
C'est très fréquent et lamentable, même si l'erreur est humaine, il existe des process et des appareils pour respecter l'ordre des phases. Sur certaines machines outils ou industrielles, si l'on inverse le sens, ça casse tout plus le risque d'accident.
Il n'y a pas que Enedis, il y a également des sous traitants privés qui interviennent sur les lignes, j'ai vu chez mon beau père après un changement de ligne une inversion phase neutre qui durait depuis 4 ans et aussi chez des amis, là c'était bien Enedis, lors du raccordement au compteur définitif en Tri de leur maison neuve, une phase à la place du neutre et comme le disjoncteur ne tenait pas, le technicien a essayé 3 fois, résultat plus de 5000 € d'électroménagers et de matériels neufs fraîchement installés, bons pour la poubelle.

Si on parle bien de clôture rigide avec des poteaux scellés, il y a dans tous les messages de quoi faire la synthèse de la faisabilité ou non.
- propriété de la clôture ou autorisation éventuelle
- la solidité du scellement des poteaux
- faible exposition aux vents
Les 3 réponses positives cochées détermineront la faisabilité dont le procédé de fixation lairdubois.fr/@marcfrerot peut être une des solutions. Bien évidement ne pas s'imaginer, y fixer une palissade lourde de forte épaisseur mais plutôt des panneaux type décor en bois autoclavés.

Moi je ne le ferais pas, le mélèze est naturellement gras et l'accroche de la peinture moderne est plus que incertain. J'ai des volets en mélèze de 1959, j'ai fait l'erreur de les poncer à blanc et depuis je ne trouve plus de peinture qui ne cloque pas, ni Tollens ni unikalo, micro poreuse direct ou avec sous couche impression solvant pas mieux...

Pas étonnant. Les fabricants d'aggloméré utilisent de plus en plus du bois triturés issus de recyclage
en déchèteries de meubles et autres menuiseries, on y trouve parfois des débris de vis et de quincaillerie. Il faut savoir également que les colles utilisées sont constituées de charges minérales comme la poudre d'ardoise...

La puissance nécessaire pour raboter est en fonction à la fois de la hauteur de passe et de la largeur de la pièce. Pour des montants et traverses de 80 mm de large en bois dur il n'y aura aucun problème par contre une planche de 250 ça va être compliqué et si c'est pour une grosse quantité ça va déclencher le thermique. J'avais autrefois une 300 avec un moteur 2200kw en tri, je l'ai disjoncté plusieurs fois sur des gros volumes genre un plancher de grenier.

On trace, coupe les joues des tenons à la scie circulaire puis les armements avec la même scie guidé par un Té en bois dont le talon sera coupé par cette même scie, il suffit d'aligner le bout du talon du té au trait de coupe. Pour les mortaises, une mèche plate de 30 sur une perceuse et on termine à l'ebauchoir. On peut s'aider d'un guide plongeant de perceuse.amazon.fr/kwb-...mp;gad_source=1


Ce genre de travail touche plusieurs corps de métiers, il y a 2 voies possibles :
se former successivement en agencement, isolation, électricité à la fois auto et bâtiment... Il faudra intégrer aussi toutes les normes ainsi que la partie dossier administratif pour être ad hoc à la DREAL.
sinon, la meilleure, se former au sein d'une des entreprises que l'on nome carrossiers constructeurs qui œuvre dans l'aménagement, la modification et la fabrication de véhicules spécifiques de toutes sortes, ambulances, pompiers, police et gendarmerie, corbillard, pôle médical, tour bus, bureau commercial mobile, etc, etc...