Bonjour ,
Je prend le fil car le problème est assez intéressant , à première vue ta solution parait assez chronophage mais je ne connais pas ton outillage et il y a pas de bonne ou de mauvaise méthode , il y a la méthode qui nous convient comme on dit.
Dans un but constructif je te soumet ce qui suit:
Les persiennes dite à la françaises ne sont à rainure et fausse languette que en agencement intérieur , à l'extérieure on passe par un tenon. La lame qui fais saillie du nu du bâtis est aussi une persienne à la française on en trouve déjà sur le
Roubo . La Différence avec la persienne dite Américaine est la mortaise qui débouche en parement.
En persiennes extérieures on prend les lames inclinées dans l'épaisseur d'un plateau. on corroye des blocs de la longueur des lames , on profile les tenons en bout , puis on débite avec la format en inclinant la lame pour avoir une lame finie avec les chants parallèles au batî , le fait qu'elle fasse saillie ou pas ne change rien hormis le ponçage. Pour l'usinage des battants on peut faire déboucher la mortaise ou pas selon son désir. La différence hormis esthétique est d'un coté on peut faire l'usinage en groupant les battants non débouchant l'usinage est mortaise par mortaise. Si on n' as pas des blocs d'une épaisseur suffisante on fabrique une boite pour usiner les lames par paquet .
Dans un autre genre d'idée on peut partir sur une conception en considérant deux cadres. Les lames serait prise dans un cadre simplement vissé en bout , le tout serait embrevé dans le bâti à fleur avec joint creux , intérieur ou en saillie. Ici on à un look légèrement différent selon la hauteur de l'embrèvement.
on pourrait usiner aussi un tourillon central dans la lame associer à un léger embrèvement ce qui ramènerai l'usinage du battant à un simple perçage. Méthode du bloc ou de la boite à la toupie.
On peut trouver une multitude d'alternative au domino avec un rendu similaire ou légèrement différent .
Comme d'habitude il y a pas de réponse évidente et chacun fonctionne selon ses habitudes et son outillage.
Bien amicalement
Surcote pour passer à la rabot ou qualité de sciage qui permet un simple passage à la large bande. Et là on voit toute suite l'importance de travailler selon l'outillage disponible car à ma grande honte on a tendance diriger le client sur des lames à fleur quand on a disposition une large bande qui permet de poncer l'ouvrant d'un coup.
Quand on à pas les débits pour prendre les lames dans un bloc on fabrique une boite qui permet de les maintenir à chant pour permettre l'usinage sur les deux bout sur plusieurs lames en même temps (on reconstitue le bloc en maintenant les lames à la pente de la persienne)
Alors sur les usinages avec un cadre je suis d'accord avec toi le point délicat est le montage pour avoir un positionnement rapide et efficace . Un léger embrèvement est souhaitable à mon avis sur la lame ou sur le batî.
Pour la comparaison du temps d'usinage il faut distinguer deux choses
1) la mortaise débouche et la je vais usiner en empilage décalé et faire des usinages groupés beaucoup plus rapide. Mais je ne suis plus dans ton cas de figure pour le rendu.
2) la mortaise ne débouche pas je suis d'accord l'action à la domino ou à la perceuse ou mortaiseuse est similaire. Mais elle à lieu que sur le battant et pas sur la lame
A mon sens un usinage sur machine stationnaire quand on en dispose est plus pratique dans le déplacement des pièces à usiner et pour mettre en place une stratégie pour se dispenser du traçage.
Disons que on peux considérer que stationnaire ou domino cela ne va peut être faire une grande différence.
Par contre en cas d'utilisation de la domino l'usinage est double mais le point noir est le montage il faut enfiler les domino tâche assez longue de plus je ne sais pas si tu les colle ce qui rend la tache encore plus longue.
En persienne les lames ne se collent pas , le tenon étant pris dans la lame on n' pas de consommable. Le tenon n'est pas arrondi juste des fois un peu d'entrée .
Reste une voie à explorer la mortaise à la domino le reste toupie.
Je pense qu'il aurait un gain d'usinage et de montage avec un rendu similaire.
le sujet reste à creuser.
Boris Beaulant
tu m'as convaincu d'une chose c'est que ton processus de fabrication est bien réfléchi et doit bien correspondre à ta structure.
En suivant plusieurs de tes fabrications je vu l'importance de l'électroportatif dans ta production, et je dois dire que des fois je sursaute un peu:grinni
J'aurai surement l'occasion de développer cela sur d'autres réalisations, en tout cas merci pour ton retour qui est très enrichissant et me permet de reconsidérer quelque idées.
En ce qui concerne le non collage des dominos je pensais bien que tu ne les collés pas et je partage totalement ton avis.
Merci
oui je le concède cela revient à refaire à peu prés le total de la lame. Pour avoir des lames de largeur différente c'est la solution la plus sûr. Comme tu dit le plus sage est de conservé dans l'état d'autant que poser un parquet avec des largeurs différentes complique tout. Pour ce qui concerne la largeur des lames , on trouve beaucoup de plancher avec des lames aussi importantes voir plus. Evidement plus la frise est large plus elle est sujette à déformation.
La précaution d'usage est de stocké le parquet un bon moment dans la pièce ou il va aller.
Alors dans la seconde méthode dc est la ligne de plus grande pente tracée en plan Tracé en jaune. Le point c est le sommet du triangle qui à une hauteur (on dit une cote) que l'on porte en e. Il en résulte que ce est la hauteur ou tu veux que ton panneau arrive. De est la vraie grandeur de la ligne de plus grande pente. de te permet de faire le rabattement du triangle en vraie grandeur en effet de est égal a de' en atelier on se passe du rabattement avec un compas on le fait à la pige ou au mètre. Pour l'angle de corroyage dans le cas présent il faut le faire sur les deux arêtes car tu as une pente sur l'un des cotés. L'angle de pied lui est pris en cde
oui tu as raison la hauteur de abc c'est dc la ligne de plus grande pente .
Le point e est donc arbitraire si tu veux c'est la hauteur ou l'on veux que finisse le panneau la cote c'est toi qui la donne , je dessine pas la projection frontal car elle est pas utile , dans la première solution elle est présente. La première solution permet d'assimiler le principe , après on peux user de raccourci.
Alors c'est un peu abstrait mais une fois assimilé cela permet d'aller beaucoup plus vite que la perche .
Bonjour
Ton joint est mauvais car le kiso M0680 est un joint pour porte intérieur. En ce qui concerne ton bâti il est posé en ébrasement mais rien ne t'empêche de le poser simplement derrière la feuillure (je te joint un croquis 1). Sur le croquis j 'ai dessiné une porte en 56 en feuillure de 15 posée derrière la maçonnerie avec un compribande. La rainure du joint est poussée dans la profondeur (je te joint un exemple de joint). Tu peux faire une porte en trois plis croisée par exemple , je garde le plis intérieur plus épais pour la stabilité de la porte. Pour pousser la rainure du joint à la scie fait le avant la feuillure c'est plus facile. Si tu veux réutiliser le parement je te conseille de pousser une contre-feuillure pour dresser la surface en contact avec le joint(croquis 2) . Je ne n'est pas fait un croquis avec une chambre de décompression car je sais pas ton outillage et l'usinage est un peu plus dur , toutefois une porte à recouvrement serait un peu plus performante, . Reste le problème du seuil tu peux le traiter avec un seuil alu mais qui va abimer l'aspect esthétique de la porte quoique il sera très peu visible si tu ajoutes un revers d'eau, ou alors une plinthe rétractable intérieure ou en applique intérieur peu faire l'affaire . En dernier pour aborder le sujet de la ventilation Ta maison si j'ai bien compris n'est pas isolée donc pas besoin de ventilation à ta porte. De toute façon en principe on n' ajoute pas de grille de ventilation aux portes. Les ventilations vont se trouver sur les fenêtres des pièces dites sèches au plus loin de la vmc. Si la vmc est à double flux on ne n'ajoutera pas de grilles.
Je tiens à te féliciter pour ta ténacité et te souhaiter plein de futur copeau.
Alors j'ai lu en diagonale mais il y a quelque chose qui me choque et je pense que tu y est pour rien car cela fait plusieurs fois que je vois cela dans les centres d'apprentissage . Pour les chanfreins arrêtés selon tes photos tu toupille à l'envers, alors tu as un super montage heureusement, mais si tu prends appui sur le guide arrière pour rentrer c'est une hérésie . Tient moi au courant je t'expliquerai en détail pourquoi il faut faire le contraire. Par contre si la photo est trompeuse alors j'ai rien dit mais là c'est une question de sécurité.
oui je m'en doutais en plus tu devais pas avoir de butée sur la partie arrière. Mais même avec une butée cela n'est pas correct. Alors je suis embêté je peux faire un pas à pas pour expliquer mais on touche à la sécurité et sur le site souvent je me tais sur certaines techniques. D'un autre coté le jour ou en entreprise tu n'auras pas le montage et que tu seras un peu pressé tu te passera de butée et là tu vas te retrouver aux fraises.
Par curiosité c'est le formateur qui t'a expliqué comme cela ?
kaj bonjour
Non je ne rentre surtout pas dans le travail en avalant. Nous avons le même age je serais fort étonné que tu travail à l'arrêté en prenant ton premier appui sur le guide arrière. Et par voie de conséquence d'avoir la main gauche en aval de la fraise pour les petites pièces et en pratiquant de cette manière au moment du contact avec la fraise tout le bois est derrière, il rentre en plein bois au lieu de rentrer d'une manière tangentielle sans bois derrière. il s'expose au mieux à un léger à coup au pire à un rejet .
trente six seb Bon je vais vous expliquer car je voie que oak à eu la même explication que toi . Le problème est devenu récurent maintenant on explique comme cela mais à mon avis c'est dangereux .
Oui tu as raison le chantier c'est de la démerde comme on dit vulgairement
Visiblement une erreur de dimension et un choix de d'ailes élargie pour sans doute monter sur le carrelage. Enfin de compte comme tu dit cela est très formateur mais si il ne faut pas trop s'habituer à ce genre d'acrobatie.
L'important c'est que l'on ta proposé une embauche, donc on reconnait tes qualités et tes compétences.Et cela fait toujours plaisir , bravo .
Pour les méthodes de pose je crois que l'on va parler d'autres choses
Bonjour,
Voilà que tu abordes une autre facette du métier bravo. Nos anciens avaient du génie évidement vu mon âge je ne peux que partager ton avis. Néanmoins je vais le relativiser car je suis convaincu que les générations présentes et celle à venir dans l'ensemble travaillent mieux que les précédentes. Simplement parce que la formation intellectuelle et l'ouverture sur le monde est plus aboutie que par le passé.
Concernant l'abattage des arbres par nos anciens j'ai eu ce débat bien des fois et cela mériterait une question ou un pas à pas à part entière qui touche souvent aux croyances populaires. Je te laisse le soins de le lancer car tous n'est pas sans fondement mais une grande partie est du folklore.
Nos anciens avait du génie mais les jeunes générations n'en ont pas moins bien au contraire.
ok
Grange comme dans le massif central. couverture Traversac ou Allassac remanié probablement coté grange.
La grange n'est pas née avec les Ipn donc tant mieux il a dèjà renforcé le plancher (auparavant il devait y avoir des crèches en dessous pour le bétail avec des poteaux qui diminue la portée des travées. Le faitage n'est pas trop déformé et les ardoises pas trop mal. L' étable est peut être humide car elle est adosser au talus et il n'y pas de gouttières ( un drain à peut être était passé).
Au vu des photos tu comprendras que je ne peux pas être affirmatif, mais cela semble correct. Comme c'est une grange si les ardoises ont été remaniées ils n'ont pas dû mettre un delta ce qui un petit inconvénient si tu es dans un endroit ou il neige de temps en temps elle passera un peu sous la douelle.
Oui je suis dans le massif central et ta grange ressemble en gros aux nôtres. Alors c'est de l'ardoise sur ton toit, le plancher comme tu dit c'est la douelle comme on dit de la volige si tu veux Un delta en principe est obligatoire mais sur les habitations, les ardoise sont posées au clou. Pour un drain cela serai bien si tu constate que c'est humide, mais attention de pouvoir creuser avec la mini pelle car j'ai vu des cas ou la maison est vraiment sur le tuf et il a fallu recourir à des moyens plus gros.
Beau projet en tout cas auquel je souhaite un bon aboutissement.
Merci le sujet est tellement vaste que tu peux passer la question avec ton nom si tu veux le but est de faire monter dans la barque toutes les bonnes volontés comme toi et bien d'autre. Moi je veux essayer de donner une impulsion de départ. je publie la table des matières jette un coup d’œil svp et donne moi ton avis.
Je pense que l'ADB à des gens de compétences diverses qui tous peuvent être utile.
Le problème est de structuré tout cela donc si je peux profiter de toi pour toucher le plus de monde je demande pas mieux
Merci
JPA33 Je le crains mais il faut bien commencer alors bonbonveronbi
Merci de votre retour, Cela m'aiderait de savoir ou vous avez du mal à comprendre.
Pour l'instant je travaille à essayer de faire des vidéos pour vraiment faire voir comme cela se passe, mais j'ai des difficultés à intégrer une piste son . Le problème résolu je vous proposerais des cas plus concrets.
Merci
Bonjour
J'ai pris cette dimension qui est démesuré pour éviter que l'on me dise qu'il est plus simple de la couper en position. Ceci dit elle fait 123 mm perpendiculairement à sa surface d'appui donc on la coupe à plat à la scie à format avec une lame de 400 .
Evidemment il faut une grosse lame mais peu importe les dimensions c'est le principe qui est intéressant je vais rajouter la coupe sur un angle rentrant ou on verra que les angles de la scie changent car on est pas sur la même surface d'appui. Cest un travail que l'on fait de temps en temps c'est des corniches de magasin.
Merci pour ton retour.
Bonjour
Sur ma seconde vidéo (corniche rentrante ) il se trouve par hasard que ma sur face d'appui soit à 45° par rapport à la vertical. Donc par calcul trigonométrique on a un angle de corroyage à 60° et un angle de 54,7° qui est vérifié par le tracé. Pour obtenir mon angle de corroyage je coupe orthogonalement ma vg en c pour venir couper la trace en plan de la corniche en d. Cd est la vraie grandeur des cotes du plan qui sert a trouver l 'angle de corroyage. je le rabat donc sur l'arête principale est j'ai donc directement mon angle de corroyage. Sylvain coupe son élévation orthogonalement et rabat sur l'arête en plan pour moi cela pose problème car je pense que le point est mal placé en refaisant son épure je trouve un angle de 67.5 par compte si je le renvoie sur la vraie grandeur alors on trouve 60°. Je pense que on doit attendre sylvain pour avoir ses lumières
C'est bien ce que je pensais. Ceci dit c'est possible après avoir rabattu sur l'arête en plan ( a )tu tire un trait d’équerre jusque à la vg en (b) puis orthogonalement depuis (b)
tu coupe la trace en plan en c. Avec c comme centre tu coupe l'arête en plan pour avoir le point (d). L'angle formé par (cd) et l'arête en plan est l'angle de corroyage.
J'ai appris avec le temps à être jamais affirmatif et j'essaye de prendre en compte tout les avis. Alors évidement je pars d'une épure qui a une erreur. C'est à dire que on essayer de calculer l'angle de corroyage en coupant orthogonalement la projection frontal et non la vraie grandeur de l'arête . J'ai simplement renvoyer le point sur la vraie grandeur et je suis revenu sur le tracé classique.
La corniche étant incliné à 45° sur un angle en plan à 90°un calcul trigonométrique va nous donner un angle de corroyage de 60° et angle de la vraie grandeur d'arête avec sa base de 54,74° qui sont les résultats de l'épure.
Je concède que le tracé n'est pas classique et on fait deux fois la même chose mais les résultats semble justes
Bien vu sylvain par changement de plan et rabattement pour avoir 20 sur 20 il te manque la rotation.
JPA33 C'est très gentil de participer au fil .Malheureusement j'ai du mal à lire tes épures car je n'arrive pas à zoomer pour les rendre assez lisible.
Mes compétences en informatique sont limitées il faudrait que je puisse récupérer le lien youtube je suppose?
bonsoir
Alors on a effectuer un changement de plan à partir de l'élévation frontal . on obtient la vraie grandeur d'un coté en projection horizontal avec l'occupation des coupes.
On coupe l'arête perpendiculairement et parallèlement à ce premier trait de coupe et à
19 mm (ce qui correspond à l'épaisseur du panneau ) on fait le deuxième trait de coupe puis on relie les deux traits pour obtenir l'angle de corroyage.
à partir d'une face qui est en vraie grandeur on fait simplement une coupe rabattue perpendiculairement à cette arête. C'est comme si tu regardais en bout selon une section perpendiculaire et donc en vraie grandeur.
Sur la vidéo il est fort possible que peut être j'ai repris par inadvertance les projections du changement de plan pour tracer la coupe rabattue alors là ce serait une bêtise .:
Bonjour
quand j'ai répondu à ta question j'ai fait un petit calcul en prenant comme flèche admissible de tes pannes 1/400 mais pour un carport on pourrai prendre 1/150 ce qui réduirait les bois.
Je reprend tu dit 150kg/m2 en charge d'eau, tu dois rajouter le bois du plancher disons 10kg/m2 plus le poids de la structure disons 30kg /m2 on arrive à 190kg/m2. Après y a t'il d'autres charges je ne sais pas à toi de le dire ( terre ?). Je te fait remarquer que pour l'instant nous tenons pas compte d'éventuel charge climatique
(il peut y avoir des charges de neige etc)
Tu à 30m2 de toit soit 30 x 190 = 5700 de charge
Les pannes on une portée de 6000 - les débords 5200, si tu espace d'axe en axe de 400 la largeur de la bande de chargement sera de 400 et sa surface de 0.4 x 5.2 = 2.08 soit une charge de
190 x 2.08= 395.6 kg En gros chaque panne devra porter 400 kg
un 65 x 200 porte 414 kg en 5 mètre.
les pannes moisées sur les poteaux ont une porté d'environ 4 mètre la jambe de force les soulage en partie ( elle doit former un angle d'environ 53 ° pour bien soulager )
La surface de chargement des pannes est 4 x 2.6 = 10.4
soit 190 x 10.4 = 1976
en 4 mètre un 250 x 100 porte 1943 kgf toi tu as deux 200 x 80 je ne sais pas si on peux considérer deux pannes moisées pour une seule?
Soit sûr des charges moi j'ai fait un calcul à la louche pour fixer les idées J'espère que cela d'aidera un peu.
la flèche c'est la déformation de la panne sous la charge une flèche de 1/400 pur une panne de 4 mètre 4000/400 = 10 mm de flèche en son centre.
1/150: 4000 /150 = 26 mm on utilise des sections moins importantes donc la flèche est plus grande.
Evidement il faudrait compter les débords .
enfin de compte tu as 30 m2 de toit à 190kgf par m2 soit
30x190= 5700 kgf
tu as un portique a l'avant et un autre sur l'arrière chacun va porter la moitié de la charge soit 2850 kgf. Pour le calcul de la flèche du porte à faux cela dépasse mes compétences. tu as deux bandes de 0.4 x 3 = 1.2 m2 soit 190 x 1.2 = 228 kgf de chaque coté du portique.
Je pense qu'il faut un peu surdimensionner le tout pour être tranquille.
Mais surtout Bien estimer les charges.
Je ne sais pas le lieu de l'ouvrage mais de la neige sur 30 m2 cela peut vite faire du poids surtout qu'il est plat .
Bonsoir
cela parait mieux . Par contre je ne vois pas de plaquette d'arrivée?
Par ailleurs comme je te l'ai dit tu utilise la mauvaise herse elle est adaptée pour des escaliers qui ont sensiblement le même nombre de marches de part et d'autre du tournant. Pour un escalier sans retour utilise la seconde méthode. De A pt de centre de l'arc du virage tirer un trait jusqu'au nez de la première marche balancée définissant le pt B . De b porte le nbs de girons des marches que tu veux balancer. Tu arrive en c .Avec B pour centre trace un arc qui coupe la droite passant par A et perpendiculaire au limon tu défini le point D. Relie les pts C D B. Tire une droite parallèle à cd qui passe par par B qui va couper la droite passant par AD .
Divise DB par le nombre de girons et tire un faisceau de droites convergentes, tu obtiens les collets sur AB
Ceci dit tu peux balance à l’œil et vérifier la progression arithmétique des collets.
Bonsoir
Alors pour bien de renseigner j'ai besoin de renseignements complémentaires
Je résume
Ton escalier n'est pas en cloisonner ? , un faux limon au mur, un limon coté jour. ( Précise si c'est un limon à la française). Est t'il prévu une main courante et garde corps à l'étage? Il y t'il des contre marches?
Alors une plaquette n'est pas obligatoire, mais elle facilite l'habillage de la retombée de la dalle . Pre voir au moins 90 mm de plaquette dans la trémie + feuillure sur la dalle pour raccord avec le parquet par exemple. Si pour des problème de place tu peux pas avoir de plaquette il faudra prévoir un habillage de trémie sur la retombée de la dalle. En principe la plaquette s'assemble dans le limon ou le poteau d'arrivé.
Je conseille de dessiner en plan simplement. Tu dessine ta cage ,apparemment elle complètement ouverte donc pas de problème d’échappée
tu ajoutes les épaisseurs des limons et faux limons, en cas de main courante tenir l escalier moins large pour le passage de mains au niveau de la trémie.
Puis la ligne de foulée , division des marches en enlevant la plaquette si tu décide d'en faire une. Balancement je t'ai conseillé la herse car quand on est pas trop habitué cela va te permettre une mise en place rapide , il y aura peut être de petits ajustement. Il faut représenter l'emprise des contres marches.
Voilà cela fait beaucoup d'information. tiens moi au courant si cela bloque quelque part.
amicalement
Bien
si il y a un placard en dessous il n'est pas en cloisonner.
(A ce sujet il faudra penser peut être à profiler une feuillure sous le limon du coté jour ce qui facilitera la pose du placard.)
En principe si tu prévois une main courante sur le limon coté jour tu devra rétrécir l'emmarchement pour laisser passer la main au niveau de la trémie.
A partir de là rien ne devrait d’arrêter pour l’épure simplement il faut diminuer d'au moins 90 mm l'emprise en plan de l'escalier à cause de la plaquette. Tu peux peut être allonger de 90 mm vers le bas ou de dispenser de plaquette.
Fait ton plan en 2d avec l'emprise des contre marches cela est très important car des fois selon le balancement on ne peux pas les mettre sans adaptation de la crémaillère au environ du tournant.
Après on pourra parler conception.
si quelque chose accroche n’hésite pas
Amicalement
Bonsoir
Maintenant.cela va dépendre comment tu réalises l'escalier. Dans une fabrication traditionnel C'est à dire le cas ou tu pose l'échiffre et le faux limon puis après tu ajuste les marches et contre marches sur place;tu rentra pas les contre marche 13 et 14 surtout si tu fait une feuillure dans la contre marche. il faut rajouter les coquardes (écoinçons) de ces deux contre marches par le dessous. Après j' ai du mal à voir comment cela ce bidouille au niveau du poteau la herse est faite quand on n'as pas trop l'habitude pour mettre les choses rapidement en place après tu peux faire de petites correction par exemple pour ne pas avoir une contre marche qui arrive dans l'angle du poteau( l'assemblage sur plus facile sur une face par exemple mais là déjà on chipote un peu.
Je pense que tu es sur le bon chemin.
Dernières réflexions les deux contremarches et d'ores et déjà il faut anticiper la pose du placard sous le limon (feuillure, techniquement ton limon devrait être un peu courbe mais tu peux le faire droit ce qui te faciliterai la pose du placard (un développement va te donner sa largeur pour voir si c'est pas trop large)
Bon copeau
les pièces triangulaires s'appellent des Echantignoles
En diminuant ta pièce de bois elle perd une partie de sa résistance , sa surface portante reste la même et elle occasionne un travail supplémentaire a toi de voir si le jeu en vaut la chandelle.
Tu peux envisager des sections inférieures et visser directement avec de la vis charpente. Ta toiture aura très peu de poids hormis celui de sa structure, Conserve la section des arbalétriers pour gérer le porte à faux avec les contre fiches.