Non ce n'est pas tout à fait cela : Le gonflement ou le retrait de la porte va se concentrer sur l'extérieur des montants ouvrants car les traverses s'oppose au mouvement.
Il a pas besoin de fers pour réaliser un panneau à table saillante c'est simplement un panneau qui vient en embrèvement au dessus du nu du bâti. une simple rainure suffit il et souvent complété par un revert d'eau pour protéger sa parti supérieur.
Cela élimine le problème de l'eau qui s'infiltre dans la rainure basse
qui malgré le trou de drainage fini toujours par se détériorer.
Le mi-bois en séchant prend du jeu un tenon ; Domino ou tenon traversant à clef semble mieux adapté.
la fixation à taquets laisse la table libre de jouer dans les deux sens et répartie la fixation sur toute la table pour des projets plus imposant ou peux ajouter des traverses pour amener des points aux milieu. ( coupe de principe taquets ~ 60 x 50 ).
Pour la table une hauteur de 50 mm semble faible.
Les surcotes usuelles sont:
- en longueurs 30mm
- épaisseur donnée par votre plot exemple: une planche de 27 mm sera
tirée entre 24 mm et 22 mm selon la qualité du sciage. la règle est simple on tire au plus large. - largeur selon la qualité de votre Débit et la nervosité de la bille.
soit 5 mm pour un débit très précis et une bille de fil jusqu'à 10 mm
pour un débit moins précis et bois plus nerveux.
Vous avez dessiné votre table à ce stade rien ne sert de pousser trop loin l'étude car c'est le bois qui commande.
Je m'explique vous avez prévu des traverses de 30 mm d'épaisseur donc vous tirez dans du 34 mm seulement pour diverses raisons vous pouvez sortir propre que du 28 mm .
Point d'importance vous corriger les arasements pour rester bon au cotes d'encombrement.
La règle est la suivante :
Choisir l'épaisseur du plot en fonction de vos besoins puis tirer au plus large.
L'important est de préserver les cotes d'encombrement de l'ouvrage 1 ou 2 mm de plus ou de moins ne changera pas dans la majorité des cas l'esthétique de l'ensemble.
Toutefois ceci est valable pour des fabrication artisanales pour une fabrication plus industrielle cela est différent.
Merci Etienne
A l'évidence il n'y a pas une réponse catégorique à ces questions.
Prenons l'arasement d'un faux grand cadre qui traditionnellement se place dans la continuité du nu extérieur du cadre.
Alors le but est d'imiter un vrai grand cadre certes , mais il oblige de faire un ravancement qui n'as lieu d'être là que pour l'esthétique
( notion toute personnelle) ; cela complique un peu tout ; de plus avec une moins bonne étanchéité de l'assemblage.
Pour la coupe à crochet il y a un débat aussi; j'ai des arguments et des convictions mais pas de certitudes.
Mais je suis après sûr de ne rien avoir trouver quelque chose tout seul, j'ai butiné un peu partout en essayant de m'appuyer sur la tradition.
Mais par définition la tradition ne tient pas compte des progrès technologiques survenus entre temps.
Je ne pense pas que le menuisier d'aujourd'hui travail mieux ou moins bien que ses anciens.
Perdre la tradition est surement dommageable y rester enfermé aussi .
J'espère que nos jeunes seront placer le curseur au bon endroit car il feront la tradition de demain.
Sur ADB outre les trois Mousquetaires de l'escalier que sont Etienne ;
Kaj ; et Sylvain il y a toute une compagnie de contributeurs qui peuvent vous apporter leur point de vue et leurs compétences.
Mais pour le moins il faut préciser le cadre pour ne pas donner des coup d'épée dans le vide.
Pour exemple la précision Plafond Cathédrale signifie que nous avons pas de problème d'échappée.
Mais il faut définir le look souhaité du garde corps : sur marches , autoporteur et sa constitution ?
Continu t'il sur le palier ?
il y a t'il des murs cotés queues de marches ?
Peux t'on avoir un poteau sous les limons ou en scellés un au mur?
A quel outillage avez vous accès ?
La liste n'est pas limitative .
Une solution est de trouver une photo de l'escalier de vos rêves on pourra surement vous indiquer ce que cela va induire dans votre cas précis.
Et nul doute que on essayera d'être tous pour un avant que avec votre retour d'expérience vous soyer un pour Tous.
Trop maladroit pour utiliser une Rapières mais pourquoi pas un Rôle de valet pour un menuisier cela me plait assez.
Voila qui est beaucoup mieux on arrive à mieux cerner le projet.
Eliminons d'abord une option la première idée si l'étendue est compatible et que cela vous plait serai un palier d'angle car là on simplifierai tout car nous retombons sur deux escalier droits .
Attardez vous sur cette option car cela produira des marches et des platines identiques . Et une main courante droite et Cela simplifiera le passage de l'angle au niveau de la main courante. Sans compter que un escalier droit est plus praticable qu'un escalier balancé et élimine le problème de balancement.
Selon votre expérience cela est surement une option plus simple si pour des considérations techniques ou esthétiques cela ne va pas on passera à autre chose.
L'achat du bois est primordiale dans notre métier, il faut être exigeant quand on est jeune on a pas un volume d'achat très grand le scieur teste et montre pas toujours toutes les billes qui sont mis de coté pour de plus gros acheteurs.
Au début moi je payais le café et laissait une pièce à l'ouvrier sur le manitou rapidement il m'a dit "celle là c'est pas la peine de la déplier".
Car à l'intérieur du même classement il y avait une marque du scieur sur la bille pour pas avoir à se référer en permanence a son numéro .
Le morceau en photo pour employer des termes de métier c'est du chêne de haie rien à voir avec de la Carotte.
Soyer exigeant , refuser si cela ne vous convient pas car c'est la première étape de toute fabrication.
Poser vous la question : Si cela était à refaire je prendrai encore cette Bille ?
Oui sauf pour l'alcali qui est de l'ammoniaque et le lavage qui a pour but d'enlever ou atténuer une éventuelle teinte à l'eau et autre chiure de mouche sans toucher à la patine.
Non
ici on parle d'un billot c est dire un ensemble qui va de la dosse au quartier . Le retrait du bois étant différent selon son orientation :
radiale ou tangentielle il en découle une possibilité accrue de fente.
Une planche est plus homogène dans son orientation et dans son séchage donc risque beaucoup moins important.
Le risque dans une planche reste encore sur ses abouts (séchage plus rapide) et la nervosité du bois.
Alors les miracles existent mais ils sont dû au compétences des sylviculteurs, scieurs et à la conduite du séchage.
Votre dessin montre la mouluration que sur la coupe .Pour le parement coté feuillure si il n'y a pas de mouluration deux faces sur le parement l'arasement devrait être le suivant ( croquis ligne rouge ). Pour le parement cote mouluration en supposant quelle soit égale cela donnera quelque chose comme cela (croquis ligne bleu) en cas de contre profil le montant ne sera évidement pas entaillé mais l'arasement sera le même sur la traverse.
La structure est extérieure non abrité avec partie horizontale donc bois classe IV . Il faux penser que les gens peuvent sauter à pieds joint sur l'ouvrage ou l'utiliser de façon très sportive.
Certes une mise en œuvre comme le dit etiennedesthuilliers va limiter les dégâts de là à les effacer à mon avis non, le bois va se fissurer sous l'action du soleil , l'eau va stagner et faire creuser les planches, et plein d'autres inconvénients comme le dit racmterrof .
Alors pour moi je botte en touche avec un tel cahier des charges je ne sais pas assurer la pérennité de l'ouvrage avec une fabrication bois.
150 à 200 mm est dimension très large est donc un risque accru je ne dépasse pas généralement 120 mm à 140 mm ce qui enlève le coté rustique mais limite le retrait.
Pour l'emboiture languette ou tenons se pratique, le tenon offrant un meilleur maintient du battant . Ici la partie mal sera pratiqué sur les lames pour ne pas retenir l'humidité (on ferai le contraire en partie basse ). la fixation peux se faire par chevillage ,vissage inox bouchonné par le dessus, collage polyuréthane (cela se pratique bien que cela peux engendrer des désagréments vu que cela limite le mouvement des lames).
Un plat alu vissé avec vis inox vu que votre battant est déjà tenu par les traverses semble suffisant et disparaitra avec la peinture.
Pour un té il est vrai que la rainure est à l'envers donc on le monte au silicone incolore mais en général on le réserve pour les menuiserie cintrées pour assurer l'affleurage sans avoir à multiplier les vis.
Je vois avec plaisir que enfin compte tu as déjà les réponses à ton problème. Bien sûr il restera une incertitude sur le choix de ton apprenti son implication et votre entente . Mais pour cela seul un essai peut apporter une réponse.
Mais je me fait pas de souci il me semble que tu as les éléments pour gérer ce genre de situation.
Pour un assemblage collé la cheville n'est pas nécessaire, la question des emboitures est un vaste sujet car elles doivent prévoir le mouvement des lames et elle vont engendrer un défaut d'affleurement à plus moins long termes.
Votre porte loge dans une feuillure mais cette feuillure est telle devant ou derrière le tableau ? Cela conditionne l'ouverture soit intérieur ou extérieur, le plus courant pour une porte de grange est ouverture vers l'intérieur et l'éloignement par rapport au nu de la façade conditionne en grande partie son exposition et la nécessité d'avoir un jet d'eau qui pour bien fonctionner doit être en relation avec le seuil.
ça change rien .