Bonjour,
j'aurai tendance à me ranger à l'avis de notre rampiste préféré.
Bien sûr je n'ai pas les dimensions mais je peux supposer que c'est un carreau de 300 ou 200 donc la ligne de foulée se situe plus ou moins à 450 de la main courante soit en plein pseudo balancement, et j'ai du mal à comprendre avec un tel emmarchement avoir choisi une telle solution technique qui rend l'utilisation de la main courante pour le moins difficile.
Je n'ai pas les données techniques du chantier mais une réalisation avec deux paliers gironnés et des marches droites aurai conjugué zone de préhension de la main courante et repos sur le palier.
La dernière solution consiste à déposer le plateau existant puis à le déligner en planche de 100 à 120 mm environ. Ensuite on refend ces planches pour obtenir des plaquettes de 6 à 8 mm que l'on va coller sur un Cp. Le but est de rendre inerte le centre de la table pour supprimer la dilation en gardant le bois de la table en parement. L'idéale est de conserver quelques planches non dédoublées pour en faire les emboitures (pas toujours possible). Cette solution peut se heurter aux problèmes suivant :
Le contreparement peut être détérioré sur une profondeur supérieur à l'épaisseur de la plaquette ( donc le délignage doit tenir compte du contre parement )
si on n'as pas assez de bois pour usiner les emboitures il faudra se tourner vers du bois neuf au détriment de l'unité de couleur
Une réalisation onéreuse et chronophage qui surement n'est pas en adéquation avec celui de la table.
Alors cela marche avec un pistolet normale en adaptant la buse mais c’est mieux avec un pistolet adapté. Le remplissage est assez simple une boîte de conserve avec un manche cloué et voilà une louche bon marché de plus on peut remuer pour bien mélanger les solvants dans le récipient primaire. Le nettoyage est simple on fait passer un peu de solvant dans le godet puis on démonte la buse et pointeau que on laisse à tremper dans le solvant. Alors pour des volumes plus importants le pot sous pression est plus adapté quoique son nettoyage est basé sur le fait qu’il ne perd pas sa pression et que l’air ne pénètre pas.
Bonjour
Alors quand un volet est à rainure languette on établi pas le cœur au soleil mais on inverse les cœurs , le problème serait différent si les lames sont assemblées à plat cul ou à feuillure la on établi le cœur au soleil. Le but de ces établissements est de limiter que les lames douelle ou se tordent mais il ne s’opposent pas au retrait ou au gonflement, or si on les collent il faudra pas que les emboitures, les écharpes ou tout autres choses s’opposent à ces mouvements ou cela va fendre ou autres désagréments. Si rien ne s’oppose à ce mouvement le retrait ou le gonflement va se cumuler aux extrémités .
Je dirais non car comme dit précédemment le retrait ou le gonflement va se retrouver cumuler sur l’extérieur de votre porte. Supposons un retrait de 1,5 mm par lame et 6 lames soit 9mm en tout le coté ferrage étant tenu vous allez vous retrouver avec 9 mm de jeu + le jeu initial de 3 ou 4mm soit plus de 10 mm de jeu . De plus même avec un bon établissement et des lames sur quartier ou faux quartier le fait que cela soit un placard risque de provoquer un déséquilibre d’hydrométrie entre une face chaude extérieure et un intérieur plus humide. Il serait préférable de faire une porte type volet sans collage avec traverses et écharpe intérieure ou si cela vos gêne clefs à l’intérieur du volet . Pour le retrait des lames de volet il se produit aux extrémités de chaque lame , la lame étant fixée aux traverses par son milieu le retrait de par et d’autre de cet axe fictif .
Si la plaquette n’est pas représentée cela va encore diminuer l’étendue . Je ne vois pas les spécificités du chantier mais il faudrait pouvoir augmenter le giron soit par le bas ou par le haut (départ biais’ reculer la trémie etc). Car un giron d’environ 230 c’est pas terrible pour un escalier principale d’autant qu’il est balancé . Il vaut mieux envisager toutes les solutions car la praticabilité d’un escalier est primordiale.
Airdrien
Un escalier normal c’est en gros 33 degre . Comme vous ne touchez ni à l’étendue ni à la hauteur à monter dans vos exemples c’est l’équilibre entre les parts horizontales et verticales qui varie en gros plus la hauteur de marche est grande plus l’escalier sera fatiguant moins le giron est grand moins l’escalier est praticable. Néanmoins la pente reste constante et 41 degré c’est beaucoup ´ la plaquette diminue d’autant l’escalier car elle est dans la trémie . Il faut essayer de gratter des mm partout en avançant le départ au maximum, un départ en biais peut être , déporter le centre du balancement’ reculer l’arrivée etc etc car il dommage d’avoir de grande pièces et de pas trouver 20cm de plus pour l’escalier.
Voilà qui est déjà mieux . Vous pouvez peut être faire dépassé légèrement la première marche du poteau si cela ne gêne pas trop l’ouverture de la porte en l’arrondissant avec un départ à l’anglaise pour ne pas être gêné par les limons. Déporter de quelques centimètres le centre du cercle de balancement. Il faut gratter un peu partout. D’ailleurs vous ne représentez toujours pas la plaquette qui en principe est la première chose que l’on fixe car c’est son nez qui fixe l’arrivée de votre escalier elle est dans la cage.
Toujours est il que l’on sur la bonne voie.
Si le parquet déborde dans la cage et peux être remplacé par la plaquette c’est ok. Néanmoins comme le dit kaj il faut vérifier l’échappée à l’aplomb de la poutre.
il s'agit de recroiser au dessus des lambourdes afin de rattraper le niveau après avoir vérifier leurs fixations. La méthode traditionnelle se pratique par calage ici on visse les nouvelles lambourdes en s'assurant d'un espace avec les anciennes les nouvelles lambourdes ne doivent pas toucher au murs, il n'est pas nécessaire de mettre des vis partout une sur deux est largement suffisant, puis on vient pulvériser de la mousse polyuréthane colle au endroit non vissé puis on enlève les vis et ajoute la mousse. Voila on un nouveau lambourdage complétement dissocié de l'ancien et des murs on complète par l'isolation entre les augettes. Pour être rapide il faut utiliser de la vis de fixation de menuiserie en perçant la nouvelle lambourde afin que la vis se taraude et quel ne tire pas la lambourde , quand on dévisse la lambourde remonte. La mousse est incompressible après fixation de l'osb nous avons un plancher flottant. On à tout fait pour couper l'onde sonore maintenant le procédé prend de l'épaisseur et peux ne pas convenir à ton chantier.
Les plots de terrasses non mais la vis de fixation de menuiserie offre le même réglage il faut simple comprendre que doit se tarauder dans la lambourde. L’avantage de la mousse colle est son expansion donc elle vient bien en contact de la sous face de la lambourde. Quand à l’épaisseur de la lambourde elle est conditionnée par une bonne fixation de L’Osb une lambourde de 22 doit suffire.
Peut être j'ai été un peu trop dogmatique en disant d'oublier l'équerre de précision . Mais en menuiserie comme dans tout les autres métiers nos outils doivent être en harmonie avec notre matériau le bois et nos tolérances de fabrications. Ainsi l'utilisation d'une équerre d'ajusteur avec une tolérance de l'ordre de +- 0,005 mm qui de plus est souvent chère et courte n'est pas très utile car la table ou nos bois n'ont pas se niveaux de tolérances. Nos bois ne sont pas des solides parfaits vouloir appliquer des méthodes de mécaniciens outilleurs ne marchent pas bien car les gauches et courbes éventuelles faussent le résultats. Alors Le menuisier n'est pas précis certes pas mais nous gérons la précision d'une autre façon. Ainsi dans l'exemple nous voulons obtenir un équerrage pour cette scie avec sa table , nous faisons donc un réglage en doublant le niveau d'erreur pour le mettre en évidence sans s'occuper si notre équerre est juste.
Enfin de compte souvent pour être précis le menuisier cherche à ne pas l'être ou à réduire l'erreur potentielle.
Quelques exemple
Pointage machine à l'œil puis par retournement.
Traçage en serrant les pièces puis en commençant par le milieu.
Piges pour vérifier l'équerrage etc etc
Les exemples sont très nombreux et cela vaudrait la peine d'une question spécifique.
Hello
cela dépend de la configuration ou l'on est le plus souvent il est simplement posé étant fixé au mur par ailleurs ou solidaire avec d'autre mais rien n'empeche de le solidariser au socle par vissage. Dans le cas de montants posés directement sur le caisson tout est possible ratex , lamello démontable , domino etc.
Pour du caisson de cuisine met du 8 en mêla ,à plat cul avec de vis de 3 .
Les caissons sont facilement démontables en cas d'imprévus , usinages restreints .
trente six seb pense à la joue d'habillage qui à l'avantage de supprimer tous les usinages.
Le prix du panneau de méla bien qu'en hausse reste moins cher que la main d'oeuvre.
Non visuellement cela fait 1 montant car tu le fait venir au nu de la porte .
Du coup tu peux visser ta caisse pas de collage pas d'usinage
Hello
si on parle d'un socle le plus simple est d'utiliser des pieds qui peuvent se régler par dessus ( genre pieds de cuisine ). Un trou est percé sur le dessus du socle donnant aces au réglage. Régler les extrémité puis amener au contact les centraux , vérifier avec le niveau la planéité de l'ensemble en diagonale.
Non pas du tout on planche comme à l'origine après avoir nettoyé ou sablé les poutres ce plancher n'est évidement pas de niveau mais il sert de coffrage à une éventuelle chape allégée isolante ou un complexe Fermacell qui elle met l'étage bien de niveau. On touche à rien on a une sous face poutres apparentes entre poutre lambrissée. Alors on peux aussi se passer de la chape et croiser des lambourdes au dessus du planchage mais il faudra caler ou entailler pour obtenir le niveau. L'entaillage est toujours un affaiblissement le calage amène des problèmes d'isolation. Votre premier diagnostique mis a part la qualité de l'encastrement des poutres est de donner un coup de laser pour voir de combien il faut rattraper pour arriver au niveau.
Merci Etienne
je ferai remarquer simplement que en tant que menuisier nous cherchons toujours à travailler dans le sens du fil, notre ciseau , gouge et autre raboteuse forcera moins dans le sens du fil. Or pour fendre la logique voudrait que on procède aussi dans le sens du fil pour bien se faire comprendre dans le sens de la sève montante c'est à dire du bas vers le haut de l'arbre d'ailleurs si on assimile l'arbre à un cône cela semble logique. Or chez bon nombre de forestier et autres anciens disent qu'il faut fendre le chêne par le gland. Etant jeunes dans nos fermes le chauffage était au coin de l'âtre ou au fourneau, l'isolation était le foin de la grange d'où six à huit corde par hivers soit par chez nous une trentaine de stère à la louche. Donc ces gens avait une bonne expérience du Merlin alors quid de leurs observations et expérience ? Cela à toujours éveillé ma curiosité même si l'hydraulique rend cette conversation désuète.
Bien sur le contrefil existe chaque branche va induire une zone de tension et du contrefil. Cela est pris en compte par la localisation du cœur sur le billot et une frappe à l'opposé de cette zone de tension ou le merlin à tendance à rebondir. Les billots plus dur peuvent être traité par des coups sur dosse au lieu de radial pour diminuer la tension progressivement en enlevant de petites escalopes.
la plus part du temps j'abat l'arbre je billonne et fend au pied, donc pas de soucis. Pour des billots courts cylindriques et sans branches ni nœuds il reste des signes sur le tronc comme la mousse le lierre ou autre végétaux grimpants. Sinon il y a une chance sur deux de se tromper mais enfin de compte cela représente assez peu de cas.
Comme je vous ai répondu un assemblage à plat est possible coupe perpendiculaire au limon. Pour La coupe à crochet il faut savoir que son but est d’éviter le gauche de la coupe sur les limons courbes mais elle n’apporte pas plus de solidité au même titre que un trait de Jupiter. Ici limon droit pas de gauche a noter que si vos limons était courbes on pourrait faire la coupe aplomb avec autant de solidité que celle à crochet.