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503 réponses
par JB4WOOD il y a 3 ans
Bonbonveronbi

Hello
Pour essayer de d'aider il faudrait avoir une idée de l'encombrement et les contraintes d'accessibilité du chantier pour savoir ce que tu peux monter atelier.
A première vue si j'avais à prendre en charge le projet j'aurais apporté les modifications suivantes :
Un filaire du de chaque coté du meuble du fond pour gérer le fait que l'on est entre deux murs. Idem pour le plafond il faut éviter d'être coincé entre maçonnerie pour faire le maximum de travail en atelier je te joint un croquis avec une méthode parmi tant d'autre pour pas être dépendant des éléments de maçonnerie , évidement il faut peut être changer de système constructif selon le rendu espéré mais il faut au maximum s'affranchir des contraintes. Tu peux même les justifier incrustation de led ou spot dans le plafond comme dans mon croquis comme la cimaise qui sert de protection du mur ou pour insérer des prises les possibilités sont très étendues .
De même je décomposerai le meuble du fond en deux éléments a savoir meuble haut et bas pour une facilité accrue de pose. Tu un conflit d'ouverture dans l'angle , Je décollerai aussi les tiroirs du sol pour éviter les problèmes de faux niveaux ( pourquoi pas un socle sur vérins pour gérer les niveaux ) . En s'assurant de l'aplomb du mur du fond ou peux se passer de fond la cimaise permettant un petit faux équerrage des murs pour le plateau 5néamoins il faut le prendre et réaliser une fausse coupe si nécessaire. Une réflexion est à mener sur les tiroirs il est dés fois plus rentable de faire que le fond et le dessous; quel système de coulisses?
Façade en valchromate 8 mm là je ne suis pas?
Pour le reste il faut des détails complémentaires .

Bonbonveronbi
( Modifié )

Salut
Alors je pense que il va falloir donner quelques précisions.

Premièrement La ligne de foulée est une ligne imaginaire qui matérialise le passage de la personne dans l'escalier elle est tracée dans le milieu de l'emmarchement pour les escaliers égal ou inférieur au mètre d'emmarchement pour les escaliers supérieur elle est placée à 500 du limon de rampe pour rester dans la zone de préhension de la main courante ( je donne les dimensions courantes en artisanat elle sont sensiblement différentes selon le Dtu) .
Sur cette ligne on porte les girons et on calcul le module ainsi que l'échappée son développement est une ligne droite.
La ligne étant le passage de l'utilisateur c'est là que s'applique le module c'est à dire que la part de trajet horizontal par rapport au trajet vertical est dans le module choisi et donc c'est l'endroit ou l'escalier balancé est le plus praticable.
Elle est donc fixée , tu peux simplement déporter le centre de son rayon dans le virage pour donner un peu plus d'ampleur.
Pour en venir à ton problème, tu as calculé un giron théorique donc ta ligne de foulée est composée d'une ligne droite de volée de départ d'un quart de cercle dans le virage et d'une ligne droite d'arrivée donc déjà du peux calculer la longueur total de ta ligne de foulée après avoir dessiner la plaquette tu peux délimiter le départ et l'arrivée de ton escalier. Maintenant il suffit de diviser cette longueur au compas ou au mètre avec le giron théorique.
tu peux alors te trouver dans trois cas soit tu arrives juste et c'est fini soit tu arrives en excès ou en défaut il suffit de mesurer cette différence de la diviser par le nombre de girons et de la retrancher ou de l'ajouter selon le cas puis refaire la division .

Maintenant si tu te contente de tracer les marches droites en partant du haut et du bas et laisser les cordes en l'état dans la courbe cela n'as pas d'incidence.

Ne déplace pas ta ligne de foulée l'utilisateur est obligé de passer à cet endroit, il faut penser que quand on utilise l'escalier nos pieds sont de part et d'autres de cette ligne imaginaire.
L'influence sur l'échiffre et la main courante se gère autrement mais pour l'instant ne compliquons pas trop..
Je te conseil vivement de relire le petit traité d'escalier de sylvainlefrancomtois tout est dit sans trop de complications.

Mis à jour
Bonbonveronbi
( Modifié )

Hello,
un escalier à pas japonais à pour but de pouvoir avoir une reculée très faible tout en conservant un pas convenable et un repos pour le pied acceptable.
La formule de blondel est un guide pour les escaliers courant en effet quand on commence à faire des escaliers on considère une succession de longueurs à plat (les marches) et des hauteurs à gravir. Nul doute que cela est vrai et la formule de blondel résume cela ; ainsi un escalier courant aura un giron de 270 pour une hauteur de 180 que l'on va vérifier par blondel 2180+270 = 630 un petit calcul et cela donne une pente d'escalier une pente de 33°7.
Alors ou je veux en venir un escalier courant à une pente de 30° à 33°, car il vaut mieux considérer la fabrication d'escalier comme la fabrication d'une pente matérialisé sur la ligne de foulée par le nez de marche dont le développement sera une ligne droite.
Car en poussant le raisonnement par l'absurde un giron de 380 et une hauteur de 125 donnera 380+2
125= 630 nickel pour blondel mais une pente de 18°2.
Votre escalier est un cas particulier et la formule de blondel ne correspond pas ceci dit les valeurs que vous trouvez semblent tout à fait juste.
La Formule de blondel reste un outil d'évaluation rapide mais elle doit être associer à la notion de pente.
ci joint croquis sans plaquette d'arrivée le palier forme la dernière marche avec marche 7 rabattue. Sur le croquis je n'ai pas dessiner de recouvrement des marches il serait bon de rallonger la largeur des marches de plus ou moins leurs épaisseurs pour le créer cela n'affecte en rien le giron.

Mis à jour
Bonbonveronbi

hello
difficile à dire à la seule vue des photos toujours est t'il que ces amalgames sont soit de la vieille cire ou des boulettes de vieux vernis un peu d'essence et tu seras vite fixé. il en découlera la marche à suivre.

Bonbonveronbi

hello
talonnage arrière table de sortie trop basse.

Bonbonveronbi

Hello ,
comme les autres intervenants ta questions laisse quelques incertitudes.
A savoir pour l'isolation cela suppose que tu as assez d'espace pour pouvoir souffler la ouate sans dépose du parquet sinon évidement il n'y as de problème. Donc il reste simplement à prolonger les quelques lambourdes qui ont été coupées. Le plus simple à mon avis est de mettre contre les bout existants et de les coller sur un lit de mousse polyuréthane type colle qui assura un maintient et une assise . Alors on y arrive bien lardant le petit bout de lambourde si on as pas assez de passage il faut enlever quelques lames. il est bon de compléter la fixation par une ou deux vis dans le bout de lambourde pour cela le plus simple est d'utiliser une vis à fort filet type visserie de fixation de menuiserie; Percer la lambourde pour que la vis puis se fileter dans le bois comme cela assura la mise à niveau de la lambourde pour pouvoir pulvériser la mousse sous la lambourde.

par bapto il y a 3 ans
Bonbonveronbi

hello.
En bois de travers sur des coupes aussi courtes effectivement il y a un problème.
Alors pour aller droit il faut des lames larges et surtout laisser la scie scier ne pas trop pousser. Même avec un défaut d'avoyage qui certes est embêtant tu devrais pas avoir une déviation aussi importante et rapide . Fait un essai en écartant tout les guides lames pour être sur que rien gauchi ta lame en poussant presque pas tu verras si elle continu à dévier. Le ruban peut être lui aussi gauche et comme maintenant les affuteurs ne plane plus les rubans mais si tu dit que le ruban est neuf on va écarter cette option.

Pour résumer
prendre sa lame la plus large , mettre une tension correct, écarter tout les guides lame, mettre la voie en dehors du volant. Faire un essai puis remettre les guides progressivement.
Je rappelle que les guides ne doivent pas finir par faire chauffé la lame en frottant en continu sinon elle va se voiler . Les sciage au guide parallèle sont aussi une source de déviation en cas de mauvais réglage.

Bonbonveronbi

Hello
Votre réflexion est juste Alors pourquoi
Il est évident que si le bois de bout est couvert par la traverse filante cela est mieux .
Mais; car il y a des mais déjà beaucoup de portail sont à lames donc avec beaucoup de bois de bout et souvent ces lames font lattis avec les montants d'où l'obligation de laisser les montants filant. La traverse filante oblige à faire un épaulement de tenon donc un tenon moins large de plus le profilage de la battue se trouve finir en bois de bout se qui complique un peu la chose.
De plus si l'assemblage est amélioré dans la partie haute pour la traverse basse on se retrouve avec des mortaises horizontale qui même percées par le dessous ne sont pas des mieux pour la pérennité de l'ouvrage , ou alors il faut inverser l'assemblage pour le bas et là nous avons deux longueurs d'arasement différent et un serrage un tantinet plus compliqué Pour résumé ma réponse :beaucoup d'ouvrages ne se prête pas à la traverse haute filante pour des raisons esthétiques (portails à lames par exemple ) de plus souvent cela complique un peu la fabrication mais il vrai que dans certains cas on devrait y avoir recours.

Bonbonveronbi

Bonsoir
Non il faut comme tu le dit diriger l'écharpe vers le gond du bas .
Le gond du haut par le poids du portail travail à l'arrachement, tandis que celui du bas travail à la compression donc il faut renvoyer la force matérialisé grosso modo par l'écharpe sur le poteau dans le cas contraire du la renvoie dans le vide et le portail à une chance de saigner du nez. Je pense pas me tromper mais une explication par un prof de physique ne serait pas inutile.

Bonbonveronbi

Hello
Difficile de répondre car il n'y a que toi qui peut apprécier la souplesse de l'ensemble.
Mais sous réserve que j'ai bien compris je pense que le plus simple est de redresser le plancher par des bois qui prennent en sandwich par vissage ou clouage les entraits comme dans ta solution 2 . Je pense pas que cela puisse vriller après selon le volume de bois que cela représente tu peux envisager de fourrer des deux cotés aux moins à proximités du cloisonnage ou de la baignoire. Par contre l'entraxe me semble trop large d'habitude nous nous tenons au environ de 450 mm . Les grincements c'est un autre problème une bande résiliente peu apporter un plus Le problème est de couper l'onde sonore avec la bande du vas la couper au niveau supérieur mais si cela grince au niveau du calage des entraits alors cela se communique partout. Donc il faut éviter tout nivelage avec du calage qui est susceptible de grincer en séchant ; soigner les fixations pour que cela soit bien raide.
Pour éviter cela dans les chantiers de nivelage on fixe notre lambourdage par vissage en le dissociant de l'ancien support puis on interpose un lit de mousse polyuréthane colle . Ainsi le plancher est flottant, on complète par un isolant entre lambourde.

Bonbonveronbi

Hello
C'est une question récurrente sur l'air du bois . On peut apporter une réponse technique qui va limiter les risques de tuilage à savoir alterner les cœurs des planches en conservant l'orientation des cernes voir dessin. A noter que traditionnellement on met le cœur sur l'extérieur car c'est la partie la plus dur qui donc limite l'usure sur la première planche.
Donc il faut garder ceci comme ligne directrice mais il y a des facteurs aussi à considérer à savoir l'application d'un établissement similaire avec des bois en plein dosse , non sec, ou trop large etc n'est pas bonne.
L'établissement est peu être l'art du compromis , un nœuds doit être passer en dessous en prenant en considération la nervosité du bois et sa place dans la bille.
L'amateur n'as pas toujours la possibilité du choix de ces bois comme le professionnel.
Souvent les bois proviennent de bille dépareillées donc il faut faire au mieux.
Essayer de coller à la règle mais n'en soyez pas prisonnier , l'esthétique est aussi primordiale .
Pour vous les points les plus importants sont un bois sec , éviter les dosses, voir les fausses dosses, planches pas trop large et surtout une fixation adapté de votre plateau qui va laisser le bois se dilater (taquets dans ceinture par exemple).

par Ara il y a 3 ans
Bonbonveronbi

Hello
évidement toute fabrication est lié à ton outillage
Le but étant d'aller assez vite en obtenant un état de surface valable compatible avec la finition envisagée.
Pour le trou si tu as une molette du diamètre voulu la solution de Palissandre ( usinage à chant en paquet) me semble la plus adaptée mais l'idéal est de le faire à la molette pour avoir un état de surface qui supprime le ponçage du trou. Donc souvent le diamètre du trou est adaptée en fonction de l'outillage de l'atelier.
Pour les pointes un calibrage toupie au bouffe tout devrai donner un résultat acceptable.

Quand je prépare un projet tel que celui ci je me dit tout de suite mais cela fait deux opérations si on pouvais réunir cela en une seule.
Alors un avec un bouffe tout de 50 je pourrai faire un calibrage (trou ; pointe ) en une seule opération. Je réfléchi selon le bois il sera surement mieux de retourner le bois pour pouvoir coucher le fil du bois des pointes, le trou pose problème aussi il faudrait un diamètre légèrement supérieur à 50 pour pas être pris en plein bois car là on va relever les fibres en sortie. La réflexion va porter sur la quantité de bois à enlever sur les pointes peut t'on se dispenser d'une opération d'épannelage à la scie en amont du calibrage.

Alors avec le temps la solution proposée au client correspond déjà à l'outillage de l'atelier sinon le devis devra en tenir compte.

Si l'obligation de refaire à l'identique ou si de petites corrections de profil, ne nuit pas à l'esthétique de l'ouvrage la méthode de fabrication va dépendre de ton outillage.

En gardant à l'esprit: quel état de surface je vais obtenir ? par exemple il faut mieux souvent des opérations de coupe par rapport aux opérations de perçage, le sens de la coupe à son importance aussi.
Il faut essayer aussi dans la mesure du possible réunir les opérations sur la même machine.

Pour résumer toutes les réponses qui vont d être données vont être valable d'un point de vue technique mais toi seul peut en apporter une qui correspond à ton atelier en fonction de ton outillage et des obligations de ton projet.

Bonbonveronbi

Hello
Je suis pas sur de comprendre avant de parler de mesurer la pente. Il faudrait savoir comment tu vas fabriquer la barrière si je comprends bien lames verticales et traverses qui suivent la pente d'où en cas de mortaises arasement biais ou alors un système qui permettra de moduler la pente des traverses ,comment est prévu le bout des lames inclinés ou pas.
Suivant la pente régulière ou pas cela peux demander des inclinaisons diverses des traverses avec tout les problèmes qui en découlent.
Tu peux de retrouver dans des complications avec un résultat visuel non garanti.
Dans ce genre de réalisation je matérialise la barrière par deux cordeaux en plantant deux poteaux provisoires aux extrémités tu verras tout de suite l effet visuel rajout un poteau si il faux casser la pentes. Ainsi tu pourra définir un arasement moyen ou décider de la traiter à redents. Les cordeaux ont l'avantages de matérialiser toute suite le haut et le bas des lames . De même si tu prévois de mettre un poteau tout les deux mètres ,plante un petit piquet à chaque poteau tire un cordeau parallèle au sol tu auras une ligne droite les différentes hauteur avec le sol te donnerons les surlongeurs à prévoir pour chaque poteau et son angle avec l'horizontal la pente moyenne de la route.

Bonbonveronbi

Hello
Pour si peux de bois à enlever un bon rabot va faire le travail s'aider d'un trusquin pour délimiter le chanfrein .

par Manuela il y a 3 ans
Bonbonveronbi

Hello
Je vais répondre à coté de la question mais il arrive souvent que la conception des divers mobilier de l'atelier à savoir établi; banc de scie; massicot , tréteaux etc soit conçu pour être déplacé au transpalette cela apporte de la stabilité en position fixe de plus le transpalette trouve sont utilité dans la manutention des pièces et des ouvrages.

Bonbonveronbi

Salut
Je vais de donner une méthode pour ne pas tâtonner avec ce genre de machine.
D'abord + 1 à kaj car en effet une des méthode la plus répandu est de trouver le point zéro de tes plateaux c'est à dire la bague qu'il faut mettre pour obtenir un tenon de zéro d'épaisseur ( les araseurs sont en contact ).Si tes plateaux sont à pastilles cette opération sera à faire une seule fois, garder cette bague la marquer et rajouter l'épaisseur du tenon.
Maintenant comment opérer, ce genre de machine n'a généralement pas de butée de chariot donc la règle de tenonnage n'est pas indexer. Pour aller vite mettre à longueur les traverses à la format . A l'établissement noter sur la traverse la longueur à l'arasement + la valeur de deux tenons . Exemple une porte avec deux montants de 70 devant faire 600 de large avec des tenons de 50 sera notée ara 460 +100 =560 donc on coupe à la format et on tronçonne à 560. Au passage je précise que le calcul numérique est vérifié en juxtaposant deux traverses et par une lecture au réglet en l'utilisant comme une règle à calcul.
Toutes les traverses sont tronçonnées tu passe à la tenonneuse , rapprocher le chariot sans mettre le capot, avec seulement le plateau du bas tu matérialises la hauteur du tenon sur une traverse par un petit trait sur l'about puis tu monte la toupie pour venir à peu prés à la hauteur de l'araseur du bas (il vaut mieux rester légèrement plus bas ). L'opération n'as pas besoin d'être précise , voilà tu as déjà mis en place la hauteur de tes plateaux tu ajoutes ta bague point Zéro puis une pour l'épaisseur du tenon. Alors deux école moi je conservais un jeu pour chaque tenons ou alors tu gardes que la bague point zéro. Avec l'expérience du rajoute un ou deux dixième selon l'essence utilisée.
A partir de là du dois avoir déjà un réglage presque bon sans avoir démarrée ta machine.
Avant de démarrer tu recul le pare éclat pour qu'il soit presque affleurant. Tu démarres et tu usines un tenon sur 10 mm pour essayer le réglage en hauteur tu peaufines en principe machine en marche tu montes jusqu'à avoir la bonne hauteur . Une fois cela obtenu tu traces à chant une longueur de tenon dans notre exemple 50mm tu fais coïncidé avec le pare éclat tu usines. Maintenant tu as un tenon entier tu peux essayer. En principe avec un peu de pratique cela marche du premier coup , disons que parfois il faut réajuster mais rien de grave . Ceci fait tu refait dépasser le pare éclat d'une longueur supérieur à ton tenon , tu usine le tenon. A partir de là tu peux couper à la scie le pare éclat à la longueur de tes tenons cela sert pour positionner la traverse pour le premier tenon, tu usines puis tu traces l'arasement du second tenon que tu positionneras en fonction de ton pare éclat qui te permettra de mettre la butée de la règle en contact avec l'arasement du tenon opposé.
Cette technique permet de pas tenir compte de l'indexation de la règle de tracer qu'une seule traverse et d'être précis.
Donc pour des séries avec des tenons long il faut commencer par les plus longs.
Tant que tu es à la tenonneuse tu peux sortir le plateau du haut et faire les épaulement à chant en te mettant une butée en tête sur le pare éclat.
Voilà pour finir je pense que de posséder beaucoup de bague, pour pourvoir les garder en fonction de ses outils est plus que rentable, surtout que pas mal d'outil de mortaisage sont constant en largeur. En gros voilà une des manières pour arriver à un résultat rapide à noter que j'utilise pour ainsi dire pas de pied à coulisse les jeu de bague comporte une entaille triangulaire une entaille un dixième jusqu'à cinq et on recommence au mm.