Ça me rappelle la campagne qu'avait fait à une époque Citroën : c'était un truc genre "un arbre planté par tranche de 10€ sur la facture de l'entretien" (je laisse le soin aux tatillon(ne)s de me redonner le détail précis de l'opération)
Or, l'arbre (enfin l'arbrisseau) en question n'était autre... que du bon vieux pin (rien de mieux que du résineux pour faire des forêts à essence de bois unique vu que ça acidifie les sols (et pour cause: c'est littéralement un assassin vu que c'est sa stratégie pour éliminer la concurrence au sol))
Après, il me semble constater que tout le monde à l'air de prier "Saint (peuplier) Paulownia arbre miracle nôtre sauveur" parce qu'il ferait une futaie bien droite d'environ 60cm de diamètre et ça... en à peine 10 à 15 ans (sauf que tout ce même monde a manifestement oublié qu'à la base... c'était une mauvaise herbe invasive.
Autre bois qu'il me semble voir de plus en plus omniprésent: le bambou géant (et un peu pour les mêmes qualités d'ailleurs : croissance droite et rapide, léger, pouvant pousser n'importe où... y compris au point de fracturer les fondations en béton des bâtiments en raison de risomes invasifs et incontrôlables lorsque ce n'est pas correctement planté et entretenu...)
Bref, avant d'avoir une essence (suffisamment) parfaite et des gens qui sachent distinguer un platane d'un érable au-delà des feuilles, le chemin va être encore bien long...
Je marque un petit point de désaccord (sans cliquer sur le bouton pour autant) car, certes, il arrive qu'il y ait du gravier d'incarceré, cependant, suivant l'entreprise où c'est récupéré, il y a souvent (en Côte d'Or dans mon cas) des cours goudronnées et pour l'humidité, il est vrai qu'il pleut souvent en ce moment, toutefois, il arrive qu'en passant, un jour de livraison par exemple, on puisse tout récupérer sec...
Concernant les clous, idem, cela dépend de ce qui est collecté, ceci dit, il y a un raisonnement simple à utiliser pour trouver son bonheur :
Le conditionnement suivra le produit (à transporter)
C'est-à-dire que si vous cherchez, par exemple, des grands chevrons, il vous suffit de vous demander "quel produit grand et lourd peut nécessiter une telle palettisation ?" et la réponse sera, dans ce cas précis, des feuilles de plastique et des tôles métalliques.
Croyez-moi, on peut trouver de bons morceaux très peu cloués...
Merci Erebor pour cette citation
Bonjour Jean-Claude,
C'est possible, j'ai tendance à écrire... "à l'oreille" ceci dit, ce que j'apprécie, c'est qu'il n'y a (à ma connaissance) aucune écriture phonétique, pas d'erreur d'accord ou de conjugaison (encore moins de marques du pluriel qui passent à la trappe ou de verbes à l'infinitif à profusion...)
C'est pourquoi j'estime important de remercier et même féliciter les personnes qui font l'effort de soigner leur écriture...
Après, notez bien que je n'ai jamais dit (ni ne le prétendrai à l'avenir) que je ne fais jamais de coquilles, je reste un homme avec ses qualités... et ses défauts (comme tout le monde)
S'il vous plaît, je préfère, au choix, qu'on me désigne par "Mr./Monsieur CLARISSE" ou simplement "Clément", car, pour la petite anecdote, je me suis déjà retrouvé avec une auberge de jeunesse qui m'avait réservé un lit dans une chambre... de femmes (pensant que j'en étais une puisque mon nom de famille est également un prénom féminin)
Le bon côté du truc (quelque part), c'est qu'on peut modifier nos commentaires ici.
J'ignore où vous avez suivi vos études en la matière, cependant, à mon lycée professionnel, on m'a toujours dit "mesurer la résistance hors tension sous peine de griller le multimètre" (ce qui est logique dans la mesure où c'est lui qui émet une tension afin de déterminer la valeur de la résistance (donnée par l'équation R(Ω(Ohm))=U(V)÷I(A)))
Un étayage métallique réglable, certes, cependant, attention à ne pas le régler trop haut (sous peine de rupture par poinçonnage (et ce, que ce soit par rapport au plafond qui est porté et/ou par rapport au sol qui est porteur...))
Suivant la configuration des lieux, je serai d'avis d'ajouter des éléments pour repartir la contrainte comme des IPN (pour " "I" Poutrelles Normalisées") d'un mètre de long boulonnées aux étais...
Hugo156 Bonjour Hugo,
C'est tout à fait logique puisqu'il y a un rapport de puissance constant, celui-ci étant défini par la vitesse multipliée par le couple (et comme c'est une équation, ce qui "baisse" d'un côté "monte" de l'autre...)
Bonjour HENRYCh,
Je vous invite à TRÈS bien vous renseigner sur votre machine car, il faut en être conscient, presque systématiquement, la mécanique de votre outil est dimensionnée en fonction de la puissance du moteur.
Par conséquent, si vous installez un "bestiau plus costaud", vous risquez de tout casser si ce qui vient après ne peux pas encaisser autant de puissance.
Alors prenez un maximum d'informations au préalable, ça vous évitera une coûteuse mauvaise surprise...
Bonjour MonsieurBella,
Pour avoir passé quelques années en milieux associatifs dijonnais, je retrouve les mêmes défauts que ceux cités de votre côté et j'en ai constaté d'autres tout autant agaçants:
-quand l'espace est partagé, il y a trois gros inconvénients qui s'ajoutent à la liste :
1/dès qu'un "grand projet" se lance, il faut qu'il soit possible de le ranger sur le côté pour libérer la place.
2/il est rare (voire inexistant) que les autres usagers de l'atelier proposent spontanément leur aide.
3/même rangé sur les côtés, sans sanctions connues par les membres, il est également rare qu'ils respectent le travail des autres, qu'ils ne fassent que passer ou bossent eux-mêmes sur leur(s) projet(s)
En résumé : les gens ne respectent qu'à compter du moment où soit ils connaissent la valeur des biens, soit ils savent quelles conséquences peuvent avoir leurs actes...
Donc être vigilant par rapport ces éléments aussi, aller jusqu'à facturer aux autres ce qu'ils sont censés faire et que vous faites à leur place alors que ça ne fait pas partie de vos tâches dédiées (nettoyage, rangement, réception de commande...) croyez-moi, ils vont vite soit se rappeler de le faire, soit aller gratter des services à l'oeil ailleurs...
Bonjour JMulliez,
Comme dirait l'adage,
L'idéal serait de "diviser pour mieux régner"
Vous évoquez des équipements de protection, des outils de travail et d'autres de mesure (donc, à priori, au moins trois bagages différents)
Vous pouvez vous organiser de cette façon :
-Les EPI dans un sac à dos,
-Vos outils de mesure dans une première caisse dédiée dans une main (sachant que ce sont généralement des outils fragiles et facilement "faussables", il vaut mieux les mettre à part)
-Vos outils de travail dans une seconde caisse dédiée dans l'autre main, voire, en bandoulière (pour toutes les deux si vous le souhaitez, vous gardez ainsi votre matériel à disposition et vos mains libres)
Et SURTOUT, veillez à ce que tout le monde, vous le premier, repecte les attributions des caisses, sous peine de rapidement tourner à l'anarchie et ne plus savoir où est quel outil...
Bonjour Le Bois d'Iv,
À moins que vous prévoyez d'occuper TOUTE la surface de votre tablier (ce qui représenterait 5 250 kg) vous avez, à priori, LARGEMENT surdimensionné votre ouvrage...
J'ai trouvé ce visuel, extrait d'un catalogue centenaire, indiquant 900 tours/minutes, sans aucun autre détail et, sans voir l'équipement en votre possession, je ne peux vous assurer l'exactitude du renseignement dont vous avez besoin...
Bonjour,
Essayez en passant un élément comme un fil de tension de grillage, ça devrait attenuer le sifflement...
Soyez libre de nous solliciter à nouveau si vous avez besoin d'aide....
Bon week-end.
Il n'est pas complètement rustre, il a dit "merci" à la fin de sa question...
Bonjour Samuel,
Je serai d'avis de penser que ça puisse provenir des roulements ayant comme référence N8008, ceux qui sont associés à l'arbre de la lame de scie car ce sont les plus exposés à la sciure (et dieu sait comme ça absorbe fortement la graisse (même si ce sont, normalement, des roulements étanches car censés être graissés à vie))