un typematrix! ça fait longtemps que je n'en avais pas vu un.
En dehors du prix et du fait que ma femme risque d'hurler si je lui colle un clavier BEPO, j'aurais une question: étant un acharné du pavé numérique (concepteur en BE, on l'utilise de fait beaucoup, beaucoup), ça ne manque pas sur un BEPO? Parce que je crois n'avoir jamais vu un clavier ergo type typematrix qui ne faisait pas une croix sur ce pavé.
je suis aussi dans la modélisation 3D :-)
Le système que tu présentes en photos a été en test au boulot. Je n'ai pas eu l'occasion de le tester mais un collègue qui souffrait d'une tendinite l'a bien apprécié.
en système de pointage (qui n'a rien à voir avec le clavier objet de ce post) que j'ai testé et adopté (et depuis plusieurs collègues) il y a la souris verticale. Ce modèle a eu le plus de succès pour le moment (pour les utilisateurs BE ayant besoin de précision):
en clavier bois, ce sujet peut aussi intéresser: metabricoleur....laviers-en-bois
bonjour,
on va éviter de te faire une réponse sur les goûts et les couleurs et les risques de divorce en fonction...
Si tu ne veux pas poncer au moment de l'entretien (et je te comprend au vu du descriptif de la barrière), tu oublies les produits filmogènes type lasure ou peinture mais ça tu l'as déjà noté (le produit appliqué crée un film en surface du bois qui le protège, quand le produit vieilli le film se craquelle et doit être retiré avant de pouvoir remettre une couche).
Te reste alors 2 solutions: huiles ou saturateur.
En huile, tu trouveras des informations et des produits sur le site d'Oléobois.
En saturateur, il y a eu un comparatif récemment dans "Sytème D": systemed.fr/co...ir-12,5529.html
Avec l'un comme l'autre, un simple nettoyage sans ponçage sera nécessaire avant application d'une nouvelle couche. Si tu as trop attendu et que ton bois a grisé et que tu souhaites lui donner "un coup de jeune" avant l'application d'une nouvelle couche, il existe des dégriseurs que tu appliques avant.
Cette facilité d'entretien/rénovation a une contrepartie: la durée de vie des produits est moindre que celle d'une lasure. Sur un bois soumis aux intempéries (et notamment au délavement par l'eau de pluie), attends-toi à remettre une couche tous les 2 ou 3 ans. Par ailleurs, le prix est supérieur à celui de la lasure.
A noter que le grisement vient, sauf erreur de ma part, de l'action des UV du soleil et que la résistance au UV des saturateurs (et aussi à priori des huiles) vient des pigments qu'ils contiennent. Par conséquent, le saturateur aura toujours un effet "teintant" sur le bois et plus la teinte que tu choisiras sera foncé, meilleur la tenue au grisement sera. Blanchon a développé un produit "type saturateur" (non filmogène) pour lequel ils annoncent une tenue UV et une résistance au grisement avec un aspect quasi-incolore. Son coût prohibitif m'a dissuadé de le tenter et de vérifier la véracité du discours commercial...
Dernier point: la "légende" veut que saturateur et huile aient un effet cumulatif et qu'au fil des années et des applications, la résistance au grisement se renforce et que le temps entre 2 applications s'agrandit. Je n'ai pas assez de recul pour confirmer ou infirmer cette légende.
j'ai retrouvé! Sur CdC et pas sur Metabricoleur mais c'est pas grave: forum.copainde...résine#p274062
bonjour,
je partirais aussi sur un montage french cleat en (essayant de) faisant en sorte que les fixations du tasseau mural soient à la fois en panneau (chevilles molly) et dans les rails (vis placo).
L'avantage que je vois c'est que la charge sera difficilement ponctuel sur une seule cheville, le tasseau permettant une répartition de la charge sur plusieurs points.
il me semble, sans en être certain, que les vrillettes apprécient une atmosphère plutôt humide. J'en veux pour preuve qu'ayant voulu récupérer et "customiser" de vieux meubles stockés chez mes beaux-parents dans une vieille maison inutilisée et donc non chauffé et donc assez humide notamment à la mauvaise saison, et bien certains des meubles ont fini au feu, les vrillettes ayant fait leur bonheur de ces conditions (le ponçage d'un vieux bureau d'écolier semblant à peine piqué a mis au jour tout un réseau de galerie juste sous la surface du bois).
Cela peut expliquer pourquoi certaines vieilles armoires continuent de "se faire bouffer" dans de vieilles maisons peu chauffées et donc à l'humidité plus élevées.
Ayant une maison ossature bois et par ailleurs une belle surface de parquet chêne j'essaie d'être prudent sur ce que je rentre dans la maison.
Ayant récupéré une vieille petite console, moins attaquée que le bureau précédemment cité, je l'ai après décapage généreusement badigeonné de xylophène (3 couches) avant de la laisser 2 semaines dans l'atelier les pieds dans des pots remplis de xylophène le tout sous bâche pour une bonne "macération" du meuble). Elle a ensuite "dégazée" de ses produits chimiques pendant 3 mois dans l'atelier avant de rentrer dans la maison.
Jusqu'à présent, ni odeur dérangeante venant du xylophène, ni reprise d'activité d'un quelconque parasite du bois. Je touche du bois pour que ça dure!
marrant, je travaille à Is sur Tille et j'habite à quelques kilomètres.
Semur en Auxois est par ailleurs une très belle ville, la collégiale est magnifique et s'y trouve le plus petit opéra de France (je ne sais pas s'il se visite)