
ThomasBS
Ah, la chimie...
Le début de nos ennuis...
Bon, voilà un lien vers l'outil mentionné.
Bon dimanche.
Jean
zimmersa.com/e...oir-zimmer.html

IIOIIII
Je découvre le fonctionnement en arborescence du forum et trouve cette branche ( bois vert ?) d'infos après mon précédent message...
Ce que je pratique en matière d'appui bois, c'est d'associer une pente et un rejingot (j'utilise un terme de maçonnerie et peut-être local, merci de corriger/préciser)
Cette pièce d'appui peut être saillante, et dans ce cas avec une rainure formant goutte d'eau, ou bien à fleur du parement enduit ; dans ce deuxième cas, je vais faire une feuillure en pente ( il y a sûrement un terme plus exact...) à la place de la goutte d'eau. Double fonction, empêcher l'eau de remonter et maintenir l'enduit.
Je mets le coeur au soleil, et si exposé ouest, une bonne couche de goudron de pin fait merveille.
Pas n'importe quel bois bien entendu, idealement chêne (ou châtaignier si l'on en trouve de belle qualité), mélèze en montagne, si l'on veut respecter le caractère historique, sinon douglas ( ou robinier mais attention ça se tortille au séchage)
Il y a peut-être une ambiguïté dans mon précédent message au sujet de la filasse : mofran en a parlé alors je n'ai pas commenté, mais c'est évidement une bonne pratique... Je la poserais imprégnée d'une barbotine d'argile (ou de chaux, suivant la nature de l'enduit) pour une meilleure accroche.
Good better best,
Never let it rest
Till your good is better and your better best
Ça marche aussi (parfois !) en communication ;-)

Si si, c'est plus clair ainsi, je vois bien une languette ( ça peut s'appeller autrement) au sommet de la joue gauche sur toute la longueur. Approximativement 14 à 18 mm de largeur par 6 à 8 mm d'épaisseur. (Difficile d'être précis sur une photo)
Je m'interroge sur sa fonction, est-ce un renfort, un guidage pour une fonction spécifique ou que sais-je encore...
Encore jamais vu jusqu'à maintenant.
Pour comparer, voici un guillaume suisse en charme (si si, et il ne dégomme pas que les pommes ) et l'original de chez Roubo.
Affaire à suivre...
Jean

Bonjour à tous,
voici quelques photos de la boîte à recaler dont je dispose. Je l’ai trouvée sur un vide grenier , en l’état , et ne l’ai jamais utilisée.
Si un croquis coté vous intéresse, n’hésitez pas à me demander.
Au sujet du bois, je n’hésiterais pas à usiner les pièces dans un lamellé collé .
Concernant le séchage, j’ai eu de bons résultats avec ces deux procédés :
Stockage des prédébits au dessus du poêle de l’atelier, avec un déflecteur. Température dans la pile +/-35°. Avec l’alternance jour (chauffage) et nuit, et en mesurant les variations de poids de quelques pièces test, j’ai obtenu une stabilisation en 5 mois. Le bois, de l’érable des Balkans débité frais début décembre ( la grume était encore sur la pile en novembre), ne perdait plus de poids en avril de l’année suivante, pour des épaisseurs de 20 à 40 mm. Attention, pour éviter des fentes en bout, toutes les pièces étaient protégées par de la paraffine.
L’autre méthode consiste à utiliser un déshumidificateur dans un volume fermé étanche . Là aussi, un cycle jour/nuit permet un rééquilibrage du taux d’humidité évitant ainsi un forçage pas toujours accepté par le bois
Bonsoir,
du vinaigre d'alcool appliqué au pulvérisateur est une bonne pratique une fois le bois ressuyé.
Sinon, retirer l'écorce et le cambium, tous les insectes lignivores profitent de cette zone hyper nutritive pour pondre leurs oeufs, garantissant ainsi le gite et le couvert à leur descendance.
Il existe des outils spécialisés très pratiques, sinon une bêche de jardinier bien affûtée...
Voici.
Jean