Merci glaude !
Merci Etign !
Je suis un peu surpris par ta réponse quant au placement du guide parallèle lors du délignage de bois massif.
Ce que j'ai entendu rabâché tout au long de ma formation initiale correspond aux préconisations de l'INRS. Et j'avoue que ma machine ne permet pas de s'y conformer sans recevoir de modification, même simple...
Malgré mon récent diplôme, mon expérience est tout de même très limitée. Pour l'heure, je n'ose pas m'aventurer hors des sentiers battus en matière de sécurité.
Merci Medalegno. Moi j'ai déjà ces presseurs à disposition. Je m'étais dis qu'ils pourraient m'aider à engager des pièces un peu longues ou maintenir des pièces fines sans lever inutilement la lame.
Pour la cape d'aspiration, on est bien d'accord. Si ça passe avec, elle est montée pour la coupe!
Merci Etign,
Ne penses-tu pas que ces presseurs puissent aider à plaquer des pièces fines et légères sur la table sans lever la lame inutilement?
Ou m'aider à engager des pièces longues sur une table d'entrée petite comme sur ma scie?
Merci pour ce tuyau Etign.
J'y ai eu recours pour découper des feuilles de stratifié.
J'avoue ne pas y avoir pensé dans le cas où des baguettes de bois vibrent contre la lame. Mon réflexe, c'est de monter la lame pour modifier l'angle d'attaque vers le bas. Mais c'est pas idéal non plus.
Pour autant, je réfléchis toujours à modifier mon guide pour accueillir ces presseurs... j'ai l'intuition qu'ils pourraient aider. Ils ont l'avantage d'agir à la manière d'un entraineur de toupie. Ils plaquent les pièces à la fois contre la table et contre le guide parallèle. grâce à la géométrie des galets. Un avantage que ne procurent pas de simples peignes.
Votre message est-il censé aider d'une quelconque manière? Si oui, je ne vois pas bien comment..
Mes félicitations pour tous ces doigts.
Entendu. C'est bien aimable à vous. Cependant, je me permets de préciser que je connais plutôt bien le fonctionnement d'une telle machine, ainsi que l'ensemble des règles et gestes que la sécurité impose.
Ma question concernait plus précisément l'opportunité d'utiliser ces presseurs à galets. Notamment dans des cas où ils pourraient s'avérer d'une aide quelconque.
Je pense par exemple à des pièces fines, qui peuvent chercher à se soulever à moins de monter la lame bien plus haut que nécessaire... ou peut-être des pièces un peu longues pour une table aussi courte, pour lesquelles un soutien supplémentaire pourrait éventuellement être envisagé?
Si tu parles anglais, les vidéos de Matt Estlea sur le sujet sont vraiment très bien faites. Tu y trouveras toutes les explications nécessaires pour réaliser tes assemblages à queues d'aronde avec des outils manuels.
Après, prépare-toi à y passer du temps. C'est assez long si tu souhaites faire ça proprement...
Merci Erebor ! Après y’a un pauvre 1/10eme de mieux que l’âme. Ça fait pas bezef quand même...
Bonjour Sylvain, bonjour à tous!
J’en suis là de mon épure, et je suis un peu perplexe. Serais-je passé à côté de quelque chose?
Il y a deux ou trois points que je ne parviens pas à éclaircir.
1/ Quelle est l’utilité du rabattement de la coupe supérieure à la verticale? (Le rayon de 25mm en haut à gauche de mon développement)
2/ Même question concernant la droite prolongée à l’aplomb de la coupe. (Le 206,6mm ici, c’est 50mm chez moi)
3/ Enfin, les points projetés sur le développement semble donner deux arêtes, définissant un chant de la pièce. Mais comment tracer l’autre?
Un énorme merci à Sylvain pour ce travail, et un encore à ceux qui prendront la peine de me remettre les idées en place!
Amicalement
Baptiste
Mille merci pour ta disponibilité!
Donc, si je comprends bien, la droite prolongée à l’aplomb, sert à situer le chant inférieur après avoir déterminé le premier. Cela correspond à ce que j’ai tracé sur mon épure. Je crois que j’ai pigé!
En revanche, je ne comprends toujours pas le premier point... ce rabattement ne semble correspondre à aucune ligne parallèle... là, y’a vraiment un truc que je pipe pas!
Bonjour sylvainlefrancomtois. Un énorme merci pour ce partage. Ces informations ne doivent pas se trouver facilement ailleurs, elles sont donc très précieuses!
Je me permets de te poser une première question; comment détermines-tu la longueur des divisions du dôme de pyramide en courbe impériale?
Sur le plein cintre, tu nous invites à diviser en huit parties égales la longueur du demi-cintre. C'est assez facile à calculer. Mais comment doit-on procéder avec le dôme impérial?
D'avance, un grand merci à toi si tu trouves le temps de me répondre.
Amicalement, Baptiste
Ok, merci infiniment pour ta réponse Sylvain.
Méthode des cordes, division au cheminement, des altitudes...
Je décroche sur ces notions.
Il faut que je cherche encore l'endroit où acquérir ces bases. Une introduction pour les novices complets.
Si quelqu'un a un conseil à ce propos, je suis très preneur!
Merci Sylvain! Je comprends l'idée du cheminement au compas. ce que je ne comprends pas c'est comment tu détermines la valeur d'un pas sans connaitre la longueur exacte de la courbe à gravir. Par altitude, ça me parait plus simple. Tu mesures la hauteur et tu la divises en parties égales. Mais dans ce cas, les "segments" de courbe, les cordes, ne sont pas égales.
Merci jean07 !
Pas impossible en effet!
Aurais-tu une photo avec le parcours complet de ta chaîne s’il te plaît?
Parce que si je me contente de remplacer ce machin par une courroie trapézoïdale, mes rouleau de rabo vont rejeter le bois...
Je te laisse un schéma dans mon commentaire juste dessous.