Bouf!!!
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Dans ce cas cest clairement l'assemblage a queue de milan qui supporte la torsion.
A mon avis, il faut d'abord reconstituer le pied en renforçant en plus de coller.
Forer ensuite et placer quelques chevilles a travers , par exemple ?
Puis réemboiter
Sans ça, peu importe la colle, mais ensuite autant choisir la plus forte.
Une hauteur de marche d'une vingtaine de cm est considérée comme la limite pour un escalier.
Alors 25 a 30 cm pour un enfant de trois ans!! , 
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Oui , elle pourra grimper , peut-être sans utiliser les mains, mais si un escalier se monte, il se descend aussi.
Et c'est la qu'il se révèle dangereux.
A moitié endormi de surcroît.
Quelle que soit l'esoece que tu choisis, il faut surtout élaguer et haut.
Sinon tu nauras pas de grumes cylindriques, mais des grumes coniques, diminuant a chaque noeud.
C'est facile jusqu'à 3 ou 5 m, ensuute il faut grimper avec des griffes au pieds.
Pour assurer une truc vertical et rapide il existe une vieille technique, on pkante des trucs qyi poussent droits et rapides entre les bons, et eux on les on etête pour qu'il n'etouffent pas les autres mais pour les obliger a pousser plus haut, puis une fois une bonne hauteur atteinte, un bon enracinement pour assurer un bel houppier, on coupe le peuplier ,le bouleau...
Semer c'est mieux que bouturer.
Pas de miracle , forestier c'est du boulot.
A partir de 25 ans erables,ormes
30 ans, châtaigner, merisier, poirier.
Aux bords des loupes de thuya (je ne sais pas comment on les favorise).
C'est bien de remettre de l'orme, l'autochtone de rejets sélectionnés, pas les modifies génétiquement ni les metis américains.
+1 avec Kentaro.
Le CP bouleau marin, se voilera beaucoup moins, voire pas du tout.
Un vernis ne fera pas de tort non plus , au moins coté mur . Ou (et) un support avec une lame d'air (rainure,tasseaux, sabots..) entre mur et chariot.
Bonjour.
Pour nettoyer les creux de troncs équarris grossièrement, enlever un aubier attaqué, suivre des galeries, une fente, j'avais besoin d'une gouge large, et a la quincaillerie, j'ai craqué pour une pfeill.
J'en avais quelques unes pour tailler.
En montant la charpente, une bosse dérangeait, pour ne pas la redescendre du toit et passer la plane et je m'y suis mis a coups de maillets: le noeud mort de châtaigner a provoqué un éclat d'un bon demi cm.
Depuis j'ai acheté un lot de vieux , beaucoup sans marques, certains avec de l'acier rajouté sur les 3 ou 4 cm avant le tranchant.
Qui vont tres bien pour tout ça.
J'ai mes préférés avec l'usage
Ils ne cassent pas.
Je trouve que pfeill est vraiment performant pour tailler, a la main, leur acier dur tient longtemps son tranchant mais du coup est plus cassant.
Pour des assemblages, je ne te les conseille pas non plus.
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs, mais investis plutôt dans une bonne pierre de finition pour les repasser souvent quelques secondes (comme les bouchers)
Le passer en mars, de 7 ans d'exterieur , a l'intérieur , chauffé et sous une clim de surcroit....
Ayayaïe.
Il faut lui trouver un autre endroit, abrité, faire ça progressivement.
Le serrer in situ ne servira a rien.
Peut etre, eventuellement, en rehumidificant (doucement) la partie convexe , la laissant côté ombré et la concave côté sec (soleil de printemps? ), peut etre cela sameliorera t il, mais il faudra que tous les astres s'alignent...
Je plussoie.
Ça ne m'emballe pas non plus.
Ça va être compliqué de poser les panneaux bien a plat, il y'a casiment toujours des bosses et des creux, et horreur ça va crisser, se déplacer, s'user.
Sous couche 2 mm, un OSB tres fin, un parquet 8 mm... C'est trop de bas de gamme.
A mon avis ,une bonne sous couche solide (et/ou egaline en fonction de l'état de la chape) et ensuite un bon parquet d'environ 15 mm (min 12) et le résultat a terme sera bien mieux.
Il ne faut pas se braquer sur l'afleur parfait , il faudra de toutes façons une latte entre carrelages et parquet, un, deux mm(voire trois ) ne se noteront pas.
En tous cas beaucoup moins qu'un parquet qui crisse, se deplace, , se déboite, se creuse et s'use aux passages.
Je ne suis pas électricien.
Mais j'ai un variateur qui passe sans problème de 230 mono en 380 triphasé.
Je l'utilise pour deux machines comme tu le desires, mais elles ont a peu près les mêmes caractéristiques.
Et on vient justement de me le deconseiller, et de m'en procurer un pour la seconde, pour préserver le variateur.
C'est pour de la charcuterie, les freins vitesses , sécurité m'importent peu, mais pour une machine de menuiserie je ne m'y risqurais pas, pour les raisons évoquées par Boisenformes et pour préserver le variateur.
C'est un NFlixin, serie 9100.
Dans mon cas le 2,2kw, trouvé pour 80€ chez AE, il y'a 5 ou 6 ans, il fonctionne au moins une fois par semaine.
On m'avait conseillé de prendre la puissance supérieure au moteur même s'il existait la même.
Voilà, j'espère avoir pu t'aider.
Bonjour.
Les photos 2 et 3 me font penser au châtaigner, pour les teintes et l'aspect général.
La première aussi pour ces ondulations dans les veines.
Les incrustations de la 4eme rappelent effectivement le chêne, ou l'orme, mais aussi le châtaigner qui est assez variable.
Pour en être sûr, d'abord le châtaigner est beaucoup plus léger, mais surtout dégage une odeur caractéristique a l'usinage, douce et a mon nez très agréable
Bonsoir
Le sureau etait tres apprecié pour les manches de cognées, de masse, de merlín etc.
Il est tres léger, tres solide.
Surtout il ne "chauffe" pas les mains comme le frêne, et il glisse moins aussi car il est feutré, tres agréable.
Je me suis toujours demandé pourquoi il était si méconnu.
On le prend dans le tronc, fendu en 4 ou 6.
