaut un tube en cuivre recuit que tu rends conique en l'emboutissant après chauffage au chalumeau sur un cône solide et de même pente est très efficace.

C'est long, mais c'est à mon sens la meilleure méthode pour avoir un mandrin efficace sur ce type de tour. En solution commerciale, tu auras forcément plusieurs adaptateurs à abouter, donc plus de risque de jeu, plus de porte à faux en bout de pièce etc...

Les accessoires coniques commerciaux sont (à ma connaissance) tous standardisés en cône mors n°2 ou n°3 ; si ta broche n'est pas percée d'origine aucune chance de les adapter.

cocoM

Je suis habitué aux vieilles machines avec bati en fonte, donc forcément j'ai moins de scrupules... mais en regardant les images disponibles j'ai l'impression que les bâtis des k700 sont conçus en étant bien contreventés.

S'il y a moyen de démonter la table en fonte pour diminuer le poids exercé sur la diagonale (et les efforts à faire pour soulever) je pense qu'on élimine en bonne partie ce risque.

cocoM

je pense que c'est justement le coeur de cible de cette machine : couper du panneau sandwich avec différents matériaux ; dont des plastoc qui fonderont bien moins sur un ruban à vitesse variable que sur une lame de circulaire. Le ruban permet de couper des épaisseurs importantes, intéressant pour du panneau sandwich ou des panneaux d'isolants semi-rigides. Ce n'est clairement pas destiné à un ébéniste ou un menuisier tradi ; c'est pour l'industrie. J'imagine qu'ils vont assez vite sortir des lames adaptées à certains métaux, à des isolants...
Avec les nouvelles normes de construction en europe, l'utilisation du bois dans des panneaux sandwich va potentiellement avoir la cote ; le développement du préfabriqué pourrait répondre à de futurs besoins de remplacement des grands ensembles en fin de vie des années 50-70... c'est un pari mais pas forcément si risqué qu'au premier regard.

cocoM
Je suis d'accord

Mettre le coeur au soleil et pour cela éviter les lames trop transformées (rainures sur une face, aboutées...) car en production les opérateurs ne sont pas vraiment attentifs à mettre l'avivé dans la machine dans le bon sens pour que le coeur soit au soleil après la pose.

Sinon tous les éléments cités ont une influence : une lame droit de fil et sur quartier bougera moins qu'une lame sur dosse et noueuse ; un séchage mal contrôlé ou incomplet donne un bois qui bougera plus ; une lame plus large prendra une flèche plus importante...

Après il y a le prix... forcément une entreprise qui vend des lames de terrasse usinées avec soin les vendra plus cher que les lames en pin autoclave de chez brico dépot...

cocoM

j'ai trouvé une avoyeuse mais pas encore d'affuteuse, c'est sur ma liste pour le père noël mais il paraît que ce n'est pas la saison ;)

cocoM
Je suis d'accord

J'ajouterais deux grands cas de figure pour le kickback en plus de ceux cités :
un mauvais réglage de la machine ou une machine de faible qualité. Si le guide parallèle n'a de parallèle que le nom, il peut resserrer ta pièce sur la lame en sortie. De même un chariot ou un guide perpendiculaire un peu branlants peut modifier l'angle entre pièce et lame en cours de coupe et donner à ton bout de bois des envies de se prendre pour Icare. Autre erreur possible : un couteau diviseur inadapté (si tu as une scie bas de gamme et que tu veux lui mettre une lame grand luxe, attention car le couteau diviseur d'origine sera probablement trop fin)

Lors de la coupe de pièces hors normes : coupe de grandes pièces qui se retrouvent en déséquilibre en entrée/sortie de coupe (là le kickback ne sera pas aussi violent, car généralement la pièce est trop lourde pour voler loin, mais il surprend). De même si tu coupes au guide parallèle des panneaux plus larges que longs (dans ce cas de figure si tu pousses trop près du guide et loin de la lame, ta pièce va pivoter, toucher l'arrière de la lame et se transformer en shuriken géant).

cocoM
Je suis d'accord

Pour ce prix là j'ai certaines essences (frêne, hêtre) sec séchoir en qualité BME... et encore c'est chez un fournisseur avec pignon sur rue, alors chez un particulier...

A leur décharge, les GSB vendent les plateaux bruts une fortune (j'ai vu la semaine dernière un plateau d'épicéa à quasi 2000€ le mcube) donc s'ils se basent sur ces tarifs ils ont l'impression de faire une belle offre...

cocoM
Je suis d'accord

sur ces tables le contour est en massif, mais le centre est un plateau de CP (généralement assez moche) replaqué avec du placage 6/10e de mm.
Tu as chopé la perce ; malheureusement c'est irréversible. Replaquer ce type de planche est difficilement accessible au commun de mortels, il va falloir faire preuve d'imagination pour résoudre ton "erreur".

Tu peux finir de poncer la structure en massif, pour révéler l'aspect naturel du bois (c'est quitte ou double sur ces modèles fabriqués en asie, d'origine tout est couvert sous un vernis teinté foncé, donc la sélection du bois est aléatoire).
A partir de là, soit tu veux conserver cet aspect bois, soit il ne te plais pas du tout et tu préfères repeindre.
Si tu repeins, un simple égrenage au grain 180 du plateau devrait suffire s'il n'a pas de grosses rayures.
Si tu veux conserver l'aspect bois, il faut décider quoi faire du plateau.
_soit tu repeins uniquement le plateau pour créer un contraste avec le bois
_soit tu colles sur le plateau un élément décoratif (décor imprimé de ton choix par ex)
_soit tu veux absolument replaquer, dans ce cas là soit tu acceptes d'avoir une suprépaisseur de 6/10e de mm entre plateau et contour ; soit tu trouves une solution pour décaisser 6/10e sur tout le plateau (à la défonceuse, à la guimbarde... Et ensuite tu replaques à la colle contact (néoprène) car c'est à mon sens la seule solution pour plaquer une telle surface sans démonter le plateau (et ce n'est pas une solution facile, bien aligner un tel collage ça relève de l'exploit)

Bon courage

cocoM

J'y suis beaucoup passé quand la charpente était encore dans son jus (pour faire de la musique en profitant de l'acoustique, de l'absence de voisins qui se plaignent du bruit, et d'un lieu ouvert 24/24 7J/7.)
D'ailleurs en tant que musicien je remarque une disparition : il y avait une kora (harpe africaine) suspendue à la charpente depuis 2012 ; laissée là par un musicien vagabond qui avait été tellement touché par l'acoustique et la magie du lieu qu'il a considéré que plus jamais il ne ferait mieux sonner son instrument et qu'il valait mieux le laisser là... j'espère qu'elle n'a pas été jetée lors de la rénovation.

cocoM
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Intéressant ce bilan après un an, j'imagine que c'est très variable d'une année à l'autre ? Comme dans n'importe quel groupe/classe il suffit parfois d'un élément moteur pour tirer tout le monde vers le haut ou vers le bas.

et 2/3 qui ne foutent rien, se fichent du métier et qui malheureusement servent de manutentionnaire pas chère à l'entreprise.

Pour ces cas là, quelle est la part de l'oeuf et de la poule ?? Est-ce qu'ils étaient motivés au départ et ont déchanté après avoir passé leur premier mois à servir de larbin ? ou est-ce que les entreprises ont essayé de les motiver et fini par jeter l'éponge face à un mur de démotivation ?

cocoM
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Pour étayer le gain de temps que peut représenter une personne meme non formée : j'ai réalisé pas mal de chantiers sous la forme de chantiers participatifs (de l'accompagnement d'autoconstructeurs dans certains cas ; de la participation des clients pour réduire la facture dans d'autres cas ; de l'échange d'heures entre différents corps de métier ; du bénévolat en asso...)

Bien évidemment c'est différents d'un apprentissage : ce sont des adultes, motivés, avec des compétences professionnelles qui viennent d'ailleurs et qui peuvent etre mobilisées... mais ce sont des etres humains tout de meme ;)

Pour autant, quel que soit le cas, ça a toujours été une expérience positive
-soit parce qu'elle me permettait de réaliser un chantier plus vite : par le gain de temps sur la manutention le plus souvent ; mais aussi en déléguant des taches longues mais peu techniques comme le ponçage, certains usinages, le vissage d'une terrasse...
-parce que le chantier est devenu moins fatiguant physiquement et moralement : porter des pièces lourdes à deux, discuter d'autres chose et oublier qu'on est en train de devenir un robot lors de taches répétitives ; avoir une deuxième cerveau qui est capable de nous surprendre (se souvenir de la cote qu'on a mesuré il y a 30 secondes mais qu'on a oublié en descendant de l'échelle)...
-parce que le fait d'expliquer à voix haute pourquoi on fait de telle ou telle façon permet (parfois) de se remettre en cause et d'évoluer.

Pour moi si tu passes de travailler seul à travailler à plusieurs, que la nouvelle personne soit formée ou pas ne change rien : tu vas gagner en temps et en confort rapidement. Il "suffit" de créer une relation de confiance dans laquelle les taches confiées sont valorisantes tout en étant réalistes par rapport à la motivation et aux compétences.

cocoM

trente six seb un gros point de différence c'est la durée d'engagement : au plus long j'ai passé un mois avec mes "stagiaires" ; rien à voir avec un apprentissage en deux ans ou plus.
Le positif c'est qu'effectivement tu peux espérer un gain d'autonomie plus élevé ; par contre si la relation humaine est compliquée, c'est plus difficile de mettre la poussière sous le tapis pendant deux ans que pendant un mois...