
la signification est la suivante:
A (E) : Qualité spéciale sans défaut
B (I) : Surfaces à vernir ou à cirer
S (II) : Surfaces à peindre
BB (III) : Qualité ordinaire par exemple sous les revêtements, qualité la plus courante dans les structures
B/BB veut dire que vous avez une face B et l'autre BB .
le fil de long ou de travers et le sens du fil en parement : fil travers dans la largeur de la plaque fil long dans la longueur du panneau. En tenir compte pour votre débit.
Pour votre ferrage au vu de votre dessin la porte étant au raz du mur sans filaire de caisse il faut s'assurer quelle va bien débattre sans toucher le mur en intégrant une éventuel poignée.
Il est possible que le panneau soit de la même épaisseur que les montants (arasé).
Mais il va subir un retrait plus prononcé dans sa largeur donc il faudra soit le tolérer soit le dissimuler (mouchette; joint creux ; plate bande).
Vous pouvez aussi opter pour une construction mixte ( plaquettes massives sur panneau) pour s'affranchir du travail du bois.

Bonsoir
Si on se réfère aux ouvrages anciens le Roubo nous une pente de la diagonale d'un carré soit 45° plus prés de nous Jamin nous indique environ 50 °.
Alors dans la pratique il est vrai que nous retrouvons dans les Ateliers La pente à 40° .
Alors pourquoi il faut bien comprendre que la persienne à un but d'aération et de voir à l'extérieur sans être vu .
En optant pour une pente inférieure à 45° le regard de la personne extérieure Sera diriger plus vers le haut l'empêchant de voir l'intérieur de la pièce, cela est moins le cas avec une pente à 45°, et pire avec 50°.
De plus avec 40° degré la moindre inclinaison fait que vous utiliser moins de lames et par voie de conséquence plus de ventilation et la partie entre les lames sera plus grande donc plus solide.
Le bémol est que la pointe de la partie entre les lames est plus fragile qu'avec un angle plus ouvert .
En principe les piqueteuses autorisent un éventails de pentes importants 40° 45° 50°ne pose pas de problème idem si on fait les entailles à la radiale, scie ou défonceuse.
Néanmoins pour la technique de fabrication des lames à 40° souvent on opte pour une fabrication ou l'on prend les lames dans des blocs que l'on refend à la pente à la format obtenant d'un coup les pentes de parement suivi d'un calibrage à la large bande pour obtenir l'épaisseur.
Cela pose un petit problème qui n'est pas insurmontable si la scie ne s'incline pas au delà des 45°.

Bonjour,
je dois dire que j'ai du mal à saisir ton schéma. Ce que je peux dire c'est qu' actuellement ton escalier n'est pas limité par l'échappé (2170) mais par la porte qui définit son départ.
Pour avoir un escalier moins pentu il faut augmenter son étendue , dans ton cas à moins de reculer son arrivée un escalier droit ne parait pas possible à cause de la porte.
l'alternative serait un escalier quart tournant en sachant que nous avons 2610 sol chevêtre soit à la louche 3 à 4 hauteurs de marches sous l'échappée.
On pourrait se contenter d'une échappée plus réduite pour augmenter encore l'étendue.
Est il possible d'agrandir la trémie (configuration de l'étage, cloisons, distribution). En cas d'augmentation de l'étendue jusque ou peut aller? La solution des demi marches est à mon avis à écarter un escalier de distribution d'étage ne doit pas avoir un emmarchement inférieur à 700mm.
Un quart tournant améliorerai bien les choses surtout si il avait la possibilité de reculer la première solive à l'aplomb de la porte, mais l'escalier va reculer dans la pièce, a noter que l'interrupteur sera au mauvaise endroit.
Voila je te conseille de regarder le traité d'escalier de sylvainlefrancomtois sur le site pour nous donner un plan plus précis il faut une vue en plan avec la localisation du chevêtre et un développé des murs rez de chaussé et étage.

Alors la praticabilité d'un escalier s'apprécie aussi par son emmarchement ,l'utilisateur va l'emprunter par son milieu pour les emmarchement inférieur à 1 mètre puis dans la zone de préhension de la main courante soit à 450 à 500 mm de celle ci. Imaginer un escalier comme le proposer avec quelques marches avec 450 d'emmarchement soit inférieur a votre largeur d'épaule pour moi cela n'est guère viable.
Sur votre dessin vous proposer un palier , hors votre problématique principale est l'étendue de votre escalier à augmenter afin de le rendre moins pentu. Quand vous êtes sur le palier certes vous augmenter l'emprise au sol mais ne monter pas donc vous vous rapprocher du point d'échappée. Dans votre cas le palier ou qu'il soit va rendre les chose plus difficile, l'emprise de votre escalier représente peut être 3 marches soit 2 hauteurs alors qu'avec lui vous prenez que une hauteur.
La multitude des facteurs à prendre en compte fait qu'il faut pour le moins avoir une idée précises des choses afin de faire un escalier plus praticable avec le moins de modifications possibles.

je ne sais pas si je vous suis bien votre pseudo palier se trouvera au niveau de la première marche actuelle mais avec deux demi marches avant soit une hauteur d'environ 525 mais d'après la photo il semblerait que le chevêtre soit au moins deux marches après nous serons donc à une hauteur de 875. l'échappée sera donc de 2610-875=1735 . Alors mes calcul sont approximatifs certes mais si vous voulez garder la même échappée il faut que vous vous retrouver avec la même hauteurs de marche à l'aplomb du chevêtre que l'escalier actuel.
Si vous tracez la ligne de foulée de votre projet vous aller vous apercevoir que votre palier va représenter deux girons, donc si on balance l'escalier nous pourrions mettre deux marches et ainsi diminuer la pente. Il faut savoir que quand on emprunte un escalier nos pieds se mettent perpendiculaire au nez de marche or ici vous faite prendre à l'utilisateur un virage à 90° sur une surface qui représentera qu'un seul giron , votre escalier sera à mon avis plus dangereux que l'actuel surtout à la descente. Je vous donne mon sentiment je ne dit pas que c'est parole d'évangile et vous aurez peut être d'autre avis.
Dans l'état actuel au vu de ce que je crois comprendre je partirai sur un quart tournant, en regardant que la dernière solive ne gène pas trop ( l'Ideal serait de pouvoir la sortir de l'emmarchement ), et voir ou cela même dans la pièce.

Avec le plan on voit mieux. je pense que vous trouvez disgracieux le fait que le poteau dépasse fortement des limons. La solution passe par un placement du nez des paliers , il faut avancer l'entrée du palier pour remonter le limon bas puis la distance au prochain nez de marche pris sur le limon de jour en développé doit être égal à un giron.
Ainsi si vous faite le développé coté intérieur jour vous devez avoir une ligne droite. Le reste est à voir avec le serrurier pour voir comment il envisage son garde corps et en jouant sur le placement du nez du palier lui laisser la place du repos du garde corps.

Salut
l'arbre tersa permet le changement de fers le plus rapide et la machine est peu bruyante. Mais il faut préciser à l'instar des fers, ou des plaquettes les fers tersa sont disponibles Hss tungstène, chrome molybdène, carbure .
Le problème de la question n'est pas de savoir si on est en faveur des plaquettes ou non car en réalité on peut mettre a peu prés les même qualités de fer. D'ailleurs la plupart des machines acceptent des cartouches pour ensuite utiliser un fer mince deux coupes jetable.
Dans une petite entreprise ou le nombre de personnes est limitées les fers tersa oui mais il faut être soigneux, avec plus de personnel il est difficile d'éviter les passage de strat ou autre panneaux ou bois sales.
Alors il est vrai que les carbures ont fait des progrès et les grains de carbures sont de plus en plus petit. Mais pour le dégauchissage et rabotage il faut un carbure qui résiste aux chocs (k30/k40) or les plaquettes jetables c'est plutôt k10.
La force des plaquettes c'est sa résistance à l'usure mais c'est aussi son talon d'Achille l'arête fini par s'arrondi et l'effort de coupe augmente.
Le pouvoir tranchant est inférieur à celui de l'acier tu peux pour t'en convaincre passe ton doigt sur le bout d'une plaquette après faire pareil sur le fer Hss tu verras vite le résultat.
Le choix dépend donc des essences utilisées (abrasives) du soins des opérateurs.
Je resterai sur un fer traditionnel disons par nostalgie, car à la raboteuse dans le temps il nous à permis de faire des panneaux serviettes par exemple.

En regardant toutes les réponses il me vient une idée . Si le lit est souple pourquoi ne pas le gauchir en position fermé pour le rendre parallèle au coffrage en incorporant des butées au coffrage ( dans l'idéal des petits pieds vérins pour rendre le réglage facile ). Il est facile d'essayer à blanc en mettant une petite cale sur la gauche tu risque rien d'essayer même avec la main.

Si ton solivage est neuf tu peux mettre en œuvre comme tu le décris un placo (ici il serait mieux à mon avis d'envisager un fermacel pour une question d'isolant) ensuite ton isolant phonique et un plancher porteur en dalle pose en flottant et ensuite le parquet de finition.
Tu obtiendras la meilleur isolation phonique en posant le tout en flottant.

Malheureusement cela n’a rien à voir avec une pose flottante . De plus votre couche d’isolant est fractionné réduisant grandement son efficacité. En constituant un plancher porteur au dessus de l’isolant et du BA 13 la question du sens de pose du parquet de finition ne se pose pas. Reste qu’il faut choisir un parquet adapté à une pose aussi flottante . Néanmoins structurellement votre croquis de principe marche mais aura un résultat phonique beaucoup plus aléatoire. Je viens de penser que vous penser peut être utiliser un système avec lambourde intégrée type steico mais en principe je pense que la lambourde est un peu moins épaisse que l'isolant est n'est pas porteuse.

Pour corriger un équerrage
Pour aider à serrer un arasement un bon coup de massette fini le travail.
Cela est peu paraitre un peu brute mais cela est essentiel, dés que l'ouvrage est un peu conséquent l'usage de quelles coup de massettes est essentiel mais comme l'alcool à utiliser avec modération.
Les serre joints en plastique ne peuvent rendre ces services, il ont d'autres utilité.

oui je n'aurai pas du employer le terme flottant il serait judicieux de choisir du parquet à coller (. Cela doit exister en 10 mm ). si les marches sont propres je les collerai avec de la colle à parquet, même si je pense que le sika pourrai convenir.

Si c'est un collage en plein celle n'as pas une réel importance.
il est certain que perpendiculaire au nez l'ajustement sur les cotés est plus facile, après il y a une question de goût et aussi selon la forme des marches et leurs giron voir quelle calepinage cela donne sachant que l'arrière de la marche sera cachée par la contre marche.

Alors en premier lieu précisons une chose dans toute fabrication il vaut mieux éviter de refendre sur l'épaisseur .
Pour faire une porte 40 mm fini pour simplifier vous avez besoin de 3 épaisseurs 45mm pour le cadre, 27mm pour les panneaux , et une épaisseur en fonction de la maçonnerie pour le bâti.
Procéder en refendant est possible mais plus problématique car les faces nouvelles mises au jour risque d'avoir séchées moins vite que celles extérieures qui plus cela risque de libérer des tensions.
Ensuite procéder en commençant par les pièces qui nécessite une stabilité optimale a savoir les montants pour une porte puis aller des pièces les plus longues au plus courtes.
Placer toutes vos pièces avant de tronçonner, marquer l'arbre en bout puis déligner.
Laisser se stabiliser une semaine puis trier vos pièces ne pas hésiter à refaire une pièce si cela a trop bougé.
Voilà vous pouvez corroyer.

Bonjour
Effectivement cela va être la suite de mon propos .
Ce pas à pas est à destination des débutants j aimerais autant que possible introduire le moins de vocabulaire technique et aller graduellement dans la difficulté. Pour l’instant je n’ai pas abordé les notions d’échappée ni d’habillage de trémie ainsi que tout les limitations de reculée .
Je voudrais proposer une étude de conception plutôt graphique afin de guider au choix qui comme tu le souligne relève souvent du compromis.
Ton retour est important car il va m’aider pour la suite .
Merci

Effectivement pour l’instant je n’ai pas abordé la plaquette ainsi que les facteurs qui limite la reculée.
Je veux essayer de y aller graduellement avec le moins de termes techniques possibles.
Le choix de ne pas introduire tout de suite la plaquette vient que en théorie elle n’est pas indispensable , pour nous menuisiers c’est une évidence mais les serruriers y ont moins recours ainsi que les maçons par exemple.
Mais elle sera évidemment présente dans la suite du propos.
Merci pour ton retour.

Bonjour
Sur le premier point je suis d'accord avec vous mais je ne dit pas le contraire rectangles ou trapèzes c'est bien des surfaces planes.
Sur les points suivants mon propos est de faire comprendre que sur la ligne de foulée les girons et les hauteurs sont constants sur l'ensemble de l'escalier.
il en découle que le développement sera une ligne droite sur laquelle on pourra poser un plan incliné.
Alors géométriquement cela n'est pas tout fait juste car par exemple le triangle de pente ne coïncide pas tout à fait dans les partie courbes de la ligne de foulée .
Comme tout trait de menuiserie le tracé d'escalier diffère de la géométrie Descriptive car il prend en compte la matière ,la solidité , le temps d'exécution et le rendu.
En quoi il tolère quelques imprécisions qui néanmoins je vous suis reconnaissant de relever.
Tel quel votre projet au niveau des portes et dans une moindre mesure les tiroirs présente un risque non négligeable de tuilage et gauchissage de ces éléments. Bien que corrigeant l'esthétique de votre projet des portes d'assemblage seraient moins risquées et vous pourriez travailler le massif. il serait bon aussi d'étudier le ferrage et le débattement des portes.