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529 réponses
Bonbonveronbi

Bonsoir
Alors je pense qu’il faut lire 375 mm de porte à faux pour des marchés de 35 mm et non 37,5 mm pour moi c’est faible pour le moins il faudrait passer en 45. La section des limons ne peux s’apprécier que avec la connaissance de leur portée et inclinaison information manquante ou que je n’ai pas vu. Il assez embêtant de pas trouver un moyen de fixation au sol bien que la seconde volée soit prise entre deux murs la première volée aura tendance à glisser en se relevant sous la charge du passage.

par Clement70 il y a 1 mois
Bonbonveronbi

Bonsoir,
Un escalier debillardé ou plutôt un limon peut être soit à la Française ou à l’anglaise ou à limons central. Il manque donc beaucoup de précisions à votre question pour essayer d’y apporter une réponse la fixation des marches variant selon les cas.

Bonbonveronbi

Bonjour
La fonction première d’une surélévation pour reprendre votre terminologie est est de poser le meuble de niveau et d’aplomb en effet les sols ne sont pas parfaitement de niveau et parfois gauche. Cet espace sert à palier ces défauts par l’intermédiaire de pieds vérins ou autres dispositifs de compensation et cela garanti un bon fonctionnement des organes de rotations. On peut imaginer des portes toutes hauteurs mais avec un espace de réglage qui rend la pose plus facile , isole les choses du sol , permet un raccord avec la plinthe et des poses sol plafond et parfois un tablettage du sol.

Bonbonveronbi

Bonjour,
j'ai bien compris que l'Ideal n'est de pas changer la porte mais dans le cas présent la porte isoplane restera une porte isoplane que l'on rajoute des baguettes et panneaux ou pas de plus il faudra refaire la finition , on peux penser la recouvrir mais on va de voir gérer les problèmes découlant des feuillure. Passer partout on risque d'avoir un prix supérieur au remplacement de la dite porte par une à panneau. ( l'Ideal serait d'avoir de vielles portes encore qu'il risque d'avoir des soucis d'épaisseur) A réfléchir ????

Bonbonveronbi

Bonjour,

Une règle empirique dit que l'épaisseur d'une marche est égale au 1/20 de l'emmarchement soit dans votre cas 86 / 20 = 43 mm.
Donc déjà 32 mm c'est pas terrible le pin n'ajoute rien à l'affaire.

Donc en l'état j'aurai tendance à dire non, néanmoins il faut juger de l'état actuel de votre escalier si rien n'a fléchi vous pouvez opter pour une stratégie de contournement .

A savoir déposer les contremarches mais rajouter des cornières en sous faces , on peux imaginer pas mal de chose pour rigidifier la marche mais laisser passer la lumière ( un cadre métallique polycarbonate plexiglass etc). En résumé trouver un moyen de renforcement de la marche .
Pour le garde corps le gout étant personnel je ne puis vous aider ne voyant pas l'ensemble de votre chantier si vous utiliser du polycarbonate pour les contre marches pourquoi pas pour le garde corps ou des tubes laqués comme ceux des contremarches si opter pour cette solutions.
Mes propositions ne sont pas la panacée elle ne sont que des voies de prospection à réfléchir en fonction du Traffic dans l'escalier et de vos attentes.
De plus les briques n'étaient pas indirectement porteuses de la crémaillère ?

Bonbonveronbi

Bonjour
En menuiserie il y a trois façons d'assembler les croisillons si on exclu évidement le contreprofile.

A savoir :

  • a mi-bois
  • a enfourchement
  • a tenons mortaise

Le choix est conditionné par le profil du petit bois sa mouluration et ses dimensions .

executionbois vous donne un assemblage à tenon et mortaise qui est contreprofilé mais qui pourrait être d'onglet ; Meridien un assemblage à enfourchement il ne vous manque que le mi bois mais qui est assez simple à concevoir.

Mais tout n'est pas toujours possible selon les cas vous êtes obligé de choisir un mode d'assemblage ou un autre.

Bonbonveronbi

Bonjour;

Alors oui comme les collègues les cornières ne servent à rien elle auraient tendance à compliquer le problème en affaiblissant le plateau par leurs entaillages néanmoins visiblement elle n'explique pas le décollage en bout l'absence de trous oblong non plus vous avez utilisé des vis de quatre dans un trou de six vos cornières sont loin des bouts et il y a que trois vis donc ce n'est pas cela .

Je pencherai plutôt pour un collage déficient associer peut être à dégauchissage légèrement bombé au lieu d'un petit creux et aussi une vérification de votre humidimètre.

la nervosité du bois compte aussi si vous avez dégauchi aussitôt débité le risque est plus grand, les flammes sur le frêne sont belles mais le risque est plus grand que un fil droit.

En résumé laisser les cornières l'établissement des bois doit gérer le voile du plateau, laisser reposer après débit ; écarter les bois qui se sont trop tordus puis corroyage avec un léger creux une bonne colle blanche fait l'affaire pour ce genre d'ouvrage.

Bonbonveronbi

Bonjour,
je rejoins Kentaro sur sa réponse , d'ailleurs les solutions à bases de fers plats non rien à voir avec la menuiserie dans la plus part des cas. Votre problème réside dans le séchage de votre bois peut être dans son choix et son établissement si on rajoute que le faite qui il y a la possibilité de fermeture des plateaux et ainsi la rupture de l'équilibre de la respiration des faces et de leurs exposition à la chaleur. Plus l'ambiance hydrométrique d'une cuisine et peut être d'éventuel spots. La solution de repli sur un matériau stable me semble à vraiment prendre en considération.

par Flo07 il y a 3 mois
Bonbonveronbi

Bonjour

Il y a un trou pour bloquer l'arbre en partie basse de celui ci. En principe il y a pas besoin de bloquer la monter et la descente si on règle en montant bien sur et que la machine est bien posée toutefois il est pas difficile d'imaginer un dispositif sur la tige de monter/descente.

par rbois il y a 3 mois
Bonbonveronbi

Bonjour,
Alors il semble que le visuel présente des chants de tablettes et plan de travail relativement épais et un développé long pour certains.

Donc j'étudierai un panneau alvéolaire pour les parties droite pour limiter le poids et avoir d'un coup une épaisseur ( cela peut aussi faciliter d'éventuels éclairage).
Pour les parties courbes je les ferais avec une superposition de cerces (calibrage toupie) il faut faire ces parties avec une partie droite de chaque cote qui nous permettra de l'insérer à l'intérieur de l'alvéolaire ensuite. Ici il semble nécessaire de replaquer l'ensemble avec un mdf ou une contreplaque mince pour éviter de voir les joints ressortir après plaquage. Ensuite placage des chants et des parements. Il faut peut être prendre deux épaisseur de panneaux alvéolaires pour avoir une épaisseur égale entre les plans de travail et les tablettes .

La méthode évite les moules et la presse sous vide qui demande du temps et un grand sac.
on peut tout traiter à la néoprène.
Néanmoins cela reste une solution d'agencement.

Bonbonveronbi

Bonjour

Quelque soit le contre profil votre point de repaire pour un réglage rapide est le carré qui reste en parement. Exécuter en premier le contre profil en bout de traverse en visant un carré d'environ 3 mm pour conserver une bonne possibilité d'affleurage. A partir de la vous pouvez mesurer la profondeur de profilage sur la traverse. Faire un essai de profilage en pointant la hauteur sur la dimension de la hauteur du carre et la profondeur sur la profondeur du contre profilage de la traverse. ( en principe votre outillage est conçu pour une profondeur de profilage connu ( profil de 10;12;15;20; etc) cela va se recouper avec le contre profilage exécuté sur la traverse. En retournant votre traverse sur le profilage vous pouvez comparer les profondeurs de carré. Une pièce d'essai est utile vous pouvez d'ailleurs vous faire un assemblage en T qui vous servira toujours de référence pour les futurs pointages.

Pour l'épaisseur minimum c'est simple il faut additionner hauteur de profilage avec carré de 3mm + tenon court ou long selon le cas ( ou hauteur de rainure si plus importante que tenon) + carre de contre parement ici aussi il faut garder un minimum pour la solidité de la rainure.

Bonbonveronbi

Bonsoir
Le choix d'un seuil est fait en fonction de votre outillage car il doit y avoir une continuité des joints entre la menuiserie et le seuil. Porte à double joint ou à simple joint menuiserie de 48/58/68 etc tout ces éléments participe au choix du seuil. Il est donc difficile de répondre car le choix dépend d'un ensemble de considérations techniques.

Bonbonveronbi

Bonjour
Il faut essayer de toujours coucher le fil a cette fin il est peux être possible de faire une passe en opposition à une profondeur moindre que la profondeur final puis coucher le fil en avalant. En principe les barillets sur les défonceuses permettent ce genre de travail on peut même imaginer trois passe . Évidemment la défonceuse en avalant a tendance à s’échapper mais avec une très petite passe cela ce gère puis la conception du gabarit peut palier à ce problème.

Bonbonveronbi

Bonsoir

L'assemblage traditionnel est la coupe à crochet , mais à vrai dire maintenant on c'est aperçu qu'une simple coupe d'équerre au rampant renforcé par des tourillons ou pigeons (on peut ajouter une tige filetée boulonnée) fait aussi bien l'affaire. il faut faire correspondre une marche dans le milieu de la coupe pour renforcer l'assemblage et éviter un glissement. Une autre méthode et d'introduire un poteau entre les deux limons.

Bonbonveronbi

Bonsoir,
un panneau à glace arasé est un panneau sans décor qui fait lattis avec le cadre tout est sur le même plan.
L'assemblage traditionnelle est la languette bâtarde , la fausse languette demande un panneau plus épais. le domino n'est pas adapté car en cas de retrait il y aura du jour.
Le panneau arasé suit les même règles qu'un autre panneau à savoir un retrait ou une dilatation selon la reprise d'humidité ou son contraire.
Donc dans le sens du fil pas de souci le mouvement est considéré comme nul sur de telles dimensions. Le souci est perpendiculaire au fil ou pour un meuble il aura le plus souvent un retrait proportionnelle à la largeur du panneau.
On peux soit le tolérer ; le dissimuler avec grain d'orge ou autre profilage .
En évitant la dosse pour le panneau ; et la mise en œuvre d'un bois sec et non nerveux le souci devrait être de faible ampleur.

Bonbonveronbi

Bonsoir
Comme il n'y as pas de pointillés sur la vue de coté matérialisant la rainure et ses arrêts j'ai un doute sur son placement . En supposant qu'elle soit sur la face extérieure convexe et que la rainure est centrée cloué un cp sur le guide de la toupie et faire dépasser l'outil de la profondeur de la rainure vous aurez ainsi un guide continu.
Dans un premier temps toupiller la partie droite puis toupiller la partie cintrée en rentrant dans la partie déjà évidée et vous arrêtant au point voulu. Changer de parement puis faire l'usinage symétrique. Un presseur verticale complétera la sécurité . Le guide continu permet de toupiller le cintre en gardant la pièce normale à l'arbre et de bien repérer les point d'arrêt. A proprement parlé ce n'est pas un toupillage à l'arrêté puisque il n'y aura que la sortie néanmoins si vous n'est pas familier avec ce genre d'opération entouré vous de toutes les précautions d'usage .