
Bonsoir
titimaster alors sur la photo de base la porte et le panneau font latti.
Une solution est celle proposée par sylvainlefrancomtois est de faire un meneau en massif et après embrèvement des panneaux. si on veut faire lattis il nous faut soit un panneau de l'épaisseur du bâti soit admettre que le panneau soit moins épais mais là on sort du projet initial. Evidemment on peut faire le panneau en trois plis. Reste à gérer le joint creux sur l'arasemenent en bout de tenon qui pose souvent un problème en cas de tenon long. De plus on est dans de l' arasé double parement jouissif mais pas des plus simple.
Autre solution prendre un panneau en cp de 15 alaiser ce panneau et par exemple collé à la polyuréthane deux épaisseur de panoplot chêne de 13 mm. Alors on arrive à 41 mm a peu prés l'épaisseur d'une porte. Les joint creux peuvent être exécuter avant ou après selon l'outillage.
On peut faire le même principe mais en faisant son panneau de chêne en plaquette de 8mm plaqué sur un cp de 25.
Une troisième solution serait de faire un bâti embrever un panneau plaqué chêne puis revenir au nu du bâti avec des plaquettes de chêne ayant déjà le défoncé du joint creux.
En tant que menuisier je vais prendre mon pied à essayer de faire l'arasé de plus évidement je vais faire un meneau trois plis pour que les fils des panneaux et du montant se suivent.
Maintenant en entreprise c'est plus difficile et on se dirigera vers une solution à base de panoplot.
Voilà la raison des alaises faire de l'arasé sans en faire .

bonsoir
nous on collerai d'abord le panneau. Alors on débit dans du 18 on sort à dix ou 8mm puis on colle à plat joint. Pour coller on se met sur une plaque épaisse puis on serre avec une clé en forme de coin. Après on calibre les découpes . Une fois le bâti collé avec son panneau on collerai nos découpes sur le panneau. Si tu n'as pas de presse il faut se confectionner un panneau avec des chevrons à la taille de la porte et serrer il faut très peu de force. Alors tout dépend de ton matériel mais tu peux utiliser du panoplot chêne et là tu as déjà tes collages, je pense qu'il est disponible en 13 mm.

Bonjour
Voici plusieurs pistes pour d'aider à tirer le meilleur parti de tes bois. Alors déjà il faudrait savoir si il y a un faux limon au mur ou c'est deux limons de jours et Si tu prévois un plafond en sous face ?
Moi je vois cela comme ça tirer au maximum en épaisseur ( si il y a un plafond on pourrai simplement blanchir) Après augmenter le plus possible le bois sous le cran je te joint un bout de croquis , tu réalise le dessus du cran avec la première découpe. Ici j'ai pris un exemple avec un limon de 250 mm giron de 275 hauteur de 180.
J'obtiens 160 mm sous le cran. Il existe une solution pour augmenter un plus encore c'est de pas équarrir totalement l'entaille du coin il là j'obtiens 175 mm sous le cran ( voir le petit trait sur le croquis).
On peut encore envisager d'autre choses mais il vaudrait mieux avoir plus de renseignement pour ne pas avoir à nous lancer dans des fausses pistes.

A vrai dire cela n' pas besoin de tant de solidité que cela car c'est une petit partie du coin. La plus part du temps on colle soit à la blanche ou à la polyuréthane. C'est un collage de fil qui est très résistant. Tu peux aussi pousser une ou deux rainures avant le découpage des crans pour assembler les coins.

Bonjour
Evidemment même avec le plan je ne peut pas me mettre à ta place. Mais enfin de compte il faut déplacer la porteuse pour raccourcir la grande portée . Alors en vrac changer le sens de montée de l'escalier pour déplacer la porteuse de deux emmarchements et puis après repousser un peu l'escalier (environ un mètre) pour diviser la portée des poutres .Un poteau serait dans la cloison de l'escalier et peut être en étudiant l'escalier on pourrait enlever le poteau du milieu de la pièce ? De toute façon il me semble que la variable d'ajustement tourne autour de l'escalier.

Pour reprendre l'exemple de dependancesbois de la tersasse vis de 6 mm perçage de 6.5 dans la lame avec fraisoir associé et butée de profondeur. Un seul perçage vis inox 2.5 à 3 fois l'épaisseur de la lame. Avantage jamais de remontée de lames si la lame travaille un peu les vis inox ne cassent pas. Evidemment il faut bien noyer la vis dans la lame pour palier au retrait du bois mais similaire au perçage plus petit. Les applications que je connais ou on perce plus petit que le diamètre de la vis sont les application de réglage comme mise à niveau de parquet avec injection de mousse pose de menuiserie etc. Et j'oubliai nos amis charpentiers qui eux se dispensent de perçage dans de nombreux cas.

oui en principe on perce jamais le support pour arriver à ce résultat bien choisir sa longueur de vis avoir dans les cas plus difficiles ;suif; savon paraffine ou autre agent glissant. Il peut arriver dans les cas extrêmes que je reperce un trou plus petit dans le support mais cela est vraiment rare.
A mon avis fileté le bois dans la pièce à serrer va à l'encontre du serrage à proprement dit d'ailleurs comme tu le dit la pièce remonte et il s'ensuite desserrage et resserrage.
Le filetage dans la pièce à serrer à son utilité mais c'est une autre histoire qui mériterai un pas à pas.

Ton conseil est la solution de la sagesse. Mais d'un autre coté c'est
s'interdire un certain designe de plateau. Les plateaux vont rétrécir perpendiculairement à leurs fils dans notre cas suivant la bissectrice de l'angle et perpendiculaire aux murs pour les deux plateaux. Le risque est que proportionnellement l'angle va se rétrécir un peu plus que les cotés; la bissectrice étant par définition plus grande.
Les plateaux étant assez important un assemblage sur place des trois éléments par vis de rappels et fausse languette serait une commodité pour assurer un éventuel traînage . Je mettrai un petit point de colle sur le devant pour que l'éventuel retrait se produise sur le derrière des plateaux. En principe nous sommes dans un bureau donc à priori pas dans un lieu humide.

En faite c'est de ma faute je me suis mal expliqué. Dans mon idée je repart du haut et je change le chevron en totalité enfin compte cela fait 1600 de plus. Les travaux ne sont pas les même mais la toiture serait saine et ont pourrait isoler dans la hauteur du chevron dans la partie isolation. Si on change que la partie basse à cause de la différence de hauteur des chevrons cela fait une rupture de pente dans les tuiles et je suis pas fan cela pose souvent des problèmes. Au vu des photos les planches de rives et l'ensemble de la toiture ne semble pas de toute première fraîcheur se poser la question de repartir sur des bases saine est peut être utile.

Bonjour
simplement des consoles avec une écharpe pour renvoyer le poids au mur.
la conception dépend de ton outillage des tenons mortaise, a la moise ou des goussets en cp tout est possible. Tu peux superposer plusieurs niveau sur le même sommier en fonction de la place disponible.Fixation dans les joints de parpaing.

J'ai mis la table à l'envers pour faire comprendre mais du peut la garder sur ses pieds. Tu fixes avec des petits serre joints une traverse sous le plateau en protégeant le dessus du plateau. Tu prends un tasseau que tu visse dans la traverse et que tu serre avec un autre serre joint sur le pied en le protégeant bien sur. Si cela apporte quelque chose tu peux essayer sur les autres pieds, enfin il faut trouver la meilleur configuration en jouant sur la grandeur du triangle formé. Une autre solution est de relier les deux pieds arrière toujours avec des serre joints.

Bonjour
pour être stable un piétement doit former un plan qui vient au contact avec le plan formé par le sol . Or l'un est l'autre peuvent être irrégulier (gauche). La condition optimal de stabilité serait obtenue par un piétement à trois pieds , quelque soit les conditions il sera en contact avec le sol . Dans votre cas la stabilité optimal est obtenu en rendant la base d'appui au sol la plus grande possible, c'est dire en mettant les patins aux extrémités des pieds. Si votre pied porte en son centre il met votre table en légère bascule. Cela ne résout pas les éventuels problèmes de souplesses et de contreventement de la table.
C'est pourquoi je vous avez proposé de simuler un contreventement avec l'aide de petits serre joint pour voir si cela pouvait être solutionné.
ou si cela dû à une souplesse de la table.

Bonsoir,
sylvainlefrancomtois
Je pense que tu as raison une pose en flottante est une bonne solution
Mais c'est un sol de Comble il y a un risque que la dalle ne soit pas parfaite d'ou une difficulté de mise en oeuvre pour le non habitué. Par contre le map je suis pas fan même latéralement tu crée obligatoirement un pont phonique . Depuis un moment on utilise une mousse de polyuréthane qui se colle autour de la lambourde est augmente la surface d'appui. Alors c'est pas la panacée car déjà elle est assez cher et pour l’environnement c'est pas terrible je suis d'accord. Mais on a une isolation sous la lambourde et cela est très rapide de mise en oeuvre.
Amicalement

Pour mettre en oeuvre un lambourdage à la mousse pu . On utilise des vis pour fixer les fenêtres on perce les lambourdes pour créer un filetage comme ça la lambourde ne tire pas . Le visage n'est pas là pour fixer mais pour tenir la lambourde de niveau le temps de mettre la mousse. Après on mousse sur la totalité de la longueur des lambourdes un peu comme un lit de bitume mais en beaucoup plus simple.On a un chantier en ce moment ou ils ont rattrapés 80 mm de faux niveau avec ce systéme. Je me suis dit j'y vais je faire des photos trop tard ils avaient déjà fermé, je vous envoie quand même le bout de la lambourde. il y a pas de calage et la mousse ne pousse pas à cause de nos vis c'est de la mousse colle pas la même que pou l'isolation. Parfois on pose les fenêtres comme cela on arrive à deux on démonte rien on pose en faisant tenir la fenêtre avec une pige on règle le niveau et on passe à la suivante. on revient une heure , on ouvre la fenêtre et on tamponne. Comme on jamais ouvert la fenêtre les cales maintienne l'équerrage et elle est pas gauche.
Bonsoir
J'ai changer ma méthode d'affleurage du stratifié au fil du temps. Les premiers stratifié étaient épais et faisaient un gros chanfrein noir à l'affleurage . un affleurage avec une fraise à 45 marchait bien suivi d'un léger coup de papier de verre fin . Parfois on passait l'angle à la paraffine puis au brunissoir pour obtenir un effet brillant.
Parfois un complément au rabot de paume mais j'avais fait demander une mise carbure sur un fer à notre affûteur sinon vous passer votre temps à la pierre.
Mais voila les stratifiés ont changés en épaisseur et peut être en qualité.
Maintenant souvent le chanfrein obtenu n'est pas aussi net que dans le temps l 'épaisseur rentre en jeu bien sur mais il n'y a pas que cela. Alors dans un premier temps j'ai utiliser une fraise à 30 le but étant de minimiser au plus le chanfrein.
Pour certains décors je n'était pas encore satisfait donc je procède de la façon suivante . Un premier affleurage avec la fraise à 30 en laissant du gras suivi d'un nettoyage des résidus de colle sur le chant. Je repasse la fraise à 30 il reste un infime surplus que je fini d'éliminer au racloir. Puis un petit coup de papier 240. Le chant est fini avec un micro chanfrein qui est presque invisible.
Alors cela marche bien pour moi mais beaucoup procède de manière sensiblement différente . L'important étant de trouver la méthode qui vous convient . Par contre j'ai banni le roulement à bille j'utilise systématiquement un guide à bascule pour éviter les rayures sur le chant et les nettoyages répétés des roulements .