Bonjour,
Alors ta solution peux être une piste seulement la difficulté pour ce genre de travail est d'éviter le voile de la porte. donc j'écarterai le collage de deux Mdf pour avoir une meilleur stabilité avec un cp de 24 mm et une résistance accrue du vissage des paumelles ainsi qu'un gain de poids. le cp sera alaisé d'onglet et les plaquettes chêne collées sur l'ensemble.
Seulement le travail risque d'être fastidieux sans presse ainsi que faire suivre les fils du bois sur l'ensemble de la porte.
Il y a une autre solution qui consiste à habiller une porte isoplane après l'avoir alaisée avec un produit type oberflex (il existe en format porte fil travers ). Les joint creux seront réalisés dans un second temps. Il faut faire attention à l'équerrage des porte existantes quitte à les mettre en jeu avant la plaque pour rien retoucher et vérifier la profondeur de feuillure.
Bonsoir,
Les solutions ne manquent pas .
Selon votre outillage vous pouvez l'exécuter à la dégauchisseuse, à la raboteuse ou à la toupie au multi pente.
Pour être précis couper d'abord une simple cale à la radiale à votre angle de corroyage ou son complémentaire selon l'usinage choisi.
Cette cale va vous permettre de régler précisément soit le multi pente ; le guide de la dégauchisseuse, ou de fabriquer un montage d'usinage pour la raboteuse.
Bonjour
Si comme je le pense ton outil à tenonner et une fraise à feuillure il doit comporter des araseurs. Alors il est plus à même de faire cet usinage que le PO porte fer.
Pour un apprentissage de la toupie opère en plusieurs passes ou dégrossi à la scie et termine la dernière passe à 22 /22.
Toupillage par dessous , attention la surface portant ne sera que de 18 à la dernière passe donc presseurs et éventuellement remplissage de la feuillure en table de sortie pour éviter tout dévers .
Bonjour,
Compte tenue de votre outillage il me semble qu'il est plus sûr de continuer à n'assurer que la pose.
Sans cela vous allez vous heurter à déjà trouver du bois sec et à des opérations qui quoique simples demande un peu d'outillage et de maitrise élémentaire dans le travail du bois.
Peut être avez vous dans votre secteur un atelier collaboratif et là vous pourrez joindre l'utile à l'agréable.
Bonsoir,
Les trous dans une traverse pour évacuer l'eau sont un peu une utopie. ils servent essentiellement à assécher la rainure et empêcher la condensation si il y a du vitrage.
Alors ils sont utiles certes mais ils ne servent pas à canaliser l'eau.
Non l endroit du travail est de l'empêcher de rentrer , regarder les portes de nos anciens
: ouvrage extérieur panneau table saillante ou inverser l'assemblage languette à la place de la rainure. Les panneaux plates bandes ne sont pas adaptés sur un ouvrage exposé aux intempéries du moins en partie basse .
Bonjour,
J'ai hésité avant de répondre car le toupillage comme tous les usinages machines est déjà potentiellement dangereux le pratiquer en avalant augmente le facteur de risque dans de grandes proportions.
Donc mon conseil : Toupiller en opposition
Maintenant pour répondre à la question le toupillage en avalant garde le bois en compression et donc nous avons un meilleur état de surface contrairement en opposition ou dans la dernière phase de coupe se fait par fendage et soulèvement du bois
Il faut noter que le toupillage en avalant augmente un peu plus l'usure des outils et si on va chercher un peu plus loin l'onde d'usinage est légèrement différente.
Pour toupiller en avalant si votre toupie à un inverseur de rotation il suffit de retourner la fraise et le toupillage est dans le sens d'entrée normale.
La toupie n'a pas d'inverseur il faudra toupiller en entrant sur le guide arrière.
Alors si nos toupies ont un inverseur ainsi que les entraineurs cela est bien pour toupiller en avalant.
Non il y a des toupillage ou il s'avère nécessaire de coucher le fil du bois (courbes par exemple ) pour avoir un état de surface satisfaisant donc en restant en opposition et en utilisant l'inversion ( il est parfois nécessaire d'avoir deux outils ou de toupiller sur l'arrière de l'arbre pour rester en opposition.
Je ne vais pas détailler les usinages qui ont un léger avantage à être exécutés en avalant car cela doit être expliqué in-situ avec une personne habitué à ce genre d'usinage.
Soyez prudent toupiller en opposition.
Bonjour,
La réponse des établissements Bildau me semble assez étrange car sur la coupe nous voyons la présence de la rainure de drainage sur la feuillure de vitrage.
Par contre pas de gorge de récupération sur le dormant ni trous.
Cette gorge n'est plus souvent présente sur les fabrications fenêtres dite à étanchéité renforcé l'usinage ouvrant dormant étant commun laissant la rainure de drainage sur l' ouvrant et le joint se plaçant dans cette même rainure dans le dormant.
On pense souvent que la gorge de drainage sert à évacuer l'eau éventuel entrée par capillarité , cela sert surtout en association avec les trous de drainage à amener une ventilation en pourtour de vitrage et entre ouvrant et dormant pour éviter les problèmes de condensation sur vitrage et assécher les éventuels entrés d'humidité.
Par contre leur Menuiserie semble être en jeu de 12 et tout les joints sont sur dormant , c'est une solution de plus en plus courante car cela évite l'entaillage de quincaillerie.
Pour une crémone traditionnelle il faudra soit caler le fouillot ou épaissir le dormant pour venir au nu de l'ouvrant.
Pour résumer l'absence de gorge de récupération n'est pas un drame je suis plus dubitatif sur l'absence de ventilation périphérique qui ne nuit pas au performance étant placé avant le plan de joint. De plus si il n'y a pas de vmc à double flux il faudra bien la percer la menuiserie
La conception de tes menuiseries commence par savoir avec quel jeu tu vas fabriquer.
SALUT
SEB les meubles rustiques de nos anciens sont souvent très foncés mais il faut pas perdre de vue une chose les conditions de vie étaient bien différentes. En ce temps là le jambon et le saucisson pendaient dans la cheminée et l'armoire ou le pétrin en profitaient aussi.
Je ne suis pas sûr que les meubles étaient teintés au départ la ménagère leur appliquaient une couche de cire, mais si l'étable était attenante au logis comme dans la plus part des habitats ruraux le bétail est une source d'ammoniaque inépuisable.
Enfin de compte les meubles acquièrent une teinte que seul le temps peut donner
LA PATINE
elle est constituée des marques que l'homme à laisser en utilisant le meuble (coups, usures etc.); Des dépôts de fumées de poussières qui reste plus dans les creux que sur les bosses etc. pour résumer de tous les affres du temps .
il existe une multitudes de recettes pour essayer de se rapprocher de cette Patine
Pour les bois taniques on provoquera une réaction ( chaux, bichromate + Acide, Acétate de fer) , On peut passer son meuble en teinte et estomper la teinte sur les parties saillantes ou déposer de la patine chimique ou du bitume de Judée.
les recettes sont trop nombreuses pour les détaillées dans une seul réponse, pour l'anecdote j'ai travaillé dans un atelier ou on déposait du noir de fumée avec une veille lampe à pétrole et du gasoil sur le meuble puis on le fixait avec un fond dur puis on achevait avec un ciré rempli.
Bonsoir
Bien que vous utiliser la colle préconiser par le fabricant il faut bien se renseigner en effet ce genre de machine à une vitesse d'avance en moyenne de 6 à 9 mètre minute il faut une colle en conséquence avec charge ou sans charge le mieux est un petit coup de fil chez Ostermann ou autre vendeur de chants et de colle pour parler à un technicien.
Ensuite se procurer une petite quantité de colle est reprocéder à des essais.
les chants doivent être d'équerre , dépoussiérés .
le rouleau presseur à une importance primordiale.
les tests d'arrachement doivent être réalisé le séchage complet de la colle .
Nous utilisons ce genre de machine pour les parties courbes, la stationnaire à un autre type de colle.
Bonsoir,
A mon avis il y a quelque chose qui va pas ainsi la marche numéro 3 ne suit pas la progression du balancement pareil pour la treize. Beaucoup de techniciens balance à l'œil mais si on n'a pas beaucoup d'expérience cela n'est guère possible .
Enfin il faut que le balancement soit progressif j'entend par là que si l'accroissement des collets et de 20mm en moyenne par exemple il faut rester dans cette valeur à 10 ou 15 mm prés en effet un brusque accroissement à des conséquence sur l'échiffre.
Dans ton cas il faut diminuer à mon avis 6 et 7 pour lisser le balancement et agrandir les collet au niveau des tournants.
De plus dans un escalier de ce type je pense qu'il faut considérer le collet sur la perpendiculaire à la bissectrice de deux marches consécutive .
Toujours est il qu'il faut avoir un encastrement de la marche suffisant car de pus il n'y pas de contre marche. je te conseille de faire la liste des dimensions de tes collets afin d'apprécier numériquement la progressivité de l'ensemble.
Bonjour,
Seb tu as la main pour trouver les moutons à cinq pattes
Alors on voit ici que la simplification d'usinage à savoir faire un dormant droit pour un tableau circulaire mène à une difficulté d'étanchéité air eau en effet tu te retrouve sans cochonnet ni pièce d'appui.
Alors que faire je pense que on devrai recréer un cochonnet sur le pourtour afin de faire une étanchéité chimique et reculer l'ouvrant un peu à l'intérieur du tableau .
on peut imaginer un dormant droit seul les tapées serais circulaires afin de rester dans un budget acceptable.
Reste à mener une réflexion sur savoir si rendre les tapées solidaire du dormant ou de la maçonnerie pour la facilité de l'étanchéité et peu être remplir cet espace à la mousse.
Bonsoir,
Comme dit Niouniou tes guides ne sont pas alignés . Régler cela au mieux de plus ajouter un guide continu tu n'auras plus d'acoup essayer sans fraise pour vérifier l'amenage et la position de l' entraîneur. Toupiller par dessous ou ajouter une fausse table. Laisser un peu de gras sur la pointe de l' onglet