Bonjour,
Des photos seraient bien pour permettre à d'autres d'apporter une réponse.
À quelle température a été appliquée l'huile?
Personnellement j'y vois quelques problèmes dont certains ont été déjà évoqués:
- Un ponçage au 220 est assez haut. Un grain 120 permettra une imprégnation plus facile.
- le temps de séchage pour les premières couches est trop court. Pour cette huile, utilisée sans siccatif, c'est à minima 12 à 24h, il me semble (le séchage c'est le point le plus important).
- Il n'a pas été fait usage d'un diluant. La pénétration et le séchage seront plus difficiles pour les premières couches.
- On ne sait pas si le surplus d'huile a été correctement essuyé après chaque couche.
- Il n'y a pas eu d’égrainage entre les couches, les fibres se sont relevées.
- la problématique soulevée par Kentaro est intéressante, il y a-t-il une interaction avec les produits? Cela peut être aussi une zone d'aubier, qui est plus imprégnable alors que le duramen est peu à non-imprégnable (difficulté de séchage).
- la température?? Qui influence grandement le séchage.
Ce qui est bien avec l'huile de tung, c'est qu'elle réchauffe moins le bois et est plus siccative.
Pour les zones où il reste de l'huile après ton dernier ponçage, ça va être difficile de rattraper ça sans faire de grosses vagues au ponçage ou d'enlever beaucoup de matière. Il y a aussi les déshuileurs qui permettent d'enlever la couche superficielle (je n'en ai jamais utilisé). Tu risques ce pendant d'avoir une différence de teinte.
Ma méthode pour l’application de l'huile de tung (qui n'est pas LA méthode):
(on peut rajouter du siccatif pour un séchage plus rapide)
1 - Ponçage jusqu'au grain 120, dépoussiérage.
2 - Première couche:
Chauffé au bain marie sans la porter à ébullition (avec toutes les précautions d'usage pour pas se brûler ni mettre le feu) 70% tung / 30% diluant naturel (ou 50% tung / 50% diluant) (diluant SVALOS) ( pas de white, essence de térébenthine à utiliser avec précaution).
3 - application généreuse au pinceau. Attendre 10min environ puis essuyer correctement tout l’excédent avec un chiffon non pelucheux (étape importante).
4 - Suivant la température, le séchage minimum 12 à 24h + c'est mieux. Dans tous les cas, il faut s'assurer que la couche soit sèche avant de la recouvrir (elle doit être complètement sèche au toucher, sans filme gras sur les doigts). +, Une fois la couche sèche, léger égrenage au papier fin pour casser les fibres qui se relèvent. Dépoussiérage.
5 - Deuxième couche:
80% tung / 20% diluant naturel au bain marri (ou 70% tung / 30% diluant). Idem que pour l'étape 3 et 4.
6 - Troisième couche 100% tung. Idem que les étapes 3;4.
Bien laisser sécher dans un endroit ventilé pour éviter d’inhaler les composées volatiles du diluant. Leurs concentrations diminueront fortement après séchage. Il n'est d'ailleurs pas obligatoire d'utiliser de diluant, mais il aide fortement la pénétration et le séchage des couches. La concentration peut être adaptée (généralement le dosage pour la première couche est à 50% / 50%
7 - FIN
Toujours stocker les chiffons dans un récipient non inflammable en évitant de les mettre en boule. (risque d'autocombustion).
Ci l'on utilise des diluants (surtout l'essence de térébenthine), il est recommandé d'utiliser des gants pour éviter que les composés ne passent par la peau et un masque pour ne pas inhaler les vapeurs.
Je regarderai du côté des étriers à queue d'aronde ou étriers à âmes interne pour voir s'il existe la bonne dimension pour ton projet.
Une autre solution un peu moins esthétique serait de percer de par en par le poteaux par l'extérieur, de visser avec une vis conséquente puis bouchonner.
Si la véranda est récente je ferai particulièrement attention aux taux d'humidité des bois (des poteaux). Cela peut amener des désafleurs disgracieux.
Bonjour,
de quel site parles-tu?
Oui, la panne faîtière, qui est plutôt une panne muralière est fixé au mur posée sur le mur (en regardant bien). On fixe généralement les pannes muralières qui sont posées contre.
De l'extérieur, la "fausse sortie" n'est là que pour garder une cohérence visuelle avec la panne intermédiaire, qui elle, est de section plus importante.
Bonjour,
Je ne suis pas un pro de l'escalier, d'autres seront répondre mieux que moi.
Je peux te conseiller ce livre qui illustre bien les tracés à réaliser pour les balancements. Je ne peux pas ici mettre d'image pour illustrer mes propos, mais c'est un bon livre à avoir dans sa bibliothèque.
Je n'en ai pas vu beaucoup.
Avec un choix rigoureux des bois pour éviter des déformations, ça se tente.
Le séchage est difficile, mais le sciage et le profilage sont aisés avec des outils au carbure.
Le collage ne pose pas spécialement de problème si l'on applique une pression suffisante.
Pas non plus de problème à la finition.
Bonjour,
Je pense que tu as oublié de régler le parallélisme de la table de sortie par rapport à l'arbre.
- On ajuste la table de sortie parallèle à l'arbre.
- Puis on positionne la table de sortie et d'entrée dans le même plan.
- Et pour finir, on régle la hauteur des fers par rapport à la table de sortie.
Il ne faut pas toucher à la table de rabotage, elle ne fait que reproduire les défauts obtenus au dégauchissage.
L'arbre de la dégau/rabot est le repère fixe, "non ajustable", c'est la référence pour les réglages.
Bonjour, à mon avis il va se consumer dans le four.
Peut être faut t'il faire fondre le verre dans le four et le couler ensuite sur le bois? Le bois brulera certainement, mais ce sera plus simple de gérer sa combustion. Je ne sais pas si c'est réalisable, par contre j'ai déjà vu une coulée de bronze sur du bois pour incrustation.
Il faut expérimenter.
Salut,
ça me rappelle quelques galères.
Pour le verrou, as-tu bien réglé la planéité de la table de sortie, toujours en montant les tables et verrou bien verrouillé? Si c'est le cas, il faut revérifier la planéité et le bon appui des vis de réglages sur les tables.
Sinon, voir avec la doc constructeur, mais peut être pourras tu descendre la table de sortie et reprendre les réglages avec un niveau pus bas? (ça fait reprendre l'ensemble des réglages mais permet d'avoir une marge de hauteur). Si les charnières de tables ne sont pas réglables en hauteur par contre...
Re bonjour,
J'ai déjà entendu parler d'un logiciel, mais le nom m'échappe. À défaut il y a le très bon livre (l'isolation phonique écologique, édition terre vivante).
Les performances de cette cloison phonique sont assez basses, elle est donnée pour un affaiblissement (Rw) de 36dB sans le vide technique. C'est aussi le défaut de l'ossature bois (manque d'inertie et faibles performances acoustiques dans les graves).
À minima, il te faut :
- Doubler les couches de Fermacell (en croisant les plaques). Tu passes alors vers les 45dB de gain (sans vide technique) et gagnes en inertie.
- Isoler le vide technique.
- Avoir une étanchéité parfaite à l'air en périphérie de cloison et des plaques.
- Désolidariser toute l'ossature avec des bandes résilientes.
- Ne pas mettre les prises électriques ou inters en vis-à-vis et les monter avec des boitiers étanches.
- Si tu passes en rail métal, tu gagnes un affaiblissement de 41dB (sans avoir doublé les plaques et sans vide technique). La surface en contact étant moins grande, il y aura moins de ponts phoniques.
Il faut garder en tête le principe de masse/ressort/masse en mettant en œuvre des matériaux de densité différente.
La structure peut être réalisée comme suit:
Double Fermacell / isolant / Fermacell / vide technique isolé / Fermacell
ou
double Fermacell / isolant/ OSB /vide technique isolé / double Fermacell
Des isolants comme la ouate de cellulose, le coton métisse recyclé et la fibre de bois ont de bonnes performances. (Surtout les 2 premiers)
Si tu mets en œuvre plusieurs couches de panneau semi-rigide, il faut qu'elles soient croisées pour éviter tout pont phonique.
Le gros avantage, c'est que tu es en neuf, ce sera beaucoup plus simple de mise en œuvre.
J'attaque une cloison phonique au printemps dans un bâti ancien, ça demande plus d'attention pour ne pas ruiner les performances de la paroi à cause d'un mauvais choix. Par contre ma cloison fera 40cm!
Bonne continuation !
Bonjour,
à ma connaissance il n'y a pas de contre-indication. Par contre il faut faire attention à la qualité de la finition (le crépi) de manière à ce qu'il puisse permettre le passage de la vapeur.
Je ne connais pas la composition complète du mur, mais pour un osb en frein vapeur (il y a d'ailleurs une épaisseur adéquate pour qu'il joue correctement son rôle dans le DTU 31.2) il faut que les couches extérieures soient plus perméables à la vapeur que celles intérieures.
Le logiciel Ubakus permet de vérifier le transfert d'humidité dans les parois en spécifiant bien l'épaisseur de chaque matériau.
Tous les matériaux sont paramétrables en fonction des caractéristiques du fabricant.
Bonjour,
Je comprends que l'isolant présent entre montants n'est là que pour couper le son de l'aspirateur?
Si non, le mur accolé au bardage de la construction existante (atelier) n'est pas utile et l'isolant aussi. Ce qui pourrait donner un mur très simple du type :
bardage >> liteau et/ou contre liteau (suivant la pose du bardage choisit) >> OSB >> ossature bois >> (+ parement intérieur en option) FIN. Pour un local non chauffé, il n'y a pas spécialement besoin d'isolant et de frein vapeur.
Le muret en brique sépare-t-il 2 propriétés? Car si ce n'est pas le cas et que ces fondations et dimensions le permettent, il est possible de construire le mur ossature bois directement dessus, ce qui règle, après avoir réalisé la couverture, tout problème d’infiltrations d'eau entre la brique et le mur ossature bois et ferait baisser considérablement la facture.
Si problème de mitoyenneté, il est tout à fait possible de bâtir le mur ossature bois en retrait pour ménager une lame d'air. Il faudra alors bien soigner l’étanchéité entre le mur en brique et la nouvelle construction, le polystyrène n'est pas utile, les bois doivent respirer.
Pour protéger plus efficacement l'arrière du bâti et suivant les façades exposées aux pluies battantes, j'aurais inversé la pente de la toiture pour avoir l'égout au plus proche du muret en brique. Un débord de toiture est utile.