Si le dessus est en massif on ne pas gérer le tuilage mécaniquement car on doit laisser le bois se dilater. la couche du dessous à pour but que les deux faces respirent de la même façon. Il est vrai que beaucoup de tables anciennes ne sont pas vernis . La chaleur des appartements modernes et leurs hydrométries est différentes, les finition sont aussi différentes.
Pour vous convaincre empiler trois ou quatre panneaux massif l'un sur l'autre. un ou deux jours après le panneau du dessus de la pile aura creuser. Faite la même expérience en rajoutant un cp sur le dernier panneau . Le panneau du haut ne creusera pas car le cp le place dans la même situation que les autres panneaux . Souvent on place les panneaux entre des serre joints pensant que cela empêchera de bouger rien n'est moins vrai la respiration des faces n'est pas équilibré et le panneau du dessus bouge quand on desserre. Alors vernir le dessous n'est qu'une précaution supplémentaire, et il se peut que s'en dispenser n’entraîne aucun désordre.
Amicalement
Le bois est un matériau hygroscopique c'est à dire que sa teneur en humidité varie en fonction de l' humidité de l'air et de la température ambiante.
Evidemment pour l'exemple du soleil vernir en dessous ne sert à rien il se produit un déséquilibre trop important , une planche en plein soleil creuse mais là c'est du cintrage.
Prenons un exemple je fabrique une table en chêne mon bois est sec a 12 % , le lieu ou elle va être est a 9% .
Le retrait radial du chêne est de 0,20 % soit 3 x 0,20 = 0,6
Pour une table d'un mètre de large la table va bouger de 6 mm.
C'est un peu plus compliqué que cela car il y a d'autres retraits je concède que je schématise.
Avec un trou oblong tu peux gérer ce retrait radial si il permet ce retrait de 6 mm mais pas le tuilage qui est dans l'autre sens,
le tuilage va se gérer par le choix du bois: planche sur quartier par exemple, alternance des cœurs .
Alors c'est déjà peut être une explication pour les tables anciennes , une autre explication est que le bois à une mémoire ,
l'équilibre hygroscopique d'un bois est long à obtenir, et un bois qui est descendu à un certain pourcentage reprendra beaucoup moins.
l'exemple que l'on prend est celui d'une éponge : prenons une éponge neuve on la mouille elle va tripler de volume, une vieille éponge toute rabougrie avec le même volume d'eau va gonfler mais beaucoup moins.
La couche de vernis du dessous à pour seul but de troubler le moins possible cet équilibre hygroscopique entre les deux faces.
Mais c'est pas la panacée , savoir l'humidité de ses bois , ou ils vont aller, et leurs établissements doit être plus important.
Par contre je pense qu'au 18 éme le bois était déjà hygroscopique
Palissandre
Voilà enfin de compte on a que des points d'accords , tu tiens compte que ta table va bougée , tu dit que l'on peut pas employer que du bois de quartier donc tu tiens compte de l’établissement des bois. Et pour terminer tu vernis en contre parement
Nul doute que quand tu fabrique une table elle tient compte de tous ces paramètres . Donc je suis d'accord on ne maîtrise pas la nature mais j'ai l'impression que tu l’encadre pas mal quand même.
Amicalement
Bonjour
un 300 X 100 en douglas va faire a peu prés 100 kg + le poids des chevrons au m2 sur 1,25 par la longueur de la pergola. J' ai pas fait de calcul etiennedesthuilliers à du le faire et donc cela doit être jouable mais le contreventement et l'assemblage de tête doivent être sérieux. A la va vite je suivrai plutôt l'avis de sylvainlefrancomtois pour moi c'est trop long.
Quand on coupe un panneau surtout dans sa longueur on libère des tensions qui font que la coupe n'est pas tout faite droite mais forme une légère courbe . Pour palier à cela on fait une première coupe puis on refait une seconde en prenant 5 à 10 mm pour avoir une droite impeccable. Mais avec une scie portable c'est la même chose cela dépend des panneaux des fois c'est pas très sensible . Mais pour réaliser une coupe d'onglet format ou multipente sur des grandes longueurs il faut que cela soit bien droit. Moi j'appelle ça l'effet trompette mais a vrai dire c'est impropre car le véritable effet trompette c'est la minuscule augmentation de l’épaisseur des chants d'un panneau (comme le cône d'une trompette). Qui des fois posent des problèmes avec l'affleurages des plaqueuses de chants . La prochaine fois que tu débite un panneau regarde le en bout tu verras .
Alors j'ai vu que la question posait quelques interrogations.
Comme aujourd'hui je me déplaçait sur un parc bois j'ai posé la question. La réponse texte à l'appui et la suivante.
les largeurs et épaisseurs sont celles de la section droite médiane.
La largeur des plateaux est prise à mi flache et à mi longueur
on addition les largeurs des faces supérieures de chaque planche à partir de la seconde planche et on ajoute la demi somme des découverts de la première et de la dernière planche.
Mais et là cela se complique un peu L'existence de défauts ou d'altération peut entraîner la réduction des mesures de longueur ou de largeur.
J'ai recopié le texte pour pas me tromper.
Toujours est t'il que sur du chêne dans ma région on déduit l'aubier mais dans le texte le mot aubier n’apparaît pas c'est mi flache.
je crains que tu trouves peu de scieur intéressé par un petit débit sur liste.Tu risque de payer le prix fort . Tu pourrais peut être trouver un atelier partagé ou un autres boiseux pour de faire voir comment débiter un plateau, il y a rien de bien compliqué. Et a terme cela serait la solution.
Amicalement
Bonjour
Félicitations très beau projet , à la lecture de votre pas à pas je vois que la confection des moules vous à poser quelques soucis mais je ne doute pas quelle sera très formatrice . Ma seule remarque concerne la rigidité de l’étagère du dessus avez vous exploré la piste fibre de carbone incorporée à l'intérieur de la structure et totalement invisible afin de garder le look du projet initial ?
Encore bravo je vous souhaite une bonne continuation dans le Métier.
Mon avis et il engage que moi les arbres à plaquettes et autres arbres tersa je laisse tranquille . Il est vrai que la machine fait moins de bruit et que dans le cas d'arbre tersa le changement de fer est très rapide (pour les plaquettes c'est galère ). Les plaquettes laisse une petite trace en cas de forte passe en plus souvent il utilise pas des plaquettes normalisées et cela coûte assez cher. Je préfère mes vieux fers Hss . J ai croisé les deux marques citées mais seulement dans une gamme en triphasé pour robland la scie à format faisait le job mais la toupie était à vomir, Scm sur les machines que j'ai utilisé par grand chose à dire cela faisait le job . Aprés scm à une offre beaucoup plus grande pour le professionnel. Mais j'ai vu que tu as que le 220 alors là les machines sont plus light et posent un vrai problème dans le cas d'une utilisation un peu intensive .
OUI PU par exemple, huile ou vernis chacun à des avantages l’huile est un traitement en profondeur mais qui demande à être renouvelé en cas de petit accident il est plus facile de réparer. Le vernis lui reste en surface il est plus facile d'entretien à mon avis mais en cas d' accrocs il faut reprendre toute la surface. Avant tout c'est un choix personnel.
Ok Je comprend mieux
Alors ta solution est acceptable et surement plus simple que la mienne .Pour ce genre d'escalier on relève la forme des marches avec des bandes de cp 10mm et dont la largeur correspond au débord de marche plus un peu de jeu. Tu fait un cadre avec une diagonale pour le rendre indéformable que du visse ou agrafe.Retour atelier débit puis calibrage des marches avec les cadres fixer en contre parement et montage d'usinage sur format. une surcote est prévu pour ajustage sur chantier mais globalement tout est fait atelier.
Les stylobates sont fait en mdf de 8 ou 10 la finition est à peindre. L'astuce est de les poser avant les marches; tu coupes grossièrement à la formes des marches puis tu simblote et du as le rampant un arrondi pour faire propre et c'est tout. Pour le montage tu fait forcer un peu la marche et la contre marche latéralement contre le mdf qui faisant que 10mm vient plaquer contre le mur. pour pouvoir monter à l'avancer on pratique une rainure à l'arrière de la marche qui reçoit la contre marche. On peut visser la marche dans cette rainure ou derrière, de plus on rajoute une sur épaisseur sous le nez marche qui nous permet de visser aussi la contre marche dans la maçonnerie. Car 22 mm pas de problème sa tient mais visuellement c'est un peu short.Pour le reste comme tout le monde ragréage et collage. un simple joint sur la tranche du stylobate pour finir.
Bonsoir
Je vois alors donc tu ne dispose pas de format et pour les usinages sur le chantier à la défonceuse ? Je demande car cela m'a ammene à être plus prudent sur la solution. D'abord sur la photo la cage semble humide? De plus il semble y avoir une plinthe carrelage en guise de stylobat : la cage va être elle refaite en peinture ?
Le plus beau des chantier n'étant réussi que si il est rentable.
Pour l'instant et compte tenu de ce que je sais de ton outillage .
Marches et contre marches en panneau pour éviter les collages.
Éviter les usinages si pas de toupie , épaissir le nez de marche visuellement me semble mieux et évite une rainure, pour l'arrière de la marche avec la contremarche pourquoi pas envisager un profil du genre congé ?
La liaison avec les murs ,déjà refaire un escalier sans toucher la cage c'est dommage. Tu as déjà compris que je ne suis pas très fan des joints acrylique, mais il faut avant tout être rentable , alors si tu n'as pas une habitude de ce genre de travail les stylobats il faut les faire payer évidement cela a une autre allure? Il y a des solutions intermédiaires en tout cas pas de mdf si cage humide. Le chantier est un peu conséquent il faut bien réfléchir aux points de conception, et j'ai tendance à proposer des solutions qui font appel à un outillage conséquent.
J espère que d autres intervenants prendrons le fil pour résoudre ses petits problèmes.
Amicalement
Alors ok pour la prise de côte précise comme je te l ai déjà dit a l' aide de bandes en mdf ou en cp on reconstitué la marche in situ .il suffit de les agrafer ensemble avec une bande en travers pour rendre l'ensemble indéformable. Vérification immédiate deux minutes par marche transfert sur le panneau en imbrican les marches optimisation de la matière. Tu peux faire la forme exacte de la marche puis tu rajoutes une bande pour matérialiser le Debord de marche . De plus des calibres on déduit les longueurs des contremarches. Pour l' assemblage marche contre marche cela se discute . On est d accord que le problème de mise en tension de la marche dans le cas d habillage escalier est absente. Il nous reste a a masquer l'éventuelle retrait bien que bien diminuée par l'utilisation de panneau. La feuillure dans la contremarche pour la visser par derrière oblige de monter les deux ensemble. Une rainure dans la marche permet de la visser dans la rainure et de monter a l'avancer. Comme la marche est vissée et la contremarche on peut monter dessus sans déplacer le collage. Dans l'autre solution il faut peut-être procéder en descendant ?
Oak Rester a plat pas de problème par compte il est plus simple de visser les lames entre elles. On a abandonné les calibres genre araignée car on peux faire qu'une marche à la fois plus difficile pour optimiser le débit de plus nous on se sert du calibre pour calibrer les marches avec un guide qui prend appui directement sur notre calibre. Pour le vissage on visse la marche dans sa rainure puis on ajoute la contremarche que l'on visse en partie haute . L' important est de garder un peu de jeu entre le devant de la marche et la contremarche pour que la rainure soit bien a l' aplomb . Je te conseille de faire une coupe de principe pour par être gêné par d'éventuels devers du devants de marche.
L' araignée est un appareil que l'on connait bien est qui est très utile. il est a noter qu' il existe un autre calibre constitué de règles que l'on visse ensemble et qui reconstitue la marche. Tu te feras une idée par toi même il est difficile d' expliquer sans être en face de la personne car tu vois pas comment on procede en détail. Dans le cas présent on ventilé les bandes de contreplaqué dans l' escalier et fait tout les calibres, les coupes en bout n'ont pas besoin d être précise ont les fait a la volée avec une sauteuse a pile nous ont agraphe les bandes avec un compresseur . La bande fait la largeur du Debord de marche donc mon calibre matérialise vraiment ma marche. L' avantage si on si prend bien :j' ai monte l' escalier trois ou quatre fois et je me retrouve avec tout les calibres de l'escalier. Je peux les agencer comme je veux dans le panneau . Par contre le cp que tu as pris pour ton agencement me semble un peu mince . Sur le duel on as déjà essayé victoire par KO pour les cp mais il faut dire que on ramène le tout pour le calibrage en atelier .
Aucun doute l araignée te sera très utile . Je donne pas ces méthodes pour prouver la supériorité d'une chose par rapport à l'autre. Non avant tout il faut avoir confiance dans la technique que l'on met en oeuvre. En menuiserie les pertes de temps les plus importantes sont le pointage des machines et le déplacement des pièces dans ton cas monter et descendre. Quand on fait un chantier comme le tien on fait toujours un débriefing pour voir ce qui a Marche et ce qui a moins bien marche. Alors on a des poseurs qui sont partisans du calibre en bandes et d'autres qui sont pour un gabarit complet en mdf mince.L'argument est que on le réutilise pour protéger le chantier est que on a pas de risque de deregleage .Pour les autres ils disent que les bandes sont plus rapide. Moi je laisse au poseur le choix de sa méthode l'important c'est qu'il soit dans des temps qui correspond au devis. Alors c'est pas chronométré mais il y a quand même une logique économique.
Bonjour sylvainlefrancomtois
Évidement il semble avoir un gros souci sur la première marche qui peut peut être s expliquer en partie par la chape des carreaux. La faire sauter permettrait peut-être d' améliorer les choses il faudrait que Oak dise quelle est la hauteur de la marche d'arrivée. Non j'aurais été intéressé par avoir ton avis technique sur le fait de faire une rainure en arrière de marche pour recevoir la CM.
Quand a arranger le module je ne sais pas ?
Amicalement Bonbonveronbi
Alors c'est un peu différent dans ton cas le roulement à bille va porter sur trop peu. En effet tu seras obligé de l’éloigner des plaquettes supérieures tu va porter sur à peine 3 mm et encore. D’où Risque de brûlures du mdf et si le plateau déverse tu va rentrer dans la moulure. Moi je toupillerai au guide continu c'est à dire une bande de cp rajouté sur tes guides et qui ferme la lumière et qui est placé à 35 mm de la table . Tu bénéficieras d'un appui constant si la plateau déverse tu mangeras pas la moulure . Baisse ta fraise , attaque dans les parties droites et tourne en appui sur le guide . Tu peux faire un trait à l'axe car tu doit tourner en en étant normal à ta courbe. Mais le seul risque est de pas en prendre assez . Usine en plusieurs fois en remontant la fraise petit peu par petit peu. Rajoute un presseur faire attention que le cp soit assez rigide et vue les dimensions il serait prudent de le faire à deux pour éviter le dévers..
je suppose que tu veux mettre le 150x150 a l'aplomb des poteaux. L 'eau peut s’infiltrer par capillarité au niveau du joint. Une section rectangulaire me semble plus judicieuse .Je laisserai déborder un peu la panne pour former goutte d'eau et taillerai l’arrière du poteau en pente pour ne pas retenir l'eau. Je joint un croquis ou les contre fiches ne sont pas représentées. En complément tu peux couvrir juste le dessus des poteaux avec une ardoise par exemple.
voila le secret
exemple d'un coté de meuble selon les deux techniques.
Deux montants moulurés assemblés tenons mortaise et un panneau plate- bande en embrèvement. Le menuisier laisse le panneau bouger librement dans les rainures.
Réalisation en conception ébéniste : Panneau alaisé en latté plaqué, relief des pieds par collage de plaquettes massives minces. Panneau par collage d'un cp alaisé plaqué.
La solution donne un panneau stable avec des variations dimensionnelles restreintes. L ébéniste met en oeuvre des essences rares avec des gros débits souvent limités. Son domaine d'application est donc souvent le placage qui réclame un support inerte.
Pour l'exemple j'ai mis un panneau plate bande dans la solution ébéniste. En application il est rare l ébéniste utilisant plutôt un panneau à glace pour mettre en valeur le placage par frisage par exemple.
Les deux techniques peuvent se retrouver au sein du même ouvrage
Exemple Réalisation d'un lambris à joint creux moderne en loupe de noyer avec intégration des portes . Solution retenue: la rareté de l'essence, l'obligation de faire suivre le décor dans l'ensemble de la pièce nous fait choisir une conception ébéniste.
Réalisation d'une façade de magasin à panneaux et porte en arase type parquet Versailles. Choix : Le placage nous a semblé trop fragile pour un ouvrage en extérieur et en partie mobile, L'arasé en massif trop dangereux à causes des risques de retrait ou de gonflement . Solution retenue placage de plaquettes minces 8 mm pour reconstituer visuellement un arase sur des panneaux cp extérieur .Le tout plaqué polyuréthane (
Voici deux exemples de chantiers type bâtiment mais de conception Ébéniste. il est facile de trouver le contraire
Alors ébéniste ou menuisier ?
oui le mot contrainte est mal choisi. Dans mon exemple j'ai pris un panneau latté mais un multiplis c'est le même principe. Nous somme d'accord que la variation dimensionnelle du bois dans le sens du fil (axial) est tenue pour négligeable dans les applications qui nous préoccupent . Le Latté ou multiplis croise le sens du fil de leurs couches respectives empêchant ou du moins limitant grandement la variation dimensionnelle du panneau. Dans mon propos Je voulais dire que la couche croisée empêchait cela du dessous de bouger ( la mettait en contrainte). le composite c'est autre chose mais ta as raison c'est peut être une question de mots. Dans la question Ébéniste ou Menuisier il y a évidement pas de bonne ou mauvaise réponse , mais il est amusant de voir que l on cherche en premier les différences et pas les points communs. Les mots sont un point commun
Les différents métiers s'entourent d'un langage technologique qui as pour but que les professionnels se comprennent entre eux et dans une moindre mesure que l'homme de la rue ne comprenne rien
Mettons un menuisier dans un chantier de charpente . si on lui dit faisons bout par bout , et maintenant quartier va t'il comprendre ?
la charpente à un vocabulaire qui fait mon admiration mais que google à encore du mal à traduire. Quant est t'il de la menuiserie avec l 'ébénisterie , il doit bien y avoir quelques différences de termes mais dans l'ensemble on parle le même patois.
Bonsoir,
Un petit croquis coté serait le bien venu pour éclairer la communauté. Pour les pannes les sections rectangulaire sont plus adaptées.