Bonsoir
La contre fiche assure l'équerrage et a un petit rôle d'anti flambage du poteau .
Compte tenu de la portée faible de la panne et des sections qui ont l'air conséquentes.
Je pense pas qu'il est risqué de l'enlever. si tu peux du étaye sous panne tu coupe et tu la conserve plus haut quand elle ne gêne plus
Bonjour
Les cylindres ponceurs demande à tourner à petites vitesse sur les toupies.
Cela va pour des séries de chants qui ne demande pas une finition poussée et avec un entraineur. Outil un peu délaissé à cause des ponceuses large bande. Au niveau amateur je pense que vous serez déçu dans cette utilisation. La méthode traditionnelle un simple coup de varlope sur les chants en enlevant un micro copeau donne une finition impeccable , la varlope donne une finition sans trace d'usinage et glacée .
Bonjour
on ne peux pas donner un avis précis sur la vue de photos.
Mais déjà il faut un regard du dehors pour voir l'état de la couverture et si le faitage est bien droit indicateur si la charpente à un peu bougé.
Après de l'intérieur le chevronnage a l'air bon et sur les photos l'ensemble à pas l'air si mal . Les liens sur les photos sont un peu abimés mais je pense pas que cela est très grave. Dans ce genre de grange il faut vérifier les poutres au niveau de la porte surtout si il rentrait avec le tracteur . Voir si il y a eu des fuite d'eau qui ont pu engendrer un pourrissement des bois.
Bonsoir
il semble que tu désires une assez grande précision sur les six millimètres. Alors un simple sciage ne conviendra pas il faut passer par la case corroyage . Après la méthode dépend de l'outillage dont tu disposes, disons que le problème réside dans le rabotage des
des 6 mm. en effet même avec l'ajout d'une fausse table dans les faibles épaisseurs il peut y avoir un a coup au départ ou à la fin. Donc moi je couperai des morceaux de trois fois 200 plus une marge pour pouvoir absorber les à coups éventuels. Puis corroyage pour pouvoir avoir ensuite en dédoublant à la scie deux fois 6 mm . Puis je tire à 6 mm à la raboteuse puis circulaire en alternance avec dégau pour pouvoir sortir à 15 mm. Puis tronçonnage à 200 ( cette opération peut être placé avant).
Voila il existe d'autre méthodes pour calibrer les 6 mm notamment à la toupie à contre guide mais qui sont un peu plus complexes.
Bonsoir
En début de carrière j'ai fait pas mal de restauration de commodes dix huitième .
Après dépose du placage au voile de marié on prélevait souvent du placage des cotés pour refaire les manques des parties avant.
Suivait souvent le placage des cotés au marteau.
Je donne la méthode que l'on suivait sans savoir si c'est vraiment la bonne.
Le matériel un marteau à plaquer , un fer à plaquer électrique , des finettes, des cales alu, eau chaude chiffon.
Le plaquage était exécuté sur le coté de commode sur le tracé évidement je parle de placage scié.
Pour la plaque à proprement dit on commençait par l'extérieur la frise , on chauffait
le support (un coup de rabot à dent avait été mis sur le support ) . Encollage du support puis plaque en chassant la colle avec le marteau vers l'extérieur, chauffage avec le fer pour pas que la colle se fige. Donc marteau main dt fer devant main G . A noter que je reposais toujours la panne du marteau dans un peu d'eau chaude. Le fer fait souvent trop tirer le placage alors on lui passe un peu d'eau chaude. Au fur à mesure je bloque la position des frises avec les finettes. Il arrive des fois ou l' on retouche les coupes en plaquant, je précise que les frises était plus larges et recoupées après collage.
Vient ensuite les filets puis le frisage selon le même principe. Le but était d'avoir un encadrement pour empêcher les autres éléments de bouger.
Alors bizarement on montais pas l'ensemble du placage à la satinette pour le plaquer
Voila mes souvenirs de la plaque au marteau . si la colle était un mélange de colle d'os et de nerf comme d'habitude. Les alu servaient en cas de difficultés pour un serrage ponctuel en les faisant chauffer.
POUR préciser guillaume d'ouvrier plâtrier qui sert à dresser les cuellis comme le dit justement etiennedesthuilliers . les cuellis sont ces bandes étroites de plâtre que le plâtrier espace sur le mur pour servir de référence et tirer son plâtre. Ce rabot servait à rectifier la bande pour la mettre aplomb et les dégauchir entre elles. Dans le principe cela rejoint les règles du maçon pour tirer une chape ou le passage au feuilluret pour nous menuisier pour dresser un bois
Bonsoir
La fabrication d'un cadre répond à des impératifs techniques et esthétiques.
Souvent des impératifs d'ordre techniques fixent les dimensions des éléments.
on peux citer les feuillures , les rainures ,les moulures la dimensions des quincailleries etc.
un cadre recevant un verre , et ayant une entrée de serrure aura une dimension minimum pour recevoir l'entrée de serrure sans toucher la moulure, si la feuillure mange le tenon vous allez agrandir la traverse pour avoir encore une surface d'assemblage etc.
Dans votre cas à part qu' il est souhaitable de garder un épaulement pour que le domino ne soit pas trop prés de l'extérieur du cadre tout est permis en fonction de la rigidité attendu pour la fonction de ce cadre.
Un châssis fixe n'aura pas les même contraintes qu'un ouvrant et on pourra se permettre des sections plus faible pour le premier.
Bonjour
Cela me parait un peu faible car avec les éléments que tu donnes de 150kg_m2 si on suppose un entraxe très rapproché de 0.3 nous aurons une bande de chargement de 0.3 6= 1.8
1.8 150 = 195 . un 200*50 en 6 mètre est donné pour 138 kg. Evidemment ta portée n'est pas tout fait de 6 mètre à cause des débords mais on tient pas compte du poids de la structure ni de rien d'autre .
Je réponds un peu vite mais à première vue c'est un peu faible.
Bonsoir
Si tu parles de charnière type cuisine (système 32)
Alors même outillage( mèche 35) que pour des portes en applique. Simplement la charnière à un recouvrement zéro donc le perçage pour le vissage de son embase sera décalé de l'épaisseur de la porte + le jeu de la porte entre le caisson et les 37 mm habituel soit pour une porte en 19 mm 57 mm pour une embase en croix .
Bonjour
Pour un abattant à fleur avec la tablette intérieur on peux dégager deux sortes de solutions
Soit un ferrage à chant de l’abattant avec des quincailleries type pivots à arrêt; mais il faudra faire un usinage sur le chant arrière de l'abattant ainsi que sur le devant de la tablette ( ferrage qui nécessite un compas). Si l'abattant est de petite taille et pas destinée à l'écriture en peut avoir recours à un compas à arrêt dissimilé lui aussi à chant.
Soit on utilise des charnières à plat sur l'abattant et la tablette en complément de compas.
Les charnières sont du type table à jeu ou de version plus moderne encastrable pour des épaisseur courante de panneaux.
Pour les compas tout est possible enfin de compte le choix se fait en fonction de la dimension de l'abattant et du look attendu.
Pour des abattants de dimensions un peu important un système dit à frein limite les risque de voir l'abattant s'ouvrir de manière brusque.
les autres systèmes glissière, genouillère, croissant sont valable aussi.
Selon le modèle on peut faire un caisson intérieur intermédiaire et dissimuler le compas .
Bonjour,
Les carrelets pour faire des menuiseries répondent à un cahier des charges précis notamment
sur la teneur en humidité des bois, et leur débit quartier ou faux quartier.
Bien que le problème soit différent du contrecollé car les plis ne sont pas contrariés, le fait de faire plus de plis renforce l'effet de lamellation et donc la stabilité.
Faire ses carrelets à mon avis est plus dangereux: Humidité des bois; dans une bille les partie en quartier et faux quartier sont limitées , qualité du serrage, choix de la colle, aboutage en bout du plis central. ces facteurs me font penser qu' il est moins dangereux et voir économique de recourir à des carrelets industriels ou de faire en une épaisseur.
Amicalement