Bonjour
Cela m'amuse beaucoup car il semblerai que nous possédons beaucoup de points commun il s'avère que je suis dyslexique pour les fautes d'orthographes n'en parlons pas et nous savons tout deux que nous avons la même formation.
Alors quelques précisions bizarrement on pourrai me qualifier d'un ancien pro informatique sans avoir ton aisance j'utilise sketchup et autocad journellement ainsi que les cam associées aux cnc.
Alors pourquoi je suis un peu dubitatif sur ta certitude, certainement pas par esprit de contradiction mais pour poursuivre une réflexion qui me tient à cœur à savoir le passage du savoir et la formation de nos jeunes.
Nous sommes d'accord sur le fait que le dessin est la pierre angulaire de la formation.
Je dit en aucun cas que la modélisation papier est mieux que l'ordi je m'excuse si je me suis mal fait comprendre. Non mon inquiétude vient sur le fait que du coup on délaisse la planche à dessin et toute la gymnastique de perception spatiale qui lui est associée. Sur la planche la main est couplé au cerveau les choses vont moins vite que un raccourci clavier. Sans oublier l'exigence de soin qui lui est associé.
Comme la calculette peut dans une certaine mesure être un frein au calcul mental je me demande si le passage directement à l'ordi nuit pas aux apprentissage de bases.
Mon raisonnement est fondé sur les jeunes que l'on accueillent en entreprise ainsi que les jeunes que je croisent dans un autre cadre.
Alors le panel est réduit est la situation est peut être différente.
Mais puisque tu as la chance d'être au milieu de jeunes en permanence je te propose de vérifier leurs connaissances de bases géométrique
A savoir par exemple
Le périmètre d'un triangle ?
Différente manière de tracer un trait carré ?
Division par Thalès ?
Traçage de bissectrice ?
Raccord de courbes et trouver le centre d'un cercle?
Depuis maintenant longtemps je pose ces questions et le résultat est assez alarmant, la plus part de ces connaissances de bases sont si je peux dire transparente à l'ordi (automatique) et donc pas acquise car pas réalisées autrement que sur un écran. Or je suis fermement convaincu qu'il existe une mémoire de la main
si on pousse un peu plus haut le fiston aborde l'arêtier (pot à colle aspirant 3 année) donc dessin autocad. je suis amené à donner un coup de main sur les épures .
Le constat n'est pas meilleur il faut recommencer à la base car les notions de traces d'un plan ; d'intersection de plan voir même les projections sont flous.
Loin de moi d'essayer de diaboliser l'ordi il est incontournable. Mais il doit à mon avis est être accompagné d'une formation qui doit assurer les connaissances de bases utiles à chacun.
Si je reprend l'exemple de la porte , je vais donner son exécution à Seb avec le dessin du client je vais pas pousser le détail par manque temps puis aussi parce que comme je considère comme un pâtissier sait combien il y a de plis dans un croissant un menuisier à tout éléments par mener sa tache à bien.
En gros nous somme d'accord mais fait l'expérience de tester les connaisses de tes élèves sur les bases qui vont avoir besoins dans un atelier l'ordi ne sera peut être pas sur l'établi.
Se poser des questions sur ce que l'on gagne à l'ordi est bien mais se la poser sur ce que l'on perdre : dessin des courbes, appréciation des proportions, tracés élémentaires au compas? etc quid
Par contre pour me faire infléchir je suis en train de dessiner l'épure d'une applique mural en arêtier montant gainés sur base carré et dessus incliné elle fait parti de la progression du fiston. Moi je la dessine en 2d avec SketchUp toi tu la dessine en 3d. La comparaison serait intéressante.
Bonsoir
Oui je comprends bien ton souci tu as besoin de te rassurer avec un plan. assez poussé.
Alors entièrement d'accord avec la présentation client rien à dire pour le reste je pense que tu évolueras avec le temps et la confiance.
Cela dépend aussi comment tu a appris à travailler . Pour prendre l'exemple de ta porte tu as une mortaiseuse à chaine les tenons vont dépendre des chaines que tu as en ta possession et ton choix guidé par la règle du tiers.. La porte étant à double parement la mortaise va être dans le milieu ; la largeur de la moulure est aussi fixé par ton outillage alors il te reste la largeur de rainure pour cela il est avantageux de pousser en premier les moulures et puis dans le bois restant tu pourras facilement déterminer ta largeur de rainure en conservant les carrés qui faut. Idem pour la plate bande tu applique pas à mon avis la bonne méthode tu me dit que tu veux un plan précis et tu te retrouve à faire du pif avec les plates bandes. Non quand tu as un nouveau outillage il faut faire des essais pour déterminer les épaisseurs pour l'usinage . Je te conseille de faire des angles ; je m'explique du fait un bout de montant avec un bout de traverse et du insère le panneau plate bande . Et Voilà du as un modèle réduit de la porte qui t 'assure de savoir l'épaisseur minimum requise pour le panneau ; la largeur de rainure ainsi que celle de la moulure et de plus un modèle pour ton client en complément du dessin sketchup. Tu fait cela une seule fois en même temps que ta porte par exemple est tu auras quelque chose qui collera avec ton atelier. Tu peux poussez le détail du plan comme tu veux si cela ne correspond pas à ton outillage l'utilité est réduite.
Alors pour les coupes je comprend pas sur ton pas à pas j'ai pas vu de radial fait les à la format butée en arasement pour les traverses ; butée en bout pour les montants ( d'où l'intérêt dans le cas présent de couper de long dés le départ en prévoyant un léger calibrage si tu veux) idem c'est une méthode de travail la qualité des coupes découle aussi du toupillage mettre un conte guide et toupiller en deux passe peux s'avérer utile.
Alors l'utilité d'une barbette est de tenir jusqu'au bout la traverse pour qu'elle ne se tortille pas au niveau de l'épaulement. Si tu en fait pas cela n'est pas une catastrophe.
non je me suis mal expliqué je fait simplement un petit trait sur le chant pour le mettre en alignement avec le par éclat mais cela se fait que pour une traverse on ne trace jamais toutes les traverses . 1 tu te met en alignement avec le bout de ton par éclat qui donne la première longueur de tenons puis ensuite en butée a l'arasement. Pour une traverse avec une mortaise il suffit de faire les tenons d'abord pour définir les arasements et puis revenir à la mortaiseuse cela permet un positionnement précis de la mortaise les arasements donnant une référence fixe plus simple que de centrer les arasements après avoir exécuter la mortaise . A noter que souvent on laisse l'arasement plus long pour faciliter de ce genre de traverse similaire à des petits bois centraux. Pour les entailles sur les bagues elle sont vendus comme cela c'est une entaille simple triangulaire on doit pouvoir les faire en coinçant les bagues en sandwich et un coup de lime.
En principe on trace pas les traverses.
Faire le tenon en entier ne sert qu'a aller plus vite car du coup tu trace rien tu peux l'aligner aussi avec un réglet mais c'est une perte de temps .Tracer les traverses pour une usinage machine je ne vois pas l'intérêt c'est plutôt une source d'imprécision pourquoi faire des traits inutiles. La mise en longueur est faite dans le cas de ton outillage en butée à la format et la précision est obtenu avec la butée en arasement à la tenonneuse . Tu aurais une tenonneuse à dérouleur avec une scie en tête on tracerai rien alors fait pareil.
Pour les jeunes qui sont passés dans les divers ateliers ou j'ai pratiquer la chose la plus importante que j'essayai de leur transmettre c'est d'avoir en confiance en eux. Vérifier et revérifier est souvent improductif. L'important est de mettre en place des méthodes qui limitent l'imprécision. Par exemple il y a pas long temps il y a eu une question sur l'imprécision des équerres , si elle est d'équerre cela n'est que mieux mais le plus important est la méthode de traçage qui par exemple en partant du milieu va diviser l'imprécision par deux.
Donc à mon avis supprimer les opérations qui n'apportent pas de précisions supplémentaires. Quitte à se planter autant se planter rapidement cela laisse plus de temps pour se rattraper.
Je vais te livrer une dernière réflexion :
Un bon professionnel se voit à la capacité à rattraper ses erreurs.
Avant tout il faut prendre confiance
Amicalement
Aucune idée quand au rayon du bas mais dans le cas d'une structure intérieur on pourrait peut être traiter cela directement dans une masse de mdF puis plaquer . C'est pourquoi je disais de décomposer la courbe Evidement il manque une série de cotes pour pouvoir donner un avis plus précis.
Bonjour
Alors je vais dire peut être des bêtise car je sors un peu de mon domaine. Evidement mon premier réflexe est de coller à la néoprène mais là on est dans l'agencement. Ensuite je pense au moule vu la faible largeur de la table je ferai un moule vertical à base de potelets . Dessin de la forme sur un panneau mise en place de potelets le long du tracé en les vissant sur le panneau et en surélevant le tout ; ajout de cp cintrable pour la régularité du collage .seule la partie à rayon resserré serait traiter avec un potelet de forme. serrage par brides ou serre joints.
Après les autres formes de placage sable , poche à air je sais pas mais en tant que pot à colle de luxe je suis sûr que tu est plus compétent que moi dans ce domaine. Toujours est t'il que le projet est très intéressant , cela serai sympa de nous tenir au courant des solutions retenues
Bonjour
Alors par potelet je parle de la fabrication d'un moule simplifié.
Après avoir dessiné la courbe sur un panneau on dispose des potelets fait en équerres sur le tracé (voir image).
Les parties les plus courbe sont fait par moule de la forme ( empilage par exemple).
Les potelets sont en forme de T (voir croquis ) le bas du potelet permet de surélever la courbe pour passer une tige fileté ou un serre joint en dessous pour assurer le serrage bas.
Sur mon croquis je n'est pas dessiné le cp cintrable qui relie les potelets pour éviter les cassures. En face des potelet vient simplement un autre cp et une contre cale cette contre cale à l'avantage d'être évidée dans les partie courbes pour appuyer sur les points de tangences (voir croquis ). Les cales de formes on les faces profilés pour recevoir le serrage ou des trous pour passer un serre joint.
Il faut contreventer le tout mais en principe cela est très rapide et s'adapte à tout les formes car dans le cas de cintre pas aussi resserré on se passe des cales de les potelets s'adaptant au cintre plus grand .
J'ai pas les dimensions de ton ouvrage mais dans une conception stand j'aurai découpée l'âme intérieur dans du cp à la cn puis poser deux cp cintrable agrafé collage polyuréthane. Parement extérieur néoprène pistolet cela semble pas insurmontable. Ceci le stand c'est éphémère pour quel que chose de plus sérieux je collerai blanche dans un Moule comme décrit si la forme n'est pas trop haute. La technique demande toutefois un calibrage après collage donc les chants viennent ensuite j'ai pas d'expérience avec collage chants en place.
Pour un collage sous vide mon expérience est limité et j'ai peur d'une usine à gaz mais je vois que Yvon Rolland pratique la technique donc cela n'est pas à négliger car d'évidence cela est plus son coeur de métier que moi.
Amicalement
Yvon Rolland je lis ta réponse à VINCENT HERVIER
Le poids du volet est important mais il faut savoir que la conception de menuiseries avec des clefs est surement celle qui garantie le meilleur équerrage bien plus qu'une conception sur cadre . La conception sur cadre laisse une possibilité de la stagnation de l'eau si on laisse ses volets ouvert en cas de pluie. En ce qui concerne le montage en principe on monte en mettant un calage entre les lames verticales afin de préserver une possibilité de gonflement . les lames sont ensuite fixées sur les clefs par chevillage ou clouage au deux extrémités ou sur toute la longueur en fonction de la position de la penture de plus la clef est collé sur son chant après paraffinage des plats.
Bien réalisée cela donne un équerrage qui dure dans le temps.
Je suis d'accord avec vous le parement extérieur lui pose plus de questions. il est évident qu'il apporte un poids supplémentaire alors les portes anciennes sont nombreuses avec ce type d'assemblage car il permet aux lames de se dilater par chevauchement ou retrait et est facile de mise en œuvre . Néanmoins une porte est placée plus bas sur la façade est risque moins en termes d'intempérie.
Alors votre proposition de bouvetage me semble une sécurité supplémentaire.
Bonjour
Alors Ton propos me fait bien Réfléchir à cette conception et je te remercie car l'échange est très enrichissant.
Je ne reviens par sur l'assemblage d'un volet à clef sur lequel j'ai du recul .
Le point de réflexion porte sur les lames extérieures.
Ce mode de conception se retrouve couramment sur les portes anciennes.
Néanmoins une porte ouvre la plus part du temps sur l'intérieur et a une position plus reculée dans le tableau et souffre surement moins des intempérie notamment de la chaleur (Un volet étant plaqué à la façade en position ouverte ).
Sur ces portes je n'ai pas constaté de problèmes liées à l'infiltration d'eau entre les lames et ta proposition de bouvetage apporte une sécurité supplémentaire.
Par contre il est vrai que les lames s'écartent dans le temps et surtout le bois risque de se fendre en bois de bout en même temps que de se tuiler légèrement malgré la présence de clous repliés .
Ses désordres sont à mon avis. tout à fait acceptable sur une menuiserie ancienne.
Je n'ai pas de recul sur cette conception pour un volet ou ces troubles risque de survenir .
Si on veut vraiment garder cet aspect extérieur la conception me parait pouvoir être mise en œuvre en prenant en compte les risques, ces désordres vont se produiront il faut le savoir.
Si l'aspect extérieur est secondaire alors je me tournerai vers autre fabrication.
De plus si les volets sont a deux vantaux il peut y avoir à terme un problème d'alignement de lames .
En résumé comment garder cet aspect sans modification structurelle j'avoue que ne sais pas et dans l'état cela me semble la moins mauvaise des solutions.
Bonne journée
Tu peux toujours envisager des clefs mais je pense que ton ton cas cela n'est pas indispensable toutefois c'est une sécurité supplémentaire mais un travail accru . Si tu emploi des bois sec il n'y a pas de raison que cela travail outre mesure. Alors pour le clouage deux façon sont couramment employé soit deux clous dans la diagonale du ferrage soit quatre en carre on peux aussi retourner les clous. N'employer pas de dosse et bien faire son établissement en respectant un délai avant corroyage.je corrige un peu mon propos car j'ai survolé un peu trop ta question est compte tenu des dimensions 2400x 800 une série de clefs serait la bienvenue et du coup la possibilité de diminuer le nombre de clous.
Hello
quartier ou faux quartier cela ira. Un dernier point. met tes clefs à au moins 200 mm des bords et ne dépasse pas des mortaises de plus de 150mm pour ne pas fragiliser l'ensemble. Sur ton dessin l'assemblage de l'emboiture haute parait assez grand (languette)attention de ne pas créer de zone de fragilité. A noter aussi que cette forme de fabrication se retrouve sur des portes anciennes avec parfois un bouvetage sur les lames inclinées la pente ne se faisant pas sur la totalité de la profondeur.
Alors pour un bon travail un atelier doit être un lieu tempérer et pas une cave à fromage si vraiment ton local est trop humide il faux chauffer et ventiler pour obtenir des conditions de travail qui permettront un travail convenable ( collage , stabilisation , finition etc )
Pour le stockage les battants longs par exemple sont mis à chants sur tréteaux espacés pour que chaque faces soient exposés aux même contact avec l'air. Pour le reste on stocke en pile avec un panneau dessus dessous avec la même optique d'exposer les faces de façon uniformes.
Alors les pratiques selon les ateliers différent certains font tout à la queue leu sans respecter de temps t'attente entre le débit et le corroyage. Quand c'est possible je suis partisan de respecter un temps de repos qui permet de corriger le tir si il se présente des difficultés. Il y a une étape qui est très importante c'est le dégauchissage Le dégauchissage est la première phase et elle conditionne en grande partie le reste.
Ne met pas de presse à tes bois laisse les respirer uniformément en les couvrant.
En Franche comté j'ai fait une entreprise ou on fabriquaient des vaisseliers avec des panneaux en loupe de frêne ou d'orme. or il faut savoir qu'ils tuilent à vue d'œil; les serre joint les contraignent mais dans les minutes qui suivent le desserrage ils tuilent. ils suffit de les couvrir pour éviter le problème or des fois il y a des oublis. On se retrouvaient avec des panneaux en arc de cercle terrible pour faire des plate bandes qui plus est au fer. La solution était deux tasseaux au sol après avoir jeté un sceau d'eau . poser le panneau au sol sur les deux tasseaux et dix minutes après la situation était rétabli.
hello
a vrai dire trente six seb et moi nous employons le terme ressuyage à tort. Le ressuyage est cette phase ou après le sciage de la bille le bois est entreposé à l'extérieur sur un parc pour stabiliser son hydrométrie et laver ses tanins. Puis vient un stockage intérieur ou le séchoir.
Mais ou cela ce complique est le fait que de nombreux ateliers emploient ce terme pour désigner la phase de stabilisation des bois après le débit d'où une confusion mais c'est probablement un abus de langage.
Chaque Métier s'entoure d'un langage technologique qui a deux buts essentiels à savoir que les professionnels se comprennent entre eux et que les autres ne comprennent rien.
Et même à l'intérieur de cela la même chose prend des noms différents ex: les épingles sont pour les uns des rablettes ,pour les autres des liteaux .
cela à moins d'importance pour une menuiserie peinte mais voit la croissance du bois comme un succession de cônes qui viennent les uns sur les autres en gardant tout dans le même sens ont à une uniformité plus grande une concordance des couleurs . C'est simple je débite comme cela depuis mon apprentissage et j'avais demander à mon patron le pourquoi de la chose il m'avait répondu "Et toi tu aimerais avoir la tête à l'envers " Mais toutes ces règles sont pas à absolument appliquer trop rigidement . Deux montant pris cote à cote vont avoir une meilleurs concordance mis dans le même sens en termes de veinage ; couleurs, et même variabilité.
De plus au niveau du veinage on établi flamme montante.
Bonjour
Erebor je complète mon propos je connais pas les spécificités de l'entreprise de Atelier bois couleur . La scie ne sciera pas plus vite avec l'axe numérique du guide latéral mais en plus du confort qu'il apporte il assure la répétition de la précision des cotes afin de supprimer la phase du pré débit qui est parfois pratiquer dans les entreprises. le positionnement des butées à l’œil est précis disons à 5 dixième or dans la phase du délignage les bandes de même dimension ne sont pas forcément regroupées donc souvent ont déplace le guide. l'important n’étant pas la précision au dixième mais la capacité à répéter la cote.
Pour le tronçonnage les butées sont beaucoup moins fiables et je les trouvent moins intéréssantes c'est un avis peut être n'est t'il plus d'actualité.
Alors les options de la machine sont à voir en fonction de la méthode de travail de la structure par exemple il y a des menuisiers qui débitent en surplus et plaque le chant et reviennent calibrer le panneau
Dans ce cas l' axe motorisé sera moins pertinent , de plus il y a un paramètre humain il est parfois difficile de faire accepter de passer à un positionnement numérique car souvent on à toujours fait autrement et parfois on travail dans une autre unité.
Le problème n'est pas simple
On pourrai prendre toutes les options une à une mais cela dépend vraiment de la méthode de travail et du genre de production.
oui d'accord avec sylvainlefrancomtois peut être envisage du cp cintrable pour rendre la chose plus souple et si le rayon le permet rajouter une mouluration sur le dessus avec feuillure de recouvrement.
Hello
59 est la limite basse, mais finissez votre escalier avec une plaquette au lieu d'une marche entière vous allez gagner une douzaine de centimètre sur l'étendue. il vous reste à gagner très peu pour rentrer dans un blondel correct en modifiant le départ ou l'arrivée.
Pour une maison neuve presque 190 de hauteur de marche c'est pas dramatique mais il faut penser au vieux jour si on veux pas créer une chambre au rez de chaussée. cela vaux le coup d'ajouter une marche d'autant que la forme de votre escalier n'est pas des plus commode .
c'est pourquoi je vous propose de balancer plus de marche car il faut comprendre que l'on monte un escalier en ce plaçant perpendiculaire au nez de marche. En balançant peu de marche vous allez avoir des marches très oblique et enfin de compte sur la ligne de foulée le giron est représenter par un arc de cercle et ne correspond pas à la place ou se pose le pied de plus il y a des incidence sur les limons et la main courante. Pour les épaisseur je vous est donné les épaisseurs des plots ou l'on prend les marches et les cm et les rabotent au plus épais on ne fait pas du copeau pour rien.
Bonjour sylvainlefrancomtois
Tu as raison mon pas à pas est plutôt une sensibilisation il est très succinct pour faire comprendre que toutes les taches d'un ouvrage sont interdépendantes. en ce moment je n'ai pas beaucoup de temps avec ta permission je vais rajouter ton pas à pas dans le texte.
Oui
Je suis un Menuisier bizarre je vais te parler de proportions , d'harmonies de couleurs puis revenir à des notions de productivité.
C'est la somme des petits détails qui font la qualité d'un ouvrage,. Avec la pratique tu vas ajouter un à un ces petits détails tu sauras quand reprendre derrière la large bande selon le type d'ouvrage ou laisser cela en l'état.
A toi de construire ton expérience
sylvainlefrancomtois peut tu me dire comment rajouter la petit vignette de ton pas à pas sur l'établissement dans le texte.
Merci
Hello
La toupie est un vaste sujet un pas un pas sur les techniques plus élaborées m'effraye un peu car je me doit de rester dans des conditions de sécurité optimale pour l'utilisateur. Or expliquer par le texte ou l'image est différent que d'être présent pour corriger et évaluer la pratique de tout les opérateurs. Néanmoins je peux essayer de répondre à vos questions dans la mesure de mes capacités. Je vous signal José Das Neves à de nombreuses vidéos et un site sur les montages d'usinage qui sortent des sentiers battus .
ok
alors remarque préliminaire une plaquette de 60 c'est peu même si dans
ton cas tu n'as pas de contremarche en effet on essaye dans la mesure du possible de mettre la marche a cheval entre le limon et le poteau faisant une sorte de clavette.
Maintenant tu es dans le cas d'un escalier à retour asymétrique
donc la méthode de la herse n'est pas adaptée. Pour ce type d'escalier on emploi soit le trapèze de balancement ou la seconde méthode de la herse ou a l'œil. Je te détaillerai si tu veux les deux méthodes mais dans un premier temps attachons nous sur l'appréciation d'un balancement et ses conséquences.
Quand on débute l'escalier on se préoccupe simplement d'avoir une progression géométrique des collets, qui engendre un limon et une rampe sans cassures . Mais il faut aussi que ton escalier soit facile à monter. alors on monte un escalier en ayant les épaules parallèle au nez de marches ou le pied sensiblement perpendiculaire au même nez de marche ce qui est similaire. Dans un escalier droit cela pose pas de problème tout est confondu dans un escalier balancé surtout avec des marches avec forte pente cela diffère En réalité la ligne de foulée dans un escalier balancé diffère un peu la direction de monté de l'escalier. il en résulte que on apprécie le giron d'un escalier fortement balancé sur des perpendiculaire à la bissectrice de deux nez consécutif. j'ai fait un croquis pour une meilleur compréhension.
Don tu essaie de balancer pour le mieux ton escalier au jugé puis tu apprécie tes girons sur les perpendiculaires il doivent être égaux ce qui va engendrer une redistribution des girons puis tu retrace les collets en veillant à avoir une progression géométrique.
Cela parait bien compliqué dans la pratique on estime la bissectrice et la perpendiculaire au dixième ou à l'échelle 1. visualise sur tes dessin tu vas voir que cette perpendiculaire est inégale . De plus il fort possible qu'il est nécessité de faire des corrections si des nez de marches tombe mal.
La proposition de kaj est une bonne piste.
Si tu veux je développerai les autres méthodes mais cela fait déjà beaucoup à digérer
oui je viens de voir ton dessin je suis pas sûr du résultat de ton trapèze de balancement. Dans ton cas vu que tu as un départ asymétrique du point de vue du nombre de marches , on mène la méthode du trapèze que sur la partie haute . Donc il faut placer la marche d'angle sur ce type d'escalier il y a pas trente six solutions soit le nez de la marche est a peu prés au centre du poteau soit c'est le collet je te joint deux croquis pour illustrer mon propos
Je récapitule la démarche traçage de la cage , placer la marche d'angle, balancer au mieux ; vérification et appréciation avec les perpendiculaires . tracer le girons sur les perpendiculaires cela ne va coïncider en haut ventiler la différence sur l'ensemble des girons faire les ajustements. on peux gironner quelques nez si il se présente des difficultés
Hello
Pour les perpendiculaire il n'est pas essentiel d'être au millimètre près bien que tu peux ventiler la différence avec le giron initial sur l 'ensemble des girons.
Dans ton escalier l'important est de positionner la marche en face du poteau c'est à dire le nez de la trois.
Or sur ton croquis il faudrait le déplacer car le nez de la deux est dans l'angle du poteau ce qui complique l'entaillage .
Comme tu est obligé de faire une crosse à ton limon pour la marche un moi j 'avancerai un peu la deux pour passer sur l'autre face du poteau ou sur la crosse.
Reste le collet de la quatre qui au vu du croquis semble petit si tu avance un peu le bas cela ira déjà un peu mieux en complément je te conseille de balancer les collets à partir de ce nez par la méthode du trapèze ou par progression arithmétique et pas la herse qui elle part de la bissectrice du tournant, en complément moi je balancerai une marche de plus pour lisser le tout.
enfin je peux te dire qu'il me semble que tu est de mon point de vue sur la bonne voie bon taillage
Bonjour
Tes arguments sur la nécessité d'un plan sont indiscutables de plus si José Das Neves que je salue au passage s'intéresse au fil je vais avoir du mal à justifier mon point de vue.
La mise au plan est la pierre angulaire de la formation des métier du bois on est d'accord.
Le logiciel de modélisation permet d'aborder plusieurs systèmes constructifs ; aide à l'organisation de ses idées améliore notre perception spatiale incontournable si couplé à une optimisation ou une cam pour cnc.
Alors avant de te répondre je vais me permettre quelques remarques à l'attention de José Das Neves en sa qualité d'enseignant.
J'ai le sentiment que le dessin numérique bien incontournable paradoxalement freine un peu l'apprentissage de nos jeunes sur les points suivants.
-appréhension des propositions. il est difficile pour moi d'appréhender une courbe sur un écran. Le passage au réel ne va pas être plus difficile car moins de pratique?
-le faite que certaines tâches sont automatiques rend t'il l'apprentissage plus difficile. Je pense en autre au trait carré , Thalès ,etc. Du coup certain tracés techniques exécuté au compas sont t'il pas plus difficile à acquérir
Traditionnellement sur la planche à dessin on était en 2d on devait dans notre tête se placer dans tel ou tel plan .
L'apprenant devait acquérir des notions de vraie grandeurs, lpgp, calibre rallongé et des notions de géométrie descriptive.
Alors comme la calculette est peut être un frein au calcul mental le logiciel de modélisation ne freine t'il pas dans une certaines mesure les capacités spatial de l'apprenant en le rendant un peu plus passif ?
Par curiosité quel proportion de dessin à la planche garde t'on dans un cursus scolaire .
Alors trente six seb Le client ne s'intéresse pas aux détail techniques Ok pour vendre ton projet faire une photo implanter ton projet dans l'univers du client cela est très vendeur.
Mais cela s'arrête Là
Tu est Menuisier c'est un travail courant
Résumons
Les dimensions hors tout sont connus ; la largeur minimum des montants est conditionné par la serrure sa hauteur étant dans un intervalle conditionnée par des données d'ergonomie qui du coup place la traverse centrale.
La porte étant à double parement le ravancement est identique des deux cotés et donc égal à ta mouluration que tu doit possédé dans ton atelier donc fixée .
Les assemblages sont déduit des dimensions de chaines que tu as à disposition, en principe tu dois faire une barbette rien d'insurmontable. la largeur rainure est indirectement déduite à partir de l'épaisseur de tes panneaux qui en fonction de ton outil plate bande doit laissé des carré adapté à la finition de l'ouvrage ( carré plus important en fonction d'une finition peinte).
Alors que reste t'il à définir dans une certaine mesure les proportions de certains éléments . Et là le logiciel n'est pas d'un plus grand secours qu'un dixième d'exécution à cause de la difficulté d'appréhension des propositions.
Question entre la phase de présentation la partie technique combien de temps sur l'écran ? il faut intégrer ce temps au coût de revient .
Si tu as un petit doute un petit détail en deux coup d'équerre sur un panneau et hop.
Tu es pro tu dois pouvoir t'affranchir des tâches qui sont pas indispensable le raisonnements est autre pour les débutants voilà pourquoi je suis un peu catégorique avec toi.