Bonsoir,
j 'ai du mal à voir L'ancien escalier . Ce que je crois comprendre escalier béton avec nez de marches bois puis carrelage. L escalier est il en cloisonner ou visible coté jour?
Tu dis que les marches piquent du nez mais si c' est un escalier béton cela ne doit pas être très grave. L' escalier est t'il balancé ? Toujours est t'il que souvent il a deux points qui sont gênant dans ce type d'ouvrage la finition coté mur et la finition coté jour.
Coté mur un stylobate après la pose des marches est embêtant au possible surtout si l'escalier est balancé . Pou Eviter cela on le pose avant les marches (technique faux limon). Coté jour si l' escalier est visible tu va voir tout: ragréage ,assemblage etc
Dans ce cas là on traite l’escalier à l anglaise en laissant dépasser la marche et en plaquant un faux limon qui vient s'assembler avec les contremarches . ( cela peut être réaliser avec un morceau à chaque marches. Pour le reste escalier normal , pose par ensemble marche contre marche car impossible de fixer après , attention à la fixation de la plaquette.
Bonsoir,
je vais te raconter une petite histoire. pendant mon apprentissage j'ai bénéficié de l' expérience d'un ancien qui venait nous apprendre à travailler à la main. Il avait surement au alentour des quatre vingt ans et ne parlait pas beaucoup. Mais en le voyant nous expliquer outil en main comment faire nous avions un profond respect envers lui. Entre nous on disait:" l'ancien il ne parle pas mais tout le monde l’écoute".
Or un jour j’étais désespérer n'arrivant pas à faire correctement une mortaise au bédane.
L'ancien à du voir mon désarroi et me demande ce que j'ai, Je lui réponds que suis trop maladroit et que je pourrai jamais y arriver.
J 'entend encore sa voix résonner dans l'atelier " Une personne maladroite cela n'existe pas, des gens qui se décourage oui mais maladroit non , les mortaises tu en fait une, puis deux, puis trois au bout de cent tu y arrive mais maladroit non, si tu aime ce que tu fait tu y arrive. Pendant cette remontée de bretelle il avait pris mon bédane et fini ma mortaise.
Tout ça pour de dire que tu es surement pas maladroit , tu manque peut être d'un peu de confiance en toi c'est tout. De plus nos métiers deviennent de moins en moins manuel.
Donc ta prétendue maladresse n' est pas une raison valable, par contre il faudrait que tu puisse te rendre compte de la réalité de nos métiers car la seule obligation est d'aimer ce que l'on fait.
Amicalement Bonbonveronbi
Bonsoir,
Super photo de portes.
Les proportions de ces portes que j'appelle portes de boiserie découlent de celles des lambris qui étaient dans les appartement du 18 eme . Elles sont codifiées très précisément par notre ami Roubo Il divise en gros les portes en trois catégorie de hauteurs.
Je vous donne des Éléments pour la première hauteur ( 7 à 9 pieds de hauteur soit de 2274 à 2923)
Les panneaux : on place le milieu de la traverse du dessus de la frise de la porte aligné avec la traverse haute de la frise du lambris. Ainsi la frise est placé elle fait 7 pouces 190 mm.
Montants 2 pouces 3 lignes 61 MM
traverse haute égale aux mts
traverse basse hauteur de plinthe des chambranles
traverses intermédiaires de 74 MM à 95 MM Evidemment ces portes avaient des serrures en appliques et il fallait prévoir la largeur en conséquence
moulures de 34 à 45 MM .
il est à noter que la moulure de la frise est souvent différente des autres elle fait à peu prés les 2/3 de la largeur de la frise.
Donc on voit que pour les petites portes on a des montants d'environs 61+34=94
Plus petit que ce que l'on fait actuellement, les plates bandes étaient beaucoup plus petites, les moulures en moyenne plus grande.
Sur la photo la plate bande est très grande par rapport à ce qui se faisait.
Nos anciens ne considéraient pas la porte seule mais intégrée avec le lambris. Roubo détaillé par le menu les proportions du lambris qui découle de la hauteur sous plafond (sous corniche). Pour faire une porte de tradition il faut donc lire roubo , visiter les châteaux et les musées.
Maintenant les hauteurs sous plafonds et la quincaillerie sont différentes donc à part pour les monuments historiques, des chantiers avec des hauteur un peu plus grandes Ces proportions ne sont peut être pas les plus adaptées.
Pour une porte normale je fait un dixième, puis un tracé régulateur avec le nombre d'or, je m' attache surtout aux proportions des panneaux qui me semble les plus lisibles pour l'observateur.
Bonsoir,
Si je comprends c'est une porte à trois panneaux
Avant de parler de proportions il faut parler des obligations techniques
en effet la porte va recevoir une serrure en applique ou à encastrer , la hauteur usuelle de la Béquille ou de la clef est de 1040.
une serrure à encastrer nous oblige à avoir un montant de 100 mm minimum pour être à l'aise, de plus si vous avez choisi vos garnitures il faut faire attention ou elle tombe par rapport à la moulure ( vous pouvez jouer avec l'axe de la serrure (50 ou 40 ) , attention d'un coté vous êtes décalé du recouvrement de la feuillure 15 en principe .
Une serrure à plat va vous donner la largeur de la traverse elle doit se placer sur le plat et ne pas monter sur les moulures. La hauteur de la béquille 1040 donne en principe la position de la traverse haute du milieu comme sur votre photo elle doit arrivée sur le plat sous la moulure .La profondeur de rainure je fait 15 pour éviter tout surprise dans un atelier il est bon que les fraises soient du même diamètre du coup on dérègle pas le guide entre la feuillure et la rainure. La moulure dépend de l'outillage en votre possession.
Pour pouvoir bien positionner tout cela il est important d'avoir toute sa quincaillerie avant de commencer l'ouvrage.
L'esthétisme de l' ouvrage est évidement subjectif je vous donne quelques pratiques usuelles
le panneau du milieu est dans les 200 mm les vus des montants égales les vus des traverses
du milieu , le panneau du haut est le plus grand. La traverse basse est la plus haute, la traverse haute est un peu plus grande que les traverses du milieu.
Le mieux est de faire un dixième en premier placer la béquille qui donne la place de la traverse du milieu. Après soit vous faite confiance à votre œil cela marche très bien. soit vous faite un tracé régulateur. A partir du nu extérieur vous essayer de trouver une proportion qui répond à 1.618 ou à sa racine 1.272 et en faisant une série de Fibonacci vous déduisez les autres mesures. A noter que l'on peut aussi utiliser les rectangles dynamiques racine de 2, racine de 3 etc. La dernière chose est de s'assurer qu il restera un peu de tenon au niveau de la serrure à encastrer. Voila en se qui concernent les tracés régulateurs je pourrai développer en me basant sur vos cotes si cela vous intéresse
Bonjour,
A l’époque le menuisier utilisait un bédane à larder. Bédane spécifique de l'épaisseur de la fiche mais avec un corps très large pour éviter sa casse à l'intérieur de la mortaise.
Maintenant pour la mise en oeuvre occasionnelle de ce type de quincaillerie, on pratique à la toupie à l’arrêté avec une lame de scie qui correspond à l’épaisseur de la platine de la fiche. Certes le logement est souvent plus grand dans l'autre sens mais couvert par la fiche, de plus on rebouche l’excédent est cela est invisible. les fabriques de meuble rustique avait une machine portative spéciale pour cette usinage. Je ne pense pas que les machines genre alternax ou maka aient des couteaux dédiés à cela mais je me trompe peut être. Il doit être asse facile de se fabriquer un bédane à larder de fortune .
Bonbonveronbi
Bonsoir
il peut y avoir plusieurs causes . il faut savoir que certaine essence ont tendance à travailler plus que d'autre . Donc choisir son bois en fonction des risques de l'ouvrage. Pour mettre toutes les chances de son coté travailler un bois sec . Une comparaison considérons le bois comme une éponge végétale : Versons de l'eau sur une jeune éponge son volume va doubler ou triplée, versons encore de l'eau sur une vieille éponge toute rabougrie son volume va augmenter mais sans atteindre le volume de l’éponge précédente. tout ça pour vous dire que dans l’idéal il faudrait utiliser du bois qui a un état hydrométrique proche de son état de service .Après avoir débite vos bois laisser les se stabiliser et écarter tout les bois qui se sont tordus avant corroyage.
l’établissement à son importance choisir de préférence des montants droit de fil dans du quartier ou du faux quartier.
Déjà avec ces simples précautions cela devrait mieux ce passer . J'arrive à l'emploi de la domino, je sais que je suis sur un site de passionnés et que la domino est l'outil le plus adapté au budget de la plus part et de plus elle est facile d'utilisation.
je la considère comme incontournable dans des applications d'agencement par exemple
Mais dans la menuiserie plane d'assemblage (porte, cadre, etc) je suis pas fan.
Pourquoi
il est d'usage pour éviter le vrillage des traverses d'un cadre de faire une barbette.
En cas de moulure supérieure à la profondeur de rainure il est aussi d'usage de diminuer le tenon que de la profondeur de rainure.
Pour tenir l’équerrage d'une porte par exemple nous faisons forcer le tenon dans le sens de sa longueur. Selon l'importance de l'ouvrage le tenon peut avoir plusieurs mm de plus que la mortaise.
Le domino à du mal à se confronter au ravancements et à toutes les situations cités avant; que l'on pourrait reprendre une à une pour voir leur mise en oeuvre et justification.
Dernier point le mode usinage de la domino fait que sur un bois gauche cela redresse rien.
La domino reste un excellent outil mais son emploi en tant que professionnel ne peut pas recouvrir tout les cas.
Bon copeau.
Bonsoir
Ces deux essences répondent aux critères de longévité d'une menuiserie extérieure, à savoir 30 ans minimum. Je pense que l'eucalyptus globulus est classé 3.1, le pin cela doit dépendre de sa variété (attention il faut faire le distinguo entre durabilité acquise ou conférée.) Ceci dit je ne vous dit pas que j en fera mon premier choix pour la fabrication.
mais on trouve des menuiseries qui utilisent ces essences et qui ont les certifications de leurs produits. Je vous joint le lien du guide de conception des menuiseries extérieures du FCBA , C est un peu technique mais vous aurez tous les éléments pour vous forger un avis.
Bonsoir
un petit croquis serait souhaitable pour te renseigner au mieux. Tu nous dit pas couverte , donc à priori la structure ne doit porter que son poids propre . Donc à la limite tu peux passer avec des sections modestes. Ta réflexion doit porter avant tout sur le contreventement de l'ouvrage pour qu il ne soit pas flottant. Peut être faut il envisager
des le départ un ouvrage qui peut évoluer je vous donne matière à réflexion votre panne de 150x150 est de section carré une section rectangulaire serait bien plus adaptée.Une panne
225x100 vous laisserai le choix de couvrir sans transformation. Evidemment il faudrait peut être rajouter une panne intermédiaire et calculer les chevrons. En tout cas hormis les poteaux choisir des sections rectangulaires ( chaque que fois qu il y a des contraintes de flexion)
Bonsoir,
Le menuisier et l' ébéniste ont plusieurs moyens de représentation à leurs disposition qui répondent chacun à des problèmes un peu différent
Le plan sur règle est une représentation ech1 de l' ouvrage; on représente que les coupes sur la hauteur, la largeur ( il peut avoir des coupes à plusieurs niveaux ) .
il est réalisé sur une bande de panneau à l'aide d'un trainard. Généralement on n'utilise pas du papier car cela se détend il faudrait avoir des bandes longues et les bandes de panneaux on les as sous la main. Avantage du plan sur règle il tient peu de place , facilement transportable, on peut tracer ses pièces par rembarrement . La solution la plus facile pour la recherche d’arasement. Les limites du plan sur règle : ne représentant que les coupes il n'est pas adapté aux opération de courbes ou recherche d'angle ( arêtier , éléments courbes,etc). Pour cela on fait appelle à l’Épure qui représente l'ouvrage aussi à l'echelle 1 par ex sur un plan sur règle on ne pas obtenir les arasements d'un simple châssis triangulaire il faux le dessiner en entier. la courbe d'une corniche doit être tracer sur l’épure pour en apprécier l'esthétique. Toutes les opération de géométrie descriptive, relevé de calibre, épure escalier courbe ont besoin de l’épure pour la totalité ou une partie de l'ouvrage.
Les ébénistes quand à eux dessinent à ech1 (le papier bulle est un papier jaune en rouleau assez bon marché). La particularité c est qu ils mettent toutes les coupes dans le mémé encombrement les repérant par des couleurs différentes (jaune , rouge , bleu) . les meubles sont souvent symétrique on peut souvent dessiner que la moitié. Reste que eux aussi dessinent toutes leurs courbes ech 1 pour apprécier l esthétique.
Le dixième se substitut souvent au plan sur règle , il est généralement suffisant pour tout les ouvrages de menuiserie plane; associer à quelques calcul trigonométrique il peut remplacer certaines épures.
Souvent on a recourt à deux méthodes dixième + plan sur règle, ou dixième + épure. Exemple un escalier droit à retour d’équerre va être tracer au dixième puis on va faire le développé de ses limons sur règle ou directement sur le limon grâce au rampant moyen.
La précision du dixième est obtenue par l association des cotes des collets et de l'aplomb des poteaux.
Le dessin sur ordinateur peut remplacer avantageusement certaines de ses techniques notamment grâces à ses cotes associatives. Avec la généralisation progressive des cn
il s' impose chaque jour un peu plus. Reste que l'on as du mal à apprécier les courbes sur un écran ,les opération de lissage ne sont pas toujours heureuses On arrive à tout modeler en 3d avec un long apprentissage mais le passage à l’exécution en atelier de certaine pièce reste problématique.
Bonsoir,
Padou à raison le calibre g ne sert que pour repéré la position de l' arbre, le calibre e règle la saillie du fer.
Si tu n'as pas ce calibre tu peux appliquer la méthode ancienne
1) positionner la table de sortie en haut en se gardant une marge de réglage
2) repérer la position de l'arbre par un repère qui coïncide avec la lumière afin de pouvoir régler la saillie toujours dans la même position
3) positionner deux règles en bois aux extrémités de la lumière qui prennent appui sur la table de sorti et comprime le fer. Serrer du centre vers les extrémités
4) vérification a l'aide d'un bois dressé positionner à une extrémité de la lumière faire un trait sur le bord de la table de sortie (voir schéma), faire tourner. l'arbre à la main , le bois avance faire un deuxième trait qui matérialise le pas d'usinage. Répéter l'opération sur l'autre extrémité et sur tout les fers. Le pas doit être identique en tout point.
5) vérifier le serrage et mettre en route, un bois présenté sur la table arrière doit simplement être effleuré
6) dresser deux bois assez long les présenter chant contre chant pour voir si la dégau donne du creux ou du rond le cas échéant régler avec la table arrière
La méthode parait un peu longue mais permet de bien comprendre la machine.
Bonsoir,
pour la reprise tu peux fixer deux petites équerres sur l 'avant dernière étagère et les vissées au mur le caisson en baubuche viendra cacher leur retour. Evidemment il faudra les encastrer pour dissimuler leurs épaisseurs. Lamello ou domino je n 'ai pas d'avis je dirai lamello mais c'est parce que je suis ancien mais c'est sans raison particulière et que c'est de l'agencement. Pour la déformation je ne pense pas à part peut être le mdf en rayonnage à la vue des images je n'ai pas idée de la portée mais cela na pas l'air bien grand. Donc pas de souci
Bonne réalisation.
Bonjours
Pour les devis pas de trucs. D'abord comptabilise tout les déboursés de l'ouvrage à savoir :
bois ; panneaux ; quincaillerie + % pour les consommables etc...
Ton horaire doit tenir compte de tes charges : loyer , salaire , Electricité etc. Généralement ton comptable de renseigne là dessus ton taux doit être adapté à ta structure.
Estimation du temps passé sur l'ouvrage fabrication et pose; très difficile au début.
Je te conseille de décomposer chaque phase ex conception 3h , débit 2h etc etc .
Attention on a tendance à sous estimer les temps de fabrication . Car il y a les temps improductifs du genre le coup de téléphone avec madame un tel qui t'a pris deux heures; ou autre chose. Essayer de penser à tout : trajet, coltinage difficultés de l'ouvrage etc.
Rajoute ton bénéfice. Voila tu as un prix trop cher ou pas assez cher , tenir compte de la concurrence, comment est tu placé? Je conseille au début de porter tes devis au client ou de téléphoner systématiquement après réception du devis; Le client n'a pas les outils pour comparer un devis moins cher que le tient c'est souvent que vous faite pas la même chose à toi de le convaincre.
Voila ton devis est accepté à l' atelier note tes heures et celles de la pose aussi et archive tout regarde si tu as gagné ta vie.
Avec le temps tu de diras mais j'ai fait un travail similaire est tu auras une idée du prix.
De plus tu va voir tes erreurs là j'avais prévu 3 heures j'ai mis deux heures.
Avec l'expérience on sait que dans un atelier par exemple la moyenne des compagnons passe 1h au m2 pour du mélaminé. On a obtenue ce chiffre sur plusieurs chantiers un tel à passé 50mm l'autre 1h 5. Le métré du chantier nous donne les temps de fabrication.
Bonsoir,
Si je comprend bien c'est l 'extension du chariot qui n'est pas à niveau . cette extension peut se positionner sur toute la longueur du chariot principal ,en principe il est serré dans un profil du chariot principal. Desserrer les vis de fixation, (des fois c'est des serrages rapide) aller à l'autre bout le chariot est supporté par un axe qui gère la hauteur en bout agir sur le réglage en parallèle avec le réglage de bord de chariot, réaligner le tout. Pour le parallélisme en principe la règle à un réglage souvent c est des excentriques Pour les trouver démonter la règle .Une méthode simple prendre deux panneaux de 1000 *500 par exemple dresser à la format le chant long puis le repérer faire une coupe d’équerre sur les deux. Mettre à plat les chants marqués sur une surface plate le chariot fait l affaire.
Rapprocher les coupes d’équerres vous êtes sur un plan qui forme une ligne à 180° donc avec vos deux coupes à 90° si la règle est bonne pas de jour entre les panneaux. dans le cas contraire cela vous donne le sens de correction de la règle selon que le jour est en bas ou en haut . le jour obtenu est le double de la correction de la règle.
Bonjour
Pour obtenir un tronçonnage de qualité il faut un angle de coupe réduit 5°comme votre lame c'est pas mal, on utilise mémé des angles négatifs. Le copeau doit être réduit c'est un des problèmes des scies pendulaires car pour arriver à ce résultat il faut un nombre de dents importants. on utilise une denture trapèze ou de la vr . Je vous parle pour une scie à format mais je pense que les problèmes sont identiques./ La marque je ne sait pas on prend les lames à notre affûteur (leitz) relation de confiance. Je précise que la lame à coupe comme on l’appelle ne sert que cela et que dans du bois massif.