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503 réponses
Bonbonveronbi

Bonsoir
le grincement ne découle pas du clouage des lames mais de la qualité de la pose des lambourdes qui doivent être d'une dureté équivalente aux lames et espacés en fonction de l'épaisseur des lames. Si les lambourdes ne peuvent bougés et sont dissociées des murs votre parquet sera silencieux. Il ne faut qu'il est une oscillation de la lambourde lors du passage d'une personne ce qui entraine le mouvement de la lame et le grincement.
Utiliser des clous à pointe plate. Les techniques de pose des lambourdes dépendent de la nature de leur support.
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Bonbonveronbi

Bonjour

Il est difficile d’émettre un avis sans connaître l’ensemble des contraintes de votre ouvrage. En effet nous ignorons l’assemblage du pieds avec la Structure par exemple qui pourrait déterminer si un dérivé du bois pourrait convenir ou si il faut utiliser du massif.
Néanmoins la solidité des arêtes du pieds est déterminée en premier lieu par le placage et non par le pied en lui même faire un pied en chêne ou en sapin changera pas grand chose surtout sur l’arête.

Bonbonveronbi

Comme dit foal une pattemouille peut faire revenir les choses.
Prendre une aiguille et faire des petits trous sur l'enfoncement pour faire passer l'humidité à travers le vernis. Agir doucement pour essayer de sauver le vernis puis un coup de raviveur ou de cire.
Attention le mieux et l'ennemi du bien faire des essais dans un coin reculé de la pièce le résultat n'est pas garanti surtout pour conserver le vernis.

Bonbonveronbi

Bonjour
Techniquement cet escalier n'est pas mal conçu : faux limon plus crémaillère pour un escalier encloisonné est une pratique courante qui a pour but d'éviter le stylobate.
Néanmoins sont état laisse à désirer est t'il dû à du bois non sec ou à un affaissement couplé à une mauvaise réalisation peut importe ce qui est fait est fait.

Pour corriger cela dans la mesure du possible
il faut déjà s'assurer que les faux limons sont bien fixer à la maçonnerie est compléter si nécessaire (l'espace sur la gauche est gênant car les marches dans ce type d'escalier sont mises en force est doivent transmettre la force au mur , donc un calage peux s'avérer utile)
Un escalier grince car l'ensemble marche contre marche s'affaisse sous le poids de l'utilisateur donc dans un premier temps visser les contre marches aux marches par l'arrière puis refixer les marches aux crémaillères soit par dessus ou par dessous si vous pouvez faire passer une sangle à cliquet entre les murs pour resserrer l'emmarchement avant fixation cela est mieux (ou coins) fixer aussi le devant des contremarches.
Maintenant il faudrait pouvoir mettre les marches en tensions pour éviter le grincement
alors en peux soit ajouter un gros quart de rond sous la marche en la forçant en son milieu, sois ajouter une contre marche fine par le devant toujours en forçant au centre, soit appliquer le même principe par derrière, le but est d'empêcher la marche de ployer.
Essayer marche par marche et regarder l'amélioration et ce qui bouge sous votre poids.
Les marches sont peut être déformées et malgré une meilleur fixation cela grince encore un peu, alors un cordon d'acrylique ou silicone par dessous peu améliorer les choses.

par Nicoel il y a 11 mois
Bonbonveronbi

Bonjour
Cela revient à tirer du plaquage à la raboteuse mais 1mm cela risque d être folklorique . Pour éviter la casse il faut du bois de fil une raboteuse bien réglée et éviter les vibrations. La raboteuse dresse le parement avec une séries d'onde le pas d'usinage à 1 mm on se trouve très prés de choper la perce si le bois n'est pas fixé en plein et fait un effet ressort.
Donc il va falloir coller en plein sur un martyr avec papier journal et colle blanche par exemple et rediviser après.
je pense pas que cela est nécessaire de descendre à 1mm pour des filets les tirer plus épais puis les redescendre ensuite après collage au racloir va limiter la casse.
l'usinage va être long et fastidieux à mon avis cela peux être que une méthode d'appoint
acheter des filets ou du placage puis débit au trusquin à filet semble plus fiable.

Bonbonveronbi

Bonsoir
Mettre les cales dans la feuillure , car en principe vous devez avoir une bavette avec un relevé et votre menuiserie doit recouvrir de quelque mm ce relevé et les cales sont derrière. ainsi l'étanchéité est continue.

par Remym il y a 1 an
Bonbonveronbi

Bonsoir
Comme tout en tenant compte de la spécificité du matériau on peux réaliser des portes en médium.
Le MDF est fragile sur ses arêtes il faut en tenir compte avec un profilage ou pour le moins un bon cassage d'arêtes.
Le MDF est lourd il faut donc adapter le nombres de charnières en conséquence.
Les chants font apparaitre la couche intérieur moins dense et la finition sera plus difficile il faudra une opération de bouche porage.
Le MDF accepte bien les finitions laqués ou peinte.
En agencement les portes sont généralement en 19mm et 16 mm pour les portes avec un miroir
(16 +3).

par Alexp67 il y a 1 an
Bonbonveronbi

Bonsoir
j'ai du mal à suivre votre problème de déformation car 2 mm sur la diagonale ce n'est rien
mais il ne faut pas qui si cumule un souci de gauche qui d'ailleurs est peut être à l'origine de vos 2 mm d'écart.
Si vos façades ne sont pas déjà calibrées il n'y aucun souci sauf si il y a du gauche.
Une solution pour éviter cela il faut mener l'usinage de l'ensemble du meuble en même temps , coller vos portes les sortir sans jeu puis les mettre dans la façade au moment du collage puis donner ensuite le jeu on peux aussi d'un panneau assez grand tenu au cadre par des petites presses qui passe dans des trous du panneau.

Souvent on s'attarde que sur les diagonales mais leur vérification n'est valable qui sur un ensemble qui n'est pas gauche.

Bonbonveronbi

Bonjour
le projet comporte quelques risques.
Pour une porte coulissante vous devez assurer un minimum de stabilité et votre porte ne doit pas gauchir sous peine de mal fonctionnée.
Or votre projet est dépourvu de cadre élément qui assure en principe cette fonction.
Vous voulez le remplacer par une âme en Cp le principe peut fonctionné si l'épaisseur de celui s'oppose au mouvement des lames.
En principe dans ce genre de fabrication nous ramenons l'épaisseur des lames à 8 ou 10 mm pour que l'ensemble reste stable avec un Cp ép 24 mm par exemple pour avoir un complexe de 40 mm le tout alaisé bien sûr collé polyuréthane.
Il faut que votre sandwich soit dimensionné pour assurer sa stabilité.
De plus votre porte va séparer une pièce dite humide d'une sèche ce qui engendre un risque accru.

Bonbonveronbi

Bonjour

Réparer proprement semble difficile il faudrait changer une bonne partie de la pièce d'appui voir toute.
Deux cas : si toute la pièce est à refaire je changerai carrément toute la fenêtre et j'en profiterai pour la mettre sur un rejingot.

Sinon fenêtre en Rénovation pour faire le moins de dégrats possible.

Dans les deux cas il faut penser à l'intégration du volet roulant et l'incidence sur la façade.

Bonbonveronbi

Bonjour
A vrai dire je n'ai pas une certitude absolue mais je dirai que cela comporte un risque.

Un carrelet est fait pour avoir un collage équilibré avec des plis identiques du moins pour les extérieurs pour équilibrer les contraintes.
Or là on est dans votre proposition on est vraiment déséquilibré , on pourrait imaginer un volet de 30 mm en gardant 3 couches 10/30/10 on serait peut être déjà un peu mieux .

Encore faut t'il s'assurer que sont des carrelets à usage extérieur , est on reste dans un déséquilibre.
De plus il est peut être dommage de ne pas destiner ces carrelets à un usage plus en adéquation avec leurs sections.

Bonbonveronbi
( Modifié )

Bonsoir
Défoncer entre les emboitures pour insérer un Cp ou Mdf mince afin d'avoir une surface inerte pour replaquer par dessus. En complément on peux pratiquer des rainures si cela ne suffit pas à le redresser. La technique est invisible mais dévalorise les meubles d'époque
à utiliser en connaissance de causes.

Mis à jour
Bonbonveronbi

Bonjour
En 16 mm une estimation d’une trentaine de kilo soit au moins 5 charnières .

Bonbonveronbi

Bonjour,
Il faut d'abord considérer deux choses :

  • La stabilité dimensionnelle du bois.
  • La nervosité du bois.

La première vie principalement du faite que le retrait du bois tangentiel (Rt) et différent
du retrait du bois radial (Rr). Rt est toujours supérieur à Rr et il sont propre aux différentes essences.
Nous pouvons donc établir un rapport Rt sur Rr qui classe le retrait par essence des bois.
Exemple : Frêne Rt\Rr = 1.7 chêne = 2.2

Un bois hypothétique avec un rapport Rt\Rr de 1 aurait un retrait dimensionnelle stable.

Déligner le plateau en pièces plus petites va homogénéiser le rapport Rt\Rr contenu dans chaque pièce.
Exemple la pièce du milieu va avoir une majorité de bois radiale ainsi cette pièce va se rapprocher d'un retrait de 5.7 % ; aux rives les pièces vont avoir une majorité tangentiel et un retrait de 9.6 % pour du frêne.

Soulignons que l'aubier sèche plus vite que le duramen donc son élimination est obligatoire pour la stabilité et d'autres raisons.

Néanmoins les pièces vont encore subir un retrait qui sera moindre plus le bois sera sec
( phénomène de réminiscence) . Pour compléter cela une mise en œuvre d'un établissement judicieux : cœurs inversés ; cœur contre cœur ; rive contre rive à pour but de contrarier les retraits et mettre en contact des faces aux retraits similaires.

En résumé
Pour atténuer les risques de désordre lié à la stabilité.

  • Essence.
  • Position dans la bille
  • Séchage .
  • Délignage .
  • Etablissement .

Mais il reste la nervosité du bois qui dépend entre autre de la direction du fil et sa droiture plus il est droit et dans l'axe du plateau moins on est nerveux.

La présence de bois de réaction et de contraintes liées à la croissances influent aussi sur la nervosité. Le retrait de ces zones étant différents des cas précédents.

Le délignage va libérer ces contraintes et après stabilisation nous pourrons dégauchir.

En résumé
Pour atténuer les risques de désordre lié à la nervosité

  • rectitude et droiture du fil.
  • absences le plus possible des désordres de croissances (noeuds, hanches , etc)

le plateau d'une table doit pouvoir bouger il faut qu'il bouge l'usage de fers n'est pas nécessaire.

Le cas de la table de Samuel pose un problème: le délignage va permettre son dégauchissage à moindre perte d'épaisseur et libérer les tensions .
La reconstitution du plateau tel quel empêche un établissement traditionnel et selon la perte au sciage dû au tensions les fils ne correspondront plus tout à fait.

C'est un choix que lui seul peux faire pouvant évaluer le séchage, et la nervosité de son plateau. Les alternatives ne sont pas nombreuses:

  • Dresser dans l'état quitte à perdre de l'épaisseur.
  • Faire un établissement traditionnel en faisant passer les cœurs sur les rives et chercher un collage de fil sur le milieu.
  • Avoir plusieurs plateaux.

Le perçage pourquoi pas mais il bien comprendre que le fil n'est pas une ligne droite et donc on peux passer plus ou moins dessous ou dessus en tout cas il n'est pas nuisible.

Dans les bois minces pour faire des règles il était d'usage de les percer les résultats était mitigés ,Le facteur essentiel et la rectitude du fil et son débit au droit.

Voilà des éléments pour poursuivre votre réflexion mais la Menuiserie n'est pas une science
exacte et d'autre éléments rendre en compte j'ai déjà fait un gros pavé.

.

Bonbonveronbi

Bonjour
Sapin est un terme générique qui peux caché pas mal de chose si on parle de sapin blanc du nord on est sur un épicéa (classe 1) un sapin rouge ou pin sylvestre ( classe 2). Le douglas ou le mélèze seront bien eux en classe 3 mais cela concerne que les bois purgé d'aubier ce qui pose souvent un souci vu que leur pousse à grand coup d'éclaircies nous donne des bois avec une grande part d'aubier.

De plus tout ces bois peuvent acquérir une classe supérieur avec traitement.

Le choix du bois devra donc s'orienter en prenant en compte l'exposition de la menuiserie,
les propriétés de l'essence ( avec ou sans traitement) et l'éventuel proportion d'aubier qu'il faudra purgé et le cout économique.

Bonbonveronbi

Bonjour
Comme le dit glaude il faut deux traverses sous la table mais pas à plat mais à chant car c'est la hauteur de l'arasement qui fait le contreventement.
Avec une table de 750 de haut cela laisse une traverse de 100 mm pour laisser 620 mm pour le passage de genoux vous pouvez faire aussi la table un poil plus haut pour plus d'aisance.

Pour moi les cornières sont inutiles surtout si on doit pratiquer un entaillage en sous
face cela va l'encontre du métier du Menuisier qui prévoit que ses bois vont bouger et
doivent bouger sans que cela préjudiciable à son ouvrage .

Coller des bois pour en obtenir un débit plus épais est possible mais il est très difficile
de masquer le joint à moins d'avoir un bois vraiment de fil.

On ne sait pas quelle assemblage vous allez utiliser pour les traverses basses et au vu du dessin on pourrai supposer un mi-bois qui serai mal adapté à cette situation.

Une fixation par taquets en rainure dans les traverse serait plus adapté pour la table car mieux réparti.