Bonjour
sylvainlefrancomtois La solution de la degau oui je confirme comme tu le dit pour des guide en bois .
La je met en garde Gyl les guides sont en cp les fers vont pas aimer reste à les refaire en bois bonne solution.
c'est pas la peine d'investir dans une règle de mécanicien outilleur . un bois bien dégauchi, une règle en plastique enfin n'importe quoi pourvu que cela droit et soit assez long en fonction de la longueur de tes guides.
La solution du guide continu c'est à dire de rajouter une plaquette toute longueur sur des deux guides permet de combler les petites imprécisions et donne un toupillage plus sécurisant.
oui et non la plaquette est une des variables d'ajustement que tu as disposition pour gérer ton échappée les autres étant la reculée de ton escalier, le nombre de marches avec leurs hauteurs. La variation de la largeur de la plaquette ou marche palière fait varié la pente de la ligne de foulée ce qui donne plus ou moins d'échappée mais elle a aussi une influence sur la hauteur de la main courante ainsi que le raccord avec l'éventuel garde corps de l'étage. Dernier point il faut veiller quelle soit assez large pour absorber une éventuel contremarche et lasser un jeu pour parer a l'éventuel faux équerrage de l'arrivée .
Un dernier mot une fois que tu auras trouvé une échappée convenable tu auras à définir le nombre de marches ainsi que leur hauteur.
Pour cela tu vas de référer à la formule de Blondel, alors le principe est toujours bon mais il faut un peu relativiser car le texte original est le suivant : " la longueur du pas aisé d'un homme qui marche de niveau est de deux pieds c'est à dire vingt quatre pouces, et la hauteur de celui qui monte à une échelle dressée à plomb est de douze pouces." Donc la marche idéale serait une hauteur de marche qui aurait la moitié de son giron et c'est cela qui il faut retenir.
tout d'abord Blondel nous donne 2H+ G = 2 pieds soit 648 mm mais on ne consacre pas autant de place aux escalier dans le logis qu'a son époque il vaux mieux viser un module de 630 mm.
De plus un escalier à 45° va avoir par exemple une hauteur de marche de 213 mm et un giron identique d'où 2x213+ 213 =639. On rentre parfaitement dans le module mais la part de trajet vertical est égal au trajet horizontal. Donc le moment du choix du module doit tenir compte de la proportion du trajet horizontal par rapport à l'horizontal en autre terme de la pente de l'escalier.
La ligne de foulée est au milieu de l'emmarchement pour les escaliers inférieur ou égale à un mètre d'emmarchement . il faut comprendre que cela matérialise l'endroit ou l'usager va emprunter l'escalier; quand l'escalier est supérieur à un mètre elle se situe à 450 /500 mm de la main courante à l'endroit ou l'usager aura une bonne préhension de la main courant pour utiliser l'escalier. Donc tu la situe dans le milieu de tes deux emmarchement puis tu les reliras par un arc de cercle dont le centre ne sera pas situé sur la bissectrice de l'angle de l escalier puisque tu as deux emmarchement inégaux.
Sur cette ligne de foulée tu feras la division de tes girons qui en principe sont égaux sur cette ligne.
Donc le premier travail est le développement de cette ligne de foulée en portant ton échappée soit parallèle au rampant du toit ou plus surement en portant l'échappée à l'aplomb de ton chevêtre qui doit être le point le plus bas de l'échappée.
Sinon tu risque de faire un plan et un balancement pour rien il me semble que trente six seb à eu cette mésaventure.
Menuiserie à double joint donc à recouvrement . Les choix sont multiples il faut savoir si il y a un montant de battu rapportée ou pas . En tout état de cause pour tout les systèmes de crémone il il faudra augmenter la traverse du bâti pour quelle fasse latti avec l'ouvrant ou la placer sur la battue rapportée. Tu peux aussi d'orienter sur des verrous ferrés à chant pour immobilisé le fixe dans ce cas il faut faire attention qu'il n'y ai pas conflit avec les gâches si tu mets une serrure à plusieurs point ainsi qu'a passage du joint. Ne pas oublier de proportionner la dimension des montants en fonction de l'axe de la serrure choisi, ainsi que les dimensions du bâti si ferme porte envisagé.
Salut
oui vérins ou pieds réglables cela c'est la même chose le principe étant de pouvoir régler rapidement les aplombs et niveaux en s'affranchissant des imperfections du site.
Pour décomposer les meubles j'aurai fait un caisson bas aves des traverses hautes arrivants sous le dessus donc invisibles le but si l'accessibilité de ton chantier et les dimensions le permettent d'amener le bas monté si non le rediviser en deux en doublant un montant et mettre un demi recouvrement.
Pour la prise de cote le mieux à mon avis et un bon mètre ou mieux une pige télescopique simplement et de faire une triangulation pour juger de l'équerrage et un niveau pour juger de l'aplomb. La prise de cote est une étape primordiale à réaliser avec soins faire un croquis représentant le plan et le développement des murs tout les détail doivent être représentés (cotes, prises , portes plinthe etc) Maintenant le croquis peut être numérique et on peut l'accompagner de quelques photos utiles pour la mémoire quand il se passe du temps entre la prise de cote et la réalisation. Deux écoles pour la prise de cotes soit au mur soit par rapport à un repère .
Je ne pense pas avoir écrit qu'il fallait le déporter sur la bissectrice de l'angle d'équerre de l'escalier. Ici nous avons deux volées d'emmarchement inégale sans parler de le déporter, le centre ne pas se trouver sur la bissectrice de l'angle d'équerre. La largeur d'emmarchement ayant une différence de 100 mm il ,suffit de déporter le passage de la bissectrice de 50 mm et de reculer ou non le centre de l'arc. je rappel que c'est une ligne fictive et de nombreux praticiens ne considère pas l'arc de cercle pour le balancement mais une ligne imaginaire perpendiculaire à la bissectrice de deux nez de marches consécutives, ou d'autres augmente légèrement le giron dans le virage.
Déplacer le centre de courbure n'est pas systématique mais courant et n engendre pas de problème particulier.
La solution à mon point de vue la moins mauvaise est ta première solution escalier à pas japonais : g = 290 h= 191. C'est la solution qui donne le plus de place à ton pied et le moins de pente sur la ligne de foulée donc la plus sécurisante. comme Kentaro les notions de fatigue sont accessoires. Donc un giron de 167 est exclu. Après il faut savoir l'utilité de cet escalier car en tout état de cause cela sera de toute façon un escalier difficile. Sinon il faudrait envisager une autre solution.
hello
ton projet semble assez abouti. un portail est soumis en continu aux intempéries n'étant pas protégé par la maçonnerie. Les méthodes de protection sont avant tout le choix d'une essence adaptée et une protection par traitement. Du point vu technique il faut privilégier des assemblages non piégeant et des profils qui ne retiennent pas l'eau. D'où des profils arrondi des jeux au moins égal à 8mm pour évite les rentrées par capillarité. De plus il faut éviter tout contact avec le sol ainsi que les eaux de rejaillissement en plaçant les traverses assez haut par rapport au sol.
Sur ton projet si on tient pas compte des données économique j'inverserai les rainures ce qui va induire un arasement biais , tu pourrais aussi étudier une fausse coupe pour éviter tout bois de bout, en principe tu peux d'en sortir sans vis pour les barreaux.. Il faut penser à des dispositifs pour éviter que l'eau ne stagne à un endroit . Cela complique un peu la fabrication d'où un coup économique c'est une des raisons pourquoi en tant que professionnel malheureusement on se dirige vers des choses plus simples.
La solivette doit simplement être assez haute pour avoir une surface de fixation assez grande du 38 x 150 ou du 32 x 172 devrait passer. Pour les tasseaux autant utiliser les 40 *40 puisque tu les as et garder un entraxe court. Mais l'idéal serait de pouvoir repasser une solivette entre les entraits et se dispenser des tasseaux gagnant de la hauteur sous plafond et de plancher perpendiculaire aux entraits ta plus grande distance entre entrait étant de 800 on passerai à 400. Mais encore faut t'il en avoir la possibilité technique. En tout cas la solivette posée en fourrure te permettra de caler le juste nécessaire.
La solution du "cove cutting " est très intéressante pour information nous l'utilisons pour évider des noyaux d'escaliers par exemple . il se trouve que ces cas là la scie couche le bois dans la première partie de la courbe puis vient le soulever donnant un état de surface plus mauvais dans cette seconde partie. Pour palier à cette inconvénient nous réglons la machine pour évider légèrement plus petit puis nous procédons par retournement pour arriver à la cote final ainsi le bois est couché sur les deux cotés. Je doute que cela soit utile pour ce projet le rayon étant très petit mais cela servira peut être pour une prochaine fois.
Bonjour
Tes arguments sur la nécessité d'un plan sont indiscutables de plus si José Das Neves que je salue au passage s'intéresse au fil je vais avoir du mal à justifier mon point de vue.
La mise au plan est la pierre angulaire de la formation des métier du bois on est d'accord.
Le logiciel de modélisation permet d'aborder plusieurs systèmes constructifs ; aide à l'organisation de ses idées améliore notre perception spatiale incontournable si couplé à une optimisation ou une cam pour cnc.
Alors avant de te répondre je vais me permettre quelques remarques à l'attention de José Das Neves en sa qualité d'enseignant.
J'ai le sentiment que le dessin numérique bien incontournable paradoxalement freine un peu l'apprentissage de nos jeunes sur les points suivants.
-appréhension des propositions. il est difficile pour moi d'appréhender une courbe sur un écran. Le passage au réel ne va pas être plus difficile car moins de pratique?
-le faite que certaines tâches sont automatiques rend t'il l'apprentissage plus difficile. Je pense en autre au trait carré , Thalès ,etc. Du coup certain tracés techniques exécuté au compas sont t'il pas plus difficile à acquérir
Traditionnellement sur la planche à dessin on était en 2d on devait dans notre tête se placer dans tel ou tel plan .
L'apprenant devait acquérir des notions de vraie grandeurs, lpgp, calibre rallongé et des notions de géométrie descriptive.
Alors comme la calculette est peut être un frein au calcul mental le logiciel de modélisation ne freine t'il pas dans une certaines mesure les capacités spatial de l'apprenant en le rendant un peu plus passif ?
Par curiosité quel proportion de dessin à la planche garde t'on dans un cursus scolaire .
Alors trente six seb Le client ne s'intéresse pas aux détail techniques Ok pour vendre ton projet faire une photo implanter ton projet dans l'univers du client cela est très vendeur.
Mais cela s'arrête Là
Tu est Menuisier c'est un travail courant
Résumons
Les dimensions hors tout sont connus ; la largeur minimum des montants est conditionné par la serrure sa hauteur étant dans un intervalle conditionnée par des données d'ergonomie qui du coup place la traverse centrale.
La porte étant à double parement le ravancement est identique des deux cotés et donc égal à ta mouluration que tu doit possédé dans ton atelier donc fixée .
Les assemblages sont déduit des dimensions de chaines que tu as à disposition, en principe tu dois faire une barbette rien d'insurmontable. la largeur rainure est indirectement déduite à partir de l'épaisseur de tes panneaux qui en fonction de ton outil plate bande doit laissé des carré adapté à la finition de l'ouvrage ( carré plus important en fonction d'une finition peinte).
Alors que reste t'il à définir dans une certaine mesure les proportions de certains éléments . Et là le logiciel n'est pas d'un plus grand secours qu'un dixième d'exécution à cause de la difficulté d'appréhension des propositions.
Question entre la phase de présentation la partie technique combien de temps sur l'écran ? il faut intégrer ce temps au coût de revient .
Si tu as un petit doute un petit détail en deux coup d'équerre sur un panneau et hop.
Tu es pro tu dois pouvoir t'affranchir des tâches qui sont pas indispensable le raisonnements est autre pour les débutants voilà pourquoi je suis un peu catégorique avec toi.
Bonjour
Cela m'amuse beaucoup car il semblerai que nous possédons beaucoup de points commun il s'avère que je suis dyslexique pour les fautes d'orthographes n'en parlons pas et nous savons tout deux que nous avons la même formation.
Alors quelques précisions bizarrement on pourrai me qualifier d'un ancien pro informatique sans avoir ton aisance j'utilise sketchup et autocad journellement ainsi que les cam associées aux cnc.
Alors pourquoi je suis un peu dubitatif sur ta certitude, certainement pas par esprit de contradiction mais pour poursuivre une réflexion qui me tient à cœur à savoir le passage du savoir et la formation de nos jeunes.
Nous sommes d'accord sur le fait que le dessin est la pierre angulaire de la formation.
Je dit en aucun cas que la modélisation papier est mieux que l'ordi je m'excuse si je me suis mal fait comprendre. Non mon inquiétude vient sur le fait que du coup on délaisse la planche à dessin et toute la gymnastique de perception spatiale qui lui est associée. Sur la planche la main est couplé au cerveau les choses vont moins vite que un raccourci clavier. Sans oublier l'exigence de soin qui lui est associé.
Comme la calculette peut dans une certaine mesure être un frein au calcul mental je me demande si le passage directement à l'ordi nuit pas aux apprentissage de bases.
Mon raisonnement est fondé sur les jeunes que l'on accueillent en entreprise ainsi que les jeunes que je croisent dans un autre cadre.
Alors le panel est réduit est la situation est peut être différente.
Mais puisque tu as la chance d'être au milieu de jeunes en permanence je te propose de vérifier leurs connaissances de bases géométrique
A savoir par exemple
Le périmètre d'un triangle ?
Différente manière de tracer un trait carré ?
Division par Thalès ?
Traçage de bissectrice ?
Raccord de courbes et trouver le centre d'un cercle?
Depuis maintenant longtemps je pose ces questions et le résultat est assez alarmant, la plus part de ces connaissances de bases sont si je peux dire transparente à l'ordi (automatique) et donc pas acquise car pas réalisées autrement que sur un écran. Or je suis fermement convaincu qu'il existe une mémoire de la main
si on pousse un peu plus haut le fiston aborde l'arêtier (pot à colle aspirant 3 année) donc dessin autocad. je suis amené à donner un coup de main sur les épures .
Le constat n'est pas meilleur il faut recommencer à la base car les notions de traces d'un plan ; d'intersection de plan voir même les projections sont flous.
Loin de moi d'essayer de diaboliser l'ordi il est incontournable. Mais il doit à mon avis est être accompagné d'une formation qui doit assurer les connaissances de bases utiles à chacun.
Si je reprend l'exemple de la porte , je vais donner son exécution à Seb avec le dessin du client je vais pas pousser le détail par manque temps puis aussi parce que comme je considère comme un pâtissier sait combien il y a de plis dans un croissant un menuisier à tout éléments par mener sa tache à bien.
En gros nous somme d'accord mais fait l'expérience de tester les connaisses de tes élèves sur les bases qui vont avoir besoins dans un atelier l'ordi ne sera peut être pas sur l'établi.
Se poser des questions sur ce que l'on gagne à l'ordi est bien mais se la poser sur ce que l'on perdre : dessin des courbes, appréciation des proportions, tracés élémentaires au compas? etc quid
Par contre pour me faire infléchir je suis en train de dessiner l'épure d'une applique mural en arêtier montant gainés sur base carré et dessus incliné elle fait parti de la progression du fiston. Moi je la dessine en 2d avec SketchUp toi tu la dessine en 3d. La comparaison serait intéressante.
Bonsoir
Oui je comprends bien ton souci tu as besoin de te rassurer avec un plan. assez poussé.
Alors entièrement d'accord avec la présentation client rien à dire pour le reste je pense que tu évolueras avec le temps et la confiance.
Cela dépend aussi comment tu a appris à travailler . Pour prendre l'exemple de ta porte tu as une mortaiseuse à chaine les tenons vont dépendre des chaines que tu as en ta possession et ton choix guidé par la règle du tiers.. La porte étant à double parement la mortaise va être dans le milieu ; la largeur de la moulure est aussi fixé par ton outillage alors il te reste la largeur de rainure pour cela il est avantageux de pousser en premier les moulures et puis dans le bois restant tu pourras facilement déterminer ta largeur de rainure en conservant les carrés qui faut. Idem pour la plate bande tu applique pas à mon avis la bonne méthode tu me dit que tu veux un plan précis et tu te retrouve à faire du pif avec les plates bandes. Non quand tu as un nouveau outillage il faut faire des essais pour déterminer les épaisseurs pour l'usinage . Je te conseille de faire des angles ; je m'explique du fait un bout de montant avec un bout de traverse et du insère le panneau plate bande . Et Voilà du as un modèle réduit de la porte qui t 'assure de savoir l'épaisseur minimum requise pour le panneau ; la largeur de rainure ainsi que celle de la moulure et de plus un modèle pour ton client en complément du dessin sketchup. Tu fait cela une seule fois en même temps que ta porte par exemple est tu auras quelque chose qui collera avec ton atelier. Tu peux poussez le détail du plan comme tu veux si cela ne correspond pas à ton outillage l'utilité est réduite.
Alors pour les coupes je comprend pas sur ton pas à pas j'ai pas vu de radial fait les à la format butée en arasement pour les traverses ; butée en bout pour les montants ( d'où l'intérêt dans le cas présent de couper de long dés le départ en prévoyant un léger calibrage si tu veux) idem c'est une méthode de travail la qualité des coupes découle aussi du toupillage mettre un conte guide et toupiller en deux passe peux s'avérer utile.
Alors l'utilité d'une barbette est de tenir jusqu'au bout la traverse pour qu'elle ne se tortille pas au niveau de l'épaulement. Si tu en fait pas cela n'est pas une catastrophe.
En complément à ma réponse trouve une marche qui grince force la avec un pied de biche et une cale par le devant vers le haut pour la mettre en tension puis met une cale qui prend appui sous la marche du dessous et qui conserve cette tension. Si cela supprime le problème tu peux envisager de le faire sur l'ensemble soit par derrière ou par devant par l'ajout d'un listel sous le nez de marche qui met la marche en tension.