Intéressant comme structure !
Il existe également le levage à la chèvre, cela demande un peu plus de connaissances (quand on l'utilise avec des cordes pour réaliser des mouflages)
Mais ça reste la solution la moins honéreuse et la plus ludique à mon goût.
Il te faudra la construire et avoir soit un treuil ou du matos de cordiste. Peut être connais tu quelqu'un qui pratique la grimpe, l'élagage, ou un ami cordiste?
Regarde également du côté: d'ergolevage.fr, c'est un centre de formation spécialisée pour cette technique.
Je pratique le levage à la chèvre et certaines techniques de cordes. Pour moi c'est l'outil idéal quant aucun engins ne passent pour un budget raisonnable. En plus la réflexion est prenante et le tout se dresse uniquement à la force des bras. C'est plus fun que de faire venir de gros engins
Bonjour, oui il existe plusieurs entreprises qui sont spécialisés dans le tavaillons en France, une recherche rapide sur internet te donnera toutes les infos. Mais je ne sais pas s'il y en a dans ta région.
Personnellement, ma préférence va au châtaignier.
Les prix varient pas mal entre les fabricants, surtout en ce moment où tu vas probablement payer le double voir le triple du prix avec les délais qui vont avec...
Pense également à choisir la bonne pente pour qu'il ne prenne pas l'eau.
Va voir le site: (letavaillondel...-le-chataignier)
Un câble se serait t'il débranché avec les vibrations ? Ou Le potentiomètre aurait-il grillé? certain sont équipés d'électronique et donc plus sensibles aux surintensités.
Je contrôlerai sa résistance avec un multimètre pour voir si elle varrie.
N'étant pas expert en électronique je regarderai sur le net, il y a forcément quelqu'un qui c'est penché sur la question. Le tour est t'il toujours sous garantie ?
Bonjour,
C'est un résineux, probablement Douglas, Mélèze voir Pin. Difficile à dire, vous avez déjà poncé la poutre?
J’aperçois quelques traces de xylophages. Si vous souhaitez lui procurer une protection curative ou préventive, il existe ce produit . Dans la même marque, il en existe d'autres qui modifient plus ou moins la teinte naturelle du bois.
Passez un coup de fil, ils sauront vous conseiller.
Si je comprends bien, tu souhaites encastrer la têtière dans un dormant ou mur en bois. (La partie qui reçoit le penne de ta serrure à mortaiser)
Si tu disposes d'une surface d'appui pour le guide de ta défonceuse, tu peux réaliser facilement l'encastrement avec ta défonceuse et son guide, munie d'une fraise droite de bonne qualité (CMT et autres marques sérieuses par exemple, c'est un bon investissement). Généralement la largeur est de 20mm sur une profondeur de 2 à 3mm.
Si tu n'as pas la possibilité d'utiliser un guidage ou de fixer un gabarit. Réalise simplement l'encoche pour le passage de la têtière avec un ciseau à bois pour la partie droite et une gouge pour les arrondis.
Évide avec une mèche du bon diamètre, ou ciseaux à bois le passage du pêne. C'est aussi rapide.
Tu as aussi la possibilité, après avoir repéré le centre des axes des arrondis, d'utiliser une mèche forstner du bon diamètre pour les réaliser et de finir au ciseau la partie droite.
Je crois bien oui. Il a pris un coup de chaud. Ton installation électrique a été correctement dimensionné pour accueillir ton combiné mono?
Je ne connais pas de site pour la livraison rapide de Condo'.
Bon courage pour la suite ! C'est toujours dans les petites galères que l'on apprend à maîtriser d'avantage ce type de machine.
Yougzz Je crois que tout est dit.
Perso, j'ai un pinceau dédié à cela. Je l'entoure après chaque utilisation d'un plastique de récup pour éviter qu'il ne sèche. Tu peux le garder assez longtemps comme ça.
Si je dois le conserver plus longtemps, j'essaye, en le frottant au fond d'un récipient rempli d'un petit peu de diluant (térébenthine, ou diluant d'agrume) d'enlever le maximum de produit sur le pinceau. Il en reste toujours un peu, je remballe ça dans un film protecteur propre et je garde les plastiques pour les réutiliser plus tard. Le liquide restant est conservé dans un bocal bien fermé.
Il faut éviter d'utiliser l’huile de lin pour la protection des bois extérieurs.
Elle est propice au développement fongique de surface qui provoque ces « taches noires ». Si tu veux éviter d’acheter des saturateurs naturels vite onéreux, utilise de l’huile de tung, elle aura de bien meilleurs avantages en extérieur (plus siccative, et n’est pas propice au développement fongique.
La teinte grise du bois est naturelle sous l'effet des UV, ici, c’est plus de la moisissure qui s’installe (elle est plus noire et forme des taches diffuses et nettes).
Pour remédier à cela, tu peux nettoyer les bois et les assainir (pour réduire le développement fongique).
L'acide oxalique (sel d'oseille) permet effectivement de "nettoyer" les bois. Il existent aussi d'autres produits facilement trouvable chez les fournisseurs.
Ensuite, tu peux les laisser nature ou rajouter une protection adaptée, c'est une affaire de temps passé et de budget.
Ils griseront quand même avec le temps.
Salut,
Je te donne juste mon avis, au vu des travaux, on est dans un cas à ne pas reproduire.
Je comprends que les propriétaires souhaitent un espace couvert dessous leur terrasse.
Mais ce n’est pas la bonne mise en œuvre que l’artisan ou les particuliers on choisit.
Il faut regarder du côté de la conception de toit-terrasse où l’on utilise de l’EPDM pour l’étanchéité.
Le pare-pluie n’a pas lieu d’être ici, il est perforé par le clouage des lattes.
La pluie peut donc s’infiltrer par ces trous, dégrader l’OSB qui est posé directement sur le solivage (sans ventilation) et donc par la même, abimer le solivage (on remarque les coulées d’eau sur celui-ci…)
Il faut également vérifier la pente de la terrasse pour que les eaux s’évacuent bien et garder à l’esprit que si tu modifies la hauteur du platelage, le garde-corps ne sera certainement plus à bonne hauteur pour rester dans les règles !
Alors prudence si tu débutes et que tu souhaites réaliser une toiture-terrasse sur un chantier déjà réalisé, tu peux peut-être proposer aussi la réalisation d’un platelage simple de terrasse (pas de toiture-terrasse).
Bonne suite.
Généralement il faut éviter de bâcher son bois d'œuvre comme celui avec lequel on se chauffe. L'humidité sera mal évacuée.
Il faut privilégier un toit ou des tôles et garder une bonne ventilation entre chaque bois.
Il est aussi préférable d'éviter le soleil direct et les vents sous penne de voir surgir de jolies défaut au séchage.
Et bien théoriquement oui, tu es censé réaliser une bonne mise en œuvre pour ton habitat et justifier au besoin les choix constructifs et les sections de bois employé pour qu’il soit sécuritaire face aux diverses conditions climatiques.
En réalité de nombreux autoconstructeurs, comme pro sans affranchissent par simplicité ou par pure méconnaissance. S'ils ont un doute, il sur dimensionne certaines sections, c'est plus rassurant, mais engendre un surcout de matière.
Récemment on m’a demandé sur la base de plans d'archi de modéliser une maison ossature bois et de réaliser les plans d’exécution pour l’atelier. l’architecte qui a fait les plans avait placé des baies sous les descentes de charge du faîtage, on comprend de suite qu’il n’a pas connaissance de certaines règles en construction bois.
J’ai aussi vu récemment un chantier en autoconstruction réalisé avec des sections de bois non adapté pour l’ossature, une épaisseur de voile travaillant trop faible. Tu pousses légèrement les murs à la main, tout bouge… Une famille avec 3 enfants s’installera bientôt sous ce toit… Personnellement quand je vois ça je ne suis pas serein.
Alors oui, certaines choses peuvent être improvisées, mais d’autres doivent être réalisés dans les règles de l’art pour prétendre à un habitat durable et sécuritaire.
Le bois d'une manière générale n'a pas spécialement de bonne performance en acoustique dans les graves, c'est ce qui fait généralement défaut dans les maisons ossatures bois pour les bruits aériens et la résonance des cloisons et plancher.
Pour les cloisons acoustiques (qui sont au final la même chose que tu veux réaliser, mais en plus petit) et pour palier à ces faiblesses, il faut toujours garder le principe de MASSE/RESSORT/MASSE. (un matériau dense réfléchissant/ un isolant moins dense pour absorber les ondes/ et un dernier matériau dense).
Les isolants (ressort) majoritairement utilisés pour avoir de meilleures performances acoustiques sont la laine de bois, la ouate de cellulose et l'isolant métisse (textile recyclé). Personnellement je ne mets pas en œuvre de laine de verre ou minérale.
Si tu es intéressé par les solutions acoustiques à mettre en œuvre pour l'habitat (ça peut toujours être utile ) comme pour d'autres projets, il y a ces deux ouvrages d'une bonne maison d'édition:
L'isolation phonique écologique
L'isolation thermique acoustique
Bonne découverte
J’utilise depuis 1 an Henrri sur internet.
Je le trouve plutôt simple d’utilisation pour les devis et facturation, la mise en page est rapide. Il me semble que tu peux enregistrer tes prestations courantes avec leurs tarifs. Mes prestations ne se ressemblent jamais, je n’enregistre donc rien.
Il est bien entendu réglementaire pour la compta.
Pas mal de bonnes marques ont déjà été citées. En production française il y a aussi Émile Peyron qui propose aussi une bonne gamme d'outils pour les charpentiers, menuisiers,etc.
Certainement moins artisanal qu'un petit artisan déjà cité, mais de bonne facture.
Garde cette solution d'affûtage si elle te convient.
J'affûte mes ébauchoirs et outils tranchants avec des pierres japonaises à l'eau:
Grain 400 (dégrossissage)
grains 1000/2000/3000 (affûtage)
grains 5000 (finition)
passages ensuite au cuir avec de la patte abrasive pour le démorfilage.
Je m'arrête là, avec mes pierres, j'obtiens à ce stade un très bon résultat, pas besoin de monter au 6000 et plus pour avoir un tranchant miroir. Il sera moins durable au moment de frapper fort à la massette.
Il existe une grande variété de pierre japonaise avec leurs propres caractéristiques. Le grain variera légèrement d'une pierre à l'autre et c'est souvent la sensation à l'affûtage qui orientera le choix. Naturelles ou synthétiques, dures ou tendres, le choix est grand et les marques nombreuses. J'ai opté pour des pierres synthétiques "dure" de la marque Suehiro (Cerax) qui sont plus durables et permettent l'affûtage des aciers dur. L'usure est plus que correcte avec ces pierres.
La marque Naniwa est pas mal aussi.
Le gros avantage par rapport au diamant c'est qu’elles ne perdent pas leur pouvoir abrasif après les affûtages successifs, le grain ne change pas avec le temps.
Par contre elles demandent plus d'attention pour le maintien de leurs planéités et donc sur l'exécution des gestes d'affûtage, les Japonais ont une philosophie différente.
Bonsoir, je trouve la démarche intéressante.
Les Eurocodes sont souvent repoussants pour les non-initiés et artisans quand on voit autant de formules pour dimensionner correctement les éléments structurels.
Arrivé à les vulgariser par l'exemple, c'est donné les clefs d'une conception en confiance à bon nombre de personnes.
La transmission est importante, je reste ouvert et curieux de la pédagogie que vous allez mettre en place.