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673 commentaires
cocoM
( Modifié )

une idée de la température et de l'humidité lors de l'application ? Ce vitrificateur est indiqué pour une application à 18°C minimum et 65% d'HR. Le ponçage à 240 est peut être un peu excessif aussi (ponçage du support conseillé de 100 à 120)

cocoM
Je suis d'accord

sauf à recaler une planche qui est recouverte de placage, et à condition de travailler parement en haut (ce qui n'est pas possible sur un onglet) je ne vois pas ce que ça apporte.

cocoM
Je suis d'accord

conseil valable et renouvelable à n'importe quel moment d'une vie de boiseux

cocoM

Yam c'est ce que j'allais suggérer, sur un gros lamellé collé ou collage à plat joint, si tu ne le sent pas fais ton collage en deux ou trois fois.

cocoM

🤣😂
une tradition bien cuite vu la couleur

cocoM

Si on veut être précis : la pluviométrie que subit notre ami est certes importante, mais moins que s'il était basque, auvergnat ou jurassien. Par contre parler de soleil qui brille... même si la légende dit que ça arrive plusieurs fois par jour, ce doit être des séances de 5 minutes à chaque fois.
Et si on regarde les autres cartes, au moins il n'a pas à se soucier des orages, des canicules, des chutes de neige, de la colle qui gèle dans l'atelier...

cocoM

dependancesbois Je le sais bien, j'ai longtemps vadrouillé dans les monts d'arée et dans d'autres zones du centre bretagne. Il y a tellement de micro-climats qu'on pourrait probablement prouver qu'en prenant n'importe quelle heure de l'année, il existe au moins un endroit en Bretagne où il ne pleut pas, et au moins un où il pleut.

cocoM

pour mafell cela dépend des modèles : sur ma KSS60CC il y en a un, très bien foutu d'ailleurs car c'est un couteau auto-rétractable qui permet de faire des coupes plongeantes.

cocoM

Erebor et pour consulter les dernières normes il faut taper 3615 INRS

cocoM

Celui là me semble inévitable, mais quand on le sait je ne penses pas que ce soit si gênant. Le tout c'est de ne pas croire que le bois va rester tel qu'à l'origine pendant des années.

cocoM
Je suis d'accord

Quand je débutait j'ai pris un guide stanley d'occasion, chaque affûtage était long et fastidieux, mais le résultat était très beau, bien brillant et ça rasait...
Puis j'ai fais un chantier avec un charpentier. Son ébauchoir n'était pas à 90°, son affûtage n'était pas à double biseau mais concave, il n'avait sur le chantier qu'une pierre diamantée 4 faces bas de gamme et le cuir de sa trousse à ciseaux sur laquelle il a créé une zone de démorfilage avec un pâte abrasive. Sur une journée de chantier il a rafraîchi son ébauchoir 6 ou 7 fois, ça prenait 30 sec à chaque fois ; moi j'ai affûté deux fois, 30min de temps perdu... Et son ébauchoir coupait encore quand il le passait à la pierre alors que mon ciseau non. Après ça je me suis dit plus jamais de guide.

cocoM

en plein hiver avec un froid bien mordant comme maintenant, le bédane va avoir une vertu magique : il réchauffe l'utilisateur.

cocoM

Pour les frappes désaxées, bien sur c'est beaucoup plus une question d'expérience que de percuteur, mais à expérience égale, et selon le type de tâche à effectuer, je pense que pour les ciseaux on a un meilleur confort global avec des maillets bois.

Quand à l'impossibilité d'ajuster énormément de gens justement modifient les marteaux pour qu'ils correspondent à leur besoin (j'en ai modifié un il y a pas longtemps et c'est pas sorcier) et pas besoin de 15 moules quand on les forges (comme un ciseau à bois au final 😉)

C'est sur qu'il est possible d'ajuster un marteau métal, mais ça demande du matériel adapté au travail du métal, des compétences qui ne sont pas celle du menuisier de base... Rien d'impossible mais c'est quand même tellement plus facile en bois.
Pour la forge j'avoue que je n'y avais même pas pensé, mais ça me donne encore un projet à proposer à mon pote forgeron pour aller faire un stage chez lui...

cocoM

Sur le principe je suis entièrement d'accord avec toi, malheureusement la législation ne s'embarrasse pas de détails et oblige tous les artisans à avoir un minimum de compta. Si ce minimum peut être fait à la main avec des cahiers dédiés ou des modèles officiels ; le risque d'oublier un élément et de se le faire reprocher par le fisc, l'avocat du conjoint en cas de divorce, ou celui de tes enfants en cas de succession compliquée est grandement réduit en ayant des logiciels dédiés (en gros sur ces logiciels tu ne fait que saisir tes factures et le logiciel s'occupe de créer des factures avec toutes les mentions obligatoires, d'éditer le livre des recettes, et te donne les sommes à déclarer à l'URSSAF chaque mois/trimestre).

cocoM

Kentaro effectivement j'aurais pu préciser que je parle là du cas d'une micro-entreprise qui ne fait que des comptes d'apothicaire, pour une SARL avec salariés et apprentis c'est un autre histoire.
Quand je parle d'élément à ne pas oublier, je penses surtout aux mentions obligatoires sur les factures et les devis : même si rien n'est très sorcier pour faire une facture papier, avec un logiciel tu rentres toutes les infos nécessaires lors de l'installation et il va de lui même mettre les mentions, pas besoin de ressortir son pense bête à chaque fois pour retrouver le n°siret, ou l'article à citer qui éxonère de TVA.
Et une fois la facture éditée, le livre des recettes se met à jour tout seul, c'est pas grand chose de gagné, mais franchement c'est confortable.

Je ne crois pas que les logiciels font tout, simplement mon expérience m'a montré que pour moi l'apprentissage pour utiliser un logiciel de compta était "rentable" en terme de temps de cerveau libéré par la suite ; alors même que je fais toujours mes plans à la main car je ne ressent toujours pas la "rentabilité" dans le temps d'apprentissage d'un logiciel de CAO pour mon activité.

j'ai appris les rudiments de la compta à une époque où les tableurs et encore plus, les logiciels faciles à utiliser n'existaient quasiment pas... Et on se débrouillait...

je crois que la clé est là : étant habitué à une compta papier, c'est devenu naturel pour toi et un logiciel pour des comptes d'apothicaire ne t'apporte rien ; mais pour un nouveau venu biberonné à l'informatique, le logiciel est une porte d'entrée beaucoup plus "naturelle". Notre environnement administratif est dématérialisé (pour le pire comme pour le meilleur), et rester l'un des dernier résistants à travailler avec du papier a du sens si ça évite d'avoir à jeter à la poubelle des années d'expérience ; mais ça en a beaucoup moins si on veut découvrir un environnement que l'on ne connaît pas encore...

cocoM

Kentaro sur le principe encore une fois oui, un tableur tout simple ça marche... mais c'est pas légal car ça doit être non modifiable => donc soit facture papier avec carbone soit facture informatique sur logiciel dédié.

cocoM

Il y a deux choses :
_les vibrations liées au coup de maillet, qui sont plutôt violentes pour le bras qui tient le maillet. Le manche en bois va moins rebondir qu'un manche en plastique (sous réserve que ce soit du bois bien sec, et une essence adaptée) et donc être plus doux pour le bras qui tient le maillet. Toujours pour ce même bras, on pourra jouer sur la matière du manche pour avoir un meilleur grip et donc une prise moins crispée, une tête de frappe qui amortis les vibrations, limite les rebonds etc...

_le bras qui guide le ciseau lui va être soumis à des contraintes différentes : il doit guider le ciseau pour un positionnement le plus précis possible ; avec le phénomène de levier un ciseau tenu en bout de manche va être fortement dévié par un mouvement de quelques mms du bras, mais le bras aura beaucoup de force pour retenir ces déviations ; à l'inverse quand il sera tenu par la planche près du biseau, le ciseau sera mieux orienté mais risque de plus dévier sous un coup de maillet mal axé. Le tout est de trouver un compromis entre force et précision du contrôle en fonction de la tâche à accomplir (typiquement pour bûcher sur un bédane je tiens par le manche ; mais pour retoucher une queue d'aronde je tiens à quelques cms du biseau)
La crispation du bras qui tient le ciseau peut toucher soit l'avant bras, soit le poignet. Dans le premier cas c'est plutôt que l'on a trop retenu de coups de maillet mal axés avec un ciseau tenu par le manche, il faut essayer de trouver un maillet avec un manche plus long, plus court, une face de frappe bombée... ou simplement taper moins fort. Dans le cas du poignet, ce qui est en cause c'est plutôt une crispation des doigts (on "pince" trop fort le ciseau en le tenant par la planche), là il faut trouver une position de prise de ciseau qui apporte un meilleur compromis entre force et précision ; et encore une fois on peut travailler son maillet pour trouver une forme plus adaptée.

Ce n'est que la vision d'un ancien joueur de tennis rongé par le tennis elbow qui a trouvé avec un osthéo une méthode pour corriger ses défauts, pas une méthode universelle. Je pense que le top si on a des problèmes de tendinites à répétition c'est justement d'en parler avec un osthéo ou un kiné.

cocoM

oui quand je parle de retoucher un tenon au rabot/guillaume, c'est dans le cas où tes traits de scie donnent un tenon trop serré, les épaulements et arrasements sont fait à la scie et éventuellement retouchés au ciseau chez moi.
Quand à la solution rabot de paume classique + guillaume, je trouve que quitte à n'avoir qu'un rabot de paume, autant prendre le "guillaume de paume", le prix est quasi équivalent, ça fonctionne très bien en tant que rabot de paume, et ça permet en plus de retoucher un tenon ou un assemblage mi bois à ras d'épaulement. Le seul désavantage pour moi c'est que le fer est un peu moins bien maintenu sur les côtés et qu'il faut par conséquent être un peu plus rigoureux dans le réglage.

cocoM
Je suis d'accord

Les outils manuels étaient parfaitement adaptés pour travailler efficacement du bois massif. Les électroportatifs ont permis dans un premier temps d'aller aussi vite avec moins d'effort physique, puis avec l'amélioration des technique d'aller plus vite pour certaines tâches.
Et puis sont arrivés les matériaux composites, qui permettent de sauter les étapes de panneautage (qui sont parmi les plus chronophages). Mais ces matériaux ont un défaut : comme il n'y a pas d'unité de direction des fibres, il est très difficile de les travailler avec des outils manuels.

cocoM
( Modifié )

Tu dis qu'il n'y a rien dans ta région en terme de chantier participatifs, mais il ne faut pas non plus hésiter à se déplacer pour ça. Dans la plupart des chantiers participatifs que j'ai vu, les organisateurs faisaient leur possible pour permettre à des gens qui viennent de loin de dormir sur place, ou chez un autre participant, ou chez un voisin/ami/fermier du coin.
Dans une autre version ça peut valoir le coup de s'acheter une caravane pour avoir une certaines autonomie lors de cette tournée nationale des chantiers, car une fois la tournée finie elle te servira de cabane de chantier, pour héberger un des volontaires que tu auras rencontré pendant ta tournée et qui traversera la France pour venir te filer la patte..
En regardant les annonces de magazines comme passerelleéco ou la maison écologique (ou en en publiant une) ; ou à travers des associations qui accompagnent à l'autoconstruction (les castors de l'ouest par exemple en Bretagne/pays de Loire) ; ou encore via des sites internet tu as tout un tas de relais pour trouver des chantiers.