
Bonsoir
Laisser dépasser la crédence sur les pieds droit d'un petit plus de l'épaisseur du panneau choisi afin de créer un petit carré. Faire une petite entaille sur les deux cotés de la crédence pour faire rentrer la tablette qui auras une oreille puis coller les ébrasements.
ci joint vu de dessus de principe.

Bonsoir
Réparable oui invisible non . je gratterai un peu le support faire des rayures puis bien nettoyer le contreparement de l'éclat (acétone / diluant puis papier de verre ). Collage simplement à la colle blanche le mieux est d'utiliser une cale de serrage en plexiglass afin de voir avec précision le raccord et les désaffleures . Temps de serrage long il est possible d'utiliser d'autres colles mais attention aux bavures la colle blanche sera plus facilement nettoyable.

Bonsoir
il est évident qu'il faut un cochonnet pour des raisons d'étanchéité de la menuiserie avec la menuiserie. Dans les fenêtres à la Française il y avait deux séries 32/51 37/61 en principe la largeur hors tout de la fenêtre était tableau + 72 mm pour des dormants de 51 mm
soit 36 mm en feuillure cela donne donc bien un cochonnet de 15 mm . Mais les feuillures surtout dans les pieds droit en pierre n'étaient pas toujours assez profondes d'où une augmentation du cochonnet pour pas finir au burin (les disqueuses était moins courantes).
Un faux aplomb des pieds droit fait aussi corriger le cochonnet on retiens la cote la plus petite mais on regarde la part en feuillure par exemple avec un faux aplomb de 15 il vaux mieux souvent coupé la poire en deux et avoir un cochonnet en partie la plus courte de 7.5 mm que on pourra un peu répartir à la pose. Pour votre chantier soit le menuisier c'est planté cela arrive ou il a plusieurs cotes en tableau approchantes et il a fait une série à la même cote pour la rapidité . En tout état de cause il faut un cochonnet.

Bonsoir
Alors le descriptif ne comporte pas de finition pour le projet or vu les dimensions il va falloir gérer des joints.
l'idée est de faire presque tout à l'atelier . Fixation d'un tasseau au mur puis fabrication de modules avec échancrure et pieds vérins pour avoir une base stable ( pas de panneaux au sol il faut simplement des point de contacts au sol pour avoir une bonne assise les pieds vérins sont un gage de rapidité car au dessus de trois points la coïncidence des plans est aléatoire ). Le dessus doit faire un vide sanitaire pour un trainage éventuel. la vague est préparé atelier sur un panneau à part qui sera fixé depuis l'intérieur , il est peut être judicieux de prévoir une plinthe en retrait ( pérennité de l'ouvrage et dissimulation faux niveau éventuel).
Pour la vague selon le décalage avec le dessus on doit pouvoir faire que un seul calibre.

Bonjour
je ne poserai pas le problème comme cela.
La menuiserie est très vaste est selon ce que vous voulez faire et la réalité de vos commandes vous aurez une dominante agencement; bâtiment; escalier; poseur; etc
Le choix des machines découlent entre guillemets de cette 'spécialisation'.
Ainsi l'atelier traite en majorité des panneaux une plaqueuse calibreuse et une scie à format aux capacité des grands formats et dans un premier temps une machine pour gérer le système 32 s'imposent à contrario raboteuse dégauchisseuse tenonneuse mortaiseuse on peux dans un premier temps envisager un combiné.
Vous faites principalement du massif les opérations de corroyage vont arriver au premier plan on peux avoir une scie à format avec moins de capacité la plaqueuse n'est pas la première des préoccupation , le profilage est plus important et il faut envisager le mortaisage et tennonage.
Bref les machines découlent de votre budget de votre espace mais surtout du travail quotidien de l'atelier il vous des machines qui s'impliquent dans votre production avec une bonne productivité.
Exemple quand on fait du panneau il acceptable de relever les tables de la dégauchisseuse pour raboter c'est plus embêtant de le faire quand fait du massif car cela produit plus souvent sans compter que les tables des stationnaires sont plus grandes et pour dresser des battants de portes c est primordiale .

Bonsoir
Déjà j’ai du mal à saisir la hauteur à monter 2750 ou 2800. Partons sur 2800 j’applique la règle des coefficients
2800x1.5=4200 donc j’ai 4200 sur la ligne de foulée jusqu’au sol . Avec 15 hauteurs j’aurai 2800 /15=186,6 et un giron 4200/15=280 (186,6x2+280=653).
A partir de là le module est un peu haut on peut grignoter un peu sur le giron de 10 ou 15 mm ou rajouter une hauteur de marche soit 16 hauteurs 15 marches . On aura 2800/16=175 prenons un girons de 270 on aura 270x15=4050 et donc un module de 620 . ( ici il y a une marche de moins que de hauteurs car nous menons le calcul au nez de la première marche contrairement au calcul précédent ou la ligne de foulée est menée au sol. Donc on arrive à un bon module reste à vérifier les problèmes d’échappée et que l’étendue soit possible le reste est un simple problème de balancement .


Bonjour
pour une finition rustique herminette ou et hache doloire, d'ailleurs il peut être avantageux de faire que une face à la scie à ruban et y aller directement à la hache pour enlever écorce et aubier sur les 3 autres faces (on peut employer une tronçonneuse pour faire des amorces verticales et faire sauté à la hache) .

Bonjour
Contrairement à un assemblage rainure languette ne pas alterner les cœurs les placer au soleil. La fixation doit laisser les lames indépendantes pour les laisser bouger donc ne pas clouer deux lames ensemble au niveau de la feuillure. Si c'est vraiment de la volige elle est peut être pas trop sèche donc un retrait potentiel élevé . On peut aussi poser un voile genre delta avant la volige pour l'étanchéité et l'humidité potentiel du mur. D'autre assemblage sont à votre disposition tel que une simple pente créant un chevauchement.

Bonsoir
Je vais pas vous dire quelle quincaillerie choisir mais comment faire votre choix. Pour s’ouvrir votre porte ne doit pas toucher aux poteaux donc dessiner en plan votre axe de rotation de la quincaillerie choisie et vérifier avec un compas le dégagement de la porte. On s’aperçoit que si l’axe de la porte est extérieure il n’y a pas de soucis donc toutes les paumelles, pentures coudées conviennent. On peux choisir des quincailleries genres pivots avec crapaudine et là on s’aperçoit que il faut delarder un peu les poteaux, on peut aussi mettre l’axe de rotation sous le bardage.
Plein de configurations sont possibles seul un petit dessin donne une idée de là faisabilité du projet et de l’éventuel rétrécissement du passage en fonction du placement de l’axe de rotation.

Bonsoir
Premièrement qui dit volet battant dit organe de rotation or seul le cadre pourra accueillir des pentures il faut donc vérifier si cela sera compatible avec votre maçonnerie car la hauteur ne pourra pas être déplacée.
Ensuite une rainure pour accueillir le bardage est pas une idée pérenne car l’eau peux stagner en partie basse et des trous de drainage n’améliore que très peux cet état de faits . Il faut faire des rainures inversées c’est dire la rainure dans le bardage et surdimensionner celle en partie haute pour combler le retrait.

Bonjour
Trouver la fraise n’est pas le problème mais cela va produire une onde d’usinage et cela ne dispensera pas d’un coup de ponçage pour une finition un peu poussée de plus je ne pense pas qu’il ai un gain de temps conséquent .
Nous avons essayé avec une défonceuse affleureuse,toupie, et les groupes d’arrondis de la plaquesse cela a toujours fini avec un coup de papier de verre.

Bonjour
A priori pas de soucis en ce qui concerne la liaison poteau limon avec des dominos. Il suffit de bien les positionner et les quantifier selon leur destination. Je serai curieux de de voir la note de calculs qui les concernent dans ce cas précis. Le souci est plutôt que si il n’y a pas embrèvement du limon dans le poteau si il y a bâillement de l’assemblage on peut voir le jour entre les dominos.


Bonjour ,
Contrebalancer un panneau c'est équilibrer son état hygroscopique sur les deux faces afin d' éviter les déformations.
Cela veux dire que on peux tout à fait contrebalancer un panneau avec un matériaux différent d'un parement à l'autre .
A titre d'exemple les contrebalancements des stratifiés sont la plupart du temps moins épais il arrive souvent que l'on se sert d'une couche de vernis ou de colle pour contrebalancer l' important c'est l'équilibre hygroscopique de l'ensemble.
A partir de là il faut comprendre que le parement par son collage à aussi une modification de son état hygroscopique donc sa déformation peut entrainer celle du panneau donc on comprend que la force de la déformation rentre en compte : un placage , un stratifié , un massif en fines plaquettes aura peu de force comparer à un massif de 22 mm donc l'épaisseur à son importance.
Rentre aussi en jeu le contexte de votre chantier si votre panneau est pris en rainure dans un cadre le risque est faible voir nul.
Pour en revenir à votre cas si votre cp est bien plan le stratifié avec sa colle empêchera le panneau de respirer le placage souple( placage sur strat) lui aussi allié à la grande stabilité du panneau central les forces extérieures étant similaire fait que le risque est très faible je ne dit pas nul car dans nos métiers il ne l'est jamais mais c'est une configuration utilisée maintes fois sans souci.

Bonjour
alors oui tout pose problème en massif c'est une table en arasé
- Premièrement la ceinture il y aura à terme un désaffleure entre les traverses aux quatre angles.
- le centre doit pouvoir bouger pour ne pas fendre et donc il apparaitra à terme un jeu avec les traverses.
Que faire?
-Tolérer ses désordre fonctionnels
- plaquer le centre il restera les angles (onglet)
- masquer les désordres avec des assemblages comportant un joint creux
- traiter le centre avec un massif en plaquette collé sur un cp pour un aspect plus massif que le placage.(assemblée l'entourage en onglet).