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529 réponses
Bonbonveronbi

Hello
Traditionnellement le gainier colle le cuir à la colle à papier peint, éventuellement à la colle blanche.
Le processus est collage dans la réservation avec surplus puis découpe au cutter après rétractation, puis application des vignettes (dorure) .
Votre problème se situe dans l'épaisseur de votre peau qui est inhabituel je pense que la colle blanche est le plus indiqué dans votre cas.. A noter que si on as pas de gainier à proximité on commande le cuir qui arrive aux dimensions car on arrive à le tendre de quelques millimètres.

Bonbonveronbi

Hello
Alors tout est possible mais il faut bien comprendre les désordres structurel qui se produiront et les accepter. vous êtes dans une conception dit arasé ou les emboitures des rives s'opposent au jeu du panneau central. La seule chose que vous pouvez coller est le panneau central en hêtre et le laisser libre de bouger dans les emboitures. Mais cela n'empêchera pas de voir apparaitre un retrait dans le sens de la largeur en bordure d'emboiture . La fabrication doit se faire par languette ou fausse languette pour éviter de voir apparaitre le jour . Il en d'écoule que la fixation du plateau n'est pas adapté la partie des domino qui fixe la partie en hêtre doit pouvoir les laisser bouger. Dans votre cas il est beaucoup plus facile de fixer le plateau simplement par vissage à travers les traverses dans les emboitures qui sont en bois de fil et ne bougeront pas en complément vous pouvez rajouter une seule vis en partie central dans le plateau en hêtre qui ne s'opposera pas à la dilatation. Vos emboitures n'étant pas d'onglet il se produira un désaffleure entre le bois de bout et celui de fil dans le temps.
Tout ce travail du bois n'est pas forcément inesthétique mais il faut en avoir conscience.
En principe on hésite à fabriquer ce genre de table avec une conception massive. on passe plutôt dans une conception ou on essaye de stabiliser le panneau central (placage; panneau; massif mince sur panneau )
Après une traverse de 60 mm de haut pour avoir une bonne stabilité c'est vraiment limite d'autant que pieds sont en biais. d'ailleurs je ne voie pas quel type d'assemblage vous voulez utiliser, ne voyant pas d'arasement sur le croquis.

Bonbonveronbi

Hello
Evidement il faudrait faire une étude un peu plus poussée mais mon idée première serait de décomposer la courbe.
A savoir nous avons des parties droites reliées par des parties courbes je partirai sur un sandwich avec du cp cintrable l'âme intérieur constitué par un latté en travers ou en long (je parle dans les deux cas de juxtaposition d'éléments ).Dans le cas d'une âme en long il faudrait pouvoir calibrer cn ou toupie si les diamètres le permettent. Cela permettrai de gérer d'une manière assez simple la diminution progressive de la courbe

Dans ce genre de travail les difficultés récurrentes sont la rigidité de l'ensemble, la difficulté du placage des faces extérieurs et de sa finition.
La seconde possibilité serai de le faire entièrement en lamellé collé alors moule ou collage sur poteau ? la aussi une étude s'impose aussi.
Pour la rigidité au vue des entretoises cela devrait aller néanmoins ne jamais oublier les matériaux plus moderne tel la fibre qui peuvent être aussi une solution.
Le choix dépend de pas mal de paramètres (outillage ; budget; Habitudes; Temps ).
Bon courage

par Goggi il y a 3 ans
Bonbonveronbi

hello
Boite à recaler s'emploi avec une scie à dos spéciale avoyer que d'un coté pour pas abimer la boite puis une varlope pour glacer la coupe . s'utilise pour faire des coupes aux angles que vous indiqués

Bonbonveronbi

Bonjour
Cela me semble correct vous vous retrouver dans une fabrication similaire à une porte à lames.
L'avantage de profiler des pentes sur le parement extérieur est que en cas de retrait important des lames cela sera moins visible à contrario ce va permettre un léger chevauchement en cas de gonflement si possible mettre le cœur au soleil de ces lames pour limiter le tuilage.
Pour le parement intérieur inverser les cœurs vu quelles sont bouvetées. Au montage ne pas serrer les lames laisser un espace pour parer un éventuel gonflement.
L'emboiture peut être simple visser à la vis inox par dessus puis bouchonner pour éviter les infiltrations d'eau cela aussi un peu d'amplitude à l'ensemble.

Bonbonveronbi

Hello ,
Plusieurs solutions sont disponibles selon ses préférences de travail.
Le gabarit fait de bandes de cp ou autre de 50 mm de largeur agrafés entre elles avec une une en travers pour rendre le tout indéformable le tout mis en forme de l'espace à remplir est d'une grande précision.
Le mètre est d'une bonne précision à condition de matérialisé un repère fixe à savoir une ligne orthogonale au mur du fond par exemple . Nous retombons dans une triangulation qui va gommer les imprécisions des prises d'angle à la fausse équerre.
Une solution qui sort du cadre de ta question mais qui l'avantage de rendre les aménagements très propres et modulable est de redresser les murs par l'intermédiaire d'un caisson. La mise en œuvre de ce caisson peut se faire de multiples façons afin de s'adapter parfaitement à l'espace.

Bonbonveronbi

Hello
Déjà il faut bien comprendre le fonctionnement d'une dégauchisseuse Je vais essayer d'être concis
Table avant = épaisseur de passe
Table arrière = surface de référence pour le dégauchissage hauteur point de tangence des fers
Table arrière trop basse = talonnage en fin de passe
table arrière trop haut = banane
Si on suppose que la machine comme tu le dit que la machine est bien réglée alors cela vient de la technique de dégauchissage.
On apprend que pour dégauchir il faut mettre le creux de la pièce sur la table à partir de là deux cas de figure ton bois n'excède pas la longueur de la table en principe pas de souci tout doit bien se passer.
La longueur est supérieure à la longueur de la table cela à pour conséquence que le bois ne porte plus sur les extrémités de la pièce mais sur une extrémité et le creux de la pièce rendant le dégauchissage très aléatoire. La première idée et de rallonger la table avec des servantes en théorie cela devrait marcher en pratique non .
on peut procéder de deux manières à savoir on évalue le creux de la pièce puis ensuite si on dégauchi creux sur la table on supprime par retournement les parties saillantes au jugée pour se rapprocher de la ligne droite puis on fini par une passe de dressage.
Pour ma part si la longueur de la pièce excède la longueur de la table alors je dresse la bosse sur la table. Comme le cas précédent on juge du bombé puis on pose la bosse sur la table l'avantage il est facile grâce à la vision des tables de voir a quelle hauteur soutenir sa pièce pour se rapprocher de la ligne droite. Puis comme précédemment passe de dressage.

Sur ta machine les tables étant courte il n'est pas évident de dégauchir et tout les conseils écrits ne remplaceront pas une démonstration et l'expérience de nombreux mètres de dégauchissage.
Pour la pression sur la table arrière je dirais qu'il n'en faux aucune. Dans la phase ultime de dressage Dés que la pièce à atteint la table arrière les deux mains doivent se trouver sur celle ci (pas à l'aplomb de l'arbre par sécurité) pour empêcher tout effet balançoire.
Dégauchir n'est pas une étape facile le mieux serait de trouver quelqu'un pour te faire voir les différents cas de figures et comment coucher le fil etc.

Bonbonveronbi

Hello
Avant tout c'est bien connaitre son bois le plus sur étant un bon hydromètre qui a l'inconvénient majeur de couter fort cher . Néanmoins bon nombre d'ateliers s'en passent il y a des signes comme le comportement derrière la scie, le poids , le son et la confiance avec ses fournisseurs etc tout cela pour dire qu'il faut travailler du bois sec

Alors débit oui ressuyage aussi à mon avis c'est un point très important , la pas de serre joint dans cette phase tu veux que le bois se stabilise mettre un serre joint va éviter qu'il se déforme sur le coup mais ne va rien empêcher donc laisse le se déformer le dégauchissage à pour but de le remettre droit , dans l'hypothèse ou il serait trop déformé alors tant mieux tu le mettra pas dans ton ouvrage tu pourra surement en faire des pièces plus courtes.
Quel temps pour le ressuyage enfin de compte cela dépend de l'organisation de l'atelier et de l'urgence de la fabrication une semaine c'est pas mal mais on peux pas toujours le faire ;Le stockage L'important est que les faces des bois respirent de maniéré similaires donc en empillage avec panneau dessus dessous .

Une fois les bois bien stabilisé on passe au corroyage. Puis pas besoin de courir si les opérations ont été bien menées le bois restera droit et pas de serre joint dit toi bien que cela empêche rien et que si il doit se déformer vaux mieux qu'il le fasse quand il est encore dans l'atelier. Par contre bien couvrir ses bois et bien stocker à chant et pas à plat.
L'autre paramètre est l'établissement des bois qui doit tenir compte de tellement de paramètres selon l'ouvrage que ma réponse serait trop longue . Par exemple tu parle de l'inversion des cœurs pour un panneau . On aura tendance à la pratiquer pour un dessus de table elle sera moins systématique pour un panneau pris en rainure bien qu'il faut tenir compte de ses dimensions elle dépend aussi de l'assemblage on va le faire avec des rainures et languettes mais l'abandonner pour des feuillure comme le parement d'une porte.

L'établissement est à mon vis primordiale, mais le sujet est très vaste.

par FIFI03 il y a 3 ans
Bonbonveronbi

Hello
Dans l'ordre
Pour le matériel cela doit le faire sans problème.
Ok pour le chêne les tétons sont fortement recommandés pour une persienne à la française je dirai indispensable sinon il faut basculé sur une persienne à l'américaine, il existe une possibilité avec une fausse languette mais réservée pour des fabrications intérieur.
Vu ton outillage tu vas probablement réaliser les entailles à la défonceuse alors oui gabarit ( regrouper les montants les alignés à la pente des lames et faire tout les montants gauches puis droit d'un coup ) .
L'épaisseur des lames et fonction de la dimension des ouvrants généralement 14 mm à 10 mm idem pour les dimensions des montants on tire dans du 34 mm pour les dimensions courantes avec des montants de 75 à 78 de large.
La pente ordinaire des lames est ordinairement de 50° on passe à 45 ° pour les bâtis épais.
Les lames se recouvrent entre elles d'a peu prés 5 mm

Bonbonveronbi

Hello
S'assurer d'avoir des fers bien affutés, coucher le fil et passer les bois légèrement en biais pour les contrefils avec une dernière passe très petite .

Bonbonveronbi
Meilleure réponse

hello ;
Montant ouvrants quartier si possible ou faux quartier droit de fil; moins d'importance pour le dormant car il est fixé. Si possible garder les bois dans le sens de la pousse Redresser les ronds éventuel avec les traverses dans l'autre sens les creux doivent être contrariés c'est à dire que le montant serrure à le creux sur l'extérieur pour que la serrure le redresse à la fermeture celui de la battue est inverse.; idem coté ferrage. Les traverses faux quartier si possible . enfin de compte on part des montants ouvrants et on va sur l'extérieur de la bille avec les pièces plus petites.
Les panneaux inverser les cœurs au collage le cœur sur la rive à l'extérieur si possible .
Il est un intéressant de sur coter en hauteur et largeur les montants ouvrants pour pouvoir faire un calibrage de l'ouvrant avant son profilage extérieur.
Pour Les pièces rapportés comme les plinthes ou cimaises tenir compte du sens du cœur afin quelles plaquent en se déformant.

Bonbonveronbi

Hello
La question est intéressante mettre un entraineur sur la dégauchisseuse ?
Alors pourquoi pas enfin de compte c'est transformé un peu sa machine en une sorte de quatre face bien que cela va en faire qu'une à la fois.

Néanmoins les problèmes que l'on rencontre à la quatre face vont se retrouver amplifier à la dégauchisseuse.
A savoir la pression de l'entraineur à tendance à trop plaquer le rond du bois sur la table et le bois ressort aussi rond qu'a l'entrée ; pour les pièces longues ou l'on maintien le rond à l'inverse c'est à dire au dessus et l'on commence parfois dans le milieu c'est presque impossible . Les bois un peu en contrefil sont pris un peu en travers etc
En conclusion pour certains bois dont le parfait corroyage n'est pas absolument nécessaire pourquoi pas ?
Mais pour des battants de portes, et tout les bois qui besoin d'un corroyage parfait cela ne m'emballe pas.
Nous passons pas mal de chose à la quatre face mais les bois un peu tordus et les bois qui doivent être bien droit reste encore à la dégauchisseuse .

Bonbonveronbi

hello
Problème aussi constaté avec un arbre héliocoïdale à plaquettes la solution est de diminuer l'épaisseur de passe .
Avec des fers normaux le problème n'existe pas .

Bonbonveronbi

hello
A mon avis les indispensables pour une scie à format pour une petite structure et avoir une bonne polyvalence sont les suivants :
Pour un atelier pro le temps et le confort d'utilisation sont primordiale donc on essaye d'éviter tout pré débit il en découle une taille qui accepte au moins le sciage d'un panneau de 2800.
Ensuite un inciseur est à mon avis indispensable même si son cœur de métier est le massif.
L'option du guide latéral motorisé est la plus pertinente pour les raisons suivantes:
le chariot nous empêche de régler le guide sans le déplacer ou faire le tour pour accéder au réglage un peu lointain. A la fin de la journée cela fait un nombre de pas impressionnant. Ensuite au débit on utilise souvent une optimisation qui fait que toutes les bandes de même largeur ne sont forcément cote à cote donc on déplace le guide plusieurs fois pour la même dimension ce qui nuit à la précision le guide numérique palie à cela. En principe l'étalonnage du guide est très simple.
Je suis moins fan des butées numériques sur la règle du chariot car elles sont devant nous et beaucoup plus accessibles.
Le reste des options motorisation de l'inclinaison, correction trigonométrique etc sont pour moi moins indispensable est sont à choisir en fonction de l'entreprise .
Je m'explique une entreprise faisant ses coupes de moulure à la scie à format se dirigera peut être vers une scie qui s'incline dans les deux sens. Un agenceur se dirigera vers un système de coupe d'angle genre radio- compens comme les martin.
Donc il faut bien définir ses besoins on va pas choisir la même scie si on fait du massif ou que du panneau . Il faut aussi faire attention à la capacité de coupe latéral ou la hauteur importante surtout en massif.
En résumé certaines options seront accessoire pour une entreprise alors quelle trouveront leur plein emploi dans une autre. Enfin si j'avais un axe à choisir cela serait le guide latéral comme dit plus haut.

Bonbonveronbi

hello
le rampe sur rampe est un escalier assez difficile à balancer . L'absence de jour et le fait que l'escalier tourne sur lui même fait que de nombreuses marches se retrouvent assemblées dans le poteaux.
la démarche à suivre est de placer la marche centrale en tenant compte de son assemblage dans le poteau il te resteras à balancer deux volées sans retour avec la herse dans sa seconde version ( la première version n'est pas adaptée ). tu peux balancer à l'œil aussi de toute façon il est bon d'apprécier le résultat sur le développement et faire les correction d'usage.
De ce genre d'escalier il d'écoule de nombreuses marches aux collets étroits et avec de fort biais; ​des courbes de limons prononcées idem pour les mains courantes.
Pour lisser tout cela tu peux augmenter le nombres de marches balancées. On peux aussi considérer aussi le giron pas sur l'arc de cercle de la ligne de foulée mais sur une perpendiculaire à la bissectrice de deux nez de marche balancées . Cela va augmenter le girons des marches biaises et augmenter leurs collets et rendre l'escalier un peu plus praticable. Dans le cadre d'un travail de formation il est plus prudent de rester dans une technique plus traditionnelle.

Bonbonveronbi

Hello,
Pour l'amateur nous allons trouver une machine portative dédiée à chaque assemblage que tu énumère qui lui permet d'accéder à un assemblage usiné mécaniquement à moindre frais et lui monopolise peu de place si son espace de travail est réduit.

Les différences :

Le tourillon c'est la précision ultime , sa mise en œuvre est assez délicate . Le diamètre des tourillons ne doit pas dépasser 12 mm pour les machines portatives et la profondeur de perçage est limitée. Par contre le prix du consommable est très bas.
A réservé pour des ouvrages en panneaux ou du positionnement.

La domino à une précision qui peu se régler pour pouvoir laisser du jeu au domino.
La profondeur de perçage et l'épaisseur varie selon le modèle choisi . le consommable est plus cher que les tourillons mais on peux les usiner facilement. A mon avis moins adapté pour les panneaux elle permet d'aborder la menuiserie d'assemblage, en restant un peu plus polyvalente.

La lamello mois précise que les deux autres machines elle donne tout son potentiel dans le panneau avec un prix du consommable moyen.
Les lamellos pour assemblage type clamex donne une facilité de démontage au prix d'un consommable exorbitant.

Pour résumer le choix dépend du type d'ouvrages à réaliser, de la place de l'atelier de la prise en compte du prix du consommable.

Pour le professionnel c'est des machines d'appoint qui sont fort utiles, mais dés que le parc machines est étoffé la rationalisation de l'usinage nous pousse à les utiliser le moins possible.