Bonjour,
honnêtement, maintenant et avec un peut plus de recul, je ne pense pas revenir vers une perceuse(à percussion!)/visseuse…
elles coûtent généralement plus cher, sont plus lourdes et la percussion est loin d’être à la hauteur.
Tout dépend de ton futur métier…
Pour ma part (charpentier), je possède une visseuse à têtes réversibles (pas nécessairement la plus puissante), une visseuse à choc (l’indispensable), perceuse et perfo qui eux envoient du couple et des joules pour avoir une grande polyvalence !
Tous de marque pro en 18V mini pour l’électroportatif, bruchless c’est mieux et avec des batteries de 4ah ou plus.
Les batteries avec beaucoup d’ah sont idéales pour les travaux de vissage ou de perçage intensifs, mais sont également plus lourdes.
Pour les travaux en hauteur et plafonds les batteries 2ah sont à privilégier. On sent généralement la différence en fin de journée…
À mes débuts, j’ai eu 2 visseuses/perceuses (à percussion) professionnelles. Aujourd’hui, je constate qu’avec le prix de cet outil, j’aurais pu investir dans deux autres machines pros plus polyvalentes.
Pour résumé, bien dimensionner son outillage pour sa profession sans négliger le développement futur de ton activité.
Pour un travail efficace et sans faire forcer ta machine, laisser le mode percussion à de vrais perceuses et perfos pros…
En espérant que ces quelques lignes pourront être utiles.
Effectivement,
personnellement je ne pratique pas de finitions sur ce type de panneaux pour te donner une solution viable. Pas sûr du tout qu’un ponçage résout ton problème, la fibre est peu être imprégnée en profondeur…
Je suppose que ta ponceuse était prête au moment ou tu as versé ta finition et que tu l’as étalée immédiatement.
Pour les futurs panneaux, essaye peut-être de mettre la finition sur le pad avant de l’appliquer sur le support.
D’autres personnes plus expérimentées sur ce type de produits pourront certainement mieux te répondre.
Bonne continuation.
Bonjour, peux-tu préciser la marque et le produit stp ? (la couleur de l’étiquette me donne déjà un indice). La majorité des isolants en fibre ou textile présentent un traitement biocide pour limiter un éventuel développement fongique… il est toutefois présent en très faible dose. L’étude anses que tu présentes autorise une concentration maximale de 0,2 phénol pour être « sans risque… », d’après ce document il n’y a pas de risque pour la fertilité.
Comme toi, je reste également septique quant à la non-toxicité certaine à ces doses.
Cependant, cet isolant comme ces homologues en panneaux de fibres ou en vrac restent une alternative évidente à d’autres isolants énergivores en laine de roche ou issus de la pétrochimie…
La composition des panneaux de fibre de bois d’une grande marque se compose de 90 % de bois et <10 % de fibres textiles (polyester recyclé… )
L’isolant idéal est celui que l’on trouve dans les champs. Une bonne botte de paille bien dense, livrée par un agriculteur consciencieux, soucieux de garder sa terre vivante.
Faut-il encore avoir la place ou l’envie de construire avec ce matériau.
Bonne continuation dans l’isolation de ton atelier.
Je trouve que la kss est un bon choix (en filaire).
J’ai l’équivalent chez une autre marque : la hk55.
C’est une machine bien plus polyvalente que les plongeantes type ts 55 et 80 qui ne travaillent que sur rails.
Tu pourras l’utiliser à la volée sur chantier.
Son petit rail de coupe rétractable est une merveille, ça te permet presque de te passer d’une radiale et c’est précis.
Tu peux l’utiliser en plongeante ou non sur les rails de guidage classiques.
Gâchette au pouce pour relever le carter de l’âme…
Pour mon utilisation, j’en suis ravi.
Ses seuls défauts : capter un peu moins bien les poussières qu’une plongeante classique.
On ne peut pas mettre de pare-éclats côté droit de la lame. Sur du panneau avec une bonne lame je n’ai pas de problème. Et pour la marque que tu convoites, son prix.
Perso j’ai failli acheter une plongeante, j’ai vite changé d’avis quand j’ai vu les possibilités d’autres machines. Pour mon utilisation c’est parfait.
Elle existe également en version 80 de plongée. (Pour les travaux de charpente notamment). Pour moi c’est un bon investissement si tu l’utilises régulièrement.
Bonjour Florian,
Pour ma part la section de bois choisie est trop faible. Quelle est la longueur de ce banc ?
Je vois plus des sections de 50/50mmm mini.
Suivant la longueur, pour éviter la flexion, il faut prévoir également des renforts verticaux au centre ou jambes de forces cintrées ou non. (je ne connais pas les thermes en menuiserie).
Personnellement, pour une structure posée au sol comme sur ton dessin, je préfère ce type d’assemblage qui pourra supporter des efforts plus importants.
Il existe bien d’autres assemblages pour ce que tu veux réaliser. Je te conseille de faire un tour [ICI] (lairdubois.fr/livres/) pour trouver un ouvrage sur les assemblages traditionnels et leurs mises en œuvre.
Bonne continuation.
Pas très jolie comme finition,
l’épaisseur des plaquettes carbures m’ont l’air différent. Il faut contrôler si la sur épaisseur de brasure ne gêne pas l’attaque de la dent suivante et limer légèrement au besoin.
La soudure peut tenir, mais si tu as le moindre doute, ne monte pas la lame! Un déséquilibre de poids ou une soudure mal faite sur un outil qui tourne à plusieurs milliers de tr/min…
On doit arrive quasiment au prix de la lame avec cette réparation?
Dommage pour cette CMT…
Si j'ai bien compris tu voudrais réaliser des rainures courbes?
Comme dit Erebor ce n'est pas la bonne solution pour avoir de la précision et de la stabilité sur la courbe de référence.
généralement on utilise des bagues à copier avec fraise droite ou des mèches à affleurer ou copier à simple ou double roulement. La bague ou le roulement de la fraise suit parfaitement la courbe d'un gabarit posé sur la pièce. Technique de fraisage complémentaire et d'inclusion par exemple.
Un bon exemple ici sur la même chaine tu trouveras des vidéos sur le fraisage complémentaire et d'inclusion également.
Bonjour,
tu peux commencer par ce livre. Il est très bien pour visualiser et mettre en pratique les différents assemblages traditionnels. Toutes les cotations sont illustrées. Tu trouveras ce que tu cherches et bien d'autres assemblages tradi.
D'autres existent, tu peux également faire un tour dans la rubrique livres sur le site de l'air du bois.
C'est un beau projet que tu as là, n'hésite pas à poster ta création ici
Bonne découverte.
C'est bien des vrillettes. Elles sont de sorties en ce moment. Comme dit sylvainlefrancomtois il doit forcement avoir du bois massif en plancher, ou autres (meubles, menuiseries, etc...) pour qu'elles soient présentes.
Un lien vers une discussion similaire
Avec un guide pratique pour les identifier
tchoucar Bonjour, et bien de mon point de vue et pratiques, aucun des deux:
- Le premier n'est résistant uniquement parce que l'on lui injecte des produits toxiques.
- Le second choix provient très probablement de forêts primaires... Pas besoin de faire un topo sur la déforestation dans ces pays.
Le douglas ou autres essences locales de même durabilités convient très bien pour cette utilisation (terrasse couverte) car il est classe d'emploi 3.2 et reste abordable pour la plupart des bourses.
Si tu souhaites une essence locale naturellement plus résistante mais un peut plus couteuse, regarde du côté du chêne, châtaigner, robinier, frêne ou bois de nos régions thermo chauffé.
Bonne continuation.
Bonjour,
Pour moi c'est de la vrillette (grosse vrillette, les trous peuvent aller de 3 à 4mm et elles sortent entre avril et mai), elles laissent souvent des petits monticules de poussières de bois. Pour la grosse vrillette: une vermoulure granuleuses en forme de lentille de 1mm de diamètre. Ce qui me semble être le cas ici... Une photo plus précise serait bien.
Par contre, on est également proche de la saison de sortie des capricornes... (juin) Les trous peuvent se confondre (Les vrillettes peuvent aussi créer des trous "ovoïdes" si elles sortent en biais. Leurs trous sont généralement propres et ronds)
Il laissent tout deux de la vermoulure, celle ci est particulièrement fraiche.
Une photo plus précise des trous serait bien avec mesure du diamètre stp.
Réalise un sondage pour voir si le bois sonne "creux".
Je t'invite à prendre connaissance de cette trouvaille pour avoir une solution de traitement écologique
Je suis d'accord avec dneis
Si tu souhaites malgré tout utiliser tes pannes en chêne, que tu peux peut être réemployer ailleurs si tu travailles le bois.
Il faut au moins carboniser les pieds de poteaux ou les faces en contact avec la terre et les enduire de Goudron Scandinave non dilué (épais) et véritable (pas ces dérivés chimiques). Autre fournisseur C'est une méthode que j’utilise et qui a fait ses preuves depuis fort longtemps. il faut également déposer le pied de poteaux sur un bon lit de galet pour éviter les remontées capillaires. un béton de chaux peut être réalisé.
Le robinier est plus résistant pour ces choses.
Malgré tout, ton bois finira par pourrir un jour, alors qu'un beau mur en pierre fera des siècles s'il est bien monté.
Salut Oak
Aucun problème pour ton ossature avec ces sections, un contreventement est préférable (petite croix de saint andré par exemple...)
Perso je prendrais du CP filmé lisse pour la table (meilleure glisse et résistance à l'abrasion je trouve) Le panneaux doit être un peut plus cher par contre. Je crois pas que cela pose un problème pour le collage, au pire tu rajoutes quelques vis en plus.
Bonjour Wil,
Je ne connais pas la Festool. Elle m'a l'air assez maniable, par contre en terme de puissance et de capacité de coupe elle me parait un peut limitée pour son prix.
J'ai déjà utilisé des scies alligators Dewalt ICI pour de gros chantiers d'isolation (j'isole principalement en fibre de bois). Je les trouves puissantes et efficaces. Elle sont peut être moins maniables (poids et filaire), mais restent très pratiques et plus robustes à l'usage je trouve. Le filaire est préférable.
Je trouve également que les Dewalts offrent une longueur de coupe agréables, notamment pour les isolent naturels en rouleaux par exemple.
A la volée ou avec un bon gabarit de coupe qui te permet de guider la descente de la lame à la verticale (lame en sandwish entre deux bois par exemple) tu as une bonne coupe en quelques secondes.
J'espère que cela pourra t'aider.
Nico
Si tu veux un fournisseur proche dans la région Toulousaine, demande peut être à ecologis ici , avant de passer commande en Allemagne . J'allais chez eux quand j'habitais sur Toulouse.
Ceci dit, Dictum est une référence dans les métiers du bois !
Bonjour et bienvenu,
Que construit tu au juste? Je n'ai pas bien saisi l'usage.
Personnellement, pour les fondations en bois, je trouve plus résistant de les noyer dans un béton de chaux et de pierre. Cela confère une meilleure portance et protection. Châtaigner, robinier, bambou, sont parfait pour c'est usage. On peut ensuite les carboniser au chalumeau ou à la torche et les enduires de goudron scandinave (goudron naturel).
Il est bon de prévoir un lit de galet autour des bois pour éviter les éclaboussures. Protéger également le haut des futs permettra une bonne durabilité, attention à l'eau stagnante.
On dirait du pin traité classe 2 en plancher? Les marches sont en douglas.
Ta méthode de descente de trait fonctionne, elle reste précise. Sinon c'est piquage de l'aplomb et descente du trait avec une règle souple pour épouser les courbes (moins précis je trouve).
Les plaques hydro n'aiment pas la pluie... Je vois bien un plancher en massif. Il n'y a pas de toiture?