Marco2b pour l'avoir déjà fait ça marche plutôt bien
Je crois que l'on est pas mal à avoir utilisé du 3-pli.
Dans mon métier c'est la même pour beaucoup de matériaux.
Il y a encore du chemin à faire... Les révisions se font tous les 5 ans.
Cette année j'ai traversé la Nouvelle-aquitaine, c'était pas jolie à voir par moment.
Tu peux faire un tour sur leurs documentations on y retrouve le standard pour la France métropolitaine 2017-2022.
On retrouve aussi facilement des articles qui évoquent encore en 2022 et 2023 une gestion pas suffisamment exigeante, il y a également des évolutions. Ça reste difficile de satisfaire tous les acteurs et organisations.
[J'ai longtemps hésité avec une frontier , mais y'a pas photo . La construction est vraiment faite pour le scieur.]
Moi je l'achète juste pour la couleur verte et la comm'qui va avec.
Plus sérieusement, en quoi sont elles différentes? Ça reste deux machines d'un bon rapport qualité prix pour usage occasionnel.
Oak salut, et non je fais scier. J'ai peut être une situation qui va se débloquer en ce sens.
Trois bons moulins made in Québec:
Il y a aussi Norwood et plein d'autres.
La Woodland Mills Vien de l'autre côté de l'Atlantique, mais ses pièces seraient produites en Chine. Pour la Frontière je ne sais pas. Ça
reste probable.
Oak je pense à toi si jamais.
Poste des photos pour être sûr que l'on puisse comprendre.
Si tu parles du repère rouge par rapport à la lame, c'est normal. C'est pareil sur la mienne.
Pour couper précisément je n'utilise jamais le repère rouge, je me penche toujours sur la lame pour observer mon trait de coupe (lunette et casque antibruit obligatoire). La plupart des pros n'utilisent pas les guides visuels de leurs tables pour couper précisément à la volée.
((comme un pro, je regarde toujours si l’attaque de la lame est bonne avant de couper))
Et bien je crois que c'est la seule méthode pour être précis à la volée et continuer ensuite pendant la coupe...
Sur cette machine, le trait de coupe ce fait à droite des repères rouges. En restant parallèle au trait cela aide à couper droit, personnellement j'ai d'autres habitudes et ne trouve pas ce repère très utile. Chez d'autres marques, c'est différent.
L'utilisation d'un rail ne mettra pas en évidence de problème. La lame coupera simplement au raz du pare-éclats préalablement aligné sur ton trait de coupe. Le pare-éclats est ajusté précisément à l'épaisseur de ta lame, si tu en empruntes un à un collègue, il faut qu'il utilise lui aussi la même épaisseur de lame, sinon tu vas forcément trouver un décalage après la coupe.
C'est une machine polyvalente, pas la meilleure à la volée, mais elle fait gagner sacrément en temps et en qualité de coupe.
FlowHer
Bonjour,
Avec une chaîne bien affutée, elle fonctionnera avec toutes les garnitures. Je n'ai pas rencontré de problème pour le moment.
Par contre, si tu tailles principalement du feuillu de manière intensive et/ou sec (de réemploi par exemple), je me dirigerai plutôt vers une marque rouge et gris que l'on connait bien. Pour le budget, il faudra aussi faire x2 (et plus suivant la config'...) pour aller chercher la puissance et l'ergonomie.
Oui il existe des garnitures en 30mm. J'ai fait ce choix à l'achat, mais tu peux acheter une autre monte ou la monter par la suite.
Une garniture en 16.5mm te donnera aussi plus de polyvalence au mortaisage, moins de vibrations, le moteur fournira aussi plus de puissance (1140W de puissance, avec 5A) et ce sera moins cher à l'achat. Il te faudra faire aussi le double de manip' pour réaliser la mortaise.
Pour amener un peu plus de détails,
les plastiques et le guide de profondeur ne sont pas de la meilleure qualité, pareil pour la finition de certaines pièces métalliques moulées.
Si l'on prend un peu de recul avec l'esthétique , l'essentiel y est. Ça reste lourd (17kg sur chantier quand même il me semble), robuste, polyvalent et précis.
D'autres points:
Le bridage de la mortaiseuse sur la pièce lui permet aussi d’être utilisé sur un gabarit posé sur une pièce ronde (ferme de charpente sur plan fictif par exemple) ou bien sur des cales a devers pour les autres sections, libre cours à l'imagination.
Les 3 inclinaisons de la chaîne sont réglables, la tige filetée permet un centrage rapide de la chaîne sur l'axe de la mortaise par l'intermédiaire des 2 glissières. Vraiment pratique une fois la mortaiseuse bridée sur la pièce.
Le profil des gouges de chaîne est différent des autres modèles, à voir sur le long terme.
La force de serrage des mâchoires est adaptable.
Le levier vertical permet un déplacement rapide et calibré de la chaîne dans le sens des glissières. Son déplacement est réglable suivant la chaine et/ou la largeur de mortaisage que l'on souhaite réaliser.
Si vous êtes habitué aux mortaiseuses plus "classiques", il faudra adopter une nouvelle gestuelle et accepter de passer plus de temps pour réaliser une mortaise.
FlowHer Tu es passé par Bérat pour faire la formation Ergolevage? (j'ai vécu 6 ans à Toulouse)
IlFlowHer
En 2022 oui, formation au top! En observant le levage d'une panne à la chèvre sur un de vos chantiers, j'ai reconnu l'apprentissage de Philippe, le maitre charpentier qui organise la formation.
J'ai aussi un petit bagage en grimpe dans les arbres et en escalade que je consolide actuellement en club. Le petit mémento du cordiste fait partie de ma bibliothèque.
En regardant ton parcourt je me suis revu aller frapper à la porte de Coop'Action pour mettre le pied à l'étrier.
Bonne continuation à toi.
dneis je découvre qu'elle a écrit ce livre (j'ai suivi son MOOC sur l'anatomie).
Quel est ton recenti à la lecture ? Il aborde d'autres aspects que ceux présentés par France Université Numérique?
Je pense que le vivant est un peu plus complexe qu'une simple logique mathématique.
On peine encore à comprendre avec certitude le fonctionnement des arbres et je crois qu'il n'y aura jamais de point final.
Quelques bases ici pour apprendre.
anatomie du bois
Thorin oui c'est possible sur les vieux chênes malades. Jamais vu sur des sujets en bonne santé sur pied. La ponte se fait souvent après l'abatage et le sciage des bois frais. Dans ma région le chêne et le châtaignier prédominent, j'observe régulièrement ce capricorne vivre de ces feuillus.
Salut Mike0411
En fait, il y a beaucoup de choix possibles suivant la durabilité des bois, leurs mises en œuvre et ce que tu trouveras chez tes fournisseurs. Donc pas tellement de réponses types.
La pente (de tout type) n'est pas obligatoire, mais conseillée. Suivant les choix que tu feras, tu seras dans une conception dite courante (piégeante) ou élaborée (le top pour la longévité) .
Pour moi le drainage de l'eau sur les lames comme sur la structure porteuse est important, donc je mets en œuvre une légère pente. Ces solutions me permet, dans ma région, d'utiliser des bois naturellement résistant en classe 3.2 ou 3.1. Je m'explique.
L'idée reçue comme quoi tous les platelages de terrasse doivent être en classe d'emploi 4 est fausse.
C'est un peu plus complexe que ça en réalité.
En page 20 du DTU, tableau 3 - Affectation de la classe d'emploi, on nous indique:
- des conditions climatiques : Très humide (DROM), humide, modéré et sec.
À ce sujet une carte de France mentionne les zones concernées en rapport avec les conditions climatiques suivantes: - Sec (nombre de jours de pluie par an < 100 jours)
- Modéré (nombre de jours de pluie par an compris entre 100 et 150 jours)
- Humide (nombre de jours de pluie par an supérieur ou égal à 150 jours)
- La conception du platelage : courante ou élaborée?
Pour citer un document de conception:
La classe d’emploi est dépendante du niveau d’exposition aux intempéries (climat), de la massivité des bois
(épaisseur) et du niveau de conception. Ce dernier permettra un drainage de l’eau et un assèchement de la pièce de
bois plus ou moins efficaces. C’est le maintien de l’humidité au sein du bois qui permet le développement fongique et
la dégradation qui en résulte. Toute reprise d’humidité doit être évacuée par un assèchement naturel optimisé dès que
l’apport d’eau liquide cesse
Je prends un exemple du tableau 3 p20:
Mon chantier se trouve dans le sud (cote méditerranéenne) = climat sec:
- conception courante : bois de classe 3.2
- conception élaborée : bois de classe 3.1
Mon chantier se trouve en Bretagne ou dans les Hautes-Pyrénées = climat humide:
- conception courante : bois de classe 4
- conception élaborée : bois de classe 3.2
Bien entendu, il est toujours possible d'employer des bois plus résistants pour chaque situation. Il en va aussi des pratiques et éthiques de chacun(une). Personnellement je ne souhaite pas travailler avec des bois traités ou exotiques pour beaucoup de raison qui m'appartiennent.
Pour revenir à la problématique de base, qui reste l’alternance, humidification/séchage/UV fréquente de la face supérieure de la lame par rapport a sa sous-face qui elle est quasi sèche et non exposée.
Au sens du DTU, pour limiter la fissuration et le tuilage des lames en p16 point b) il faut regarder les 3 points qui suivent pour être compatible avec une conception élaborée présent en p16 et 17:
1) Présence de rainures de libération de contraintes en sous-face?
2) Quel est le profil (de sa largeur) de la face supérieure de la lame?
Horizontal (droit) ou bombé naturellement (cœur au soleil), voire même usiné avec une pente mini de 4%. Ou encore, grâce à une pente générée par le support de lame.
3) Dois-je minorer l'élancement de ma lame suivant mon choix de lame et ma conception du support?
Le tableau 1, p17 propose pour cela 4 solutions de lames compatibles pour conception élaborée, toujours.
Suivant le choix des lames, c'est ce tableau qui permettra de minorer l'élancement et donc de trouver la section la plus appropriée a la situation (ce n’est d’ailleurs pas toujours évident de les trouver chez son fournisseur habituel...)
Je résume:
1) Mon fournisseur me propose des lames en Douglas non traité de section 27 x 145mm a profil droit (donc horizontal, en réalité on met toujours le cœur au soleil à la pose, donc léger bombé naturel sur du long terme). Je n'ai pas de RLDC en sous-face et mes lames ont leurs faces supérieures lisses.
2) Dans ma conception, je réaliserai une pente avec mon support de lame (mes lambourdes), donc au sens du tableau 1 je passe d'office comme un profil de la face supérieure avec pente de 4% mini.
3) Je regarde les 4 solutions proposées dans ce tableau. J'observe que la solution 2 m'indique:
- Profil de face supérieure : avec pente de 4%
- Usinages particuliers : Pas de RLDC
- Élancement de la lame : Élancement - 1
Ça correspond bien à mon choix de conception.
4) Je consulte la NF B54-040 tableau 3.1 en p11
Douglas non traité, élancement maxi de 6 et une épaisseur mini de 21mm.
Je peu calculer ensuite l'élancement de la section pour valider ce choix ou me diriger vers autre chose pour rester dans une conception élaborée.
Ou, je trouve un entre deux ou me dirige vers une conception courante.
Je l'utilise pour la protection des assemblages et certaines pièces exposées quand le budget le permet. entreprise Masid C'est un produit sans danger pour l’environnement qui a passé les tests pour les champignons, les xylophages comme le capricorne, vriettes, etc... pour les termites, il limite également la propagation des flammes. Tous les test et avis techniques sont téléchargeables. Il est plus connu en Allemagne (ou ils sont en avance dans certains domaines) et il est aussi beaucoup utilisé dans la préservation du patrimoine. Prends bien la version concentrée pour pouvoir ensuite la diluer (à l'eau) comme tu le souhaites, un bidon de 5L permet déjà de réaliser un volume utilisable très convenable. Forcément ce n’est pas donné, mais à un moment il faut faire un choix, les alternatives écologiques sont rares...
Ce n’est pas forcément une couventine, mais l'usage est le même pour moi. Oui, Etienne ou executionbois parlent de la même chose, mais pas forcement avec la même mise en œuvre pour l’étanchéité (je parle de la jonction entre le poteau et le lien). J'ai déjà pratiqué l'entaille dans le poteau (entre 1 et 2cm) pour briser la goutte. Mais c'est plus facile de le prévoir au moment de la taille.
Tu as un bon exemple dans le voyage de Raspitef ici là c'est du cuivre.
Pour la compatibilité des essences de bois avec les métaux, tu les retrouves au tableau 12 p39 du DTU 31.2 par exemple.
Le sapin, pin, peuplier sont compatibles avec : zinc, cuivre, alu, plomb, acier inox, acier galva, acier et acier peint.
Le Chêne, Châtaigner, Douglas sont compatibles avec le cuivre, inox selon qualité, acier et acier peint seulement.
Si tu veux utiliser du zinc, il va falloir ruser en intercalant une bande entre le bois et le métal pour éviter le contact direct.