Attention à la logique industrielle, le choix de deux joints sur l'ouvrant permet d'avoir une seule sorte de joint pour la menuiserie, de plus le poste de pose de joint est simplifié car on agi sur une seule pièce, la menuiserie en jeu de 12 permet de s'affranchir des entaillage de quincaillerie, on supprime aussi le calibrage d'ouvrant en profilant quatre faces toutes les pièces etc
La menuiserie est telle mieux pour cela ? Les joints sur l'ouvrant sont destinés à être comprimé système de fermeture et donc à mon avis plus sollicité qu'un joint sur l'ouvrant qui doit être poussé par l'air rentrant et ne pas être accrocher à l'ouverture par l'ouvrant.
Par contre dans les deux cas il est possible de faire des trous d'évacuation qui ventilerons et assèche les entrées d'humidité ( il faut parfois faire deux trous qui se rejoigne avec un angle différent.)
il faut être sérieux la plupart des fenêtres ont des trous d'évacuation avec un pare tempête visible en extérieur cela n'as rien à voir avec l'étanchéité air de la menuiserie le plan de joint se situant derrière.
De plus comme je le disais une menuiserie doit permettre la ventilation dans les pièces sèches si il n'y a pas de vmc à double flux.
OUI
Je te propose de rajouter des tapées circulaires qui forment le cochonnet qui est inexistant. A partir de là on pouvoir créer une étanchéité entre la maçonnerie et le châssis de plus notre menuiserie sera un peu reculée est donc plus à l'abris . La croisée reste par contre rectangulaire pour rester dans un budget raisonnable. par contre il faudra monter ces tapées sur un pré dormant en CP extérieur 15 mm pour pourvoir fixer le dormant sans qu'il dépasse dans le tableau et donc tu pourra faire une isolation Mosse entre cp et maçonnerie il faudra aussi pouvoir faire un usinage qui cachera le chant du cp.
alors au vu des photos je ne sais pas si tu as la place de faire passer les tapées en partie haute notamment donc ma réponse est théorique.
l'autre solution serai de faire une menuiserie a recouvrement directement cintrée.
Bonjour,
Vous ne pouvez comparer que ce qui peut l'être :
Distinguons deux choses la fenêtre et la porte.
La fenêtre : les exigences modernes en termes d'isolation thermique et acoustique nous à fait abandonner la fenêtre dit à la française .
Bien que étanche les séries 32 ou 37 ne peuvent accueillir les vitrages actuels de fortes épaisseur.
Nous utilisons donc des bois en fonction de l'épaisseur du vitrage à accueillir. Pour l'assemblage il faut comprendre que c'est la colle qui fait tenir le cadre d'où un double enfourchement qui en plus de la facilité d'usinage ( contre profil, continuité rainure drainage , récupération parclose ) augmente la surface de collage et s'oppose un peu mieux au vrillage que un simple tenons.
Vous pouvez néanmoins faire une Fenêtre avec un simple tenon il suffit de l'adapter à l'épaisseur de vos bois sa place vous est donné par votre feuillure ne pas se compliquer la vie avec un double qui n'apportera pas grand chose.
Il faut aussi comprendre comment marche la chambre de décompression à savoir que c'est l'air rentrant qui fait plaquer le joint sur l'ouvrant et l'ouvrant ne doit pas l'accrocher en s'ouvrant.
La porte elle a les même exigence que la fenêtre mais la plus part du temps nous allons rester sur des bois moins épais.
Mais elle va comporter des exigences supplémentaires en termes de design : moulures; grand cadre ; tables saillantes etc
Donc faite un ouvrant traditionnel puis un calibrage d'ouvrant comme une fenêtre moderne.
Bien comprendre comment marche une menuiserie moderne si présence de seuil il doit correspondre à votre profilage ouvrant pour préserver la continuité du plan de joint par exemple. la compréhension de chaque élément va vous permettre de faire une menuiserie qui tiendra la route.
il y a surement autres choses mais comme je l'ai déjà dit le pays est différent et les réglementations probablement aussi on n'aperçois pas d'arrêts d'urgence , aspiration sac en toile à l'intérieur de l'atelier.
J ai regarde aussi la vidéo de trente six seb et cela m'as rappelé un de nos échange sur le toupillage arrêté dans l'ensemble de la Vidéo il rentre en appui sur le guide avant en expliquant bien que garder ses deux mains table arrière est gage de sécurité d'ailleurs il simule le rejet mais les mains sont à l'abri.
Un seul cas pour pièce courte il explique de mettre une butée pour contenir le rejet, ce cas est transposable avec entrée en table avant mais butées type panneau plus large.
Alors apprenons aux jeunes à rentrer table avant avec butée ou montage d'usinage et mains table d'entrée car malheureusement dans leur vie professionnelle il y de fortes chances enfin malchance devrais je dire que pressé ou pour d'autres mauvaises raisons il se dispense de butée.
La difficulté est là trouver le bon seuil car il doit passer sous la menuiserie et aller assez loin sur l'extérieur l'Ideal serait qu'il couvre l'ancien seuil. Alors pour arriver à faire cela on peut couper la porte en partie basse faire éventuellement une feuillure pour faire varié le positionnement du seuil; rallonger le seuil avec un feuillard alu en dessous. Faire un rejingot en ciment pour rehausser le nouveau seuil. il faut trouver la solution pour mettre le plus en adéquation possible le nouveau seuil avec la menuiserie , Au passage si tu refais des joints utilise plutôt du prb ou tu mortier de réparation ou de la colle à carrelage pour rehausser le seuil mais pas du mortier il faut des ciments qui se rétractent peu et le plus plastifié possible.
oui car pour moi sur la photo ce n'est pas un seuil qui appartient à la menuiserie donc le plancher est obligé d'avancer sous la menuiserie.
je conclue donc que la porte n'est pas exposé trop aux intempéries car le bois n'est pas très abimée.
Pour une menuiserie il faut que tu soit étanche à l'eau et à l'air alors refaire les joints au ciment ou à la chaux n'est pas terrible car cela se rétracte en séchant laissant apparaitre au mieux des micros fissures et une étanchéité incertaine il me semble plus judicieux d'utiliser des composants qui se rétracte moins .
un exemple refaire la planéité d'un seuil au ciment chaux ou pas chaux pour mettre un seuil alu ne fournira pas une étanchéité terrible car la rétractation est grande et la couche trop mince bizarrement une colle à carrelage aura une élasticité qui fournira une meilleur étanchéité.
Le coté réversible étant le même dans les deux cas.
tout cela débouche sur une question : Devons nous travailler de manière traditionnelle et mettre de coté les compribandes et autres silicones pour une menuiserie par exemple ?
Ou le traditionnel d'hier et t'il forcement l'avenir de demain ?
De toute façon c'est à vous les jeunes d'apporter la réponse.
Salut
le problème du calfeutrement des menuiseries est difficile à résoudre .
Si on met de coté de monument historique ton client te demande avant tout une amélioration des performances de sa menuiserie.
il est illusoire de suivre le DTU qui de toute façon de s'applique pas en rénovation.
Mais cela reste un guide des bonne pratiques, donc il faut tendre a être étanche à l'air et l'eau.
Pour le seuil mettre un compriband en dessous et souvent embêtant car il arrive à le soulever en gonflant . De plus nous tombons souvent sur des seuils en pierre vraiment déformés. Selon la déformation on peux le coller au mastic pu et réaliser une étanchéité silicone en partie avant en retrait (le silicone tient mal en forte charge). ou refaire une façon de rejingot à la colle à carrelage ou au mortier de réparation avec un primaire d'adhérence puis un joint silicone.
Pour la repose de menuiserie il souvent intéressant de reformer un rejingot absent des appuis pierre, une bande de compact fait l'affaire suivi de l'étanchéité permet de dissocier la pièce d'appui de la maçonnerie.
D'après le DTU36.5, il doit être continu et ne pas être recouvert par un enduit. La largeur pour recevoir le calfeutrement sur les 2 supports doit être de 13 mm minimum. on parle ici du joint périphérique du calfeutrement.
Pour être étanche air eau il faut que ce joint suive les dilations de la menuiserie et de la maçonnerie . Calfeutrer à la chaux est mieux que le mortier car plus élastique mais pas adapter à tous les supports de maçonnerie. Il faut s'orienté sur des produit prêt à l'emploi car cela devient technique Mortier plâtre chaux mortier de chaux ,fibré ?
De toute Façon il ne restera pas parfaitement jointif à la menuiserie.
Il faut que notre calfeutrement suive les dilations donc en pratique il faudrait mettre en place un fond de joint puis un mastic.
En rénovation le fond joint et souvent abandonné et cela fini par un joint silicone qui souvent peut poser un problème de couleur .
Alors un joint acrylique , cela peut être peint mais la tenue en extérieur est beaucoup moins performante et souvent la peinture ne tient pas car les coefficients de dilations (mastic peinture) sont différents.
Le mastic pu à du mal à se lisser.
Le problème n'est pas simple selon le cas il faut choisir la meilleur solution mais toujours penser à la dilation.
Je ne sais pas si tu est chez ou berner ou wurth mais il est souvent bon de demander au représentant ce qu'il vend à tes collègues pour ce genre de travail mais il faut pas le croire les yeux fermés rentre sur leur site consulte les domaines d'applications de la fiche d'emploi et cela correspond au cahier des charge du DTU.
Il y a moins de problème avec une pose neuve.
Salut
L'important n'est pas le DTU mais il faut comprendre que tu dois mettre en œuvre des produits qui ne rétractent pas et qui soient élastiques et étanche air eau.
Dans ton cas rajouter un seuil: selon le cas le faux niveau est important tu redresse avec un substitut du mortier (colle à carrelage; mortier de réparation etc il faut mettre en œuvre un produit non rétractable et élastique et quand y rentre en sous face du seuil le colle). Mais techniquement ton étanchéité n'est pas faite donc on rajoute par devant en retrait du seuil un joint silicone.
Si tu as pas besoin de redresser tu pourrais coller mastic pu simplement mais on rajoute comme précédemment un joint silicone.
Les calfeutrements maçonnés selon le dtu ne font pas l'étanchéité air eau tu doit avoir soit mastic fond de joint ou compriband, à noter que la mousse polyuréthane seule ne va pas non plus.
En périphéries donc si on peut faire un joint silicone on le fait ou on bouche PRB ou mortier de chaux mais là on n'est plus étanche.
Il faut s'adapter si la maison n'as pas d'isolation les menuiseries non étanches c'est pas un joint de silicone qui va sauver le navire mais c'est à toi de sensibiliser le client au problème par une explication.
Bonjour,
Petite précision un galet permet certes de faire ce travail mais il faut apprécier la normal à la courbe visuellement car tous les points de la circonférence de la fraise ne sont pas à la même distance du roulement à bille. un guide en v permet de rester normal à la courbe si la condition que les deux pointes reste en contact avec le chant est respectée. Comme dans les deux cas l'organe de guidage sera probablement caché par le plateau de la machine vu la faible distance de l'usinage il est plus facile de faire un guidage tactile des deux pointes du v avec sa main sous le plateau de la machine. Pour l'utilisation du galet un traçage des normal sur le plateau peu aider pour débuter.
Bonsoir,
Les problèmes qui peuvent survenir sont essentiellement un bois dont le taux d'humidité serait loin du taux d'humidité de son futur lieu d'utilisation et donc un bois qui va perdre son humidité trop vite entrainant des désordres structurels. La nervosité des bois rentre en compte aussi ainsi que le choix de l'établissement des bois .
Tout en restant en massif une fabrication en panneau plot des montants sans les exclure totalement donnerai une certitude de séchage supprimerai les opérations de corroyage. Le prix de fourniture est certes plus élevé mais l'économie de temps et de matière peut amener à faire un calcul pas sûr que cela plus cher selon l'équipement à ta disposition. Proposition pour des montants qui sont peu vu de face,la proposition serait peut être a reconsidérée pour des pièces en parements.
oui je comprends le bois en scierie est dit commercialement sec à partir de 20% . Si tu as pas de supplément séchoir ou de certitude sur son taux d'humidité rentre ton bois dans un lieu tempéré puis après quelque temps fait ton débit et entrepose ton bois en veillant que toutes les faces soient exposées aux même taux d'humidité. Laisse cela un bon moment avant de procéder au corroyage.
En cas de retrait de votre marche vous aller avoir des jours entres limon et marche de plus en cas emmarchement important vous ne clouer pas la liaison contre marche marche. Bien que faible en raison d'une éventuel feuillure de recouvrement de la marche, vous pouvez moulurer l'arrière de la contre marche. Pour ces raisons je suis en accord avec la technique traditionnelle décrite par etiennedesthuilliers
les deux pointes forment un angle droit et la fraise passe par la bissectrice de l'angle ainsi formé. Cela à pas besoins d'être pile poil cela va suivre. en maintenant les pointes en contact avec le chant tu seras toujours normal à la courbe ou à la droite. Il est bon d'arrondir les pointes pour bien glisser et d'adapter la dimension de l'écart des pointes en fonction de la taille de l'arrondi. S'entrainer à vide et peut être gérer la profondeur en plusieurs passes
kaj
J'ai du mal à comprendre aussi, cela nous viens des Anglos saxons.
ils ont des techniques qui semble de prime abord étranges avec des assemblages à coins pour marches et contre marches et j'en passe et des meilleurs. Mais je me suis souvenu de film comme Autant en emporte le vent ou l'on voit de magnifiques escaliers. Alors j'ai voulu voir si c'était du Cinéma. Et là en creusant un peu je tombe pour les rampes sur la technique dites des tangentes je ne sais pas si tu connais ?
Sinon fait une recherche sur "Tangente handrailling " et si tu as un moment dit moi ce que tu en pense.
Tu peux aussi consulter ce site mais qui donne un exemple avec une pente des tangentes identique une bonne entrée en matière
[thisiscarpentr...tional-tangent-
handrail/]
Alors je suis moins affirmatif sur l'étrangeté de leurs méthodes.
kawasakiH2 Evidement il est possible de prévoir du gras pour débillarder dans un second temps.
Néanmoins il faut avoir conscience que soit tu opères un débillardement avec les chants de niveau selon les rayonnantes et tu auras des faces de différentes largeurs soit tu as des chants de faux niveau et tu auras des largeurs identiques.
Pour un limon la différence de largeur n'est pas très visible mais pour une main courante on préfère des largeurs identiques.
un développement de chaque feuillet avec un positionnement précis permet d'éviter de débillarder les chants.
Bravo
pour la greffe sur le poteau kaj te donne une bonne idée à suivre.
Malheureusement l'escalier a été modifié il y a aucune raison que les balustres soient encastrés à leurs base . Après techniquement on peut les coupés sous la bague de tournage pour les rétrécir et les poser sur la lisse pour éviter tout encastrement.
Mais cela pose une question éthique et un travail supplémentaire.
L'Age de l'escalier on constate une maitrise du balancement la main courante ne reste pas droite entre les noyaux, les noyaux sont évidés les sections des bois tant des marches que des balustres sont assez petites, les noyaux suive le rampant de la main courante moi je dirais XVIII mais sans grande certitude .
il est fort probable que tout cela a été bricolé car outre le fait que les marches ne soit pas de fil leurs nez est très peu usés pour un escalier de cet âge néanmoins les noyaux et l'échiffre ainsi que le balancement de l'ensemble montre une bonne maitrise. Je pense à une succession d'interventions plus ou moins heureuses.
kaj
Merci Troyes est une ville exceptionnelle pour les escaliéteurs
Alors pourquoi je proposai XVIII plutôt que XVII;
car nous sommes sur un escalier à jour oblong étroit mais l'escaliéteur fait déjà appelle au balancement total de la volée.
Or pour moi ( d'après mes lectures et causeries ) les marches balancées apparaissent vers 1670, avant on avait plutôt recourt aux marches rayonnantes dans les tournants.
J ai sauté les trente ans qui me sépare du XVIII .
Sur ta source il serait intéressant de voir le plan pour voir la répartition des marches, il y a un autre au 28 de la même rue datée du XVIII à marches balancées.
Alors ces escaliers peuvent être début du siècle ou fin du siècle cela est très difficile à dater , et là j'arrive rapidement à la limite de mes connaissances.
Il y pas de becquet de raccord des mains courantes avec les noyaux et sur quelques photos je n'ai pas de certitudes tu peux très bien avoir raison.
Je suis votre conversation sur la Fein qui est un outil merveilleux et dont les lames ne sont pas données effectivement. Mais pour du démontage un peu lourd marche d'escalier bâti de menuiserie etc c'est un peu sous dimensionnée au risque de paraitre un peu brusque il faut taper dans la butte : tronçonneuse , scie sabre de bonne qualité réservé la fein pour des travaux plus fin.
Au vu des photos je suis à peu prés sur que ce n'est pas un stylobates mais un faux limon. D'ailleurs il y aucun avantage de faire un stylobate pour ce type d'escalier, le menuisier avait l'air d'aller au plus simple vu l'échiffre du haut . un faux limon donne l'impression d'un stylobate mais la marche est engagée dans l'entaille du limon coté dt puis vient forcer sur le faux limon par un mouvement de bascule.
Du coup si cela la marche vient toute seule en la soulevant coté gauche Seul les pointes la tienne (limon et arrière de CM ).
Mais je peux me tromper?
Bonjour
La planche peut être un panneau type agglo , Mdf, cp etc.
Ce montage peut être conçu en vu d'une réutilisation si la fixation est conçu pour se régler en profondeur ( lumières de fixation sur la table ou tasseaux latéraux avec blocage)
Si le toupillage à lieu par dessous il faudra laisser le passage de l'outil dans la planche .
oui chez Bildau les deux joints sont sur l'ouvrant, mais il ont une conception ou c'est la compression donné par l'ouvrant qui fait l'efficacité du joint. souvent on place un joint sur le dormant et un joint sur l'ouvrant. Le joint sur le dormant c'est l'air rentrant dans la chambre de décompression qui vient le plaquer sur l'ouvrant et donc il n'y guère la place pour une gorge de récupération d'eau. Je te joint une coupe de chez Elbe pour te montrer que l'usinage de la rainure de drainage est faite sur le dormant et l'ouvrant mais elle accepte le joint sur le dormant, on fait donc récupération de parclose sur le dormant et l'ouvrant se retrouvant avec trop de parcloses. on voit les trous de drainages en pointillé.