Sur un combiné lurem 260, le 220 en 2 chevaux ça peut faire l'affaire si on n'est pas trop gourmand sur les paces de rabotage. Bien sûr plus tard si tu l'équipe de moteur triphasé le couple est beaucoup plus important et la vitesse ne baissera pas en charge.
Pour toi, 2 solutions :
1- une machine en 220 et tu changes plus tard 1,2 ou 3 moteurs pour passer en tri.Pour 1 moteur oui mais plus, ça ne vaut pas le coup car il y a aussi tout le circuit électrique à remplacer.
2- tu achètes directement une bécane en tri, plus de choix de capacités, de puissances, et moins chère car moins de demande compte tenu du nombre de menuiseries en cessation d'activité. Tu l'équipes d'un variateur de fréquence pour la faire tourner en tri en triangle. Attention cependant si les moteurs sont équipés d'électro-frein. Tu pourras revendre ensuite ton variateur.
Mais je pense que si j'étais dans ton cas, je ferais installer de suite le triphasé pour gagner du temps.
Si tu as les moyens, une orbitale Deros de Mirka ou son clone en Metabo. La faible hauteur et l'ergonomie devrait passer à peu près partout. Choisir le modèle à excentrique de 5mm.
Utilisée avec de l'Abranet ça gagné encore en efficacité mais il faut une interface de patin pour protéger le Velcro du plateau de la ponceuse
J'ai eu la même en 210 sous la marque Dugué fabriquée à Arras 62.
Les tiges de coulissement du chariot ne sont pas assez rigides aucune précision possible pour tenonner et un recul insuffisant derrière la lame pour équarrir un panneaux.
La fixation sur la table de sortie du guide de dégau à démonter à chaque fois que l'on veut couper un panneau à la scie.
La rabo dégau est correcte.
Bref je n'en garde pas un très bon souvenir excepté l'arbre de scie qui permettait comme chez Felder aujourd'hui de monter une fraise à rainer de toupie ou une lame dado pour faire une rainure au milieu d'un panneau par ex.
Cela peut faire un 1er équipement pour qui n'est pas exigent sur la précision ou pour pour un très bon bricoleur capable de faire évoluer la machine.
1ere chose, savoir si il va y avoir plusieurs machines qui vont tourner en même temps car les puissances s'ajoutent, le calibrage du disjoncteur sera en fonction et aussi la section du câble, prévoir une marge pour ce dernier pour une éventuelle évolution futur de l'atelier. Ne pas oublier l'éclairage.
Il faut relever les puissances en W ou KW, l'intensité en Ampère et le Cosinus phi des moteur sur toutes les plaques signalétiques.
Pour rappel la puissance, c'est P = x U x I x cos phi x √3
Pen W, U en V, I en A
Chaque machine sera protégée par une vigi30mA couplée à un disjoncteur type DT40 (mono, tri ou tetra)
L'armoire électrique sera munie d'un dispositif de coupure générale voire un contacteur type relais commandé par des arrêts d'urgence dans l'atelier.
Si elle se vend à un petit prix, sauté dessus et tu completeras avec une scie plongeante et une règle par exemple pour les quelques coupes inclinées. Évidemment ce type de saf n'a pas grosse valeur marchande, quelques centaines d'euros, au delà on trouve des modèles inclinables à des prix fous inférieur à 2k euros compte au nombre important de menuiseries en cessation d'activité
Comme on l'aperçois ici mon atelier, je chauffe avec un vieil Airflam au fioul air pulsé, ça chauffe suffisamment les 96m² pas trop isolé à condition de l'allumer une bonne demi heure avant de bossé, genre avant le petit déj.
C'est dégoutant et un peu long à allumer car c'est encore un système type poêle à mazout et ça crame bien ses 15l/jour, rendement très moyen.
Un jour, j'investirai peut être dans l'équivalent avec bruleur mais en occase, meilleur rendement, plus fiable, démarre tout seul et plus sécure. En plus je pourrais le commander avec un programmateur.
J'ai eu l'occasion d'utiliser une Altendorf avec optimisation de débit et positionnement numérique, très gros gain de temps et de précision.
Si il n'y a que l'affichage, ça peut être pratique mais il faut être prêt à refaire le zéro à chaque remplacement de lame sinon la précision de lecture ne sert à rien.
Dans le cas d'une vraie numérique, on rentre dans un catalogue les différentes lame et leur épaisseur de coupe. Ensuite à chaque changement, on a juste à nommer la lame
En principe, les pros du stratifié utilisent des Makita, c'est une valeur sure sans aucun doute.
Mais c'est pour une utilisation très occasionnelle, comme moi, je viens d'acheter une copie chinoise sur Aliexpress pour 40€. Il y a possibilité de l'équiper de plusieurs bases dont une inclinable.
La machine est livrée avec une pince 1/4 de pouce, faut juste l'équiper en plus d'une pince de 6mm à commander en même temps.
J'ai fait cette même recherche il y a 2 ans et j'ai choisi une Makita LS 1018LN,
angle de coupe d'onglet -47° à + 60°
inclinaison de coupe des 2 cotés -45°/45°
Capacité de coupe 90 °: 91 x 305 mm
Capacité de coupe onglet 45 °: 91 x 215 mm
Bonne précision si l'on passe 1/2h après déballage pour parfaire tous les réglages des butées d'angles et position du laser. Ce dernier est à pile ce qui évite de griller le système si l'on oublie de l'éteindre. Invisible si l'on travaille en chantier extérieur en plein soleil.
C'est un choix compromis car mon budget ne me permettait pas d’acquérir une Dewalt
2 solutions possibles :
1- un contacteur modulaire dans ton tableau électrique associé à un coup de poing déverrouillable à clé:
monophasé :https://www.one-elec.com/fr/a9c22722-acti9-ict-contacteur-20a-2no-230240vca-50hz-schneider.html?gclid=CjwKCAiAirb_BRBNEiwALHlnD-DXTwBRvtStM-COsBO-JRhNGPQw0uOjNDIoiZA5C0JpAioTJWfM4xoCPbcQAvD_BwE
ou en tétra : one-elec.com/f...-hoCy7UQAvD_BwE
- un coup de poing arrêt d'urgence : bricozor.com/b...le-legrand.html
2- un sectionneur cadenassable :
mono : one-elec.com/f...FxoC9xEQAvD_BwE
tetra : fr.rs-online.c...neurs-/0466249/
Dans les 2 cas, je conseille de couper uniquement le circuit de puissance (prise de courant et machines) mais de dissocier le circuit d'éclairage.
Avantage du 1er, en plus de la fonction de coupure, il assure une fonction d'arrêt d'urgence et on peu disposer plusieurs coup de poing si besoin