Bonsoir
Le choix d'un seuil est fait en fonction de votre outillage car il doit y avoir une continuité des joints entre la menuiserie et le seuil. Porte à double joint ou à simple joint menuiserie de 48/58/68 etc tout ces éléments participe au choix du seuil. Il est donc difficile de répondre car le choix dépend d'un ensemble de considérations techniques.
Bonjour
Il faut essayer de toujours coucher le fil a cette fin il est peux être possible de faire une passe en opposition à une profondeur moindre que la profondeur final puis coucher le fil en avalant. En principe les barillets sur les défonceuses permettent ce genre de travail on peut même imaginer trois passe . Évidemment la défonceuse en avalant a tendance à s’échapper mais avec une très petite passe cela ce gère puis la conception du gabarit peut palier à ce problème.
Bonsoir
L'assemblage traditionnel est la coupe à crochet , mais à vrai dire maintenant on c'est aperçu qu'une simple coupe d'équerre au rampant renforcé par des tourillons ou pigeons (on peut ajouter une tige filetée boulonnée) fait aussi bien l'affaire. il faut faire correspondre une marche dans le milieu de la coupe pour renforcer l'assemblage et éviter un glissement. Une autre méthode et d'introduire un poteau entre les deux limons.
Bonsoir,
un panneau à glace arasé est un panneau sans décor qui fait lattis avec le cadre tout est sur le même plan.
L'assemblage traditionnelle est la languette bâtarde , la fausse languette demande un panneau plus épais. le domino n'est pas adapté car en cas de retrait il y aura du jour.
Le panneau arasé suit les même règles qu'un autre panneau à savoir un retrait ou une dilatation selon la reprise d'humidité ou son contraire.
Donc dans le sens du fil pas de souci le mouvement est considéré comme nul sur de telles dimensions. Le souci est perpendiculaire au fil ou pour un meuble il aura le plus souvent un retrait proportionnelle à la largeur du panneau.
On peux soit le tolérer ; le dissimuler avec grain d'orge ou autre profilage .
En évitant la dosse pour le panneau ; et la mise en œuvre d'un bois sec et non nerveux le souci devrait être de faible ampleur.
Bonsoir
Comme il n'y as pas de pointillés sur la vue de coté matérialisant la rainure et ses arrêts j'ai un doute sur son placement . En supposant qu'elle soit sur la face extérieure convexe et que la rainure est centrée cloué un cp sur le guide de la toupie et faire dépasser l'outil de la profondeur de la rainure vous aurez ainsi un guide continu.
Dans un premier temps toupiller la partie droite puis toupiller la partie cintrée en rentrant dans la partie déjà évidée et vous arrêtant au point voulu. Changer de parement puis faire l'usinage symétrique. Un presseur verticale complétera la sécurité . Le guide continu permet de toupiller le cintre en gardant la pièce normale à l'arbre et de bien repérer les point d'arrêt. A proprement parlé ce n'est pas un toupillage à l'arrêté puisque il n'y aura que la sortie néanmoins si vous n'est pas familier avec ce genre d'opération entouré vous de toutes les précautions d'usage .
Bonjour;
J'ai passé ma vie dans les ateliers avec des équerres plus ou moins fausses rarement justes.
Une équerre devrait être juste mais en menuiserie la précision ne découle pas de l'équerre car la surface d'appui est trop courte et rend les vérifications d'équerrages fausses rappelons toutes vérifications de cadre passe par la mesure des diagonales. vous allez me dire mes il y a bien d'autre emploi de l'équerre par exemple le traçage: dans votre exemple 1.5 mm à 300 mm si on prend la précaution de mettre la pièce référence dans le milieu nous divisons l'erreur par 2 soit 0.75 (rappelons que notre œil en moyenne perçois 0.5 mm ).
Toute vérifications peux se faire par des moyens simples sans équerre le moyen le plus courant est de rapprocher deux bois supposé d'équerre leurs parements sera une ligne droite car l'addition de deux angle à 90°et bien un angle plat.
On peux multiplier les exemples; un outil doit être juste du moins s'accorder au niveau de précision de son métier.
Bonjour;
Alors rien n'est obligatoire en menuiserie ; ceci dit l'usage veux que le panneau du bas d'une porte extérieure le plus exposé au intempéries soit à table saillante. En effet cette disposition s'oppose à la pénétration de l'eau dans les rainures en prenant la précaution de la façon d'un revert d'eau en partie haute . Elle donne aussi plus de place à un isolant entre panneau. Un panneau en rainure obligera à un drainage de celle ci et à des trous de ventilation mais il aura pénétration de l'eau surtout en partie basse et pompage par capillarité en cas de mauvaise exposition.
Bonjour,
Alors la mouluration faisant saillie sur le nu du bâti nous sommes bien sur un grand cadre.
Rappelons que les grands cadres peuvent se décliner de trois façons:
Le vrai grand cadre ou la mouluration est prise dans l'épaisseur du bâti est dégagée avec des élégies ou fonds levés ( cela est peut être le cas de cette porte).
Les faux grands cadres qui peuvent être obtenu soit par embrèvements pour dégager la mouluration
c'est le cas courant en menuiserie.
Soit en rapportant la mouluration sur le nu du bâti.
Les photos et la peinture ne me permette pas de distinguer les arasements je peux donc pas m'avancer plus : La mouluration est telle rapportée ou pris dans la masse ?
Cette porte peut se concevoir soit à lames soit sur bâti.
Bonjour
Je vais commencer par quelques généralités pour vous expliquer pourquoi un logiciel d'optimisation semble inutile dans votre cas.
Pour réaliser votre parquet vous devez définir votre sens de pose, ou commencer et l'interaction avec les éventuelles spécificités de la pièce tel que cheminée ébrasements, portes etc.
Il faut bien comprendre l'évidence que une fois assemblé votre parquet forme un parallélogramme mais votre pièce peut être pas . Le sens de pose est défini par l'arrivée de la lumière les lames doivent la suivre pour éviter les ombres portées. (ils existe des exceptions comme les pièces supérieur à 8 mètre ou les couloirs par exemple).
Ou commencer je dirais que le gros souci est de savoir comment cela va finir de l'autre coté en effet un mauvais parallélisme de la Piece va induire des coupes en sifflets donc on n'a pas toujours intérêts à commencer avec une lame complète le long d'un mur de plus il faut voir comment cela tombe aux portes et aux cheminées ou autres afin d'éviter les petites bandes de parquets.
Il faut donc chercher le plus grand parallélogramme capable de parquet et l'orienté dans la pièce et jugée du résultat. Selon le cas une frise périphérique peut servir de paramètre d'ajustement ( ébrasement; cheminée; porte; etc) elle peut être partielle ou totale.
Traditionnellement cette mise en œuvre commence par tirer les axes de symétrie de la pièces puis les comparer avec les axes de la cheminée et des portes etc le but est de diviser les faux parallélismes éventuels des murs ou autres accidents le recours à une frise sera donc défini.
Géométriquement si on part de l'axe de symétrie nous avons deux options soit le milieu de la lame correspond à l'axe soit on utilise le bord de lame le but est d'éviter un petit morceau en bordure.
Il faut noter que souvent on commence la pose au milieu de la pièce en ayant recours à une fausse languette, ou sur un axe qui nous permet d'être parallèle au seuil de la porte.
Vous pouvez tracer votre pièce sur un logiciel de dessin puis faire varier un parallélogramme représentant votre parquet afin de voir l'interaction avec vos murs et autres spécificités inerrantes à votre chantier.
Je pourrai m'étendre encore plus mais faudrait un pas à pas complet. Je finirai par un clin d'œil à Kentaro en disant que les deux neurones ne sont pas de trop cela n'est pas si simple sans être inaccessible.
Bonsoir
Il est possible de démonter la porte est lui rendre son équerrage mais un simple collage risque d’être insuffisant il faut rendre aux tenons leurs utilités c’est à dire les faire forcer sur leur hauteur , repastiller les trous de chevilles afin de refaire une tire, rendre leurs fonctions aux arasements il y a un travail structurel à mener avant le collage pour rendre son équerrage à la porte. Il sera complété par un referrage des pentures et serrage des gonds. On vois donc que cela n’est pas travail facile mais pas impossible.
Bonjour
Alors commençons par rappeler que le DTU ne s’applique pas en rénovation donc vous êtes libre de mettre en œuvre un parquet en simple planches.
L’esthétique de l’ouvrage étant propre à chacun je n’en parlerai pas.
Ces plancher anciens était constitué de planches souvent très larges qui nécessite une fixation par clouage par le dessus d’où un sérieux lambourdage . De plus les planches n’étaient pas forcément parallèles ce qui complique un peu la tâche , souvent aussi une absence d’embrèvement ne favorise pas le nettoyage et correspond plus à nos mode de vie plus moderne .
Trouver de veilles planches éviterai de faire une patine artificielle et serai un plus.
Bonsoir
il serait bon d'avoir quelques dimensions afin de voir si on peux se passer de l'entrait centrale ce qui simplifierai bien les choses.
Techniquement le bardage en rainure dans les poteaux n'est pas un contreventement car on peux supposer que les lames peuvent glisser entre elles et donc elles ne réalisent pas une triangulation à proprement parler de l'ouvrage. Maintenant il faudrait savoir comment les poteaux sont bloqués en pieds et les dimensions de l'ensemble pour mieux appréhender le problème.