Il est possible de faire des lavabos ou des baignoires bois avec la bonne finition et le bon morceau de bois. Partant de la, ça doit être possible...
cocoM a mon sens le problème du bois d'hygienne avec le bois ça n'est pas qu'il est sale, c'est plutôt qu'il n'est pas decontaminable. Une fois souillé par une substance (par exemple produit nettoyant, produit) il est très difficile d'en éliminer toute trace et fatalement ça se retrouve dans ce que tu poses dessus et qui vient en contact. On a pas ce genre de soucis avec les matières non poreuses type pe et metal.
Si tu veux produire vite, ça n'est pas un rabot qu'il te faut, c'est des machines
Personnellement je me fiche pas mal d'être productif ou pas, c'est travailler le bois qui me fait plaisir.
Mais je suppose que si tu utilises modérément ton rabot et que tu ne travaille pas de bois difficiles, le rail est un bon choix. Apres si tu est pété de thune, tu peux t'acheter la panoplie Rabot veritas de paume ou d'etabli (qui ont des vis qui permette de garder le fer droit quand tu le remet en place) + pierre d'affutage (diamantées pour maintenance minimale) + guide d'affutage veritas pour affuter en pilote automatique et comme ca si un jour tu veux aller voir plus en profondeur tu sera déjà bien équipé.
Aussi surprenant que ça puisse paraître, je trouve qu'une planche a recaler ne sert pas à grand chose (je fais principalement des assemblages tenon mortaise pour ma part). Je n'arrive même pas à me rappeler de la dernière fois que j'ai sorti la mienne
Je ne sais pas quelles sont les propriétés exactes de l'huile de camélia, mais tant que c'est de l'huile fine (peu visqueuse) ça devrait suffire, on n'est pas en train d'essayer d'envoyer des hommes sur mars. Si c'est pas gratuit, autant se tourner vers autre chose.
A mon sens le wd40 ne fait pas un bon lubrifiant sur le long terme car l'huile qu'il contient est très diluée dans le solvant. Par contre c'est un très bon degrippant et antirouille
Erebor les fers de rabot ne sont pas éternel, faudra pas oublier d'en racheter dans 20 ans
l'angle faible n'est absolument nécessaire pour la "shooting board" qui se dit planche à recaler en français. Un rabot traditionnel fait très Bien l'affaire
Même avec un seul biseau a 25° l'angle d'attaque fera 12+25=37° (en pratique plutôt 12+30=42°) ce qui ne fait pas beaucoup de différence.
En effet le bois de bout n'as pas de fibre, ce qui diminue l'effort que le copeaux fait sur la lame... donc l'angle fait moins de différence que la qualité de l'affutage.
Erebor j'ai peut-être été de mauvaise fois dans ce que j'ai raconté. Évidemment que environ 10° font une différence. Mais ça c'est en supposant que tu ne fais pas de biseau secondaire. Si tu fais un biseau secondaire tes 8° fondent comme neige au soleil et si tu compares tes deux rabots les deux ont des performances similaires.
Maintenant non un rabot a angle faible n'est pas indispensable pour recaler et on peut très bien le faire avec un angle haut (les menuisier n'ont pas attendu le rabot à angle faible pour recaler). C'est pas normal d'avoir de l'arrachement en bois debout avec un rabot a angle traditionnel. Soit c'est un problème d'affutage, soit de passe trop profond, soit un bois vraiment pas très dense, et bien sur ne pas sortir sur une arête non supportée ou chanfreinee au préalable mais c'est une évidence
Par contre pour la planche à recaler, le critère vraiment important, c'est que les joues du rabots soient d'équerre avec la semelle ce qui est loin d'être une évidence. C'est pour ça que je préfère prendre référence sur la semelle des rabots
Pour mieux guider l'auteur il faudrait avoir plus de précision sur ce qu'il veut faire avec. Pour moi si c'est juste chanfrein ou finition un rabot en bois ou un numéro 4 fait l'affaire... plus long n'a d'intérêt que si on corroye des pièces
Erebor curieusement à mon sens le rabot indispensable est un no4/5 ou un rabot bois. Le modèle traditionnel sera moins un l'aise qu'un angle faible correctement affûté dans le bois de bout mais sera plus à l'aise niveau finition, surtout dans des bois difficiles ou l'angle faible va vraiment arracher (si on a qu'une lame) contrairement à l'angle haut. Apres avec une lame à 25° l'angle faible fait pas mal d'arrachement (à cause de l'angle plus faible) et c'est difficilement compensé par la fermeture de la lumière (voire pas du tout compensable sur du pin par exemple). C'est ce qui me fait dire que L'angle traditionnel est plus polyvalent. Apres il y a évidemment un facteur affectif qui rentre en compte
dependancesbois ca ne fait pas trop d'éclatement en sortie de nœud au niveau du contrefil ? Ça reste le point faible du 62... si ça desaffute fort je blanchis la surface au rifflard pour me débarrasser des saletés incrustés dans le bois. Sinon un petit passage à la scie a ruban pour les feignants
Je suis pas spécialement d'accord sylvainlefrancomtois, ca contredit plutôt mon expérience. Sur des meubles anciens (plutôt de menuisiers, après les meubles d'ébénistes, j'ai pas pris l'habitude de les demonter pour les recycler mais je suppose que sous le plaquage c'est pareil...), il n'est pas rare de trouver des endroits cachés (dessus ou dessous) ou l'aubier a en partie disparue bouffés par les vers par contre j'ai jamais vu une partie sans duramen conséquent. Ca fait peut-être partie des mythes comme les queues d'arrondes sans trous ou la qualité de l'exécution des tenons.
Pour protéger des parties en aubier il y soit le xylophène soit des vernis ou des finitions qui font des pellicules épaisses à la surface du bois pour empêcher que les petits insectes n'y pondent leur œufs. Donc dependancesbois je pense que si c'est bien vernis et qu'il n'y a plus de point d'entrée, on doit avoir moins de soucis...
Je suis assez d'accord. Dans les meubles anciens on trouve facilement de l'aubier dans des parties qui ne se voient pas et ne sont pas structurales (j'ai en-tête une corniche ou tout le bois intérieur était de l'aubier). Je suppose que ça faisait du boulot de l'enlever...
Le seul problème c'est qu'en général l'aubier est une partie tendre et riche en nutriments dont les xylophages raffolent... mais bon il existe des traitements anti-xylophages ou des finitions couvrantes qui limitent les attaques
Je suis aussi fan des scies S&J, surtout de le haut de la gamme, "spearior" (le modèle 88 pour l'egoine et la 52 pour la scie a dos, bref celles qui ont le tourillon qui renforce la poignée). Je suis pas sur que ta scie rentre dans cette gamme (c'est peut-être la spearior a queues d'arrondes, va savoir) mais ça reste des bonnes scies.
Aussi surprenant que ça puisse paraître j'aime bien l'esthétique typique de ces poignées de scies des années 50-60. Perso je l'aurais juste un peu retravaillé, mais c'est tout. Après, je suis pas sur de l'essence que tu as utilisé (j'ai un doute entre chêne, châtaigner et frêne et je me trompe peut-être) mais globalement ce genre d'essence qui rend facilement a cause du grain ouvert est pas hyper adapté pour faire des poignées de scies. Il faut préférer les grains serrés type hêtre, pommier, érable en principe.
En fait c'est juste une scie à dos. Historiquement les scies à dos n'étaient pas vendues avec des denture différenciées (diston et s&j ne vendaient que des "backsaw"). En regardant dans les catalogues anciens, on se rend compte que les dentures droites (pour deligner) et couchées (pour araser) n'étaient proposés que pour les egoines (la denture droite seulement autour de pas de 5mm/5ppi et la denture couchée pour les autres, ce qui recouvre globalement le termes scie a tenon/ scie a araser qu'on avait sur le continent, juste que c'était pas des scie à cadres). En pratique les scie à dos étaient quasiment toutes avec des dentures peu couchées (presque droites, peut-être 10° maximum), ça se comprend facilement parce qu'à partir de pas avoisinant 2mm/13ppi tronçonner avec une denture droite fait presque le job (il n'y a quasiment plus de soucis d'éclatement, on arrive à les éviter presque tous avec un trait de tranchet). Par contre plus la denture et couchée et moins on deligne rapidement, d'où la denture faiblement couchée résultant d'un compromis.
En bref, les scie à dos avec denture différenciées (scie "sash", "carcasse", "tenon") sont en quelque sorte une invention des vendeurs de scie modernes. Je suppose qu'à l'époque chacun adaptait sa denture à son travail, mais vu le prix de ces outils a l'époque je doute que la plupart des ouvriers aient pu se payer plusieurs scies à dos.
Pour compléter ce que dit dependancesbois, j'ai fait un etabli similaire (au passage merci pour l'idée ça se déménage trop bien). Intégralement en bois dur (beaucoup de chêne de recup) pour le piétement (1600x300x70 avec un puits à outil de 20 cm) + le plateau. Je ne l'ai pas pesé mais il doit faire entre 70 et 80kg et il ne bronche pas d'un poil quand je rabote. Au-delà du poids une construction rigide aide pas mal. Par contre mon etabli est déjà pas facile a déplacer, et je le pousse souvent contre le mur pour faire de la place. Donc mon conseil c'est de ne pas avoir les yeux plus gros que la tête et ne pas faire un colosse de 150kg pour ne pas galérer pour le déplacer. Si il n'est pas assez lourd il y a toujours moyen l'alourdir de toute façon
C'est l'un ou l'autre soit mettre la résine sous vide pour éliminer le bulles d'air (en les faisant grossir pour qu'elles montent à la la surface) avant d'appliquer la résine. Ou alors on met la pièce avec l'epoxy appliqué sous pression pour diminuer la taille des bubulles.
Je ne pense pas que le sac à vide soit une bonne idée
Sympa ! C'est un indispensable pour ranger la varlope. J'ai toujours été un peu surpris de voir ce type de rangement pour des rabots "courts"... à mon sens c'est plus compact et autant à porté sur des étagères...
Par contre pourquoi autant de termes anglais ? Il existe un solide vocabulaire en français ( dado = entaille; groove = rainure cf le pas à pas de sylvainlefrancomtois sur les outils à main).
Assez d'accord surtout pour la vente à distance. Apres ça dépend du prix, pour quelques €, je ne suis pas trop regardant tant qu'on ne voit pas plus qu'une grosse dizaine de trous visible.
Le risque est d'avoir un fut qui est tellement bouffé qu'il n'y a plus de bois. Quelques coup forts de maillets sur le fut devrait suffire à déterminer si c'est du gruyère ou non...
Évidemment, si la vermoulure semble neuve, il faut traiter ou mettre au congélateur...
Après j'avoue que je suis pas convaincu par cette histoire de contamination, c'est peut-être une idée reçue... des coléoptères xylophages il y en a un peu partout à l'extérieur et il n'ont pas forcément besoin de ton aide pour trouver ton stock de bois
Bon à savoir, en principe les vrillettes (même petites) ne s'attaquent pas au bois bien secs autour de 10% d'humidité... à mon sens dans une maison saine, le bois est suffisamment sec pour éviter de se faire infester (sauf certaines essences vraiment fragile type hêtre ou aubier) par un rabot. Peu être que l'humidité de la cave a joué dans ton cas...
Mais quand je récupère un rabot qui a vraiment beaucoup de trous ou que je l'ai récupéré dans un endroit bien humide, les coups de marteau et le séjour au congélateur sont instantanés.
Après si on ne garde plus les rabots qui ont 10 trous dedans on se retrouve à garder un rabot en fruitier sur 10 facile...
J'aurais juré que l'époxy (resine polyepoxide) était un thermodurcissable (j'en suis à peu près certain en fait )... Partant de là, comme l'epoxy réticule par mal et qu'il n'est pas possible de la rendre "liquide" ça va être malheusement super dur à retirer des parties imprégnées sans endommager ce qu'il y a en dessous si c'est sensible à la chaleur, ou aux détergents chimiques
Peut-être poncer ou décaper thermiquement tout ce qui est enlevable en sécurité et puis faire avec ce qu'il reste
Les contacteurs sont fait pour être commandés en charge (avec des équipements en fonctionnement derrière). Ce sont en fait des interrupteurs (dispositifs qui ouvre le circuit en charge) commandés.
C'est le sectionneur qu'il ne faut pas manœuvrer en charge, car il n'est pas prévu pour couper un courant. Mais concrètement presque 100% des sectionneur neufs en 230 sont des interrupteu-sectionneur qui peuvent sectionner le circuit en charge.
Séparer puissance et éclairage permet de conserver l'éclairage lors de travaux sur le circuit puissance ou quand un équipement fait disjoncter la puissance