CoB34 si on veut même être très précis, tout le monde peut être salarié,même les membres du bureau ; tant que l'objet du salariat n'entre pas en conflit d'intérêt avec l'activité de membre du bureau (par exemple tu es salarié de l'asso en tant que chauffeur et tu es président ; tant que tu peux prouver que tu fais bien tes heures de chauffeur et que ça ne crée pas de conflit d'intérêt c'est légal).
Par contre... en cas de dirigeant salarié, oublier les subventions, la reconnaissance d'utilité public (qui permet de déduire les dons des impôts) et travailler l'accueil des contrôleurs DGCCRF et URSSAF...
autre avantage des tasseaux sur les pentures : bois sur bois ça ne marque pas là où les pentures peuvent marquer le bois.
par exemple
une penture de volet, avec le noeud ou oeil ou anneau ou...
Medalegno tu fixes une penture sur chaque pièce de l'onglet avec un serre joint, puis un troisième qui vient serrer perpendiculairement à la coupe de l'onglet et qui prend appui sur les noeuds. La difficulté c'est de bien prendre appui sur des surfaces rondes, l'avantage c'est que comme la surface est ronde tu n'es pas limité à des onglets à 45°
Medalegno perso je préfère les tasseaux avec une encoche à 45°, ou autre angle selon l'onglet à coller. C'est moins cher, rapide à fabriquer à la demande, on peut créer deux encoche sur un seul tasseau pour un onglet large et ainsi mettre deux serre joints... Les pentures c'est un système D qui fonctionne et qui évite d'acheter un outil cher pour un usage occasionnel ; et si tu as des serre joints digne de ce nom ça permet de serrer très très fort (en acceptant le risque d'abîmer le bois, je pense qu'on peut avoir une force de serrage bien supérieure au système bessey en utilisant des serre joints à pompe)
J'ai juste dit qu'ils ont très bonne réputation. Je n'ai jamais acheté chez eux (je me fournis chez "auprès de mon arbre") mais la réputation fait que je pense qu'ils sont à des années lumières au dessus d'AZ en terme de fiabilité. Les gammes proposées sont cohérentes, les présentations pertinentes et éclairées... En france entre Bordet, Auprès de mon arbre, Maison du tournage, Auvergne tournage et FTFI tu as de quoi faire en terme de fournisseurs de matériel de tournage fiable et de qualité ; ils sont tous largement au dessus d'AZ mais je me garderais de faire un comparatif entre eux.
Pour la maîtrise de l'outil, j'ai 7 ans d'expérience... je ne dirais pas que je suis un expert car je fais plutôt du tournage en l'air sur bois de travers donc le travail que je présente est très occasionnel (peut être 2-3 fois par ans). Mais il est clair que même si le geste n'est pas le même, ça aide de tourner régulièrement.
J'ai appris cette méthode très tôt dans ma formation (4e jour de la première semaine) ; mais ce n'était pas une formation en autodidacte, j'avais un prof qui m'a bien montré le geste et les règles de sécurité. Et puis pour la précision... la première réalisation ou j'ai cherché à atteindre une précision des diamètres au mm c'était après 3 semaines (donc 100h) et au début c'était plutôt la recherche d'une précision relative que d'une précision absolue (un jeu d'échec avec chaque pion identique entre eux mais sans qu'ils ne répondent à un plan établi d'avance).
Lors de la saignée avec le PAC dans la main, je ne change pas la vitesse de rotation (ce qui donnerais par exemple pour une pièce de 25mm de diamètre sur 25cm de long une rotation à 3600tr/min), mais si je devais conseiller quelqu'un je lui dirais effectivement de diminuer la vitesse, mais sans aller trop bas sinon c'est contre productif (pour l'exemple précédent, peut être 1300-1500 tr/min). La raison c'est que plus la vitesse est élevée, plus on "gomme" les différences d'homogénéité du bois et moins on laisse la possibilité à l'outil de réagir (mal) à ces différences d'homogénéité. La manière de tenir le PAC est primordiale, mais je ne vois pas comment l'expliquer autrement qu'en démo en direct et en pouvant corriger la personne...
L'idée de ton gabarit est intéressant, le plus gros défis sera d'avoir une platine bien parallèle
Pour compléter la liste d'outils, les herminettes peuvent être un bon complément à la hache (plus rares à trouver d'occase certes...).
Et puis, il est possible de trouver des entre-deux hyper efficaces entre outils manuels et motorisés : dégrossir à la tronçonneuse (électrique pour faire moins de bruit), au tour à bois etc avant de passer aux outils manuels. Ou encore des ciseaux à bois avec emmanchement SDS+ pour enlever une grosse quantité de matière sans taper comme un sourd sur un maillet (en terme de bruit on est dans la fourchette basse des outils motorisés, et sans les poussières qui vont avec).
belle première.
Pour progresser :
_comme dit olivier, plus fin, plus élancé ça en jette toujours plus. En même temps le grain du bois n'a pas l'air des plus fins ; tu arriveras plus facilement à affiner avec un bois dur à grain fin (je sais au début on a envie d'utiliser des bois moins prestigieux... mais en vrai on se met des bâtons dans les roues)
_pour les diamètres de tes éléments ; il est intéressant de soit garder une constante, soit chercher une progression qui soit esthétique en elle même (au plus simple un cône, au mieux une courbe tendue). Ici seule ta boule finale change de diamètre, l'oeil ne s'y attend pas et est déçu.
_cette histoire de progression, elle doit aussi s'appliquer aux fonds de formes. Ici le fond entre ta première ogive et la deuxième forme est plus gros que tout le reste, là encore on perturbe notre cerveau et notre oeil.
_certains fonds ne sont pas assez marqués. Si tu as une plane, tu peux l'utiliser pour simplement marquer tes fonds, plus simple qu'à la gouge.
_la pointe finale n'est pas assez pointue. Quitte à "casser" la rondeur de la boule finale, autant que ça pique.
J'ai toujours entendu dire qu'un végétal vivant rejette autant qu'il absorbe.
Des objections votre honneur ?
Répondre à un argument simpliste (planter des arbres en rang d'oignon ca va sauver la planète) par un contre argument tout aussi simpliste ça ne fait pas avance le schmilblick... Les plantes absorbent du CO2 par la photosynthèse, et rejettent du CO2 par la respiration. Selon le type de plante, son âge, l'exposition au soleil, la saison, la quantité d'eau et de nutriments disponibles... la balance entre CO2 "capté" par photosynthèse et rejeté par respiration va être d'un côté ou de l'autre. En moyenne un végétal va avoir capté plus de carbone qu'il n'en a rejeté à la fin de son cycle de vie, qui dit moyenne implique qu'on pourra toujours trouver des exemples de végétal qui ont rejeté plus qu'ils n'ont absorbé ; et qu'on trouvera des exemples de super pompe à CO2 sous un climat et dans un environnement donné
La vrai question c'est ce qui est fait de ce carbone absorbé par les plantes : est-ce qu'il est stocké quelques décennies dans le sol sous forme d'humus ? Stocké pour un siècle ou deux dans une construction ? Enfouis pour des millions d'années (c'est à dire transformé in fine en charbon, gaz ou pétrole) ? Brulé ? Transformé en méthane dans la panse d'un ruminant ?
Ca va mieux en le disant...
Et malheureusement cette augmentation des prix se fait au bénéfice de ceux qui par héritage ou prédation possèdent le capital (le puit de pétrole, la forêt, l'usine, le camion...) mais certainement pas au bénéfice des travailleurs (faut dire qu'ils cherchent, avec l'humain augmenté et l'amélioration des conditions de santé ils deviennent la ressource la moins rare...).
le tampon à friction c'est ce que j'utilise systématiquement pour supprimer les tenons lorsque je finis une pièce. Pour ça j'ai pris l'habitude de marquer le centre de mon tenon (soit directement avec la contrepointe, soit avec une gouge de petit diamètre). Je n'ai jamais eu de problème sur mon tour d'atelier. Comme tampon antidérapant j'utilise une semelle de tong collée à la néoprène sur un bloc de hêtre, ça n'a jamais bougé. Les seuls cas où j'ai eu des soucis avec cette méthode cela venait du tenon : soit le bois était trop "mou" et en accrochant avec la gouge la marque de la contrepointe s'agrandissait ; soit il y avait une faiblesse dans le bois du tenon qui cassait lorsque je le réduis (sachant que pour enlever les tenons je réduit le dernier téton à 5-6mm de diamètre). Avec mon tour d'établi/démonstration par contre j'ai eu des cas où la contrepointe ne me permettait pas de mettre suffisamment de pression et où le tampon "patine" sur le fond du bol.
Le plateau de reprise je ne suis vraiment pas fan : long à mettre en place sur le mandrin, cher, il te limite dans les formes que tu peux donner aux bords de tes pièces, dans la finesse des pièces...
des variateurs bien dimensionnés sont parfaitement fiables
Fiables certes, mais avec une durée de vie réduite et une fragilité plus grande comparé à des moteurs tri. Par la porte ou par la fenêtre, les variateurs c'est de l'électronique pointue, ça n'aime pas les réseaux à intensité variable, l'humidité, la poussière, les coupures de courant... Le moteur tri de ma SAR a 60 ans, celui de ma dégau 50... Ils ont tous deux tournés dans des ateliers non chauffés et non pourvu d'aspiration centralisée et ils sont encore en vie ; je ne donne pas chère de la peau du variateur de mon tour s'il vit la même chose jusqu'en 2080.
Ca tombe bien on va pouvoir en débattre ;)
Jusqu'à maintenant j'ai toujours fais pareil : je base mes frais kilométriques sur le barême fiscal de l'année en cours et je les facture en vente... sauf que sur le site de l'URSSAF que j'ai été re-fouiller suite à cette question, je viens de m'apercevoir que le transport est considéré comme une prestation...
Et si on reprend la définition de la vente (toujours d'après le site de l'URSSAF) : transfert de propriété d'un bien corporel... et bien quand je me déplace avec mes produits à livrer ou mes outils je ne rentre clairement pas dans ce cadre.
Dans le cas d'un meuble, il est toujours possible de faire le calcul des frais kilométriques liés à l'approvisionnement et à la livraison et de les inclure dans le prix de vente ; même si d'expérience quand les frais de transport sont détaillés sur le devis et la facture la pilule passe souvent mieux auprès des clients...
Par contre si je viens en tant que simple prestataire chez un client qui a déjà tout acheté et veut simplement un installateur, les frais kilométriques seront maintenant facturés en presta...