Bonsoir
Le sureau etait tres apprecié pour les manches de cognées, de masse, de merlín etc.
Il est tres léger, tres solide.
Surtout il ne "chauffe" pas les mains comme le frêne, et il glisse moins aussi car il est feutré, tres agréable.
Je me suis toujours demandé pourquoi il était si méconnu.
On le prend dans le tronc, fendu en 4 ou 6.
Je me souviens de ça aussi, et le châtaigner c'est aussi par le pied.
Ça a toute son importance lorsque l'on fend pour faire deux pièces, de poteau, barre, pour avoir une coupure propre et droite.
Aussi lorsque l'on ecorçait tres gros avec la hache ou la doloire pour equarir grossièrement pour les charpentes de fermes.
Bonjour.
Si j'aime que tout coupe, je ne suis pas spécialiste.
Je crois qu'on ne l'est jamais....
J'ai eu un moment d'essais, désillusion, achats compulsifs...
Pour les ciseaux le tranchant doit être droit donc la pierre aussi.
Normalement il y'a au moins deux étapes, dégrossissage et affutage.
J'ai abandonné le dégrossissage a la main, les pierres se déforment vite, le papier ponce s'arrache, et c'est long, je le fais a la meule.
Avant a main levée sur un appui, maintenant avec un guide.
Ensuite je fini presque toujours a l'Arkansas, a l'huile de machine a coudre.
J'ai des diamants, Pyrénées, coticule, une maison d'un vieux menuusier, que je sors parfois, pour dire,, mais je finis casi toujours a l'Arkansas.
Apres une quinzaine d'années, elle est toujours aussi plane.
La coticule et surtout les japonaises se déforment trop vite a mon goût , mais elles affûtent tres bien.
Sans tour, je ferais une piece en bois dur
Forer son centre du diam et de la profondeur de la boule.
Ensuite une rondelle métallique du diamètre minimum a la base du teton.
La couper en deux, enfermer la boule et la fixer.
J'ai écrit rondelle, mais une petite tôle sera plus facile a fixer.
Peut-être même en ne coupant qu'un côté.
Pour éviter que ça se fende a l'usage on peut envisager une tôle en sandwich, entre deux pièces en bois (une forée, la tôle, le martyr).