Pour la puissance/vitesse max du moteur, les facteurs à prendre en compte vont être la qualité de fabrication du tour et le fait de tourner en l'air ou pas.
Pour monter au delà de 750w (1CV) il faut déjà avoir un tour qui tiens la route, car ce genre de puissance permet de tourner des pièces de 30-40cm en l'air, ou des pièces de 1m20 par 5cm entre pointe... on commence à atteindre des pièces où il faut connaître un peu son sujet et faire gaffe à la sécurité.
Les plus gros tours "amateurs" montent à 1500w, pour des bestiaux de 150 à 200kg et déjà on commence à tourner des plateaux de 70cm, là ça rigole pas il faut vraiment avoir du matos fiable, et un nombre de vitesse assez important voir un variateur.
Pour l'arbre, le mieux serait de trouver un tourneur fraiseur qui veut bien te faire un décolletage sur ta tige m33 pour pouvoir y mettre des roulements standards. En plus de ça ton roulement avant pourra ainsi être en butée contre le décolletage, comme sur un tour du commerce. L'utilisation d'adaptateurs rajoute de l'instabilité, un risque de non concentricité (d'autant plus si tu décide de solidariser l'adaptateur par un point de soudure) et ne me semble pas la meilleure solution, d'autant qu'en faisant une recherche rapide je ne trouve rien à moins de 60€ ; ce ne sera sûrement pas beaucoup plus cher de passer chez le fraiseur.
même si le terme tas de ferraille semble un poil péremptoire, l'idée est là : ce genre de bécane il y en a des tonnes sur LBC qui sont vendues avec tous les accessoires, des outils, et qui sont encore en fonction, pas oubliées dans un atelier désaffecté. Si le propriétaire n'a pas de réseau pour les revendre, le mieux qu'il en tirera sera le prix du ferrailleur : 50€ la tonne (soit 20-30 balles pour ce lot...).
Il fut une époque où j'aurais dis qu'un repas dans un bon restau aurait fait un prix tout à fait honnête et créé du lien, mais bon...
Centre de formation de qualité et financement peuvent aller de paire : la plupart des écoles comme l'esea, les aliziers, l'esehp... qui proposent des formations sur 8 mois à 1 an puis passage du CAP en candidat libre accueillent peu de personnes qui paient leur formation de leur poche : quasi toutes les personnes formés passent par un CIF, un plan de départ volontaire d'entreprise ou autre dispositif total ou partiel.
Dans ma promo aux aliziers, il me semble qu'il n'y avait qu'une personne sur 27 qui n'avait eu droit à rien (fonction publique = la contrepartie de la sécurité de l'emploi c'est que tu n'as aucune raison de te reconvertir en dehors de l'entreprise, donc on ne t'y aide pas)
Certes c'est la maison des fous pour s'y retrouver, mais mine de rien le fait de remplir les dossiers pour accéder à la formation permet déjà de peaufiner un peu le projet.
pour la méthode de refente, fais bien attention à l'orientation de ton bois : tes lattes doivent avoir une section sur quartier ; avec ta méthode tes lattes seront dans la même orientation que ta planche de 'origine => tu dois trouver du bois débité sur quartier ; en partant d'une épaisseur de 24 que tu coupes en lattes de 8 d'épais, l'orientation sera inversée => il faut acheter du bois sur dosse.
trente six seb c'est le grand flou cette histoire de vente/prestation.
Moi de ce que j'avais compris c'est que ce qui est facturé en vente doit correspondre à une facture d'achat (sur laquelle tu prends une marge) au nom de l'entreprise et que tout le reste passe en prestation.
Exemple : j'achète une porte et je la pose, la porte passe en vente et la pose en prestation ; je fabrique une porte et je la pose, la matière première passe en vente et le reste en prestation. Je fabrique un porte avec du bois que j'ai coupé moi même ou des restes d'autres chantiers => tout est en prestation.
Comme tu es libre de fixer ta marge et ton taux horaire, rien ne t'empêche de vendre ta matière première avec une marge énorme et de "donner" ton temps de travail pour faire monter le volume de vente par rapport au volume de presta et rester sous les seuils. Mais si tu en abuses et que derrière il n'y a pas de facture pour justifier ton activité achat/revente, une sanction quelconque doit bien arriver tôt ou tard.
Kentaro c'est bien le problème, c'est flou.
il y a eu une question à l'assemblée nationale là dessus. D'après les interprétation qui ont été faites de cette réponse et des textes, il semblerait que les matières premières entrant à titre principal dans l'ouvrage (donc le bois, la colle ?, le vernis ?...) peuvent être considérés comme vente de bien ; mais que les consommables accessoires nécessaires à la réalisation (papier de verre, pinceaux...) ne le sont pas.
Quand je cherche à me renseigner, je trouve facilement des infos sur les plafonds par activité, mais pas grand chose sur ce que j'ai le droit de facturer et déclarer dans telle ou telle activité, si ce n'est ce fameux "matériau entrant à titre principal dans l'ouvrage".
Kudsak ok mais ça c'est dans le cas où la porte est facturée au nom du client ? Si tu la factures à ton nom, et que tu la revends ensuite au client dans une prestation globale "porte + pose" c'est de l'achat revente (et de la prestation pour la pose), avec liberté sur la marge ???
Kudsak pour la garantie, le SAV etc... la responsabilité de l'artisan s'applique de toute façon sur la pose, si une porte (pour garder le même exemple) coince ou fuit parce qu'elle a été mal posée, la garantie que le client aurait auprès de merlin ou autre ne marchera pas car ils diront que c'est la faute du poseur ; si c'est un problème de fabrication et que tu as fait de l'achat/revente tu devras assurer le SAV mais tu pourras te retourner contre ton fournisseur (en théorie, concrètement j'ignore quelles sont tes chances que le fournisseur paie tout ou partie de la facture).
Pour la marge, tu es obligé de marger plus que le prix de vente conseillé ; prenons comme exemple une porte dont le prix de vente chez merlin est de 100€ :
-étant en micro avec un petit volume de vente, je paye la porte TTC à 100€ comme tout le monde.
-je la facture à 100€ (prix de vente conseillé) au client => quand je ferais ma déclaration à l'URSSAF, je déclarerais 100€ en vente de marchandise, sur laquelle s'applique un taux de 12.9% ; il me restera donc 87.1€ pour une porte que j'ai payé 100, je perds 12.9€
-pour prendre en compte les cotisations, je vends la porte à 115€ => après cotisations il me restera 100€ (à l'arrondi près) donc c'est une opération blanche ?
-sauf que ce n'est pas si blanc que ça : les impôts (si on a pas opté pour le paiement libératoire et qu'on est imposable) sont calculés sur une base de bénéfice net de 29% du prix de vente (et oui tout est forfaitaire donc la marge réelle n'est pas prise en compte) => les impôts considéreront que j'ai gagné 0.29*115 = 33€ sur la vente, selon mon taux d'imposition je vais payer entre 11 et 45% de ces 33€ en impôt de ma poche.
Pour être dans les clous, il est souvent conseillé de vendre à 1,7 fois le prix d'achat : sur ma porte achetée 100€ et vendue 170 ; je vais payer 0.129170 = 21.93€ à l'URSSAF ; il me reste 170-21.93 = 148.07€ soit un bénéfice de 48.07 ; les impôts vont être calculés sur 0.29170 = 49.03€ de bénéfice net. On est pas très loin de boucler la boucle.
Pour ce qui est de la marge maximale, il n'en existe pas légalement, la seule limitation est la concurrence qui va rendre la marge acceptable ou non pour le client. Si tu lui vends la porte à 200€ alors qu'il a accès au catalogue merlin et qu'il sait qu'elle est à 100, il y a de bonnes chances qu'il fasse la tête et aille voir ailleurs. Par contre si tu lui propose la porte à 200 et la pose à 100€ alors qu'un concurrent lui propose la porte à 100 et la pose à 200 ; tu es au même prix global et tu as une chance de remporter le chantier.
Si ton concurrent est lui aussi en micro :
_toi tu vas payer 0.129200 = 25.8€ + 0.225100 = 22.5€ soit 48.3€ à l'URSSAF
_ton concurrent va payer 0.129100 = 12.9 +0.225200 = 45€ soit 57.9€ à l'URSSAF
_tes impôts seront calculés sur 0.29200 + 0.5100 = 108€ de revenus
_ceux de ton concurrent sur 0.29100 + 0.5200 = 129€
Conclusion pour le même prix de vente tu gagnes plus dans l'immédiat en faisant de la marge sur le matériel qu'en ayant un taux horaire élevé (mais tu cotises moins, donc moins bonne retraite etc...).
Cette balance entre CA de vente et CA de prestation peut aussi permettre de rester sous les seuils en fin d'année : pour rester en franchise de TVA il faut un CA global inférieur à 85800€ et un CA en prestation inférieur à 34400€. Si au 1er décembre je suis à 70000€ de CA dont 34000 de prestation de service et qu'on me propose un chantier nécessitant peu de matériau (100€) mais beaucoup de main d'oeuvre (2000€), je peux avoir intérêt à sous facturer ma main d'oeuvre (400€) et à compenser par une marge de 1500€ sur la marchandise pour garder un prix global cohérent tout en restant à 72100€ de CA global dont 34400 en prestation.
Kudsak je ne dis pas qu'il ne faut pas passer le matériel en débours, je dis juste que ce n'est pas une solution miracle pour se "dédouaner" des garanties.
A mon sens le débours est hyper intéressant pour des chantiers avec beaucoup de matos à acheter (au hasard une terrasse de 200m² en exo) pour ne pas exploser le plafond. Ca permet aussi de rester concurrentiel sur ce genre de chantier : si tu achètes tes lames de terrasse exo au prix publique, et que tu les factures avec le facteur 1,7 ; même en bossant gratis tu seras plus cher qu'une entreprise qui a des prix pro sur le matériel et vois ses cotisations et impôts calculés sur le bénéfice réel et pas sur le CA.
Kudsak sur la garantie, je pense qu'on est d'accord. Dans mon esprit c'est plutôt que dans le cadre de la menuiserie, la garantie sur le matériel est limitée dans le sens où elle est conditionnée au respect scrupuleux des règles d'installation, ce qui est compliqué à justifier en cas de problème. Pour un élèctricien/chauffagiste, c'est plus intéressant car si la chaudière neuve tombe en panne, il peut prouver que ce n'est pas à cause d'une mauvaise installation.
Pour la terrasse : tu achète tes lames de terrasses, lambourdes, vis etc... chez un même fournisseur, et tu fais mettre l'ensemble sur une facture au nom du client que tu fais passer en débours. Ca te permet de passer le matériel au "vrai" prix sans être obligé de marger dessus pour payer les taxes.
Kudsak légalement je ne pense pas que quoi qu ce soit t'en empêches. Par contre selon le type de meuble l'intérêt est moins grand : sur un meuble tradi en massif le coût de matière première est "négligeable" sur la facture globale, donc ça me paraît plus intéressant de marger dessus (d'autant que certains négociants en bois ou quincaillers ne vendent pas aux particuliers).
Par contre sur un caisson de cuisine, le débours peut toujours être intéressant.
Je n'ai pas tous les éléments mais quelques uns :
La franchise de TVA a comme principal avantage de ne pas t'obliger à une comptabilité complèxe (qui n'est pas forcément nécessaire en démarrant avec un CA faible et deux ou trois factures par mois). Ensuite selon ton volume d'activité, tes investissements et tes dépenses, soit c'est un calcul gagnant niveau financier (en général une activité avec beaucoup de main d'oeuvre pour peu de matériel, et un investissement de base dans des machines d'occase), soit c'est un calcul perdant (généralement quand tu as de gros investissements de départ, ou une activité avec de grosses dépenses en matériaux pour peu de main d'oeuvre)
Pour les accompagnements, pôle emploi va sûrement te renvoyer vers un "sous traitant" via le dispositif activ'créa, je suis passé par là et c'est plutôt bien foutu, mais la qualité dépend surtout de l'interlocuteur que tu as en face. Sinon renseigne toi aussi à la CMA.
Pour le chômage des artisans, ça existe mais il faut avoir au moins deux années d'existence avec mini 10000€ de revenu (sachant qu'en micro ton "revenu" est calculé sur la bas de 50% de ton CA en prestation et 29% de ton revenu en vente), subir une liquidation judiciaire et avoir des revenus (loyers, salariat à temps partiel, retraite, AAH...) inférieurs au RSA.
Pour l'assurance, une responsabilité civile pro sera le minimum, puis assurance du local/atelier, du véhicule, du stock, des marchandises transportées... il y a plein d'options, à toi de voir avec un assureur ce qu'il te propose et à quel prix. La décennale ne te concerne pas si tu ne fais que de la restauration ou fabrication de meubles puisque tu ne touches pas au bâti.
J'ai eu le cas avec un "remouleur" qui s'est contenté de manger un peu plus de matière là où les fers étaient le plus usés (donc au centre) pour ne pas y passer trop de temps ; maintenant je les affûte moi même à la main avec des cartes diamantées, et si jamais j'ai un gros choc (rabotage de gravier ou autre clou), il passe chez un affûteur spécialisé.
Il faut se méfier car certains remouleurs ne font que des couteaux, ciseaux ou autres outils de jardin. Quand on leur amène un jeu de fers de rabots, ils s'imaginent naïvement que c'est simplement un affûtage droit, sans prendre en compte les tolérances ni l'équilibre des fers, et le résultat n'est pas à la hauteur.
Au final je crois qu'on est tous d'accord, y'a pas de statut idéal, chacun a ses avantages et ses inconvénients. C'est juste qu'on a pas tous la même façon d'indiquer la valeur non absolue de nos écrits.
Perso dans mon processus de création d'entreprise, j'ai commencé par
=> rêver mon projet
=> étudier les différents statuts
=> comment mon projet peut s'articuler avec tel ou tel statut
=> comment modifier mon projet pour tirer le meilleur de tel statut
Au final, après la phase 2, le choix de la micro-entreprise était pour moi aussi important que le choix de l'activité : j'ai fait 8ans de gestion administrative d'associations, j'ai fini par développer une "phobie administrative" à force d'en faire trop et le statut de micro est le seul avec lequel je sais que je vais pouvoir vivre durablement sans avoir envie de me planquer sur une île déserte à la première lettre recommandée.
Tout ça pour dire que si dans la majorité des cas c'est le projet qui détermine le statut, parfois c'est le statut qui détermine le projet (même partiellement) ; et dans ce sens là je suis en total désaccord avec
ce qui me choque c'est qu'on conseille un statut sans avoir suffisamment de détail pour le faire.
en plus on a déjà pas mal de détails : Ismael parle de restauration de meubles ; il parle d'un fond propre qui semble suffisant pour ne pas avoir d'emprunt de départ. Rien que restauration de meuble ça donne une foule d'infos :
-pas de gros matériel à acheter,
-un fond qui sera surtout constitué de consommables (vernis, teintes, colles de lapin et autres licornes, bois) et très peu de machines qui peuvent être vieilles et petites (par contre pas mal d'outillage à main) => l'amortissement ne sera possible que sur une petite partie du fond de départ
-pour chaque chantier, le temps de travail représentera au moins 75% de la facture, les matériaux facturés seront souvent issus du fond et rarement achetés pour ce chantier
-y'a certes du boulot, mais faut pas rêver, on ne va pas chercher des CA de 50000€ en restauration de meuble, un 10-15000 la première année serait déjà très beau.
A priori oui c'est légal, il faut juste mettre sur la facture "matériel fourni par le client" et que la facture matériel soit directement au nom du client. Par contre si l'entrepreneur a un compte chez le fournisseur, fais mettre la facture à son nom pour avoir un tarif et fait payer la facture par le client ça devient illégal.
perso je le fais (la version légale) quand j'ai un client pro qui peut récupérer la TVA sur le matériel, ça compense le fait qu'il ne puisse pas récupérer la TVA sur ma facture.
Kentaro +1
d'autant que le zexpert il a un mode de vie où il gagne bien sa vie, et que par conséquent ça lui paraît complètement impossible de vivre avec 34000€ de chiffre d'affaire dont seulement 50% constitue ton revenu, alors il va systématiquement t'encourager à voir plus gros parce qu'il n'a pas de loupe adaptée.
je précise que je caricature, les experts c'est comme tout
j'allais dire comme Oak , c'est le cas depuis 2018 ou 2019 ; un simple compte sur une banque en ligne peut être suffisant du moment qu'il est clairement au nom de ta micro.
Par contre encore une fois c'est un "petit" avantage financier (on parle de maxi une centaine d'euros d'économies par an) à mettre en balance avec le fait que derrière la banque sera moins à l'écoute si tu as besoin d'une avance de trésorerie pour payer l'URSSAF pendant qu'un client ne te paye pas pour n'importe quelle raison.
sacré taf, qui part d'un belle surprise à la première étape : "cool j'ai un bon plan pour du châtaigner... à en fait non, c'est le plan du siècle pour de l'orme !"
Juste deux petites pistes (trop tard) pour gagner un peu de temps : tu dis que tu as raboté 8mm, en 5 passes si j'ai tout bien compris (4 passes d'approche puis une de finition)
Est-ce que tu n'aurais pas été plus vite à faire une refente à la SAR puis directement une passe de 1mm ? J'imagine que selon la qualité de la SAR et de la raboteuse ce n'est pas toujours le cas, mais perso dès que j'ai plus de 5mm à raboter je le fais, et je garde les plaquettes de 5mm pour d'autres projets.
Et sinon, plutôt que de poncer après la pose, tu aurais pu sous traiter un passage à la calibreuse à une menuiserie près de chez toi (ou carrément le faire toi même en échange d'une bonne bouteille pour l'utilisation de la machine). Au moins tu élimines le risque de faire un trou au ponçage, d'arracher une fibre sur un chanfrein alors que le parquet est déjà posé... et ça va carrément plus vite : avec une bonne calibreuse tu aurais pu sauter l'étape du rabotage de finition et amener directement une lame à 0.5mm de la côte finie pour repartir avec une lame poncée au 120 dans le sens des fibres (ce qui équivaut visuellement à une finition au 180 à la rotative d'après moi).
Pour préparer des morceaux à tourner j'aime bien avoir un pas important (donc peu de dents), ça permet de mieux évacuer les copeaux sur du bois vert. Niveau largeur, je préfère avoir un ruban large (30mm) et qui file bien droit, en prépa pour tournage on a vite fait d'avoir de grosses épaisseurs et je trouve que les rubans fins voilent trop avec de grosses épaisseurs.
Belle idée, je me rends compte que j'utilise déjà ce principe de guide pivotant sur ma table de défonceuse pour les réglages fins, mais sans y avoir réfléchi. Pour une table de mortaiseuse à bédane ça peut être génial aussi avec l'auto-centrage.
Sauf erreur de ma part, entre la V1 et la V2 tu as passé l'axe de pivot de la gauche à la droite du dispositif ; c'est un choix lié à l'organisation de l'atelier ? ; tes habitudes de travail ? ; ou tu y trouve un avantage intrinsèque auquel je ne pense pas ?