une machine moyenne avec des consommables top fera un meilleur boulot qu'une machine pro avec des consommables premier prix. Il faut à tout prix fuir les coffrets de fraises à moins de 100€ les 20 fraises, d'une part tu n'utiliseras réellement que 20% des fraises présentes, et en plus tu ne les utilisera qu'une ou deux fois avant de les jeter.
J'ai cru comprendre que si j'avais dit que la "caisse" serait fixée par des sangles et amovible, dans ce cas, pas besoin d'homologation... Comprenne qui pourra...
Parce que dans ce cas tu n'es plus dans le cas d'un véhicule de loisir, mais d'une remorque de transport avec laquelle tu transporte un bloc modulaire.
Ca marche avec n'importe quel système qui fait que ton bloc est détachable sans outil (sangle, clavettes, goupille...)
J'ai fais ce choix avec une variante : bloc déplaçable avec un transpalette, et remorque porte voiture avec rampe et treuil. C'est plus lourd qu'un teardrop et moins sympa visuellement, mais ma remorque reste utilisable pour d'autres choses, et je peux charger 500kg de bordel dans ma caravane pour partir en vacance. J'en ai parlé avec mon assureur, pour lui c'est bon sur la route, par contre ça peut être l'assurance d'un camping qui tique si ma caravane prends feu et fait des dégâts autour (mais comme je n'ai ni gaz ni élec je ne m'inquiète pas). J'ai été contrôlé plusieurs fois avec, jamais de problème sauf en Espagne qui n'a pas la même législation remorque qu'en France (je m'en suis sorti avec la fameuse technique du touriste qui parle pas la langue)
Mais comme tu dis, chacun interprète comme il veut, la législation remorque française est une vaste blague qui en plus change tous les 2 ans.
J'ai un doute aussi, quand on regarde sur maps l'adresse postale qui est indiquée sur le site, ça ressemble pas vraiment à une usine de taille suffisante pour accueillir des chargements de paille, les transformer et expédier du produit fini. Après bien sur ils peuvent avoir un lieu de production en europe sans indiquer l'adresse
Pour les panneaux de construction (donc vraiment orienté cloison) tu avais stramentech qui produisait en france depuis 2009 mais a arreté. Il y a stramit en belgique qui a repris le principe, mais peu de revendeurs en france. Et une bonne partie de la reconstruction d'après 2e guerre mondiale en suède a utilisé ce procédé, c'est vraiment pas nouveau quoi qu'en disent les américains.
Là ou les panneaux que tu présentes sont novateurs, c'est qu'ils sont destinés non pas à remplacer le placo ou l'OSB, mais à remplacer le MDF ou l'agglo, qui n'ont pas du tout les mêmes utilisations.
Quand à la provenance Chine, même si je n'adore pas non plus, faut bien se dire que de toute façon n'importe quel panneau de particule a de bonnes chances de venir de là bas (ou de l'est de l'Europe). Et puis en terme de matière première, je pense que la Chine a beaucoup plus d'excédent de paille que nous (en France, une grande part de la paille est déjà valorisée en agriculture directement, la Chine ou les US avec leurs modèles d'agriculture beaucoup plus intensif et l'absence de polyculture/élevage produisent beaucoup de surplus de paille). Donc quitte à acheter un panneau fabriqué en Chine, je préfère prendre celui là qu'un agglo de chez leroy fait avec de la poussière de hêtre centenaire débité spécialement pour l'occasion.
Je n'ai jamais utilisé cette huile sur autre chose qu'en tournage. Sur un projet tourné, le ponçage se fait malheureusement au contraire des règles : en travers fil. C'est peut être pour ça que je trouve que malgré sa réputation, l'huile de tung relève quand même un peu les fibres.
C'est sur que si je dois l'utiliser sur un meuble, je ferais un test avant sur un morceau fini au racloir, si je peux me passer complètement des papiers de verre ce sera avec joie.
Sympa l'effet vibration, je l'utilise parfois sur des toupies, mais j'ai jamais essayé en bois de travers.
Pour l'oxydation malheureusement pas de recette miracle. J'ai essayé de finir des pièces en bois vert avec une pâte abrasive faite maison (cire d'abeille mélangée à de l'huile de lin bouillie jusqu'à avoir une consistance "beurre mou", puis j'y ajoute quelques cuillères de ponce soie). Je tartine sur toute la pièce, je passe le tout avec un chiffon à vitesse lente puis je monte progressivement jusqu'à la vitesse max en sécurité par rapport à la pièce ; pour finir je change de chiffon jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de trace de gras sur le chiffon. Ca atténue les zones d'oxydation les plus légères, mais pas les plus grosses.
Sinon pour poncer en bois vert, je passe un coup de décapeur thermique pour sécher une petite couche de surface, je ponce, j'huile et ensuite je laisse la pièce dans les copeaux pour que l'hygrométrie se régule de manière assez uniforme. Une fois sec, une deuxième couche d'huile.
Effectivement ça dépend des essences (et sûrement de l'huile j'imagine, je fais ça avec de l'huile de tung). Sur du frêne ou du charme pas de problème, pas contre avec du cèdre ou du buis j'ai effectivement eu des petites moisissures (de surface, rapidement éliminées avec un chiffon d'alcool à vernir suivi d'un ponçage léger au grain 320). J'ai essayé sans huiler, mais je trouve que le bois a plus tendance à fissurer.
yove oui c'est ça, j'huile int/ext, je ne le fais pas systématiquement par contre, la plupart du temps en bois vert je ne fais qu'un dégrossissage (je laisse 20mm de parois) et je laisse sécher quelques mois avant de les reprendre. Je ne fais des pièces directement finies en bois vert que sur des bols à bord naturels (côté écorce) ou sur des loupes (j'adore les déformations des loupes au séchage).
Pour moi ce n'est pas le même objectif, et les deux sont complémentaires : la cartouche sur l'aspi va diminuer la quantité de poussière que tu mets dans l'air, et la filtration ambiante va nettoyer ce qui reste.
La filtration d'air ambiant va mettre un certain temps pour renouveler l'air de ton atelier, et pendant ce laps de temps si tu n'as pas de filtration sur l'aspirateur ton atelier reste "contaminé". En plus de ça selon le placement de la filtration par rapport au reste, tu vas avoir des zones qui vont rester fortement contaminées car trop loin du filtre. Donc pour moi dans l'ordre de priorité : d'abord la cartouche filtrante, ensuite le filtre d'air ambiant (ou un aérateur qui rejette la poussière dehors si ça ne pose pas de problème pour le voisinage).
Sans plaque sur le moteur ça va être dur à dire, rien ne prouve que c'est le moteur d'origine, et même si c'était le cas pas sur que toutes les scie type 7 soient sorties avec le même moteur. Démonte le moteur et emmène le chez un électricien industriel, il devrait être capable de te dire ce qui ne va pas.
Plutôt d'accord avec toi dans l'ensemble, à quelques détails près (je remplacerais le ciseau 16mm par un 26, et je mettrais une plane plutôt qu'un wastringue).
Pour l'affilage du racloir, il faut surtout un acier plus dur que celui du racloir, un manche de lime fait très bien l'affaire en plus des exemples déjà cités.
Niouniou C'est précisé dans le commentaire de la vidéo :
On peut raviver le fil de la sorte 15 à 20 fois avant de repasser à un affûtage complet lime+pierre.
selon mon formateur : un racloir épais si tu es un bonhomme et que tu as la force dans les pouces pour le courber correctement, un un plus fin si tu es plus délicat.
Je pense qu'à terme avoir un racloir épais que l'on va peu courber et qui va permettre de ne pas creuser ; plus un fin qui permettra de travailler en détail sur des petites zones en le courbant plus fortement est une bonne idée. Et comme un racloir ça peut se faire avec une vieille lame, faut pas se priver.
pour moi aussi différence de réglage entre les fers, pour vérifier, machine débranchée tu poses un tasseau dégauchi sur ta table de sortie et dépassant au dessus des fers, tu fais un repère pour savoir où est ton bout de bois par rapport à la table, puis tu fais tourner ton arbre à la main. Normalement tes fers vont juste accrocher le tasseau et le faire avancer d'1 ou 2mm, mais surtout ils doivent tous créer la même avance (et sur toute la largeur).