En faite c'est de ma faute je me suis mal expliqué. Dans mon idée je repart du haut et je change le chevron en totalité enfin compte cela fait 1600 de plus. Les travaux ne sont pas les même mais la toiture serait saine et ont pourrait isoler dans la hauteur du chevron dans la partie isolation. Si on change que la partie basse à cause de la différence de hauteur des chevrons cela fait une rupture de pente dans les tuiles et je suis pas fan cela pose souvent des problèmes. Au vu des photos les planches de rives et l'ensemble de la toiture ne semble pas de toute première fraîcheur se poser la question de repartir sur des bases saine est peut être utile.
Bonjour
simplement des consoles avec une écharpe pour renvoyer le poids au mur.
la conception dépend de ton outillage des tenons mortaise, a la moise ou des goussets en cp tout est possible. Tu peux superposer plusieurs niveau sur le même sommier en fonction de la place disponible.Fixation dans les joints de parpaing.
J'ai mis la table à l'envers pour faire comprendre mais du peut la garder sur ses pieds. Tu fixes avec des petits serre joints une traverse sous le plateau en protégeant le dessus du plateau. Tu prends un tasseau que tu visse dans la traverse et que tu serre avec un autre serre joint sur le pied en le protégeant bien sur. Si cela apporte quelque chose tu peux essayer sur les autres pieds, enfin il faut trouver la meilleur configuration en jouant sur la grandeur du triangle formé. Une autre solution est de relier les deux pieds arrière toujours avec des serre joints.
Bonjour
pour être stable un piétement doit former un plan qui vient au contact avec le plan formé par le sol . Or l'un est l'autre peuvent être irrégulier (gauche). La condition optimal de stabilité serait obtenue par un piétement à trois pieds , quelque soit les conditions il sera en contact avec le sol . Dans votre cas la stabilité optimal est obtenu en rendant la base d'appui au sol la plus grande possible, c'est dire en mettant les patins aux extrémités des pieds. Si votre pied porte en son centre il met votre table en légère bascule. Cela ne résout pas les éventuels problèmes de souplesses et de contreventement de la table.
C'est pourquoi je vous avez proposé de simuler un contreventement avec l'aide de petits serre joint pour voir si cela pouvait être solutionné.
ou si cela dû à une souplesse de la table.
Bonsoir,
sylvainlefrancomtois
Je pense que tu as raison une pose en flottante est une bonne solution
Mais c'est un sol de Comble il y a un risque que la dalle ne soit pas parfaite d'ou une difficulté de mise en oeuvre pour le non habitué. Par contre le map je suis pas fan même latéralement tu crée obligatoirement un pont phonique . Depuis un moment on utilise une mousse de polyuréthane qui se colle autour de la lambourde est augmente la surface d'appui. Alors c'est pas la panacée car déjà elle est assez cher et pour l’environnement c'est pas terrible je suis d'accord. Mais on a une isolation sous la lambourde et cela est très rapide de mise en oeuvre.
Amicalement
Pour mettre en oeuvre un lambourdage à la mousse pu . On utilise des vis pour fixer les fenêtres on perce les lambourdes pour créer un filetage comme ça la lambourde ne tire pas . Le visage n'est pas là pour fixer mais pour tenir la lambourde de niveau le temps de mettre la mousse. Après on mousse sur la totalité de la longueur des lambourdes un peu comme un lit de bitume mais en beaucoup plus simple.On a un chantier en ce moment ou ils ont rattrapés 80 mm de faux niveau avec ce systéme. Je me suis dit j'y vais je faire des photos trop tard ils avaient déjà fermé, je vous envoie quand même le bout de la lambourde. il y a pas de calage et la mousse ne pousse pas à cause de nos vis c'est de la mousse colle pas la même que pou l'isolation. Parfois on pose les fenêtres comme cela on arrive à deux on démonte rien on pose en faisant tenir la fenêtre avec une pige on règle le niveau et on passe à la suivante. on revient une heure , on ouvre la fenêtre et on tamponne. Comme on jamais ouvert la fenêtre les cales maintienne l'équerrage et elle est pas gauche.
Je viens de regarder le site est je commence à comprendre effectivement la croix fait lattis long pan mais par contre les pieds font lattis en croupe.
Alors en tant que menuisier après avoir fait la vue en pan et les élévations
je trouve par rabattement la vraie grandeur de l'arête principale du pied. En faisant une vue par bout j'obtient un angle de corroyage théorique mais comme le pied fait lattis en croupe j'implante une section faisant lattis en croupe . Avec cela j obtiens la trace horizontale du pied. cela me permet ensuite de compléter mes élévations. Ensuite je rabattrai le pied pour avoir sa projection en vraie grandeur puis je ferai de même pour la croix et là je devrai avoir toutes mes coupes. Je te dit cela vite fait je pense pas me tromper il faudrait que je le dessine il vrai qu'il est plus commode de faire lattis au pied et à la croix et je comprend la petite difficulté
Oui je sais mais quand je dit J implante une section faisant lattis en croupe c'est votre devers de pas . Apres votre herse c'est mon rabattement et je complète l’épure comme le dit sylvain avec l' élévation de coté. Si vraiment tu y arrive pas avec les charpentiers je t'enverrai un dessin autocad .
Je me permet juste un petit rappel ne jamais céder à la tentation de substituer le passage à la lime par un passage sur la longue bande ou autre lapidaire. Les étincelles ne sont pas visibles en plein jour. une combustion lente peut provoquer un incendie des heures après, ravivé par l'aspiration. Et pourtant c'est une pratique que j'ai souvent croisée dans les ateliers .
Alors merci à tous pour vos réponses
Une mention spéciale à sciunto et à ses compères pour leur humour ce qui vaut bien une bonne réponse.
Une mention aussi à Folgansky et Royk pour le coup de trusquin que l'on peut considérer presque comme une bonne réponse mais que je suis obliger de disqualifier pour utilisation d'un outillage additionnel.
Et une une mention collective pour tous pour votre bonne humeur et le partage de vos connaissances
La réponse :
S'assurer d'avoir sous la main un bois droit de fil ,ce genre de bois que l'on appelle de la carotte dans certains ateliers. ( un sapin convient très bien mais on y arrive avec beaucoup d'essence ).
Le mettre à chant dans la presse (et oui c'est le premier petit truc).
Un rabot frais d’affûtage contre-fer réglé aux petits oignons semelle paraffinée une F1 quoi. Commencer en bout, le copeau se déroule et tout va bien arrivé presque en bout reculer légèrement pour ne pas casser le copeau , faire sortir le fer avec la molette ou taper sur le fer pour un rabot bois et tourner pour passer sous le premier copeau (le fait d'être à chant permet cette manœuvre). Continuer vers l'autre bout et on arrive souvent à faire un troisième tour. Soit un copeau de trois mètre ou presque.
Je précise qu il y a pas de coup de main on y arrive presque du premier coup
Et oui Oak tu as donné la bonne solution depuis le début bienvenue dans le cercle des Menuisiers du troisième age
Je reviens vers toi car il une solution très simple . Tu peux traiter ta petite charpente comme de la fermette. Tu traite ton long pan avec avec des fermettes triangulée pour les rendre indéformable si tu as pas de connecteurs tu utilise du cp collé cloué. Tu garde un entraxe raisonnable 450 mm par exemple. Sur la dernière fermette tu rajoute un bois qui forme poinçon et augmente la section de l'entrait. les arêtiers sont des demi fermettes qui vont venir s'assembler sur l'entrait et le poinçon de long pan . tu contrevent et anti-flambage sur le tout et voilà. Tu peux pour visualiser faire le plan de ton abri au sol et monter tes fermettes au sol. Alors il manquer le délardement sur les arêtier mais pour un si petit ouvrage cela n'a pas d'incidence.
Alors c'est autre chose.
Il faut d'abord définir tes raccords de comble.
Je te joint un croquis ou je l'ai fait avec les mur de croupe égaux et une pente à 35 degré et tu vois cela donne deux faîtages.
Pour comprendre le processus raccord de comble
C'est un préalable avant d'aborder la charpente.
.
Bonjour
Je crois comprendre que tu veux entailler tes chevrons au niveau de la sablière. Alors selon la configuration de ta charpente cela n'est pas forcement bien ?
je suis conscient que la charpente ne portera que très peu de poids.
Mais dessine tes raccords de combles car moi j'ai fait n'importe quoi sans tenir compte de tes dimensions. j'ai pris le parti de pentes de toits similaires ce qui est peut être faux dans ton cas. Risque d'avoir des chevrons presque sans pente.
Le point d'interrogation résulte que pour l'instant du dessine une charpente dite à "chevron porteur" sans triangulation.
En faisant un pas sur ton chevron tu empêche le chevron de glisser et tu renvoie toute la force sur les murs.
Bonjour,
Je suis depuis le début votre post, il me semble très intéressant d'avoir une idée précise de son escalier et surtout de son 'look'.
Mais l'escalier est un exercice esthétique certes primordiale mais sa statique ne l'est pas moins. Alors j'ai l'impression que vous voulez un escalier très aérien du coté jour ( câbles ). ils nous arrivent de tailler des escaliers sans soutien du coté jour mais avec une structure métallique insérée au préalable dans les cloisons et une structure qui s'enfonce profondément dans la marche. Ces escaliers sont rarement balancés et baissent un peu à l’utilisation.
Le limon central est une autre piste pour rendre son escalier aérien.
Un rampe auto porteuse qui soutien les marches est une autre solution.
Alors les câbles je suis pas tellement pour car obligatoirement il vont être sollicités et se tendre sous le poids de l'utilisateur, on réalise plutôt ce genre d'assemblage par l’intermédiaire de tubes.
Un escalier peu soutenu du cote jour doit être bloqué de manière très sérieuse de l'autre coté.
Mes propos paraisse peut encourageant mais c'est tout le contraire.
Un seul conseil abandonner votre logiciel un moment , une feuille un plan au dixième, lister les contraintes, etc
Après vous avez quelques escaliéteur sur le site qui vous ferons part de leur expériences.
Mais notre métier c'est avant tout du dessin et encore du dessin après tout est facile.
Amicalement
En fabrication on considère que la marche doit avoir 1/20 de l'emmarchement pour épaisseur. Mais on pondère en fonction de la présence de contre marches ou les longueurs des parties tournantes. Mais on considère la marche sur deux appuis . Tu es dans une situation particulière . Si j'ai bien compris ton noyau ne reposera pas au sol , alors déjà une crémaillère au mur semble inadaptée un faux limon bloquerai les marches et solliciterai d'autant moins la fixation des marches. Donc à mon avis selon ton emmarchement l’épaisseur de marche n'est pas le premier problème.
En service tes câbles vont se mettre en tensions provoquant une légère bascule de la marche sollicitant la marche coté mur d''autant quelle n'est pas prise en entaille.
Un noyau au sol est une solution plus sur. Faite une recherche sur internet les marches sur câble ne sont pas nombreuses et quand on en trouve la fixation coté mur est primordiale. Une gestion par tube suspendue avec un étirement nul ? Mais le câble il va se mettre en tension et se détendre c'est surement l'effet recherché pour un pont pour un escalier c'est moins sur. La solution est peut être dans la fixation coté mur pour que l’inconvénient du câble soit tolérable.
Ton conseil est la solution de la sagesse. Mais d'un autre coté c'est
s'interdire un certain designe de plateau. Les plateaux vont rétrécir perpendiculairement à leurs fils dans notre cas suivant la bissectrice de l'angle et perpendiculaire aux murs pour les deux plateaux. Le risque est que proportionnellement l'angle va se rétrécir un peu plus que les cotés; la bissectrice étant par définition plus grande.
Les plateaux étant assez important un assemblage sur place des trois éléments par vis de rappels et fausse languette serait une commodité pour assurer un éventuel traînage . Je mettrai un petit point de colle sur le devant pour que l'éventuel retrait se produise sur le derrière des plateaux. En principe nous sommes dans un bureau donc à priori pas dans un lieu humide.