Après quelques recherches on a trouvé cette marque d'un rapport qualité prix correct et commercialisé par Norwood. On souhaitait un modèle thermique permettant un sciage polyvalent sans but de commercialiser les bois ni de faire de gros volumes. (uniquement pour la valorisation des bois sur chantier, projets de construction personnel, sciages spécifiques en atelier ou chantier).
Les accessoires et extensions sont vite onéreux si l'on souhaite scier de plus gros volume.
Pour nous le projet est tombé à l'eau, du moins pour le moment.
D'autres points à méditer :
entretien et réparation, coût des accessoires (même si certains peuvent être facilement fabriqués) et affûtage , transport des bois, amortissement de la machine, volume de bois à scier dans l'année et temps passé, stockage de la machine et des bois, manutention et approvisionnement.
Bonjour,
Les poutres en I se fabriquent et se dimensionnent par rapport à l'usage que l'on veut en faire (mise en œuvre en toiture, plancher, murs) et surtout par leurs portées (longueur) et le poids quelles doivent soutenir.
Il y a ce fabricant que je peux conseiller. D'autres existent. Dans tous les cas, il faut bien regarder la documentation technique des produits (téléchargeable). On pourra trouver leurs usages, compositions, sections et leurs bonnes mises en œuvre.
Il me semble que certains fabricants donnent des abaques pour aider au dimensionnement ou proposent un logiciel de calcul.
Vous pouvez aussi contacter directement le fabricant pour valider les sections.
Ces poutres sont simples de fabrication. Elles se composent d'une âme en osb ou autres panneaux composites et d'une membrure en lvl (plus stable et résistante) ou en massif (douglas, pin et autres résineux).
Une fois les sections établies et vérifiés. Il suffit de trouver les panneaux appropriés et de réaliser des bandes (âmes). Pour les membrures, choisir une section de bois d'ossature (raboté 4 faces) ou raboter soit même ses propres sections. (humidité du bois entre 12 et 15%).
Faire de belles rainures à l'épaisseur de l'âme et coller le tout à la PU en mettant en presse avec une armée de serre-joint.
Si c'est pour de grandes portées ou des charges importantes, privilégier le LVL en évitant l'autoconstruction. Il faut garder à l'esprit que les bois massifs ne sont jamais à 100% exempt de défauts, ceux qui peut compromettre leurs solidités une fois en charge.
La fabrication prend aussi pas mal de temps et il faudra acheter la matière première qui est plutôt chaire en ce moment. Ça m’amène à une autre question (sur laquelle je ne me suis pas penché), dans le contexte actuel, est-il rentable de les faire soi-même?
Bonjour,
Outre ce qui a déjà été énoncé avant, il y a également les champs magnétiques à prendre en compte. Si vous y êtes sensibles, cela peut affecter la qualité du sommeil et la santé de manière générale.
Dans votre cas les prises sont très proches du corps et l'on passe quand même pas mal de temps au lit.
Il existe des gaines, fils et boîtes blindés pour stopper ces ondes. Le bois propage également plus facilement celle-ci.
Pour aller plus loin, vous pouvez taper électricité biocompatible sur le net.
Ce n'est pas spécialement connu de tout le monde, mais beaucoup d'étude on était publiées sur l'influence de ces ondes sur le corps humain.
Salut!
Naturel, c'est sans modification du bois non?
Ceci dit, le choix du brûlage, Shou Sugi Ban ou Yakisugi est très adapté à l'extérieur.
Pour fixer le carbone j'aurais passé 1 à 3 couches d'huile de Tung.
À mon sens c'est la technique la plus durable en extérieur, les Japonais l'ont compris depuis bien longtemps.
Tu ne prends aucun risque à proposer l'idée.
Intéressant comme structure !
Il existe également le levage à la chèvre, cela demande un peu plus de connaissances (quand on l'utilise avec des cordes pour réaliser des mouflages)
Mais ça reste la solution la moins honéreuse et la plus ludique à mon goût.
Il te faudra la construire et avoir soit un treuil ou du matos de cordiste. Peut être connais tu quelqu'un qui pratique la grimpe, l'élagage, ou un ami cordiste?
Regarde également du côté: d'ergolevage.fr, c'est un centre de formation spécialisée pour cette technique.
Je pratique le levage à la chèvre et certaines techniques de cordes. Pour moi c'est l'outil idéal quant aucun engins ne passent pour un budget raisonnable. En plus la réflexion est prenante et le tout se dresse uniquement à la force des bras. C'est plus fun que de faire venir de gros engins
Bonjour, oui il existe plusieurs entreprises qui sont spécialisés dans le tavaillons en France, une recherche rapide sur internet te donnera toutes les infos. Mais je ne sais pas s'il y en a dans ta région.
Personnellement, ma préférence va au châtaignier.
Les prix varient pas mal entre les fabricants, surtout en ce moment où tu vas probablement payer le double voir le triple du prix avec les délais qui vont avec...
Pense également à choisir la bonne pente pour qu'il ne prenne pas l'eau.
Va voir le site: (letavaillondel...-le-chataignier)
Un câble se serait t'il débranché avec les vibrations ? Ou Le potentiomètre aurait-il grillé? certain sont équipés d'électronique et donc plus sensibles aux surintensités.
Je contrôlerai sa résistance avec un multimètre pour voir si elle varrie.
N'étant pas expert en électronique je regarderai sur le net, il y a forcément quelqu'un qui c'est penché sur la question. Le tour est t'il toujours sous garantie ?
Bonjour,
C'est un résineux, probablement Douglas, Mélèze voir Pin. Difficile à dire, vous avez déjà poncé la poutre?
J’aperçois quelques traces de xylophages. Si vous souhaitez lui procurer une protection curative ou préventive, il existe ce produit . Dans la même marque, il en existe d'autres qui modifient plus ou moins la teinte naturelle du bois.
Passez un coup de fil, ils sauront vous conseiller.
Si je comprends bien, tu souhaites encastrer la têtière dans un dormant ou mur en bois. (La partie qui reçoit le penne de ta serrure à mortaiser)
Si tu disposes d'une surface d'appui pour le guide de ta défonceuse, tu peux réaliser facilement l'encastrement avec ta défonceuse et son guide, munie d'une fraise droite de bonne qualité (CMT et autres marques sérieuses par exemple, c'est un bon investissement). Généralement la largeur est de 20mm sur une profondeur de 2 à 3mm.
Si tu n'as pas la possibilité d'utiliser un guidage ou de fixer un gabarit. Réalise simplement l'encoche pour le passage de la têtière avec un ciseau à bois pour la partie droite et une gouge pour les arrondis.
Évide avec une mèche du bon diamètre, ou ciseaux à bois le passage du pêne. C'est aussi rapide.
Tu as aussi la possibilité, après avoir repéré le centre des axes des arrondis, d'utiliser une mèche forstner du bon diamètre pour les réaliser et de finir au ciseau la partie droite.
Je crois bien oui. Il a pris un coup de chaud. Ton installation électrique a été correctement dimensionné pour accueillir ton combiné mono?
Je ne connais pas de site pour la livraison rapide de Condo'.
Bon courage pour la suite ! C'est toujours dans les petites galères que l'on apprend à maîtriser d'avantage ce type de machine.
Yougzz Je crois que tout est dit.
Perso, j'ai un pinceau dédié à cela. Je l'entoure après chaque utilisation d'un plastique de récup pour éviter qu'il ne sèche. Tu peux le garder assez longtemps comme ça.
Si je dois le conserver plus longtemps, j'essaye, en le frottant au fond d'un récipient rempli d'un petit peu de diluant (térébenthine, ou diluant d'agrume) d'enlever le maximum de produit sur le pinceau. Il en reste toujours un peu, je remballe ça dans un film protecteur propre et je garde les plastiques pour les réutiliser plus tard. Le liquide restant est conservé dans un bocal bien fermé.
Il faut éviter d'utiliser l’huile de lin pour la protection des bois extérieurs.
Elle est propice au développement fongique de surface qui provoque ces « taches noires ». Si tu veux éviter d’acheter des saturateurs naturels vite onéreux, utilise de l’huile de tung, elle aura de bien meilleurs avantages en extérieur (plus siccative, et n’est pas propice au développement fongique.
La teinte grise du bois est naturelle sous l'effet des UV, ici, c’est plus de la moisissure qui s’installe (elle est plus noire et forme des taches diffuses et nettes).
Pour remédier à cela, tu peux nettoyer les bois et les assainir (pour réduire le développement fongique).
L'acide oxalique (sel d'oseille) permet effectivement de "nettoyer" les bois. Il existent aussi d'autres produits facilement trouvable chez les fournisseurs.
Ensuite, tu peux les laisser nature ou rajouter une protection adaptée, c'est une affaire de temps passé et de budget.
Ils griseront quand même avec le temps.
Salut,
Je te donne juste mon avis, au vu des travaux, on est dans un cas à ne pas reproduire.
Je comprends que les propriétaires souhaitent un espace couvert dessous leur terrasse.
Mais ce n’est pas la bonne mise en œuvre que l’artisan ou les particuliers on choisit.
Il faut regarder du côté de la conception de toit-terrasse où l’on utilise de l’EPDM pour l’étanchéité.
Le pare-pluie n’a pas lieu d’être ici, il est perforé par le clouage des lattes.
La pluie peut donc s’infiltrer par ces trous, dégrader l’OSB qui est posé directement sur le solivage (sans ventilation) et donc par la même, abimer le solivage (on remarque les coulées d’eau sur celui-ci…)
Il faut également vérifier la pente de la terrasse pour que les eaux s’évacuent bien et garder à l’esprit que si tu modifies la hauteur du platelage, le garde-corps ne sera certainement plus à bonne hauteur pour rester dans les règles !
Alors prudence si tu débutes et que tu souhaites réaliser une toiture-terrasse sur un chantier déjà réalisé, tu peux peut-être proposer aussi la réalisation d’un platelage simple de terrasse (pas de toiture-terrasse).
Bonne suite.
Généralement il faut éviter de bâcher son bois d'œuvre comme celui avec lequel on se chauffe. L'humidité sera mal évacuée.
Il faut privilégier un toit ou des tôles et garder une bonne ventilation entre chaque bois.
Il est aussi préférable d'éviter le soleil direct et les vents sous penne de voir surgir de jolies défaut au séchage.