Merci hedjour !
Je ne connaissait pas ce label, effectivement ça peut être une bonne idée. L'ancien propriétaire fourni deux entreprises qui travaillent pour les monuments de France. Peut être une carte de plus à jouer.
Merci manuelroro !
Les luthiers sont mes voisins (j'habite à coté de Mirecourt, capital de la lutherie). Ils ont des demandes bien particulières, ceux que j'ai pus rencontrer achètent les grumes en direct et les font scier à leur façon. Je cherche encore et commence à prospecter.
Pour les pièces isolées, on à plutôt prévu de s'équiper d'une bonne remorque. On chargera soit à la roulante (un vielle méthode avec une corde et un treuil) ou en cherchant bien, les agriculteurs sont tous équipés de chargeur et comme il y en a dans presque tous les villages, on devrait pouvoir s'arranger.
Merci r222 !
Je doit faire parti des clients qui ne supporte plus des grosses usines à produit, du coup ton commentaire me correspond bien (en plus j'ai pris une genre d'allergie au produit Made in je sais pas d'ou).
L’idée de se rapprocher des Youtubeur va être à développer surtout avec les bois très attiques que j'ai en tête.
Pour les formations, va falloir mettre le site aux normes (gros travail).
Pour les réseaux sociaux, je vais déléguer.
Merci Nicoel !
Effectivement, les réseaux sociaux j'aime pas ça en plus (l'air du bois , est le seul où je me rend de mon plein gré).
Pour les bois secs on auras deux séchoirs qui servent essentiellement pour le parquet, mais peuvent aussi être utilisé pour les plots.
Pour les carrelet, on avait dans l'idée de proposer des pré débit pour les manche de couteaux, stylos, sculpture et tournage. Reste à savoir ou diffuser nos produits et comment?
Merci sylvainlefrancomtois !
En plein dans notre souhait, valoriser les bois délaissés et fournir des pièces complexes que les grosses unités ne peuvent produire.
On m'as donné une bande spécial vitrage (même chose que pour le bois, de couleur noir avec un grain très fin et le recto est bleu, surement pour le différencier). Mais ça ne suffira pas, comme c'est deux carreaux de verre avec une feuille au milieu, il y a des petits décalage de 2-3mm entre les deux carreaux, au papier de verre, c'est trop long et pas sur du rendu final.
Mais si mes baguettes ne me conviennent pas, faudra que je me fasse une raison.
Je vais essayer de repasser voir le scieur qui a pris les sur bille. On verra si je peut faire des photos et récupérer des infos.
Il s'agit d'une partie d'un lot plus conséquent, environ 100 m3.
Pour des lots de cette taille et de cette qualité, les scieries fixes restes les meilleurs acquéreurs (dans ce cas, c'est SIBC l’acquéreur des qualités et Sagars Vosges pour les sur-billes). Les scies mobile sont pratiques pour de petit lot qui ne peuvent supporter un coût de transport ou pour transformer en autonomie.
La on est sur un cas très classique (malgré le type de bois), propriétaire qui doit couper son peuplement, appel un bûcheron-débardeur et vend ses bois bord de route à un scieur. Un transporteur est mandaté pour livrer le bois, vus la distance, un plateau (camion sans grue est souvent plus adapté à la route qu'aux chemins forestier) est chargé de la route, un grumier s'occupe de sortir les bois de la propriété et transfert la charge au plateau. 4 entreprises françaises interviennent sur ce chantier, le propriétaire vend son bois à un bon prix et le scieur peut travailler avec des beaux bois. Tous le monde est content, c'est l'essentiel.
Pour la scie mobile, des billes de plus de 7m3, je pense que c'est pas adapté. C'est bien pour des bricoles ou pour faire scier 5 ou 10 m3 de bois, mais dés qu'on peut faire un camion (plus de 20m3), faut pas hésiter à passer par une scierie.
Anthropovergnat deux réponses possible:
oui, ils vont y mettre trois maisons. Triste, dernière zone de verdure de la rue.
non, parc non entretenu depuis des dizaines d'années, 80% des arbres dépérissaient et certains sont quasiment mort sur pied.
Ça fait encore une zone de verdure de détruite, mais au moins, le bois produit par ses arbres depuis 150-200 ans sera transformé et continuera à "vivre".
...
L essence a également son importance, j ai vu des plateaux d accacia plein quartier qui n avaient quasiment pas bougé au séchage (comparé aux dosses et faux quartier), tuiller une fois en panneau.
Si on travail en partant du plot entier, a chaques panneaux sont utilisation, c est parfois plus compliqué en plots reconstitué surtout si les quartiers et faux quartiers ont disparu....
Un ancien par chez moi utilisait du Tilleul pour faire les glissières, c'est un bois un peu "gras" et avec un grain très fin qui une fois poncé glisse bien. Par contre ça s'use assez vite (et oui, c'est un bois très tendre), faut prévoir de les remplacer en fonction de l'utilisation tous les 2 à 10 ans.
Mais un autre avantage, c'est le tilleul qu'il faudra changer pas les caissons, c'est toujours le plus tendre qui va s'user en premier.
Pour moi aussi, le chêne ressemble beaucoup au châtaignier, pour éviter les erreurs, le châtaignier ne possède pas de "rayon ligneux" (je crois que c'est le bon mot), c'est la ligne claire qui coupe les cernes d'accroissement (une sorte de trait à 90° des cernes) visible sur le bois debout. On les voit mal sur la deuxième photo car la coupe n'est pas propre, on les aperçois sur la première. Refait une coupe propre et regarde si tu vois les rayons en question.
La Chalarose est une vraie belle épidémie pour les frênes. Je suis forestier dans le grand Est et l'ensemble de la nouvelle région est concernée.
Cette maladie fait sécher les jeunes poussent, les arbres résistes en reformant de nouvelles poussent mais s'affaiblissent et une autre maladie attaque l'arbre (armillaire, chancre, ...), c'est très synthétisé mais c'est l’idée.
On voit des sujets résistant et d'autres totalement impuissants. Des forêts entières sont décimées. La chance, si on peut dire, pour les propriétaires c'est que le frêne est très souvent géré en mélange avec d'autres essences et l'avenir peut être assuré par une autre essence, mais pas toujours.
Pour l'utilisateur du bois, ça va devenir difficile de se procurer du frêne dans 10-15 ans. Pour le moment, les peuplements faiblement atteints sont sous surveillance et on prévoit de récolter les bois et de repartir avec d'autres essences objectives. Mais les reboisements ne se font plus en frêne, la régénération est fortement atteinte par le maladie et les pépiniéristes ont arrêtés de produire des plants.
Je pense qu'ont trouvera toujours du frêne sur les circuits court, le petit scieur arrivera à acheter quelques grumes, mais les gros marchés actuel seront épuisés par manque de matière.
En même temps, environ 50% des exploitations de grumes partent directement en container pour le grand export et les scieurs locaux manques de matières et fermes les uns derrière les autres, y aura peut être un autre problème sur l'appro dans les décennies à venir.
Pour le pin cembro, on peut en trouver sur toute les alpes. C'est un arbre de haute altitude, plus 1600m (de souvenir). Les Hautes Alpes sont très réputés, mais les Savoie fournissent également un très beau bois, notamment la Haute Maurienne (souvent un peu moins cher).