Si ton solivage est neuf tu peux mettre en œuvre comme tu le décris un placo (ici il serait mieux à mon avis d'envisager un fermacel pour une question d'isolant) ensuite ton isolant phonique et un plancher porteur en dalle pose en flottant et ensuite le parquet de finition.
Tu obtiendras la meilleur isolation phonique en posant le tout en flottant.
Malheureusement cela n’a rien à voir avec une pose flottante . De plus votre couche d’isolant est fractionné réduisant grandement son efficacité. En constituant un plancher porteur au dessus de l’isolant et du BA 13 la question du sens de pose du parquet de finition ne se pose pas. Reste qu’il faut choisir un parquet adapté à une pose aussi flottante . Néanmoins structurellement votre croquis de principe marche mais aura un résultat phonique beaucoup plus aléatoire. Je viens de penser que vous penser peut être utiliser un système avec lambourde intégrée type steico mais en principe je pense que la lambourde est un peu moins épaisse que l'isolant est n'est pas porteuse.
Pour corriger un équerrage
Pour aider à serrer un arasement un bon coup de massette fini le travail.
Cela est peu paraitre un peu brute mais cela est essentiel, dés que l'ouvrage est un peu conséquent l'usage de quelles coup de massettes est essentiel mais comme l'alcool à utiliser avec modération.
Les serre joints en plastique ne peuvent rendre ces services, il ont d'autres utilité.
oui je n'aurai pas du employer le terme flottant il serait judicieux de choisir du parquet à coller (. Cela doit exister en 10 mm ). si les marches sont propres je les collerai avec de la colle à parquet, même si je pense que le sika pourrai convenir.
Si c'est un collage en plein celle n'as pas une réel importance.
il est certain que perpendiculaire au nez l'ajustement sur les cotés est plus facile, après il y a une question de goût et aussi selon la forme des marches et leurs giron voir quelle calepinage cela donne sachant que l'arrière de la marche sera cachée par la contre marche.
Alors en premier lieu précisons une chose dans toute fabrication il vaut mieux éviter de refendre sur l'épaisseur .
Pour faire une porte 40 mm fini pour simplifier vous avez besoin de 3 épaisseurs 45mm pour le cadre, 27mm pour les panneaux , et une épaisseur en fonction de la maçonnerie pour le bâti.
Procéder en refendant est possible mais plus problématique car les faces nouvelles mises au jour risque d'avoir séchées moins vite que celles extérieures qui plus cela risque de libérer des tensions.
Ensuite procéder en commençant par les pièces qui nécessite une stabilité optimale a savoir les montants pour une porte puis aller des pièces les plus longues au plus courtes.
Placer toutes vos pièces avant de tronçonner, marquer l'arbre en bout puis déligner.
Laisser se stabiliser une semaine puis trier vos pièces ne pas hésiter à refaire une pièce si cela a trop bougé.
Voilà vous pouvez corroyer.
Bonjour
Effectivement cela va être la suite de mon propos .
Ce pas à pas est à destination des débutants j aimerais autant que possible introduire le moins de vocabulaire technique et aller graduellement dans la difficulté. Pour l’instant je n’ai pas abordé les notions d’échappée ni d’habillage de trémie ainsi que tout les limitations de reculée .
Je voudrais proposer une étude de conception plutôt graphique afin de guider au choix qui comme tu le souligne relève souvent du compromis.
Ton retour est important car il va m’aider pour la suite .
Merci
Effectivement pour l’instant je n’ai pas abordé la plaquette ainsi que les facteurs qui limite la reculée.
Je veux essayer de y aller graduellement avec le moins de termes techniques possibles.
Le choix de ne pas introduire tout de suite la plaquette vient que en théorie elle n’est pas indispensable , pour nous menuisiers c’est une évidence mais les serruriers y ont moins recours ainsi que les maçons par exemple.
Mais elle sera évidemment présente dans la suite du propos.
Merci pour ton retour.
Bonjour
Sur le premier point je suis d'accord avec vous mais je ne dit pas le contraire rectangles ou trapèzes c'est bien des surfaces planes.
Sur les points suivants mon propos est de faire comprendre que sur la ligne de foulée les girons et les hauteurs sont constants sur l'ensemble de l'escalier.
il en découle que le développement sera une ligne droite sur laquelle on pourra poser un plan incliné.
Alors géométriquement cela n'est pas tout fait juste car par exemple le triangle de pente ne coïncide pas tout à fait dans les partie courbes de la ligne de foulée .
Comme tout trait de menuiserie le tracé d'escalier diffère de la géométrie Descriptive car il prend en compte la matière ,la solidité , le temps d'exécution et le rendu.
En quoi il tolère quelques imprécisions qui néanmoins je vous suis reconnaissant de relever.
Pour la ligne de foulée comme elle matérialise l'endroit ou la personne va utiliser l'escalier pour un escalier de 800 il faut la laisser au milieu car de toute façon l'escalier sera utiliser dans son milieu.
Pour les autres cas il faut la laisser dans la zone de préhension de la main courante 450 ; 500 mm ne change pas fondamentalement grand chose. Comme dit précédemment du peux prendre un rayon plus grand dans les parties tournantes en laissant la ligne de foulée à sa place en déportant de 50mm tu gagne 70 mm par exemple.
Pour la plaquette on considère un débord de 30mm une contremarche de 22 un vide derrière la contremarche pour corriger les éventuels faux équerrage de palier cela donne en moyenne une plaquette de 90 mm distance prise du nez à l'aplomb du palier en elle même la plaquette peut être plus grande car elle se poursuit sur le palier . 90 mm est la mesure pour le calcul de la reculée.
Il est obligatoire qui il y a un problème.
si vous essayer de dégauchir un bois qui à déjà le creux il est fort possible que le creux porte sur le bord de la table d'entrée donnant à chaque fois un résultat identique. Essayer de dégauchir un bout de l'entrée de la planche puis la tourner pour faire l'autre bout, puis passer la totalité.
Si le problème persiste en supposant que cela vient pas de l'opérateur vos tables ne sont pas dans des plans parallèle et ou peut être gauche.
En faisant varier la force de serrage du blocage des tables on s'aperçois en mettant une règle en diagonale que cela creuse ou bombe la table , le bon réglage sur ce genre de machine n'est pas facile.
Hammer indique que le fer doit faire une prise car il veulent que la machine donne un peu de creux , alors on peut admettre un léger creux de l'ordre de 0,2 mm qui ne gênera pas le collage essayer de diminuer la prise et vous aurez moins de creux.
Les solution de passer le joint à la scie , de passer un coup de varlope vous dépannerons sur le coup.
Mais la fonction d'une dégauchisseuse est de dégauchir , il impensable dans un atelier qu'une machine ne remplisse pas sa fonction première.
fredaug si je puis me permettre je ne partage pas entièrement ton avis.
Dans ce cas les lames sous l'action de la gravité et le fait que cela soit une porte (claquement éventuel; etc) les lames vont se tasser vers le bas , le problème reste identique que l'on colle ou pas les lames entre elles. le gros problème restera en partie haute.
Alors on pourrait pensez mettre une petite pointe en fond de rainure pour bloquer les lames individuellement à la manière d'un panneau plate bande. Visuellement le retrait serait peu perceptible mais il surgira une différence de couleur sur les partie qui viendrons au jour. Il faut bien savoir que le retrait des lames peut être différent selon ou elles sont prise dans la bille.
Non il y a pas de conception type menuisier miracle dans ce cas, mais il faut bien dire que c'est des petits problèmes qui rentre dans l'ordre avec une seconde couche de finition plus tardive quand l'ouvrage sera stabiliser.
Il faut expliquer au client les inconvénients du choix qu'il prend ou alors passer dans une conception type Ebéniste afin de passer sur un panneau avec presque pas de variations dimensionnelles.
Il faut pas être désolé une discussion amicale ne peu être constructive. En lisant ma réponse précisément ce passage:
Alors on pourrait pensez mettre une petite pointe en fond de rainure pour bloquer les lames individuellement à la manière d'un panneau plate bande. Visuellement le retrait serait peu perceptible mais il surgira une différence de couleur sur les partie qui viendrons au jour. Il faut bien savoir que le retrait des lames peut être différent selon ou elles sont prise dans la bille.
J'évoque donc le fait de bloquer la lame tout en la laissant travailler.
Les deux solutions (collée les lames entre elles ou les laisser libre) peuvent être envisager la différence va être dans la localisation des éventuels problèmes:
Soit un léger retrait ventilé sur toutes les lames ou un retrait cumulé dans le haut du panneau.
On choisira la méthode selon le nombres de traverses intermédiaires; la localisation de l'ouvrage intérieur ou extérieur (ainsi que la région de pose) et la finition.
En fabrication j'ai essayer les deux systèmes et rien n'est
totalement satisfaisant je joins un exemple ou les lames sont collées entre elles.
Non le problème de retrait est inerrant à notre métier à savoir que le Menuisier doit laisser le bois bouger et fait sa conception en fonction.
Ici on peux simplement limiter les conséquences en utilisant un bois sec , Ta proposition d'usinage ne change rien le problème surgira en haut des panneaux ; Nous somme dans un cas similaire à un panneau plate Bande amplifier par l'inversion du fil du bois laissant le retrait agir sur la hauteur soit la plus grande dimension.
Alors Une solution est de changer de métier et d'agir en ébéniste à savoir de rendre le panneau inerte en collant des plaquettes fines sur un support en cp par exemple. L'ébéniste à une approche du travail du bois qui au lieu de laisser le bois bouger le rend inerte .
Il serai très intéressant d'avoir un point de vue d'un ébéniste comme José Das Neves pour un même aspect visuel et de voir les différentes approches leurs avantages et inconvénients.
Enfin de compte cela dépend beaucoup du degré de séchage de vos bois de départ. Pour votre genre de travail il faudrait en théorie des bois aux alentour de 12 %. il intervient aussi la nervosité des billes que vous allez employer , la libération des tensions d'un bois de compression est presque immédiate et se poursuit un peu ensuite comme couper la corde d'un arc. Mais il faut aussi laisser au bois retrouver son équilibre hydrométrique de départ , en débitant vous exposez à l'air de nouvelles faces. Courir pour coller au plus vite ne sert pas à grand chose , au contraire laisser vos bois se déformer , afin de les remettre droit avec le corroyage.
Un degré de séchage bas et un choix pertinent de vos bois seront le meilleur allier de la qualité de votre travail.
Combien de temps laisser vos bois se stabiliser après le débit ?
Si cela est possible un minimum d'une semaine serait bien.
Mais cela est fonction de votre organisation et de vos possibilités de stockage car il faut les stocker en faisant attention qu'ils soient exposés à l'air uniformément.
bonjour
Selon l'importance du trou du gond soit un scellement chimique ou alors un scellement à la colle à carrelage. C'est une combine d'un tailleur de pierre on peux remettre dessus une légère couche de mortier dans la couleur de la pierre. Bizarrement avec la colle à carrelage on arrive à recoller les gaufrures de pierre , contrairement au mortier cela colle et reste élastique et cela se retracte peu.
En regardant toutes les réponses il me vient une idée . Si le lit est souple pourquoi ne pas le gauchir en position fermé pour le rendre parallèle au coffrage en incorporant des butées au coffrage ( dans l'idéal des petits pieds vérins pour rendre le réglage facile ). Il est facile d'essayer à blanc en mettant une petite cale sur la gauche tu risque rien d'essayer même avec la main.