Quelques soit la lame choisie, trapèze ou une lame à grand nombre de dents, il faut faire un trait de scie en marche arrière à 2 ou 3 mm de profond puis faire ensuite une coupe en avant en plongeant la lame dans l'idéal de la hauteur d'une dent plus bas que la face du dessous. Évidemment prévoir supports martyrs en conséquence. Si tu travail avec une bonne aspiration, cela peut être une plaque de polystyrène extrudé genre styrodur. Ainsi tu obtiendra une coupe parfaite.
Attention, si c'est du CP filmé bakélite genre CP coffrage noir, cela désaffûte à vitesse grand V les lames
2.30m pour un atelier, c'est à peine plus qu'un couloir.
Côté dégau il faut au moins garder 0,80m. Faudra la plupart du temps enlever le cadre du chariot à équarrir pour pouvoir circuler.
Je verrais plutôt une dégau rabot contre un mur et une scie sur table mais pas une merdouille légère, soit une ancienne en fonte ou une anglaise si on peut toujours commander chez Axminster depuis le brexit, ex:
axminstertools...saw-230v-107715
Ou ce genre :
leboncoin.fr/o.../2253980157.htm
Chariot de scie toupie avec sa fausse table à tenonner et son presseur. Marque Dugué fabriqué à Arras 59 dans les années 80, ma première machine. Le coulissement se faisait sur 2 barres d'étiré de diamètre insuffisant et donc flexible, autant dire que la précision en tenonnage était très aléatoire.
Comme ceci :https://la-documentation-technique.eu/produit/combinees-bois-dugue-c260-et-c360
Tout les avis ne seront que subjectifs car nous ne sommes pas à ta place pour savoir ce que tu souhaite en faire et surtout ce que tu souhaiteras en faire car qui peut le plus peut le moins et un jour bien content de pour faire avec, à conditions de payer un prix raisonnable, qu'elle soit pas déglinguée. Un roulement a changer, ce n'est rien mais un moteur ou un mandrin HS ou pire une broche qui ne tourne plus rond...
Privilégier mandrin de 16 et course de broche la plus importante possible.
Les marques se font quand on fait une passe de moins de 1mm ce qui est normal sur toutes les raboteuses. De plus de faire des passes de presque rien desaffûte rapidement les fers qui ne font que frôler. Sans tomber dans la théorie du copeau de moindre usure donnée par la formule de calcul de l'épaisseur moyenne du copeau et du pas d'usinage de Schlesinger, il faut une passe minimum,
Sans faire de calcul de RDM, le lardon placé devant, si effort important pourrait avoir tendance par son extrémité à marquer voire soulever l'aluminium au niveau de la surface mais comme de toute façon le montage est fait ici sans sa rondelle de répartition, je n'ose pas imaginer le résultat au niveau de l'appui de la partie cylindrique. Cette rondelle doit d’ailleurs être perdue car l’épaulement fileté qui se visse dans le lardon est trop long, on voit bien qu'il marque le bas de la rainure. Sur certains montage, il s'agit d'une bague genre cuvette assez large, en matière plastique. Quelle est la marque de la bécane ?
Et bien oui le fer ça rouille et ce n'est pas nouveau, stockage dans un environnement humide, ex camion de transport, avec variation de température, on obtient de la condensation et de la rouille en moins de 24h. Si ce n'est que de la corrosion de surface, aucun souci et tu en auras peut-être d'autres dans ton atelier si il n'est pas chauffé, j'ai eu le cas sur la mienne. Un bon coup de laine d'acier et un coup de saindoux bien essuyé pour que cela n'arrive plus. Pas de quoi devenir rageux, cela reste un outil, c'est moins grave qu'un défaut sur la machine et ce n'est pas non plus une voiture de collection.
Bon copeaux avec je l'espère une machine performante, précise et bien réglée et là par contre si ce n'est pas le cas, il faut être intransigeant, surtout avec le sav Felder qui semble avoir très mauvaise réputation selon les forums des boiseux.