Salut, le carter au dessus de l'axe est primordial. On est pas à l'abri d'un retour, ou d'une projection pile dans l'oeil. ou même quand le bruit est de partout de ne pas se rappeler que la machine tourne. les erreurs arrivent. Par contre le poussoir je comprends pas... Ce qui compte c'est la position de ton corps, le passage de tes mains au dessus du carter. A l'avant une fois que le bois a passer les fers et jamais à l'arriere pour bien appuyer sur la table de sortie. J'ai personellement jamais vu de poussoir sur une dégau et j'ai jamais formé mes collègues avec ça. Je trouve ça même embarrassant et fait faire une gymnastique qui nuit à la fluidité du geste.
C'est beau, il ya de la recherche esthérique mais je comprend pas bien ta question sur l'assemblage poteau sablière.. vu ta conception c'était le mieux à faire. Sinon sacrée portée, j'imagine qu'en BMR ça porte mieux qu'en massif mais j'ai peur que ça flue. Ptetre tauras la place de passer un U et des bracons, ou du sous tendu. j'aimerais bien voir l'assemblage sur la sablière avec les blochets si t'as une photo!
Yep nan je parlais de l'autre sablière, car c'est un eternel shmilblik quand on est sur poteau et ta méthode à l'air originale!
sylvainlefrancomtois En fait ça dépend de la section de la panne. sur un rapport 1/3 (les 7,5 x 22,5) c'est le contraire. Jusqu'a 45° les pannes sont à dévers et aplomb au delà. Cela se calcule avec la "flexion déviée".
Le cas des fortes pentes à partir de 60° la conception devra prendre en compte la poussée du vent (et l'aspiration maintenant). Donc dans ce cas de pannes des anti deversements sont préconisés..
Autrefois les pannes étaient carrées (env 18 x 18) et donc toutes placées à devers par simplicité de pose et de trait (pour les croupes) et le contreventement longitudinal (hiement) ainsi que d'éventuelles contrefiches d'équerres à la pente pour le vent.
Le cas des pentes à 45 était optimal car hors le vent, le poids propre de la panne et la couverture descend majoritairement à l'aplomb, donc par la diagonale.
Oak Cela sollicite également l'arrachement des pannes et de la structure elle même. Là le vent à une sortie autre que le toit du fait que ce n'est pas fermé par des murs, donc en cas de tempête c'est sans doute plus l'arrachement par aspiration qui se produirait. J'ai qq bouquins de calcul mais ce cas n'est pas traité, là il faudrait l'avis d'un spécialiste confirmé!
Salut,
Vu le mur et la structure tu as bien fait de faire poser tes arbas directement mais j’espère que tu as trouvé un moyen d'ancrer pour pas que ça soulève.
En dimensionnement ptetre les arbas paraissent un peu faible, mais à voir. et les poteaux sont vraiment gros eux par contre mais chacun son style.
Les contreventements par contre me semble un poil légers. Notament le "rectangle" du forjet.
Les assemblages de ces 2 arbas d'ailleurs est en théorie en tractions mais vu la dose de chanlattes ce sont les clous qui vont retenir la bascule.
Ma foi c'est sympa à regarder, j’espère que tu t'es bien amusé!
un gros plat sur l’échantignole même, et celle ci tirefonnée (vis de charpente maintenant) comme ça pour le levage on fixe un chevron qui fera office de bracon avec un tirefond, et on le déploie pour contreventer la ferme sans avoir à monter dessus alors qu'elle est encore élinguée. Le top c'est quand on a des fermes sur blochets car la sablière est déjà là et bim à la 140!
Salut, Mon comm ne se veut pas méchant mais je suis vraiment très étonné de cette conception personnellement, notamment de la pose des entraits au dessus du chaînage, ça crée un moment avec l'arba. Et 1 Seul boulon! y'a t'il un crampon? Les pannes à devers à 45° sur 6 m c'est osé... Vous avez passé ça au calcul? Bastien
sanglier l'entrait retroussé ne remplace pas les contrefiches, le but de cette pièce, avant le boulon, était fait pour reprendre les poussées du vent sur les pentes à partir de 60°. Maintenant il est utilisé pour reprendre les efforts de l'arba, comme une ferme. mais d'habitude on voit ça sur les très grandes fermes...
1: Les assemblages.
En tête d'arbalétrier. Quand tu les charges ils viennent comprimer en tête et donc étirer le poinçon. On met donc des embrèvements à la bissectrice pour moins cisailler le fil et un tenon lui d’équerre depuis l'about, il n'y a pas d'épaulement, pour éviter également un cisaillement. On met une cheville bois pour pouvoir faire tirer l'assemblage et pas un boulon.
Le gargouille de la faîtière pour pas qu'elle déverse aurait dû être plus haut et plus fort donc il fallait un poinçon au moins en 20 20 si t'as 12 cm de large la haut (20-12)/2 = 4cm donc 3.5 avec le jeu...
En Pied d'arba au moins 2 boulons de 16 avec des crampons bulldog pour bien tout reprendre.
Le dessous de ton poinçon, il manque de la matière pour reprendre la flexion de l'entrait. on met en général une pointe de diamant de 10cm + 3 cm de pente. Ou la section du poinçon, dans ton cas 11cm+ 3cm de pointe.
2: La conception:
Les contrefiches c'est le top sur une pente à 45* car elles sont d'équerre à l'arba. Ton entrait retroussé n'est pas justifié.
Du fait du chaînage il fallait un sabot pour descendre ton entrait et éviter le "moment". On met le dessus entrait au niveau du dessous sablière (en 8*11 spitée dans le chaînage)
J'aurai mis les pannes aplomb également pour éviter la flexion déviée mais peut être ça passe au calcul. Il manque le chaînage rampant. Pareil, maintenant on rampanne plus. on pose sur boitier pour éviter le pourrissement dans les scellement et on met une fausse sortie qui pourra être changée.
Les liens tirefonnés, ok vu que tu as, semble t'il, levé la ferme par "en dessous"... même si c'est pas très courant de procéder ainsi..
voili voilou selon moi.
Bastien
salut, excuses-moi je suis pas trop venu sur le site ces derniers jours. Oui 15kg, dans du parpaing tu pourra difficilement trouver plus je penses. A toi de tes disposer tes chevilles pour reprendre le poids.