Plus sérieusement je pense au rabot transition semelle bois [...].
Je ne suis pas sûr de savoir de quoi tu parles ?
Scie type Lie Nielsen ?
Le prix semble légèrement plus avantageux aux US mais ce n'est pas foufou non plus avec le dollar équivalent euro ou presque.
Je suis entrain de regarder sur craigslist voir si je trouve des trucs !
Je suis un peu jaloux de nos prix en France (même d'occasion...) Makita RT0700
Je ne connais pas ce modèle Stanley angle faible un autre Stanley 40$, Door Planer
Marco2b Je comprends mieux !
L'idée c'est une certaine modularité et un poids contenu qui peut te permettre de les emmener sur chantier (ça ne sera jamais mon cas je pense, sauf besoin spécifique) ?
Il va falloir se mettre au travail et nous partager ça
Bonsoir Pat34, je dois vous avouer que j'ai un peu de mal à vous lire/comprendre.
Serait-il possible de faire un effort du tout moins sur la ponctuation pour que l'on puisse vous répondre au mieux ?
L'orthographe c'est pas très grave, j'arrive à m'en sortir, mais la ponctuation affecte la compréhension globale d'une phrase
Par ailleurs je suppose que vous vous adressez à Tortuga007 non ?
BenoitFaitDuBois Je ne connaissais pas du tout, c'est très intéressant !
A tout hasard, est-ce qu'il te serait possible de faire un pas à pas sur ce procédé (je tente on ne sait jamais ! ) ?
Hello Marco2b , une petite remarque sur l'inclinaison de la lame à 45°.
Que cela soit une lame de 200 ou de 210 le problème est multiple et est similaire. Tu vas avoir deux éléments en plus qui ne permettent pas une hauteur maximale à 45° : les cales pour le couteau diviseur ainsi que la flasque de la scie qui va maintenir la lame (ils vont buter contre la table ou la "plaque lumière"/clearance plate).
Sur la notice ils mentionnent de baisser la hauteur de la lame de 10 mm pour du 45° pour éviter ce phénomène.
La lame de 210 qui touche la table, j'avais remarqué ça aussi, cela fonctionne vraiment bien pour du 90° en revanche !
PS : merci pour ton pas à pas
Pour ma part je vais rester en 200mm, il y a (beaucoup) moins de lames en 2.8 ou 3.2, mais j'ai trouvé mon bonheur chez CMT et Bayerwald (une pour le délignage et une pour un multi-usage)!
J'ai justement acheté ici-même un porte-outil à plaquette pour le 45° car je n'étais pas satisfait du 45° de la scie (suffisant pour du grossier mais pas pour du travail fin)
Je vais y mettre un bémol, bois dur parfait si pas de variation d'hygrométrie dans l'atelier.
J'ai réalisé une clearance plate en chêne pour mon combiné et des glissières pour un traineau de coupes en chêne.
Pour les glissières, elles glissaient parfaitement l'été. L'hiver j'ai du les raboter.
L'été suivant elles avaient trop de jeu dans les fentes. J'ai du en refaire. Rebelotte.
Pour la clearance plate, inutilisable l'hiver.
Le POM a le mérite d'être stable dimensionnellement.
Magnifique !
Petite question, n'est-ce pas gênant la traverse centrale ? (du mal à me rendre compte de la profondeur du bureau)
De l'air au bois Merci pour tes précisions
Bonjour Kentaro,
Je perçois une légère teinte de jugement dans tes propos, bien que ton message initial ait été modifié depuis. Malgré ça, je vais tenter de répondre à tes interrogations en dépassant ces considérations.
Tes trois premières questions semblent ne former qu'une seule, et la réponse à celle-ci est subjective et personnelle. Tout le monde ne dispose pas de l'espace généreux de ton atelier (qui est magnifique).
Pour ma part, la mobilité (qui est sur certains aspects, formidable) a perdu son attrait à mesure que je m'approche de la quarantaine. Je ressens le désir de poser mes bagages et de m'enraciner, mais ce n'est pas pour aujourd'hui.
Il semble probable que je doive encore déménager cette année, et peut-être, éventuellement, m'installer aux États-Unis, pays d'origine de ma compagne, bien que ma préférence aille vers la France.
Si je comptabilise le nombre de meubles que j'ai du faire et refaire, le temps à optimiser l'espace jamais bien grand à ma disposition -de manière biologique comme tu le mentionnes-, chercher ou mettre tel où tel outil et ou simplement les retrouver, il peut se passer un an (le travail, les amis, un week-end de dispo de temps en temps..).
Un an c'est énorme.
Mon idée actuelle est de créer des meubles qui peuvent être emportés avec moi (et pourquoi pas aux USA), facilitant ainsi mon organisation, et de consacrer moins de temps à concevoir des meubles d'atelier et plus de temps à la réalisation de projets personnels.
Dans mon atelier fixe en Creuse, je peux consacrer des journées entières à mes projets, mais cela n'est pas toujours bien compris par les membres de ma famille (ou mes amis) qui s'attendent à ce que je sois plus sociable. Et avec l'arrivée prochaine d'un enfant... le temps consacré au bois sera encore plus limité et mon atelier est très loin d'être idéal, je perds beaucoup de temps, je veux l'optimiser.
En somme, chaque minute compte!
Enfin, tu as vraiment suscité en moi une réflexion d'ordre psychologique, notamment à la lumière de la "taylorisation" que tu as mentionnée avant de modifier ton message. Le décès d'un membre de ma famille et le comportement incroyablement désordonné (euphémisme) d'un autre en sont la source.
Ces événements ont effectivement suscité en moi un besoin accru d'ordre, en quelque sorte ça me "rassure".
La perspective de passer des heures (100? 1000?) à rechercher des documents pour des complémentaires retraites, à chercher des objets en constatant qu'ils sont présents en triple, quadruple, voire quintuple exemplaire, est véritablement épuisante. La situation devient ironique lorsque l'on se retrouve dans le rôle d'adulte vis-à-vis de ses propres parents, et cela bien trop tôt.
Je cherche à me consacrer à ce que j'aime faire tout en éliminant le superflu. Chacun a son propre vécu, ses raisons personnelles, et dans mon cas, c'est une manière de préserver ma santé mentale et de concentrer mon énergie sur des aspects plus "gratifiants" de ma vie.
Pas de jugement de ma part, juste une piste pour dire que nous ne sommes pas tous fabriqués sur le même moule
Neiru, je ne sais pas en ce qui concerne du débat entre médecin généraliste et spécialiste, mais je comprends l'idée que tu souhaites exprimer.
Cependant, je ne suis pas entièrement d'accord avec ta remarque selon laquelle le meuble parfait et polyvalent serait une utopie.
Je suis conscient que les préférences de chacun varient, mais il existe très probablement des points communs.
Pour toi, il doit être "un bon gros truc bien massif qui ne bouge pas", alors que pour moi, c'est un meuble "robuste". Nous partageons un point commun à ce niveau.
Tu soulignes qu'il doit "couvrir des besoins de blocage", et là, je suis entièrement d'accord avec toi. Nous avons un point de divergence auquel je n'avais pas pensé !
Cependant, cela peut être facilement pris en compte, et je peux l'ajouter à mon cahier des charges.
Le meuble que je prévois de concevoir est modulable (et donc parfait ). Le plateau peut être retiré. Si je veux ajouter un plateau de type MFT, je le peux, et cela me donne de nombreuses options de blocage ! Mieux encore, je peux en concevoir un autre identique, avec un plateau de type MFT. Une "base commune", avec des accessoires différents !
Je ne sais pas si mon cheminement de conception est plus clair ?
Erebor, nous sommes d'accord ! En ce qui concerne le travail manuel dessus, il n'est pas adapté, c'est effectivement quelque chose que je n'avais pas précisé (je vais le mentionner dans le post).
Cependant, là où je diverge, c'est que ce que tu mentionnes, ainsi que Neiru, concerne la fonction d'un établi qui est conçu pour encaisser les coups, contrairement à celui d'un meuble. C'est peut-être là la source de la mésentente ou de la confusion, je ne fais absolument pas un établi, j'en ai plusieurs, et ils sont bien là pour encaisser la foudre
Erebor, L'idée va au-delà d'avoir des tiroirs amovibles . L'objectif est d'avoir des caissons-tiroirs standardisés en dimensions, facilitant la fabrication rapide tant des tiroirs que des caissons, sans se poser de questions inutiles !
Concernant ta remarque sur le changement de l'ordre des tiroirs, je suis d'accord que cela se produit rarement. Cependant, j'apprécie l'idée de modularité, à l'image des french cleats ou des systainers. J'utilise des french cleats dans mes deux ateliers, et la possibilité de positionner au mieux ses outils en fonction de l'usage est très appréciable. Bien que mes outils soient désormais "fixes" en quelque sorte, les french cleats ont grandement facilité la recherche de l'endroit idéal.
Le jour ou je change d'atelier, ils viennent avec moi !