Bonbonveronbi 

Bonjour
En menuiserie nous ne considérons plus le sens des portes que en poussant, nous avons abandonner le terme tirant néanmoins l'ancien portail est tirant Droit (ouverture sur la droite , gond à droite) si vous garder ce sens d'ouverture vos écharpes sons bien orientées mais vous dites la Réaliser tirant gauche alors il faudra inverser le sens des écharpes.
Pour une réalisations de ce type on colle pas les lames entre elles et on inverse les cœurs.
La traverse supérieur doit laisser le libre mouvement des lames et de toute façons désaffleuras à plus ou moins long terme , néanmoins elle apporte une protection du bois de bout, on peut la remplacer avantageusement par un plat ou t alu ou inox.
il est bon de mettre un coup d'apprêt sur les languettes et rainures avant montage .
On peut envisager un revers d'eau et le garder assez éloigné du sol en partie basse pour éviter les eaux de rejaillissement.
Pour le bois , il faut évidement du bois sec (sec à l'air suffit ) mais la taille des lames (largeur) et leur place dans la bille à une importance prépondérante.

Bonjour
C'est une plaque pour calibrer et strier les tourillons (Filière à tourillons ).
Utilisation en frappant avec un maillet un morceau de bois proche des dimensions du trou sélectionné son passage à travers la filière va le calibrer et créer de petites rainures longitudinales qui servent à évacuer la colle pour quelle ne s'oppose pas à l'enfoncement du tourillon. Essence courante le Hêtre mais il est possible d'user d'autre essence

Bonjour
Alors SEB d'abord je reviens sur ta précision à partir du moment ou l'on parle de temps on parle d'argent et il y a rien de honteux à cela sans ce paramètre ta question se poserai moins à ton esprit.
Ceci dit je pense pas que tu attends une réponse quantifiée à ta question.

Prendre un apprenti(e) est une aventure humaine comme les relations à l'intérieur d'une entreprise.
La réussite de l'aventure passe par l'implication des protagonistes pour cela l'apprenti doit aimer le métier, pas évident car au début il ne sait pas toujours ce qu'il recouvre et parfois il a choisi cette voie par hasard ou défaut.
C'est donc à toi de lui communiquer, cela peut être différent selon âge et on y arrive pas toujours.
Nous touchons donc à des questions presque Philosophique

L'apprenti inévitablement va faire des erreurs va tu les accepter , peux tu envisager que cela peux venir d'une mauvaise explication de ta part et aussi de te remettre en cause et réexpliquer de manière différente par exemple ?

Peux tu déléguer ? l'apprenti pour trouver sa place dans l'entreprise à besoin d'être Valoriser c'est à dire ressentir ce plaisir du bâtisseur propre à nos métiers, tu ne peux pas le cantonner toujours à des tâches répétitives.
Il faudra donc accepter d'accorder ta confiance

L'apprentissage est un échange ou les deux parties sont impliquées et doivent se respecter; tu pourras et du devra critiquer ou complimenter le travail de ton apprenti mais pas l'homme en lui même.
Et pourtant il va arriver forcément un moment ou tu vas penser :
Le con qu'est qu'il a fait ?
Il faudra raison garder Relever la connerie certes mais garder à l'esprit quelle n'est pas intentionnelle.

Je vais m'arrêter là mais je pense que enfin de compte ton interrogation porte plutôt sur savoir si tu es prêt à prendre un apprenti .
Seul toi peux évidement répondre ; quand à la réussite de la chose rien n'est moins sûr comme toutes relations Humaines, il y aura des échecs et des réussites.

Mais guider l'autre n'aide t'il pas se construire soit même, peut être ?

Bonjour

Comme toujours il n'y a pas de réponse unique à vos questions il faut prendre en compte les spécificités de votre ouvrage.
A savoir selon sa destination une fausse languette peux être collée d'un coté ou de deux ou pas du tout.
En principe votre ouvrage doit laisser le libre mouvement des lames donc collage d'un seul coté ou pas de collage.
On en arrive au choix de la matière de la fausse languette . Le mouvement des lames peux rendre visible la fausse languette donc en massif dans l'essence de la porte cela sera moins visible que le CP. Le CP lui à l'avantage d'une rapidité d'exécution accru et stabilité dimensionnelle supérieure au massif qui va perdre en épaisseur ou gonflé.
Le choix va donc être guidé par la finition de votre porte si une finition opaque genre peinture est prévue l'inconvénient du CP est gommé.
Maintenant je vous donne mon sentiment sur l'usage de la fausse languette sur un ouvrage extérieur non collé, seul un manque d'outillage me ferait penché pour cette solution languette et rainure me semble plus adaptées aussi bien qu'en rapidité d'exécution que en pérennité de l'ouvrage.
Une fausse languette peut être visible en bout ; nous la prenons pas toujours en fil pour lui apporter une résistance structurelle et la dissimuler en bout en résumé il n'y as pas de réponses unique mais une réponse en fonction des spécificités l'ouvrage.

Pour le chevillage la réponse est identique , rappelons d'abord que la cheville doit être fendue est pas sciée. Elle est borgne ou traversante , la faire dans la même essence que l'ouvrage à l'avantage d'avoir le bois sous la main et d'assurer une compatibilité de grain
bien que la finition engage du bois de bout par rapport au bois de fil du parement. Aujourd'hui souvent le chevillage n'as qu'un rôle décoratif l'assemblage étant collé.
Pour un chevillage à tire je préfère faire les chevilles en bois dur pour une efficacité accrue.
Traditionnellement les chevilles de charpentes étaient en acacia.

votre texte iciBonjour
Votre problème ne peut venir que du guide ou du couteau diviseur.
Donc dans premier temps vérifier alignement et épaisseur du couteau diviseur.
Puis vérifier l'alignement du guide.
Si le problème persiste il faut isoler l'organe qui est mal réglé.
Pour cela déposer le couteau diviseur prendre un panneau long ou pouvez garder les mains derrière et loin de la lame essayer le commencement d'une coupe ( sans l'achever par sécurité ) pour voir si le problème est récurrent .
A partir de là vous pourrez savoir si le couteau diviseur est en cause ou si c'est le guide.
Attention agissez avec prudence et remettez aussitôt le couteau diviseur .

Bonsoir
Comme le dit Etienne c'est une méthode courante mais nul n'est besoin de calage avec un peu de pratique on apprécie très bien la ligne droite. Pour les premier pas on peut s'aider en battant un coup de bleu , ensuit le coup se prend très vite.
On peux en tirer la règle suivante : bois ne dépassant pas la longueur de table creux sur la table au delà rond sur la table. ( bien que les règles sont faites pour être dépassées .)

Bonsoir
Le projet pose de prime abord plusieurs questions .
Une couverture en bac acier demande toute suite la destination des locaux car il induit des problèmes de condensation en sous face ( bien qu'il existe des bacs dit anti condensation , l'humidité des locaux va rentrer en jeu). D'où savoir si l'isolation sera faite par des bacs isolés, ou entre panne ou sous panne ? Cela peux conditionner la hauteur des pannes, leurs nombres va découler d'une bonne fixation du bac acier. La réalisation sera une couverture chaude ou froide?
Maintenant le dimensionnement des fermes dépend de leur espacement, qui est en relation direct avec la portée des pannes. Votre entre mur est court , les combles ne sont pas destiné à être habitable, la charge de toiture sera faible (bac acier).
A partir de là deux approches le calcul ou une approche plus empirique.
Disons que la méthode traditionnelle à fait ses preuves elle produit souvent des éléments surdimensionnés mais cela marche de plus la charpente se calcul au cube alors!
Donc à la louche une base de 75 x 225 pour les entraits cela devrait le faire.
Mais j'attire votre attention à prendre en considération tous les facteurs que j'ai évoqué plus haut.
Maintenant il serait intéressant de faire une comparaison des sections avec un calcul de charge précis pour voir les différences.

Bonjour
Votre bardage n'est pas à rainure et languette donc il ne faudra pas alterner les cœurs mes les mettre tous vers l'extérieur.
Pour le reste cela tiendra avec des dimensions de pentures adaptées à vos dimensions et clouage ou vissage des lames .
On peux aussi envisager la continuation du bardage en horizontal avec la réalisation de cadres intérieurs avec le même principe de fixation.

Bonsoir
Toujours difficile de donner un avis à la vue d'une photo.
donc seulement des hypothèses
Le premier point il y a eu des infiltrations d'eau la menuiserie est telle fermée ?
il semblerait que les infiltrations se situent au niveau du sol pas de ruissèlement intérieur visible sur la menuiserie donc il serait au niveau du seuil en partant du principe que votre seuil est compatible avec votre outillage et que le joint est bien présent il arrive parfois sur des menuiseries mal exposées des infiltrations surtout au niveau du meneau. le problème peux venir aussi du Compriband sous le seuil il est bon de l'associer à du silicone poser sur maçonnerie sèche. Si la menuiserie est plein vent avec un seuil ultra plat comme il est habituel aujourd'hui malheureusement le souci peux se produire.
Pour des cas très difficiles on peut créer un petit regingot avec une bande de compact Compriband et silicone. .

Bonsoir
Cela est un problème récurrent sur le site.
En effet en plus du problème de rejet possible en cas de coupe des deux cotés de la pièces le vernier devient faux à moins que la scie soit pourvue d'une correction trigonométrique .*
Alors que faire le plus simple est d'opérer de l'autre coté du chariot.
Dans un premier temps calibrer vos panneaux sans se préoccuper des coupes , il vous reste donc à réaliser les coupes pour faire cela sans montage et prise de mesure il faut placer simplement le guide latéral en avant de la scie et le régler pour faire sauter simplement le petit triangle excédentaire. Ainsi le rejet est éliminé , quelque soit la dimension du panneau cela marche sans déréglage de guide.
L'appui en tête de chariot est suffisant avec le guidage latéral du guide de délignage.
Reste le réglage de la hauteur de scie en cas de matériaux fragile tel que du mélaminé alors il faut la régler pour quel vienne juste inciser la couche du dessus vous aurez ainsi une coupe nickel supérieur à un calibrage toupie la coupe se dégradant assez vite.

Bonjour
Au vu des photos je dirais faire simple le mur étant de faux aplomb percer des pieds des vérins dans les chants des montants et poser votre meuble en faux niveau.
En menuiserie il faut avant tout contenter l’œil le faux niveau du meuble ne devrai pas être trop perceptible et n’auras pas d’inconvénient majeur.
De plus vos montants seront éloignés du sol et moins sujet à l’humidité .
Vous pouvez faire un essai en calant avez des coins le devant des montants pour valider la solution avant le perçage .
Si le mur est en placo la fixation finira de le plaquer contre le meuble .

Bonsoir
Cela me rappelle une petite boutade d'atelier: Pour palier au problème un simple coup de massette ou de marteau rétabli la situation, nul n'est besoin d'être précis il vaut mieux avoir un peu de jeu cela facilitera l'affleurage de l'assemblage de tout façon il regonflera au contact de l'humidité de la colle .
Donc j'avais mis une poigné de gaufrettes au sol et leur donnais un coup de massette pour leur permettre de rentrer facilement, un jeune apprenti me regardais, fini par me demander le pourquoi de la chose.
Je lui dit c'est la règle on ne va les mettre vivants dans la colle vois cela comme un geste d'humanité.
Par la suite je l'ai vu pratiquer la méthode et me regarder hilare : voyez j'ai compris je les euthanasie.

Bonsoir
Le Fondur à la différence du vernis possèdent plus d'extrait sec sa destination étant de préparer la surface et de boucher les pores . Appelé souvent Bouche pores en atelier il permet de réaliser les finition à pores pleins plus facilement .
Il faut bien sur qu'il soit compatible avec le vernis qui va suivre.
Sur les bois à pores très ouverts il presque impossible d'obtenir une finition pores plein sans avoir recourt à un procédé de bouchage des pores, avec simplement du vernis avec de multiples couches cela va probablement creuser et vous aller passer à une finition pores ouverts.

Bonjour

Méthode des piges
-Sur le panneau définir trois points A;B;C
-Planter un petit clou en A et C
-utiliser deux piges les clouer pour que elles touchent en A et c et forme un angle en B
(voir croquis )

• placer un crayon en B déplacer en tenant en contact en A et C

+

Bonsoir
J'avoue que j'ai un peu du mal à suivre.
Mes interrogations sont les suivantes :
Le chambranle comporte une rainure en contreparement avec un panneau ( vert sur la coupe ), mais le contre chambranle na rien ? Donc chambranle et contre chambranle sont t'ils reliés dans l'ébrasement.
Les chambranles semblent venir couvrir le placo grâce à une feuillure il reste un carré de 10 mm , attention de prévoir de venir en surépaisseur de la future plinthe , sinon il faudra des socles.
Il serait utile d'avoir une coupe horizontale sur la totalité du mur avec si j'ai bien compris les deux cloisons Ba 13 pour voir l'épaisseur totale de l'ensemble ainsi que la représentation de la quincaillerie pour voir si les perçages ne sont pas trop prés de la feuillure au passage on verrait aussi la place pour la serrure car c'est une porte à recouvrement.
il faut aussi définir aussi la fixation de l'ensemble pour que le montant de ferrage soit bien rigide.
Une coupe plus détaillée sur l'ensemble serait plus simple car j'ai peut être tout compris de travers?

Bonjour
Sur ton exemple une belle flamme monte de droite à gauche.
Maintenant il faut savoir ou se situe le cœur avec un coup d'œil en bout.
Pour le cas d'un rabotage mécanique avec donc l'arbre de la machine situé au dessus de la pièce
si tu rabote la face la plus prés du cœur la flamme sera dirigée à l'inverse de l'avance.
Pour la face la prés de l'extérieur de l'arbre la flamme sera dirigée dans le sens de l'avance.
Donc coté cœur la flamme recule si on veut et coté opposé la flamme avance. (raboteuse)

Cette solution n'est pas miraculeuse car certains couches de croissances de l'arbre peuvent être ondulés ou en spirales. Mais cela marche dans la majorité des cas.
De plus on peux compléter par l'observation de l'angle des fils sur chants, le toucher est aussi une confirmation , les pores; etc.

Pour les cas difficiles introduire la planche en biais limite les dégâts potentiels.
Raboter en deux fois aussi est une bonne précaution car elle permet de récupérer un peu l'erreur éventuel de la première passe.

La détermination du fil selon l'essence et selon le débit tangentiel ou radial n'est pas toujours simple. A partir du débit si vous marquer au tronçonnage au bleu le haut de l'arbre
ainsi que le coté cœur (un simple trait au plus prés du cœur et en haut en bout pour ne pas le perdre au corroyage ). Vous pouvez presque mener les opérations de corroyage en vous basant la dessus (La lecture des autres indices vous confirmera le sens d'usinage en cas de difficultés).
De plus vous pourrez mettre vos bois dans le sens de la pousse dans votre ouvrage.

Voilà une méthode de base qui permet de ne pas trop réfléchir , elle n'est pas infaillible seul la pratique vous permettra de presque plus vous tromper.

.