
hello.
En bois de travers sur des coupes aussi courtes effectivement il y a un problème.
Alors pour aller droit il faut des lames larges et surtout laisser la scie scier ne pas trop pousser. Même avec un défaut d'avoyage qui certes est embêtant tu devrais pas avoir une déviation aussi importante et rapide . Fait un essai en écartant tout les guides lames pour être sur que rien gauchi ta lame en poussant presque pas tu verras si elle continu à dévier. Le ruban peut être lui aussi gauche et comme maintenant les affuteurs ne plane plus les rubans mais si tu dit que le ruban est neuf on va écarter cette option.
Pour résumer
prendre sa lame la plus large , mettre une tension correct, écarter tout les guides lame, mettre la voie en dehors du volant. Faire un essai puis remettre les guides progressivement.
Je rappelle que les guides ne doivent pas finir par faire chauffé la lame en frottant en continu sinon elle va se voiler . Les sciage au guide parallèle sont aussi une source de déviation en cas de mauvais réglage.


Hello
Votre réflexion est juste Alors pourquoi
Il est évident que si le bois de bout est couvert par la traverse filante cela est mieux .
Mais; car il y a des mais déjà beaucoup de portail sont à lames donc avec beaucoup de bois de bout et souvent ces lames font lattis avec les montants d'où l'obligation de laisser les montants filant. La traverse filante oblige à faire un épaulement de tenon donc un tenon moins large de plus le profilage de la battue se trouve finir en bois de bout se qui complique un peu la chose.
De plus si l'assemblage est amélioré dans la partie haute pour la traverse basse on se retrouve avec des mortaises horizontale qui même percées par le dessous ne sont pas des mieux pour la pérennité de l'ouvrage , ou alors il faut inverser l'assemblage pour le bas et là nous avons deux longueurs d'arasement différent et un serrage un tantinet plus compliqué Pour résumé ma réponse :beaucoup d'ouvrages ne se prête pas à la traverse haute filante pour des raisons esthétiques (portails à lames par exemple ) de plus souvent cela complique un peu la fabrication mais il vrai que dans certains cas on devrait y avoir recours.

Bonsoir
Non il faut comme tu le dit diriger l'écharpe vers le gond du bas .
Le gond du haut par le poids du portail travail à l'arrachement, tandis que celui du bas travail à la compression donc il faut renvoyer la force matérialisé grosso modo par l'écharpe sur le poteau dans le cas contraire du la renvoie dans le vide et le portail à une chance de saigner du nez. Je pense pas me tromper mais une explication par un prof de physique ne serait pas inutile.

Hello
Difficile de répondre car il n'y a que toi qui peut apprécier la souplesse de l'ensemble.
Mais sous réserve que j'ai bien compris je pense que le plus simple est de redresser le plancher par des bois qui prennent en sandwich par vissage ou clouage les entraits comme dans ta solution 2 . Je pense pas que cela puisse vriller après selon le volume de bois que cela représente tu peux envisager de fourrer des deux cotés aux moins à proximités du cloisonnage ou de la baignoire. Par contre l'entraxe me semble trop large d'habitude nous nous tenons au environ de 450 mm . Les grincements c'est un autre problème une bande résiliente peu apporter un plus Le problème est de couper l'onde sonore avec la bande du vas la couper au niveau supérieur mais si cela grince au niveau du calage des entraits alors cela se communique partout. Donc il faut éviter tout nivelage avec du calage qui est susceptible de grincer en séchant ; soigner les fixations pour que cela soit bien raide.
Pour éviter cela dans les chantiers de nivelage on fixe notre lambourdage par vissage en le dissociant de l'ancien support puis on interpose un lit de mousse polyuréthane colle . Ainsi le plancher est flottant, on complète par un isolant entre lambourde.

Hello
C'est une question récurrente sur l'air du bois . On peut apporter une réponse technique qui va limiter les risques de tuilage à savoir alterner les cœurs des planches en conservant l'orientation des cernes voir dessin. A noter que traditionnellement on met le cœur sur l'extérieur car c'est la partie la plus dur qui donc limite l'usure sur la première planche.
Donc il faut garder ceci comme ligne directrice mais il y a des facteurs aussi à considérer à savoir l'application d'un établissement similaire avec des bois en plein dosse , non sec, ou trop large etc n'est pas bonne.
L'établissement est peu être l'art du compromis , un nœuds doit être passer en dessous en prenant en considération la nervosité du bois et sa place dans la bille.
L'amateur n'as pas toujours la possibilité du choix de ces bois comme le professionnel.
Souvent les bois proviennent de bille dépareillées donc il faut faire au mieux.
Essayer de coller à la règle mais n'en soyez pas prisonnier , l'esthétique est aussi primordiale .
Pour vous les points les plus importants sont un bois sec , éviter les dosses, voir les fausses dosses, planches pas trop large et surtout une fixation adapté de votre plateau qui va laisser le bois se dilater (taquets dans ceinture par exemple).

Hello
évidement toute fabrication est lié à ton outillage
Le but étant d'aller assez vite en obtenant un état de surface valable compatible avec la finition envisagée.
Pour le trou si tu as une molette du diamètre voulu la solution de Palissandre ( usinage à chant en paquet) me semble la plus adaptée mais l'idéal est de le faire à la molette pour avoir un état de surface qui supprime le ponçage du trou. Donc souvent le diamètre du trou est adaptée en fonction de l'outillage de l'atelier.
Pour les pointes un calibrage toupie au bouffe tout devrai donner un résultat acceptable.
Quand je prépare un projet tel que celui ci je me dit tout de suite mais cela fait deux opérations si on pouvais réunir cela en une seule.
Alors un avec un bouffe tout de 50 je pourrai faire un calibrage (trou ; pointe ) en une seule opération. Je réfléchi selon le bois il sera surement mieux de retourner le bois pour pouvoir coucher le fil du bois des pointes, le trou pose problème aussi il faudrait un diamètre légèrement supérieur à 50 pour pas être pris en plein bois car là on va relever les fibres en sortie. La réflexion va porter sur la quantité de bois à enlever sur les pointes peut t'on se dispenser d'une opération d'épannelage à la scie en amont du calibrage.
Alors avec le temps la solution proposée au client correspond déjà à l'outillage de l'atelier sinon le devis devra en tenir compte.
Si l'obligation de refaire à l'identique ou si de petites corrections de profil, ne nuit pas à l'esthétique de l'ouvrage la méthode de fabrication va dépendre de ton outillage.
En gardant à l'esprit: quel état de surface je vais obtenir ? par exemple il faut mieux souvent des opérations de coupe par rapport aux opérations de perçage, le sens de la coupe à son importance aussi.
Il faut essayer aussi dans la mesure du possible réunir les opérations sur la même machine.
Pour résumer toutes les réponses qui vont d être données vont être valable d'un point de vue technique mais toi seul peut en apporter une qui correspond à ton atelier en fonction de ton outillage et des obligations de ton projet.

Hello
Je suis pas sur de comprendre avant de parler de mesurer la pente. Il faudrait savoir comment tu vas fabriquer la barrière si je comprends bien lames verticales et traverses qui suivent la pente d'où en cas de mortaises arasement biais ou alors un système qui permettra de moduler la pente des traverses ,comment est prévu le bout des lames inclinés ou pas.
Suivant la pente régulière ou pas cela peux demander des inclinaisons diverses des traverses avec tout les problèmes qui en découlent.
Tu peux de retrouver dans des complications avec un résultat visuel non garanti.
Dans ce genre de réalisation je matérialise la barrière par deux cordeaux en plantant deux poteaux provisoires aux extrémités tu verras tout de suite l effet visuel rajout un poteau si il faux casser la pentes. Ainsi tu pourra définir un arasement moyen ou décider de la traiter à redents. Les cordeaux ont l'avantages de matérialiser toute suite le haut et le bas des lames . De même si tu prévois de mettre un poteau tout les deux mètres ,plante un petit piquet à chaque poteau tire un cordeau parallèle au sol tu auras une ligne droite les différentes hauteur avec le sol te donnerons les surlongeurs à prévoir pour chaque poteau et son angle avec l'horizontal la pente moyenne de la route.

Hello
Je vais répondre à coté de la question mais il arrive souvent que la conception des divers mobilier de l'atelier à savoir établi; banc de scie; massicot , tréteaux etc soit conçu pour être déplacé au transpalette cela apporte de la stabilité en position fixe de plus le transpalette trouve sont utilité dans la manutention des pièces et des ouvrages.

Salut
Je vais de donner une méthode pour ne pas tâtonner avec ce genre de machine.
D'abord + 1 à kaj car en effet une des méthode la plus répandu est de trouver le point zéro de tes plateaux c'est à dire la bague qu'il faut mettre pour obtenir un tenon de zéro d'épaisseur ( les araseurs sont en contact ).Si tes plateaux sont à pastilles cette opération sera à faire une seule fois, garder cette bague la marquer et rajouter l'épaisseur du tenon.
Maintenant comment opérer, ce genre de machine n'a généralement pas de butée de chariot donc la règle de tenonnage n'est pas indexer. Pour aller vite mettre à longueur les traverses à la format . A l'établissement noter sur la traverse la longueur à l'arasement + la valeur de deux tenons . Exemple une porte avec deux montants de 70 devant faire 600 de large avec des tenons de 50 sera notée ara 460 +100 =560 donc on coupe à la format et on tronçonne à 560. Au passage je précise que le calcul numérique est vérifié en juxtaposant deux traverses et par une lecture au réglet en l'utilisant comme une règle à calcul.
Toutes les traverses sont tronçonnées tu passe à la tenonneuse , rapprocher le chariot sans mettre le capot, avec seulement le plateau du bas tu matérialises la hauteur du tenon sur une traverse par un petit trait sur l'about puis tu monte la toupie pour venir à peu prés à la hauteur de l'araseur du bas (il vaut mieux rester légèrement plus bas ). L'opération n'as pas besoin d'être précise , voilà tu as déjà mis en place la hauteur de tes plateaux tu ajoutes ta bague point Zéro puis une pour l'épaisseur du tenon. Alors deux école moi je conservais un jeu pour chaque tenons ou alors tu gardes que la bague point zéro. Avec l'expérience du rajoute un ou deux dixième selon l'essence utilisée.
A partir de là du dois avoir déjà un réglage presque bon sans avoir démarrée ta machine.
Avant de démarrer tu recul le pare éclat pour qu'il soit presque affleurant. Tu démarres et tu usines un tenon sur 10 mm pour essayer le réglage en hauteur tu peaufines en principe machine en marche tu montes jusqu'à avoir la bonne hauteur . Une fois cela obtenu tu traces à chant une longueur de tenon dans notre exemple 50mm tu fais coïncidé avec le pare éclat tu usines. Maintenant tu as un tenon entier tu peux essayer. En principe avec un peu de pratique cela marche du premier coup , disons que parfois il faut réajuster mais rien de grave . Ceci fait tu refait dépasser le pare éclat d'une longueur supérieur à ton tenon , tu usine le tenon. A partir de là tu peux couper à la scie le pare éclat à la longueur de tes tenons cela sert pour positionner la traverse pour le premier tenon, tu usines puis tu traces l'arasement du second tenon que tu positionneras en fonction de ton pare éclat qui te permettra de mettre la butée de la règle en contact avec l'arasement du tenon opposé.
Cette technique permet de pas tenir compte de l'indexation de la règle de tracer qu'une seule traverse et d'être précis.
Donc pour des séries avec des tenons long il faut commencer par les plus longs.
Tant que tu es à la tenonneuse tu peux sortir le plateau du haut et faire les épaulement à chant en te mettant une butée en tête sur le pare éclat.
Voilà pour finir je pense que de posséder beaucoup de bague, pour pourvoir les garder en fonction de ses outils est plus que rentable, surtout que pas mal d'outil de mortaisage sont constant en largeur. En gros voilà une des manières pour arriver à un résultat rapide à noter que j'utilise pour ainsi dire pas de pied à coulisse les jeu de bague comporte une entaille triangulaire une entaille un dixième jusqu'à cinq et on recommence au mm.

Hello
En premier lieu il semble que Ton ami à une inquiétude sur l'état de son escalier.
Son état actuel est assez facile à juger par un examen visuel et en l'utilisant pour voir si sa structure est solide. Hormis cela il faut aussi apporter un avis sur sa fabrication pour voir si son état va se dégrader dans le temps . Un escalier extérieur doit répondre à d'autre contraintes qu'un escalier intérieur . Il se peut que l'escalier soit encore valable mais sa conception de base fait qu'il va vieillir prématurément. Une rénovation sur une base pas solide est peut être reculer pour mieux sauter. Un bon indice est de savoir estimer l'âge de l'ouvrage pour savoir le temps qu'il pris pour arriver dans l'état actuel.
Mettre en balance les améliorations techniques structurels et d'accessibilité que vous pouvez apporter en les reliant à un budget par rapport à une rénovation qui doit à mon avis prolonger la vie de l'ouvrage de maniéré significative et qui n'est possible que si la base est techniquement viable.

Hello
Une emboiture à pour but d'assurer la planéité du volet et de maintenir les lames entre elles et elle couvre le bois de bout en partie haute.
En gros il se dégage deux méthodes d'assemblage soit à rainure et languette avec collage polyuréthane plus vis inox bouchonnées. il faut compléter cet assemblage par des traverses et écharpes car à lui seul il a du mal à empêcher que le volet saigne du nez.
Une autre méthode est un assemblage à tenons et mortaise le tout chevillé . Alors il se produira dans le temps des désordre structurels dans les deux cas mais tout à fait acceptable pour un volet.

Hello
selon la fabrication cela est un stylobate ou un faux limon.
Le stylobate est rajouté au dessus des marches .
Le faux limon les marches viennent contre ( Avec crémaillères ou écoinçons pour les soutenir) ) ou elles sont entaillées dedans.
L'aspect visuel est identique.
En fabrication les stylobates sont un peu délaissés car très chronophage.

Hello
pour les épaisseurs débit dans du 41 pour le cadre; 27 pour les lames.
Pour les assemblages il faut éviter tout les assemblage dit piégeant c'est à dire susceptible de retenir l'eau.
Donc traverse haute chapeautant, avec profil arrondi ( tous les bois doivent avoir un profilage qui laisse tomber l'eau ).
Les rainures sur les parties hautes des traverses sont un piège à eau les drainer ne solutionne pas le problème dans le temps, il vaut mieux inverser l'assemblage.
La traverse basse à l'intérêt d'être éloignée du sol .
Penser les dimensions des bois en fonction de la quincaillerie.