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545 commentaires
Bonbonveronbi

vis de six au moins 2 fois l'épaisseur de la marche en longueur je dirai du 60/70 .

Bonbonveronbi

Hello
Deux vis placées en biais suffisent pour ne pas multiplier les bouchons. Mais il faut compléter le travail avec des tourillons et coller le tout. Les vis ne servent pour le serrage.

Bonbonveronbi

En complément à ma réponse trouve une marche qui grince force la avec un pied de biche et une cale par le devant vers le haut pour la mettre en tension puis met une cale qui prend appui sous la marche du dessous et qui conserve cette tension. Si cela supprime le problème tu peux envisager de le faire sur l'ensemble soit par derrière ou par devant par l'ajout d'un listel sous le nez de marche qui met la marche en tension.

Bonbonveronbi
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hello
Pour enlever tes doutes Hettich fait plus ou moins la même chose.
ceci dit pour l'instant je vois mal l'intérêt de la chose. Il me semble pourtant avoir mis une fois cela œuvre l mais il me semblait que cela était avec du blum ma mémoire me fait défaut.

Bonbonveronbi

il suffit peut être de faire un petit retour pour réceptionner l'embase.

Bonbonveronbi
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Bonjour
sylvainlefrancomtois La solution de la degau oui je confirme comme tu le dit pour des guide en bois .
La je met en garde Gyl les guides sont en cp les fers vont pas aimer reste à les refaire en bois bonne solution.

Bonbonveronbi

c'est pas la peine d'investir dans une règle de mécanicien outilleur . un bois bien dégauchi, une règle en plastique enfin n'importe quoi pourvu que cela droit et soit assez long en fonction de la longueur de tes guides.
La solution du guide continu c'est à dire de rajouter une plaquette toute longueur sur des deux guides permet de combler les petites imprécisions et donne un toupillage plus sécurisant.

Bonbonveronbi

oui et non la plaquette est une des variables d'ajustement que tu as disposition pour gérer ton échappée les autres étant la reculée de ton escalier, le nombre de marches avec leurs hauteurs. La variation de la largeur de la plaquette ou marche palière fait varié la pente de la ligne de foulée ce qui donne plus ou moins d'échappée mais elle a aussi une influence sur la hauteur de la main courante ainsi que le raccord avec l'éventuel garde corps de l'étage. Dernier point il faut veiller quelle soit assez large pour absorber une éventuel contremarche et lasser un jeu pour parer a l'éventuel faux équerrage de l'arrivée .
Un dernier mot une fois que tu auras trouvé une échappée convenable tu auras à définir le nombre de marches ainsi que leur hauteur.
Pour cela tu vas de référer à la formule de Blondel, alors le principe est toujours bon mais il faut un peu relativiser car le texte original est le suivant : " la longueur du pas aisé d'un homme qui marche de niveau est de deux pieds c'est à dire vingt quatre pouces, et la hauteur de celui qui monte à une échelle dressée à plomb est de douze pouces." Donc la marche idéale serait une hauteur de marche qui aurait la moitié de son giron et c'est cela qui il faut retenir.
tout d'abord Blondel nous donne 2H+ G = 2 pieds soit 648 mm mais on ne consacre pas autant de place aux escalier dans le logis qu'a son époque il vaux mieux viser un module de 630 mm.
De plus un escalier à 45° va avoir par exemple une hauteur de marche de 213 mm et un giron identique d'où 2x213+ 213 =639. On rentre parfaitement dans le module mais la part de trajet vertical est égal au trajet horizontal. Donc le moment du choix du module doit tenir compte de la proportion du trajet horizontal par rapport à l'horizontal en autre terme de la pente de l'escalier.

Bonbonveronbi
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La ligne de foulée est au milieu de l'emmarchement pour les escaliers inférieur ou égale à un mètre d'emmarchement . il faut comprendre que cela matérialise l'endroit ou l'usager va emprunter l'escalier; quand l'escalier est supérieur à un mètre elle se situe à 450 /500 mm de la main courante à l'endroit ou l'usager aura une bonne préhension de la main courant pour utiliser l'escalier. Donc tu la situe dans le milieu de tes deux emmarchement puis tu les reliras par un arc de cercle dont le centre ne sera pas situé sur la bissectrice de l'angle de l escalier puisque tu as deux emmarchement inégaux.
Sur cette ligne de foulée tu feras la division de tes girons qui en principe sont égaux sur cette ligne.
Donc le premier travail est le développement de cette ligne de foulée en portant ton échappée soit parallèle au rampant du toit ou plus surement en portant l'échappée à l'aplomb de ton chevêtre qui doit être le point le plus bas de l'échappée.
Sinon tu risque de faire un plan et un balancement pour rien il me semble que trente six seb à eu cette mésaventure.

Bonbonveronbi

Menuiserie à double joint donc à recouvrement . Les choix sont multiples il faut savoir si il y a un montant de battu rapportée ou pas . En tout état de cause pour tout les systèmes de crémone il il faudra augmenter la traverse du bâti pour quelle fasse latti avec l'ouvrant ou la placer sur la battue rapportée. Tu peux aussi d'orienter sur des verrous ferrés à chant pour immobilisé le fixe dans ce cas il faut faire attention qu'il n'y ai pas conflit avec les gâches si tu mets une serrure à plusieurs point ainsi qu'a passage du joint. Ne pas oublier de proportionner la dimension des montants en fonction de l'axe de la serrure choisi, ainsi que les dimensions du bâti si ferme porte envisagé.

Bonbonveronbi

Salut
oui vérins ou pieds réglables cela c'est la même chose le principe étant de pouvoir régler rapidement les aplombs et niveaux en s'affranchissant des imperfections du site.
Pour décomposer les meubles j'aurai fait un caisson bas aves des traverses hautes arrivants sous le dessus donc invisibles le but si l'accessibilité de ton chantier et les dimensions le permettent d'amener le bas monté si non le rediviser en deux en doublant un montant et mettre un demi recouvrement.
Pour la prise de cote le mieux à mon avis et un bon mètre ou mieux une pige télescopique simplement et de faire une triangulation pour juger de l'équerrage et un niveau pour juger de l'aplomb. La prise de cote est une étape primordiale à réaliser avec soins faire un croquis représentant le plan et le développement des murs tout les détail doivent être représentés (cotes, prises , portes plinthe etc) Maintenant le croquis peut être numérique et on peut l'accompagner de quelques photos utiles pour la mémoire quand il se passe du temps entre la prise de cote et la réalisation. Deux écoles pour la prise de cotes soit au mur soit par rapport à un repère .

Bonbonveronbi

Je ne pense pas avoir écrit qu'il fallait le déporter sur la bissectrice de l'angle d'équerre de l'escalier. Ici nous avons deux volées d'emmarchement inégale sans parler de le déporter, le centre ne pas se trouver sur la bissectrice de l'angle d'équerre. La largeur d'emmarchement ayant une différence de 100 mm il ,suffit de déporter le passage de la bissectrice de 50 mm et de reculer ou non le centre de l'arc. je rappel que c'est une ligne fictive et de nombreux praticiens ne considère pas l'arc de cercle pour le balancement mais une ligne imaginaire perpendiculaire à la bissectrice de deux nez de marches consécutives, ou d'autres augmente légèrement le giron dans le virage.
Déplacer le centre de courbure n'est pas systématique mais courant et n engendre pas de problème particulier.

Bonbonveronbi
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tu verras avec l'expérience on commence par faire le développé au dixième pour fixer l'échappée cela évite de faire des épures pour rien.

Bonbonveronbi
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La solution à mon point de vue la moins mauvaise est ta première solution escalier à pas japonais : g = 290 h= 191. C'est la solution qui donne le plus de place à ton pied et le moins de pente sur la ligne de foulée donc la plus sécurisante. comme Kentaro les notions de fatigue sont accessoires. Donc un giron de 167 est exclu. Après il faut savoir l'utilité de cet escalier car en tout état de cause cela sera de toute façon un escalier difficile. Sinon il faudrait envisager une autre solution.

Bonbonveronbi
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une marche de plus cela ferai des girons d'environ 270 avec des hauteurs de 178 la ligne de pente sera d'environ 63°contre 52 ° dans le cas précédent.

Bonbonveronbi

oui pour être sur de la finition , après il vaut mieux utiliser un décireur mélanger avec de l'eau qui sera moins gras et sentira moins que la térébenthine ( attention ventiler bien la pièce) et y aller au balai brosse avant ponçage.

Bonbonveronbi

hello
ton projet semble assez abouti. un portail est soumis en continu aux intempéries n'étant pas protégé par la maçonnerie. Les méthodes de protection sont avant tout le choix d'une essence adaptée et une protection par traitement. Du point vu technique il faut privilégier des assemblages non piégeant et des profils qui ne retiennent pas l'eau. D'où des profils arrondi des jeux au moins égal à 8mm pour évite les rentrées par capillarité. De plus il faut éviter tout contact avec le sol ainsi que les eaux de rejaillissement en plaçant les traverses assez haut par rapport au sol.
Sur ton projet si on tient pas compte des données économique j'inverserai les rainures ce qui va induire un arasement biais , tu pourrais aussi étudier une fausse coupe pour éviter tout bois de bout, en principe tu peux d'en sortir sans vis pour les barreaux.. Il faut penser à des dispositifs pour éviter que l'eau ne stagne à un endroit . Cela complique un peu la fabrication d'où un coup économique c'est une des raisons pourquoi en tant que professionnel malheureusement on se dirige vers des choses plus simples.

Bonbonveronbi
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La solivette doit simplement être assez haute pour avoir une surface de fixation assez grande du 38 x 150 ou du 32 x 172 devrait passer. Pour les tasseaux autant utiliser les 40 *40 puisque tu les as et garder un entraxe court. Mais l'idéal serait de pouvoir repasser une solivette entre les entraits et se dispenser des tasseaux gagnant de la hauteur sous plafond et de plancher perpendiculaire aux entraits ta plus grande distance entre entrait étant de 800 on passerai à 400. Mais encore faut t'il en avoir la possibilité technique. En tout cas la solivette posée en fourrure te permettra de caler le juste nécessaire.

Bonbonveronbi

La solution du "cove cutting " est très intéressante pour information nous l'utilisons pour évider des noyaux d'escaliers par exemple . il se trouve que ces cas là la scie couche le bois dans la première partie de la courbe puis vient le soulever donnant un état de surface plus mauvais dans cette seconde partie. Pour palier à cette inconvénient nous réglons la machine pour évider légèrement plus petit puis nous procédons par retournement pour arriver à la cote final ainsi le bois est couché sur les deux cotés. Je doute que cela soit utile pour ce projet le rayon étant très petit mais cela servira peut être pour une prochaine fois.