Ara pour le coup non un gradient ne peux être exclusivement qu'une dérivée spatiale. Ou sinon c'est un abus de langage. Mais bon j'irais pas jusqu'à te retirer des points
Après pour défendre Pimpin la loi fondamentale c'est bien Jth = - lambda*grad(T) sachant que la convection c'est "juste" de la conduction dans un fluide se dilatant thermiquement et plongé dans un champ de pesanteur
executionbois un angle d'attaque important limite l'arrachement. En faisant un biseau sur la planche tu fais comme si tu avais un rabot à 50 ou 55° pour les bois durs par exemple
Bruno78 L'exemple du est biaisé parce qu'on a pas proposé d'acheter une épave qui marche pas bien. Si demain vous allez a decathlon, vous prenez un vélo neuf entrée/moyenne gamme (un truc avec un budget raisonnable) et que vous n'arrivez pas monter des cols, le problème c'est clairement vos jambes, c'est pas un vélo a 10k€ qui vous fera monter.
Avec un juuma vous prenez pas de risque. Ce qu'il faut éviter c'est les rabots neufs vendus autour de 20€. L'occasion pourquoi pas mais il faut qu'il soit correctement entretenu et pas sorti d'un coin de grange
Bruno78 je vois ce que vous voulez dire pour le vélo. On est dépendant du matériel pour l'ergonomie ou si on cherche la seconde/minute qui fait la différence par rapport au copain. Après on finit par s'habituer a tout, mon préféré est un velo route acier que mon père avait acheté en 79. Je l'ai tellement utilisé quand j'étais ado que niveau ergonomie passer les vitesses au cadre est normal pour moi. En terme de cols il y a un petit handicap (je ne fais pas de compétition, je randonne juste), mais avec le bon développement le retard en haut est de l'ordre de 5 min. Si ca ne passe pas, même avec le meilleur des velo vous serez au bord de la rupture. Apres ne sais pas l'expliquer mais je ne retrouve pas le même confort sur un cadre carbonne.
Le veritas sera peut-être légèrement plus ergonomique, plus esthétique sur l'etabli, peut-être un fer un peu meilleur... mais si vous n'arrivez pas a utiliser un juuma, vous n'arriverez pas mieux a utiliser le veritas.
En plus d'avoir un point de fusion plus bas, la fonte est moins raffinée que l'acier (l'acier est élaboré via la fonte). Elle a aussi une meilleure coulabilité ainsi qu'un retrait moins important ce en fait un matériau particulièrement indiqué pour la fonderie.
Pour le corps de la ferraille en plaque suffit (je suppose que tu va te mettre a couler de la fonte), en terme d'usure on sera dejà a des milles du bois
Pour le coup, de memoire les coefficients de frottement acier/bronze sont semblables a acier/acier... la différence c'est que l'acier et le bronze sont plus "compatibles" niveau usure et ne grippent pas. L'usure de 2 surfaces frottantes ne se résume pas a leur coefficient de frottement (les deux corps peuvent reagir, il peut y avoir adhesion d'une surface sur l'autre etc.), mais j'avoue que c'est un sujet que je ne maitrise pas totalement.
Les aluminium de fonderie ne se soudent pas forcément. De même pour de la fonte (alliage fer et 3-5% de carbone qui se moule tres bien et qui sera en gros 95% des metaux ferreux coulés, on peut couler de l'acier ou du fer mais c'est peu courrant, réservé a certaines application) il faut des electrodes au nickel special fonte et non des électrodes inox... Si c'est de la fonte on peux aussi soudo-braser au laiton.
Ah tres rigolo ! Même avec un moule au sable vert on peu faire mieux niveau qualité... peux être qu'il ont coulé les piece à plat plutôt que de les incliner... l'ecrou qui bloque le "coin" ressemble étrangement a la molette pour regler la profondeur du fer
Je parlais de couler en inclinant le moule, par exemple en le calant sur un tas de sable par exemple pour eviter les grandes interfaces liquide/air dans le moule.
Je suis certain que c'est de l'artisanal. Mais bon je me disais que quelqu'un qui a a sa disposition un four capable de fondre plusieurs kg de bronze serait capable de réaliser un moule de meilleures qualité. En utilisant du sable a l'huile on arrivait même a reproduire le fil du bois du modèle (si le vernis est fin)
Ça reste un objet intéressant. peut-être est-ce le travail d'un élève si ca se trouve. Si j'avais connu les rabots metaliques quand j'étais élève j'aurais bien fait ce genre de projets, le brut en fonderie et hop à l'usinage puis a la rectifieuse.
Pour info, la colle a rustine n'est pas de la néoprène. C'est une colle spécialement formulée pour les caoutchoucs. Ayant testé pour me dépanner sur d'autres matériaux (en pensant que c'était tout bêtement de la neoprene), effectivement ça ne colle bien que le caoutchouc avec le caoutchouc.
Pour un assemblage hétérogène bois+caoutchouc je prendrai une néoprène faite pour selon le fabricant
Ce système avec emmanchement coniquest utilisé depuis très longtemps sans soucis... c'est fonctionne comme un coin, le Manche s'enfonce de dans la virole et se coince très fort. Pour moi on est sur un souci de connes qui n'on pas l'angle correct ou qui sont trop petits
Je suis c'est pas courrant en france mais c'est populaire dans les pays anglo-saxons. Un peu plus aussi pour la charpente.
Dans l'idée quand on frappe sur le manche ça coince le cône. Selon certains ça empêcherait les manches de fendre à cause des coups repetés, mais ca me semble tiré par les cheveux.
Après les gouts et les couleurs... il y en a bien qui tirent les rabots...
Moi aussi j'ai fait une planche a recaler en debutant mais en effet, tant qu'on reste sur des ouvrages de menuiserie ou d'ébénisterie, les pièces sont généralement assemblés (le plus souvent par tenons ou dérivés). Donc au final la qualité de la mise a longueur des pieces n'est pas primordiale.
Un rabot traditionnel bien affûté peut faire l'affaire sur du bois de bout
Avec du 20 mm rabotés on peut tirer environ du 2x8mm raboté en suivant bien la ligne. En revoyant l'affutage (angle d'attaque = 90°) ca reste envisageable, mais a ce moment compter plutôt 40min à 1h le metre
Pour la scie a cadre il ne faut pas tourner la lame de 90°, mais plutôt de 20° pour que le sommier n'interfère plus. Comme ça c'est très facile a utiliser. Perso c'est ce que je préfère.
Ça peut sembler bizarre mais je ne met jamais la lame dans le plan du cadre. On a une meilleure visibilité sur la coupe, et je trouve plus ergonomique d'avoir la main avec la paume inclinée
J'irais pas jusqu'à dire qu'avoir un plan de travail de cuisine en bois massif est une hérésie, mais effectivement pour moi un plan de travail en bois demande énormément d'entretien pour rester presentable surtout si il y a un évier dessus... surtout que de nous jour on peux avoir des matériaux presque indestructibles comme le stratifié avec de tres beaux motifs...
Certes le rubio se reparre facilement, mais bon tout même ça fera du travail régulièrement
Oui mais si ton client est si peu soigneux qu'il raye le stratifié, je n'ose pas immaginer ce qu'il fera au bois.
Dans l'absolu je suis d'accord le bois il suffit "de poncer dans la limite du bois disponible", mais poncer 1 mm ou 2 mm pour ratraper un impact profond ou une tache ayant un peut pénétré ou une brulure, ça reste pas de la tarte...
Pour ce qui est de la nocivité, je suis convaincu que si la nocivité d'un plan de travail en stratifié est trop élevée pour toi, ça impose de faire certains choix de vie autres comme arrêter l'alcool faire du sport, et tant d'autres... Pour moi le bénéfice est nettement supérieur au risque, mais chacun ses gouts.
J'ai évoqué le stratifié mais ça peut se faire en pierre, en métal, en céramique...
J'adore le massif mais je ne prendrais pour rien au monde un plan de travail en massif, a moins d'avoir un employés de maison, je trouve que l'aspect ne se conserve pas. De plus le frêne avec ses pores ouverts, sans finition filmogènes, attention au petits amas de crasse noire qui finissent par s'accumuler dans les pores...
Le bois de coffrage est comme son nom l'indique destiné au coffrage (des ouvrages grossiers quoi) je suis presque étonné qud ça passe par un sechoir... c'est pas plutôt un traitement pour tuer les parasites ?