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552 commentaires
Bonbonveronbi

Peut être j'ai été un peu trop dogmatique en disant d'oublier l'équerre de précision . Mais en menuiserie comme dans tout les autres métiers nos outils doivent être en harmonie avec notre matériau le bois et nos tolérances de fabrications. Ainsi l'utilisation d'une équerre d'ajusteur avec une tolérance de l'ordre de +- 0,005 mm qui de plus est souvent chère et courte n'est pas très utile car la table ou nos bois n'ont pas se niveaux de tolérances. Nos bois ne sont pas des solides parfaits vouloir appliquer des méthodes de mécaniciens outilleurs ne marchent pas bien car les gauches et courbes éventuelles faussent le résultats. Alors Le menuisier n'est pas précis certes pas mais nous gérons la précision d'une autre façon. Ainsi dans l'exemple nous voulons obtenir un équerrage pour cette scie avec sa table , nous faisons donc un réglage en doublant le niveau d'erreur pour le mettre en évidence sans s'occuper si notre équerre est juste.
Enfin de compte souvent pour être précis le menuisier cherche à ne pas l'être ou à réduire l'erreur potentielle.
Quelques exemple
Pointage machine à l'œil puis par retournement.
Traçage en serrant les pièces puis en commençant par le milieu.
Piges pour vérifier l'équerrage etc etc
Les exemples sont très nombreux et cela vaudrait la peine d'une question spécifique.

par Bonbonveronbi il y a 3 ans
Bonbonveronbi

Hello
cela dépend de la configuration ou l'on est le plus souvent il est simplement posé étant fixé au mur par ailleurs ou solidaire avec d'autre mais rien n'empeche de le solidariser au socle par vissage. Dans le cas de montants posés directement sur le caisson tout est possible ratex , lamello démontable , domino etc.

Bonbonveronbi
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Pour du caisson de cuisine met du 8 en mêla ,à plat cul avec de vis de 3 .
Les caissons sont facilement démontables en cas d'imprévus , usinages restreints .

Bonbonveronbi

trente six seb pense à la joue d'habillage qui à l'avantage de supprimer tous les usinages.
Le prix du panneau de méla bien qu'en hausse reste moins cher que la main d'oeuvre.

Bonbonveronbi

Non visuellement cela fait 1 montant car tu le fait venir au nu de la porte .
Du coup tu peux visser ta caisse pas de collage pas d'usinage

Bonbonveronbi
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Hello
si on parle d'un socle le plus simple est d'utiliser des pieds qui peuvent se régler par dessus ( genre pieds de cuisine ). Un trou est percé sur le dessus du socle donnant aces au réglage. Régler les extrémité puis amener au contact les centraux , vérifier avec le niveau la planéité de l'ensemble en diagonale.

Bonbonveronbi

Cela varie selon la matière fileur, un fileur massif peut être plus mince que un en mélaminé.
Rentre en jeu la profondeur du tablettage donc il est difficile de répondre.

Bonbonveronbi

Non pas du tout on planche comme à l'origine après avoir nettoyé ou sablé les poutres ce plancher n'est évidement pas de niveau mais il sert de coffrage à une éventuelle chape allégée isolante ou un complexe Fermacell qui elle met l'étage bien de niveau. On touche à rien on a une sous face poutres apparentes entre poutre lambrissée. Alors on peux aussi se passer de la chape et croiser des lambourdes au dessus du planchage mais il faudra caler ou entailler pour obtenir le niveau. L'entaillage est toujours un affaiblissement le calage amène des problèmes d'isolation. Votre premier diagnostique mis a part la qualité de l'encastrement des poutres est de donner un coup de laser pour voir de combien il faut rattraper pour arriver au niveau.

Bonbonveronbi
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Merci Etienne
je ferai remarquer simplement que en tant que menuisier nous cherchons toujours à travailler dans le sens du fil, notre ciseau , gouge et autre raboteuse forcera moins dans le sens du fil. Or pour fendre la logique voudrait que on procède aussi dans le sens du fil pour bien se faire comprendre dans le sens de la sève montante c'est à dire du bas vers le haut de l'arbre d'ailleurs si on assimile l'arbre à un cône cela semble logique. Or chez bon nombre de forestier et autres anciens disent qu'il faut fendre le chêne par le gland. Etant jeunes dans nos fermes le chauffage était au coin de l'âtre ou au fourneau, l'isolation était le foin de la grange d'où six à huit corde par hivers soit par chez nous une trentaine de stère à la louche. Donc ces gens avait une bonne expérience du Merlin alors quid de leurs observations et expérience ? Cela à toujours éveillé ma curiosité même si l'hydraulique rend cette conversation désuète.

Bonbonveronbi

Bien sur le contrefil existe chaque branche va induire une zone de tension et du contrefil. Cela est pris en compte par la localisation du cœur sur le billot et une frappe à l'opposé de cette zone de tension ou le merlin à tendance à rebondir. Les billots plus dur peuvent être traité par des coups sur dosse au lieu de radial pour diminuer la tension progressivement en enlevant de petites escalopes.

Bonbonveronbi

En théorie sens de montée de la sève .

Bonbonveronbi

la plus part du temps j'abat l'arbre je billonne et fend au pied, donc pas de soucis. Pour des billots courts cylindriques et sans branches ni nœuds il reste des signes sur le tronc comme la mousse le lierre ou autre végétaux grimpants. Sinon il y a une chance sur deux de se tromper mais enfin de compte cela représente assez peu de cas.

Bonbonveronbi

Merci foal !

Bonbonveronbi
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il me semble que la feuillure est plus adaptée en termes d'étanchéité de la menuiserie, rien n'empêche d'ailleurs de les monter parcloses extérieures du coup le verre est plaqué par le courant d'air extérieur est ne sollicite pas la parclose, le problème d'effraction ne rentre pas en ligne de compte car de toute façon le voleur brisera le verre mais ne s'amusera pas à démonter la parclose. elle peut être à contre feuillure. Mais je le redit le mastic reste le plus adapté dans votre cas de figure.

Bonbonveronbi

le compriband vient au dessus du compact .

Bonbonveronbi

les limons de mur peuvent être en 32 mm car on peut multiplier les points de fixation, coté jour le problème est différant 46 mm est déjà faible cela me semble un minimum ou alors doublé coté jour 2x32 mm . Pour le doublage des solivettes j'ai peur d'un affaissement à la longue donc je renforce la trémie en doublant afin d' avoir une section plus importante. Une autre solutions serait de remplacer le potelet par une tige fileté dans un tube décoratif pour pouvoir remonter l'escalier si il s'affaisse. A noter que la technique de la herse trouve toute son application dans les quart tournants plus ou moins égaux ici nous avons même une inversion du balancement. il faudrait joindre la vue en plan de stairdesigner avec les retombés de chevêtre pour juger de l'échappé et du balancement.

Bonbonveronbi

Non je me contentai de doubler la solivette pour éviter quelle ploie dans le temps (voir schéma) en déportant le potelet on pourra surement le moiser entre pour avoir un assemblage de tête solide. il faut bloquer vous limons en pieds et à l'arrivée et vous pouvez vous passez des poteaux coté mur si vous avez la possibilité de fixation solide dans ceci. Pour votre balancement cela se complique car votre escalier est fortement balancé . La bonne nouvelle est l'absence de main courante fait que ses conséquences se reportent que sur sa praticabilité et la courbe inférieur du limon et des assemblages d'angle. Dans un escalier comme le votre l'utilisateur ne va suivre tout a fait suivre la ligne de foulée mais va mettre son pied perpendiculairement au nez de marche suivant.
Donc à mon avis il faut lisser tout cela en balançant quelques marches de plus et vérifier la progression géométrique des queues et collets.
je vous invite si cela n'est pas déjà fait à lire le traité de sylvainlefrancomtois sur l'escalier pour comprendre les conséquence du balancement.

Bonbonveronbi

Merci
je ne connaissait pas la technique si j'ai l'occasion j'essaye sur quelques lames car de prime abord je m'inquiète pour le serrage de lame bien que le dessous de la lame est dégraissé encore merci

Bonbonveronbi
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D'abord merci pour votre réponse je suis d'accord sur certaines constations des articles le démontage doit être plus facile à la tête homme car souvent la pointe reste plantée dans la lambourde et coulisse dans la lame. Mais si cet état de fait se produit en service la lame ne sera plus tout à fait en contact avec la lambourde et le parquet chantera. Doit t'on penser la pose en notion de réversibilité ou de pérennité, les deux bien sûr mais le client lui va remarquer la qualité des joints et le niveau sonore du parquet.
Poser le parquet au cloueur est pratique mais il utilise souvent des pointes tête homme et en cas de lame un peu déformé cela ne serre pas aussi bien que une tête plate. Les lames ne sont pas au dixième identique et donc pour garder la ligne on doit serrer plus ou moins la tête plate n'as pas les limites de la tête homme car si on doit recourir à la masse pour redresser le rang la compression de la tête la laisse la lame fixée, la tête homme coulisse.
l'auteur indique commencer sa pose le long d'un mur pour un petite pièce sans doute mais pour les chantiers plus important on commence souvent au milieu en faisant une fausse languette pour pouvoir clouer en languette de part et d'autre , l'avantage est de travailler facilement à plusieurs, diviser par deux l'éventuel faux parallélisme des murs et de ne pas s'inquiéter d'une éventuelle bande passante.

j'ai pratiqué les diverses méthodes et d'ailleurs elles sont différentes d'une région à l'autre je ne dit pas avoir raison je vous fait part de mes conclusions pour que chacun puisse affiner sa méthode.

Bonbonveronbi
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