Bonjour,
la domino à indéniablement facilité l'assemblage par faux tenon dans les métiers du bois, de par sa rapidité de taille et sa simplicité d'utilisation.
Ce pendant, je pense que la charpenterie, de même que pour les autres métiers, dispose de ces propres outils et savoir-faire.
Certains utilisent même une défonceuse avec fraise hélicoïdale positive de gros diamètre. Elle est placée sur gabarit et bagues à copier.
Une mortaiseuse à chaîne est l'outil idéal pour réaliser cette tâche, mais son coût la réserve généralement aux pro ou particulier ayant un nombre de mortaises important à réaliser.
En alternative, la taille à la main (enfin, presque à la main, car on évide généralement avec une perceuse avant pour gagner du temps) est aussi efficace quand on en a l'habitude.
Une fois la mortaise tracée et pour éviter les éclats, on entaille les fibres à l'ébauchoir le long du tracé.
On évide la mortaise avec un ébauchoir de 30mm.
Puis on vient équarrir les joues avec un ébauchoir ou ciseaux le plus large possible. L'about (à soigner particulièrement) et la gorge sont équarris avec un ébauchoir de 30mm.
Pour ma part, cela fait partie de la conservation des gestes technique et reste bien plus abordable.
Bonjour,
La lame Panther sera plus efficace.
Si tu delignes du bois sec et dur c'est normal de ne pas avancer rapidement avec la puissance de la machine, de la à faire 3 passes...
Si tu utilises un rail de guidage, vérifies bien que la machine coulisse bien et que la lame travaille bien parallèle au rail ( on peut généralement ajuster la table au rail).
Sinon, si tu disposes du matériels, utilise une circulaire plus puissante.
Effectivement, les remontée capillaires ou infiltrations dans les murs anciens sont souvent la cause de pourriture et mérite que l'on s'y penche.
Comme déjà bien cité dans les commentaires, il faut soigner la mise en œuvre.
Pour le traitement des abouts, qui sont les parties les plus sensibles, il existe également la marque Wood Bliss (version concentrée) qui permet une minéralisation et une bonne protection aux agents pathogènes.
Chacun ira de sa sensibilité pour le choix des produits, c'est souvent le budget et/ou les convictions qui tranchent.
Ah oui déjà vu, merci pour la petite piqure de rappel! Il fait beau ce weekend par chez moi et mon matos prend la poussière, alors...
Une vidéo de grimpe à Bornéo qui m'a bien plus. Un grand nom Sharma, une petite 9b+ pour la baladeil n'y a pas beaucoup de grimpeurs-euses qui réussissent à aller jusqu'au bout. Je ne sais pas si elle a été décotée depuis.
Xavier
(en réponse au vote défavorable)
Bonjour,
dsl si mon commentaire à pu vous toucher.
Je suis d'accord avec vous sur le fait que certaines tables de rabotage soient réglables.
Ce pendant, on ne les régles que très rarement, la majorité des problèmes venant soit d'un mauvais réglage des tables de dégauchissage, de la hauteur des fers, ou des gestes de l’utilisateur.
Mise à part si Moinsvinte a oublié quelques précisions, on ne parle visiblement ici que du dégauchissage. Ce type de problèmes arrivent souvent quand la table de sortie n'est pas parallèle à l'arbre.
La réponse est dans la question.
Si j'ai bien compris, le monsieur rencontre un problème sur la largeur de la pièce et le dégauchissage sur la longueur de la pièce est bon. D'une section carrée, on peut très bien se retrouver avec un trapèze rectangle avec des tables mal réglées (vu qu'il n'a visiblement pas pris l'arbre comme référence).
Quand on parle de pièces concaves ou convexes, c'est sur la longueur de la pièce au dégauchissage qu'on le constate.
Vous remarquerez que je n'ai pas voulu mettre un avis défavorable à votre commentaire, même si je pense que le rabotage est à côté de la problématique.
Cordialement.
dneis Charpente en croupe à 3 versants.
C'est effectivement plus onéreux qu'une toiture classique à 2 versants, il y a plus de bois et de main-d'œuvre. Cela permet une meilleure esthétique et d'avoir un pignon moins haut, donc une meilleure protection. Elles ne sont pas majoritaires dans le paysage sauf dans certaines régions ou le patrimoine en est majoritairement constitué. Elles sont généralement réservées aux personnes disposant de moyen suffisant.
Je reste du même avis que sylvainlefrancomtois et Kentaro. C'est un métier qui demande des connaissances spécifiques, on n'improvise pas dans ce domaine.
Je reste assez perplexe, ça me parait très aléatoire comme technique.
Je connais déjà le système d'affûtage Koch assez efficace dans l'affûtage et le d’émorfilage avec pâtes abrasives.
De là à utiliser un feutre à polir pour la création du biseau secondaire à main levé...
Au fil des affûtages (si on peut l'appeler comme tel), à quoi ressemblera le tranchant après la répétition du geste?
Je sais qu'en coutellerie le tranchant est parfois arrondi.
Merci pour ces précisions, je comprends mieux.
Effectivement ce n'est pas normal.
J'ai pas eu le temps d'y jeter un œil aujourd'hui, il n'y a pas non plus de chéma électrique sur la documentation technique. Je serai à l'atelier lundi pour une photo.
Sinon tu peux directement contacter le fabricant.
On est sur la bonne piste,
un câblage de moteur monophasé ressemble généralement à ça (les numéros de bornier peuvent ne pas correspondre).
Ce qui nous intéresse c'est la partie commande, à droite de l'image.
Quant tu appuies sur le bouton poussoir vert (qui est normalement ouvert), tu permets le passage du courant et alimentes la bobine du contacteur KM1, le contacteur plaque et le moteur démarre. L'auto maintien est toujours branché en parallèle du bouton-poussoir. Quand tu relâches le bouton marche, le moteur doit continuer de tourner, car la bobine du contacteur est auto-alimentée par le contact auxiliaire (l'auto-maintien).
Pour commander l'arrêt, on place un bouton-poussoir (normalement fermé) en série. Quand tu appuies dessus, il ouvre ses contacts et ne permet plus le passage du courant, le moteur s'arrête.
Je prends tout à l'heure une photo du contacteur pour que tu puisses avoir la référence.
alex3979 Hop! Voici quelques photos.
Regarde en priorité le câble à 5 fils qui sort du presse-étoupe en haut à droite, derrière le contacteur. C'est la partie commande.
- Le fil jaune va à la borne ZL4 du contacteur.
- Le rouge va à la borne 8T4 du contacteur.
- Le vert est la mise à la terre (branché sur le domino).
- Le noir part vers le fusible (il faut contrôler les fusibles). On ressort du fusible, toujours avec un fil noir pour aller à la borne 2T1 du contacteur.
- Le blanc est branché tout en haut à gauche du composant sous le contacteur.
Pour la bobine:
- La borne A1 (haut du contacteur) est alimentée par un fil noir qui sort du presse-étoupe le plus en haut du boîtier.
- De la borne A2 (au bas du contacteur) part un petit fil blanc qui va vers la borne en haut à droite du composant sous le contacteur.
Pense à bien vérifier le serrage des cosses et plus particulièrement la borne 1L1, je l'ai trouvé pas bien serrée dans mon boîtier.
Je penche plus pour une erreur de câblage, si tu entends le contacteur claquer quand tu appuis sur le bouton marche, c'est que la bobine est bonne il me semble. Ça viendrait plus de l'auto maintien qui serait mal câblé?
Tu nous diras.
Comment contrôler et remplacer une bobine? (dsl pour la musique)
Bon câblage.
alex3979 L'observation est une bonne solution. Je me demande si c'est le contacteur qui claque ou le relais (juste en dessous).
L'ancien propriétaire a pu remplacer ledit contacteur par la gamme origine. Mais si effectivement tout fonctionne et que le câblage est bon, c'est qu'il y a une autre panne cachée.
Dans ce cas je t'invite à regarder le fameux composant en dessous du contacteur, c'est un relais du contacteur. Une bobine est aussi présente à l'intérieur pour plaquer les contacts (contrôle-la).
C'est la marque KEDU JD3 en 6 broches et ce n'est pas évident de trouver le même.
Si tu dois l'ouvrir, tu trouveras à l'intérieur la bobine qui actionne un bras en plastique. Ce bras permet l'ouverture ou la fermeture des contacts. Un petit ressort permet le retour des contacts en position normale, il est parfois défectueux et peut être remplacé avec un autre de même dimension.
Je pense que tu es proche d'élucider le mystère.
Bonne suite.
alex3979 si lui fonctionne bien, il faut revérifier tout son câblage et là je vais devoir ré ouvrir le boîtier pour te confirmer ça. Avec un peu de chance, il y a eu une inversion à ce niveau-là.
Sinon la bobine du contacteur est à retester sous tension (avec un voltmètre) et peut être à remplacer.
As-tu bien contrôlé les 2 petits fusibles?
Au fait, j'aurais besoin d'un renseignement pour la mienne. Peut-tu contrôler que ta table de sortie (la ou tu appuies en sortie pour bien plaque tes pièces) ne présente pas un très léger creux?
J'ai ça sur la mienne, c'est très léger (de l'ordre du 10e), mais suffisant pour dire que ma table de sortie n'est pas complètement plane. J'ai quand même de bons résultats.
Merci d'avance!
alex3979 OK, je regarde le câblage dès que possible et te fais un retour. Merci pour le contrôle, c'est bien de fabrication. J'ai moi aussi acheté cette machine d'occasion.
alex3979
Alléluia! Merci Christophe. À plusieurs cerveaux on fait des merveilles.
Tu nous diras si tu as pu trouver la solution de remplacement du capteur. Je suis aussi curieux de connaitre son utilité.
alex3979 Ok je comprends mieux la panne,
avant d'ouvrir le moteur, regarde d’abord la boîte à borne. Si tu as des photos, je suis preneur.
Sur la machine il y a des condensateurs permanents (généralement blanc et plus gros) et peut être un condensateur de démarrage (généralement plus petit et noir avec une capacité en microfarads plus importante).
En gros, un moteur monophasé à besoin de la ressource du condensateur de démarrage pour démarrer et atteindre sa pleine puissance (il veut du couple). Quant tu appuies sur le bouton marche de la dégau/rabot, c'est uniquement le circuit du condensateur de démarrage ("enroulement auxiliaire") qui est fermé pour alimenter le moteur,(c'est pour ça que l'on garde le bouton marche appuyé pour "lancer le moteur").
Après qu'il se soit complètement déchargé (quelques secondes) pour que le moteur atteigne sa pleine vitesse, le circuit s'ouvre et c'est le circuit ("l'enroulement primaire") qui prend le relais pour alimenter le moteur.
(Un condensateur de démarrage ne doit surtout pas fonctionner en continu, sinon il explose)
C'est donc soit le contact ou un relais de tension (le fameux C1) qui ouvre ou ferme le circuit de démarrage qui est à remplacer, ou bien le condensateur de démarrage qui est à contrôler.
PENSE À BIEN DÉCHARGER LES CONDENSATEURS AVANT MANIPULATION!
Généralités sur le moteur monophasé Regarde la 2éme partie pour les puissances > à 500W
alex3979 Oui le boîtier électrique du moteur.
J'essaye de comprendre le fonctionnement de la machine en me replongeant dans d'anciennes connaissances. C1 est en cause, mais j'essaye d'écarter les pannes possibles. J'ai le cerveau qui fume!
Il n'y a pas de condensateur de démarrage ni d'autres boîtiers en périphérie du moteur? À l'intérieur peut-être?
Sinon L'autopsie du moteur semble inévitable.
alex3979 S'il n'y a pas de condensateur de démarrage (de couleur noir) et que JD3 fonctionne bien et est correctement câblé (j'ai vraiment un doute sur ce composant). Je vois plus bien ce que représente C1. Çà me parait pas normal de devoir ouvrir le moteur. À suivre.
alex3979 J'ai pensé aussi à une protection thermique qui aurait sauté après un effort trop important du moteur(car on peut aussi la baypasser) mais alors pourquoi le moteur tourne-t-il quand on appuie sur le contacteur...?
Si, ça marcherai quand même...
je crois que j'ai joué toutes mes cartes. Tu me diras si tu trouves la solutions.
Bon courage pour la suite!
alex3979 Avec plaisir, je pense que l'on est sur la bonne piste.
Ci je reprends sur le site les schémas de branchements des moteurs monophasés par nombre de fils
et que je regarde ta photo du boîtier moteur, je crois observer que c'est un moteur à 5 fils (noir,blanc,jaune,rouge et vert).
La couleur des fils n'est parfois pas identique aux schémas, les constructeurs appliquent parfois leurs propres codes couleurs. L'image représente aussi des bornes, toit tu n'as que des dominos, ça ne change pas le fonctionnement de base.
Si je me trompe sur le nombre de fils, ton moteur est forcement dans la liste.
Il n'a qu'un sens de rotation et n'a visiblement pas de condensateur de démarrage, quasi tous présentent une protection thermique.
C'est certainement peut être celui de l'image (ci-dessous)
<<Le schéma est celui du 3 fils à condensateur permanent, il est ajouté 2 fils pour la protection thermique (à ne pas confondre avec sonde thermique, voir le paragraphe 7 Protection des
moteurs)>>
Je pense que c'est bien la protection thermique qui a lâché.
De ce fait, tu peux facilement déjouer cette sécurité pour faire tourner normalement la machine.
Si tu peux installer une protection thermique à l’extérieur du moteur par la suite, c'est mieux.
À toi de voir si tu souhaites démonter le moteur ou non (je n'ai aucune idée de la manière dont ça a pu être mis en place) en ce sens si tu peux faire des clichés ça m'intéresse.
Ce qui est sûr, c'est que je n'aime pas spécialement savoir que ce type de montage est présent sur ma machine, question réparation c'est moyen.
Merci d'avoir posté cette question, j'ai encore beaucoup appris sur le fonctionnement de ma machine!
Si tu arrives à trouver le schéma électrique, je suis preneur!
En attendant les retours sur l'autre forum pour voir si les avis convergent en ce sens.
Bonne suite, et j'espère très prochainement de beaux copeaux!
Essaye de contacter l'auteur du site (la bobine). Il est bien plus compétent pour répondre à cette interrogation.
Le vendeur ne peut t'il pas faire un geste pour les frais de remise en marche et de protection moteur ?
alex3979 Merci pour le plan,
j'imagine que tu as bien contrôlé ladite résistance aux bornes (dominos)du boîtier moteur pour voir qu’elle n'était plus passante et en l’isolant bien des autres composant? (de manière à être vraiment sûr, je suis du genre à vérifier 2fois).
En tous cas, tu peux maintenant vérifier au besoin l'intégralité du câblage de commande avant de prendre une décision... Mais j'ai bien peur qu'une utilisation trop intensive, ou des passes de rabotage trop importantes aient eu raison de la protection. (heureusement quelle à fait son job, car tu peux utiliser la machine)
Si la protection n'est pas remplaçable, ou trop onéreuse si tu dois faire appel à un réparateur. Il doit certainement exister une possibilité d'installation d'une protection extérieure (de type relais thermique peut-être?). A voir.
Si tu n’utilises pas la machine en continu pendants des heures, que tu n'es pas trop gourmand sur les passes de rabotage (en bois tendre comme en dur) tu n'auras pas le même problème et le moteur ferra son job correctement. Au pire, tu achètes dans plusieurs années un nouveau moteur entre 200 et 300 balles. Au final, si elle est encore en bon état général et que tu l'as payé à un prix raisonnable (voir même sous côté à cause de son problème).
Tu as fait une affaire.
Ça devrait fonctionner avec la thermistance.
Tu peux aussi utiliser une sonde de température avec contrôleur digital, vue que l'on sait maintenant qu'elle coupe à 150.
Bonne remise en marche !
Tu me diras si elle tourne.
SebD Après moult péripéties, l'énigme a été résolue. Le colonel moutarde, aux bornes des dominos du moteur, avait mal dénudé les fils . Ça nous a fait bien suer pour trouver la panne.
SebD C'est top les embouts.
Ça promet une jolie charpente! Bravo pour ta scie également.
Juste quelques points sécurité pour le levage. (au cas où des personnes intéressées seraient tentées de faire la même chose)
La chèvre est trop penchée. L'angle idéal pour réduire l'ensemble des efforts sur la chèvre et le haubanage se situe vers 87°(voir quasi 90°, le poids de la charge donnant quasiment l'angle).
Plus tu pencheras la chèvre, plus les forces exercées sur celle-ci et le cordage seront grandes. Attention à la casse.
Normalement on vérifie l'ensemble des efforts sur dessin papier avec le polygone des forces (vecteur). Au vu de la charge que tu soulèves, tu ne prends pas trop de risques.On met généralement des piquets en pieds de chèvre pour éviter tout ripage.
La chèvre peut à tout moment basculer à droite ou à gauche, on rajoute systématiquement 2 haubanages latéraux pour stabiliser l'ensemble. Crois-moi, j'ai déjà vu une chèvre de 7m vaciller sur un sol meuble et se retrouver sur un pied. À éviter.
La longueur des haubans et l'angle avec lequel on les met en place sont directement liés à la hauteur de la chèvre.En tête de chèvre, l'ancrage en bois n'est pas utile, voire dangereux. Les fibres peuvent casser sous l'effort ou la corde peut s'abimer au contact des arrêtes vives du perçage.
Le neud du charpentier est plus simple et adapté. On peut l'utiliser dans beaucoup de situations de manutention de charges lourdes.La charge est à haubaner au besoin pour lui donner plus de stabilité.
Je faisais aussi certaines erreurs au début, après ma formation de levage à la chèvre avec un maitre charpentier spécialisé dans le domaine, j'ai beaucoup appris.
Prends bien du plaisir à lever ta charpente! (en sécurité ) je trouve également le levage à la corde passionnant quant on sait l'utiliser et le maitre en pratique dans des situations variées et complexes. En espérant voir prochainement ta charpente levée.
Bonne continuation pour la suite!
Une pépite en Aveyron !
Tu es allé voir sa construction ?
Je retrouve dans les vidéos certaines personnes avec qui j'ai fait juste avant une formation de levage à la chêvre. D'ailleurs il me semble que Mme Ménatory, allias La Charpentière, a réalisée le levage. L'événement connu principalement par un réseau d'initiés et de passionnés, mérite vraiment d'être connu.
Il reste ouvert au public.
Je capte pas bien aussi le schéma. Contrôler la bobine est une bonne solution. Ci-joint la méthode de contrôle tiré d'ancien cours, l'utilisation d'un ohmmètre peut induire en erreur.
L'Ecorce du Sycomore tout à fait, c'est même plus rapide. J'ai pris l'habitude de contrôler la tension. Au lieu de dire ohmmètre, J'aurais du dire qu'il fallait faire attention avec le test de continuité (BIP, BIP).
L'Ecorce du Sycomore quelle dimension fait ta règle? Tu l'as trouvé à bon prix?
Oak j'ai moi aussi un très léger creux (mais sur l'avant de la table de sortie) , ça n’empêche pas de faire du bon boulot.
Tu nous diras combien de jeux tu trouves entre deux pièces de 2m dégauchis plaquées contre.
Quelle est la longueur des tables de ta machine? En tous cas ça va être confort.
Merci VINCENT HERVIER ,
C'est sur que c'est le plus proche pour nous, j'ai mis le Oléo 635 dans ma liste.
Peut être la tu déjà utilisés? Tu as des retours sur les produits de la marque que tu as pu appliquer en projet?
Ce qui me questionne le plus, c'est la présence d'huile de lin dans les compositions et son comportement à long terme sur des faces horizontales exposées aux intempéries.
Merci d'avance!
Merci pour ton retour Vimdub,
Tu confirmes mes craintes concernant la formulation Rubio appliquée sur les faces horizontales. J'évite d'utiliser l'huile de lin en extérieur pour les mêmes raisons que tu évoques, j'ai pu constater plusieurs fois le phénomène. L'huile de Tung pigmentée peut être une alternative moins onéreuse, à voir.
Te souviens-tu dans quelles conditions tu as appliqué ton saturateur? (temps, humidité des bois)
Merci pour les précisions!
Pas de formule miracle, simplement des essais concluants et d'autres moins. Peut-être aurons-nous un retour d'expérience plus avisé sur la question.
Souvent je me dis qu'en extérieur c'est plus simple de réaliser une bonne mise en œuvre, en acceptant le caractère vivant et naturel du bois. Les nettoyer simplement 1 à 2 fois par an, les couvrir ou les rentrer au besoin, que de passer son temps à trouver la bonne composition de protection à plus ou moins longue échéance, payer pour son entretien, en n'étant pas sur du rendu et de la tenue à long terme. Si un jour cela devait trop s’abimer, il suffit d'intervenir en rénovant soit même ou en faisant vivre l'artisanat. Rien n'est éternel.
Je ne suis pas pour autant opposé aux protections des bois extérieurs (du moment qu’elles sont le plus naturelles possible).
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