J'utilise ce casque avec de la musique et des audiolivres pour des choses qui nécessitent une concentration moindre (poncer par exemple). Pour le reste (toupie, scie circulaire,...) j'utilise un casque Peltor de chez 3m. Je préfère être totalement concentré pour certaines opérations.
Je trouve la réduction de bruit incroyable sur ce casque, mais je ne peux pas te dire de ”combien” ça diminue. Les sons soudains comme les coups de marteau ne sont par contre pas du tout absorbés car le casque ne s'adapte pas instantanément au bruit.
Et je precise que je ne l'ai pas acheté spécialement pour l'atelier, la dépense n'aurait pas été raisonnable.
Il me semble que festool a sorti des écouteurs normés. Mais les connaissant c'est probablement aussi cher que le Bose Et la qualité du son ne doit pas être au même niveau. Alors je vais garder ma solution ”mixte”.
Bienvenue !
Première proposition : le plus simple c'est d'en discuter avec quelqu'un à la scierie. C'est surtout un choix esthétique et financier (évite peut être le résineux qui fait facilement des éclats à l'usinage)
Deuxième proposition : une scie circulaire portative c'est bien. Tu peux facilement te fabriquer un rail de guidage pour t'aider au début (beaucoup d'exemples sur la toile). Ce qui risque d'être limitant vu les collages envisagés ce sont les serres joints. Il va t'en falloir un certain nombre...
Troisième proposition : il faut bien commencer par quelque chose ! Ton premier projet ne sera pas parfait mais tu l'aimeras quand même !
Lance toi !
Pour des réponses sur la structure du meuble (assemblages, épaisseurs du bois,...) Il faudrait un peu plus d'informations (dimensions, charges supportées,...)
J'ai une combinée c26 genius et avant d'avoir un atelier je l'utilisais dans mon garage qui faisait à peu près la même taille que ton atelier.
J'avais pris l'option kit de déplacement et la plupart du temps je plaquais la raboteuse contre le mur. J'ai toujours laissé le cadre, j'enlevais simplement la règle. Quand j'avais besoin de raboter et dégauchir je faisais l'inverse et je mettais la partie scie contre le mur.
Cela demande d'être pas mal organisé dans tes projets mais ça fait sans problème car la combinée ne prends pas beaucoup de place au sol. Je ne suis pas certain que la toupie scie st 1g de la même gamme soit moins encombrante et la rabo dégau te prendra un autre morceau de mur. Maintenant 2 machines séparées ça doit être bien pratique quand même pour organiser le travail mais pas certain qu'on gagne beaucoup de place dans ton cas.
Les températures c'est très variable en fonction de la nature de l'incendie, de la proximité avec le foyer,... D'une façon générale plus tu es haut dans le volume plus la température est élevée. Et ça peut monter assez haut (plus de 1000°).
Dans le doute, je pense qu'il vaut mieux de toute façon ne rien toucher avant le passage de l'assurance.
Bon courage
Bonjour,
j'avais vu sur Le Bon coin quelques vendeurs qui faisaient ça. Il y en a notamment un vers Toulouse qui a aussi un site internet : alexwood.fr/
J'ai trouvé un petit quelque chose intéressant sur le site de l'éditeur Dalloz (en particulier les jurisprudences en lien au bas de l'article).
actu.dalloz-et...0fe4cea143.html
Je trouve l'arrêt du 20 novembre 2007 est assez intéressant concernant cet escalier.
Dans tous les cas il semble important d'informer le client par écrit d'un éventuel risque (obligation d'information) mais visiblement ce n'est pas toujours suffisant. Et le cas traite finalement d'une malfaçon "simple", sans dommage corporel. Un accident dans un escalier non conforme risque d'être bien plus pénible au niveau juridique...
Bonjour,
j'ai récemment fait du bardage en chablis pour un habillage intérieur. J'ai simplement usiné des rainures languettes avec une fraise à rainurer et un outil à tenon (deux plateaux) pour faire la languette parce que je ne voulais pas acheter des fers spécifiques. Cela demande juste un peu plus de réglages. Ensuite un petit chanfrein à la scie sur table inclinée à 45 sur la partie visible de la languette.
Mon bois n'étais pas trop gauche, je n'ai donc raboté que la face visible (côté coeur) qui m'a servi d'appui pour le passage à la toupie.
C'était du bois sec séchoir et j'ai fait des lames de largeurs irrégulières (le rendu est vraiment sympa) sans dépasser 15 cm pour limiter le risque de le voir se fendre. Epaisseur finie 22mm.
Prix de revient environ 8e du m2.
Ca se fait relativement facilement mais c'est franchement long et répétitif (et j'ai un entraineur sur la toupie ce qui aide beaucoup pour ça).
Si tu en as beaucoup à faire, je ne sais pas si c'est une bonne idée...
Salut.
J'ai la scie plongeante Bosch Gkt 55 depuis quelques années et j'en suis plutôt satisfait malgré ses quelques défauts. C'est une scie finalement assez polyvalente même si l'absence de couteau diviseur fait qu'il faut être attentif et raisonnable quand tu coupes du massif (mais je n'ai jamais eu de problème de rejet).
J'ai acheté il y a 2 ans la Bosch gks 85g et ce n'est clairement pas fait pour le même usage. C'est une grosse mémère qui pèse plus de 7kg et qui envoie 2200w de puissance. Pour de la charpente ou du débit de gros plateaux elle est top mais pour couper du panneau de 19mm c'est un peu excessif... Défaut pour un usage en atelier : il n'y a pas d'aspiration des poussières.
Elles utilisent toutes les deux les mêmes rails de guidage.
Deux scie pour deux usages différents donc et à mon avis la plus polyvalente est la plongeante. Mais si tu veux faire de la charpente c'est différent.
La différence entre une usine et un atelier ne peut se résumer au critère unique des machines utilisées. Il y a bien sûr la taille de la structure, l'organisation financière, le volume de production, ...
Mais la principale différence tient dans l'organisation du travail et le rapport au "métier".
Dans une usine, un ouvrier ne maîtrise qu'une toute petite partie du processus de fabrication (comme par exemple dans les Temps modernes de Chaplin, même si dans ce cas il s'agit plus de satire que d'un documentaire sur l'industrie).
Un artisan lui maîtrise un métier et donc l'ensemble du processus de fabrication (ou du moins une grande partie). De la conception du produit à la commercialisation du produit.
Un ouvrier posera la même charnière dans le même modèle de meuble toute la journée alors qu'un artisan aura le savoir faire pour fabriquer le meuble en entier. Et pourtant l'ouvrier n'utilisera qu'une visseuse alors que l'artisan aura peut-être fait tailler ses panneaux par son fournisseur à la CNC (mais il peut le faire quand même lui même s'il en a besoin).
Finalement l'outil importe peu. Kentaro qui utilise une CNC pour fabriquer des télescopes est un artisan car il maîtrise l'ensemble du processus de fabrication. L'outil lui facilite la vie et lui permet d'être rentable mais il peut s'en passer.
Si le passage du monde de l'atelier à celui de de l'usine vous intéresse, il y a un excellent documentaire qui a été diffusé sur Arte (vous le trouverez facilement sur Youtube).
Pour utiliser de temps à autre du résineux, cela demande des outils bien affûtés, une grande attention au sens du fil du bois pour éviter l'arrachement et surtout du résineux de bonne qualité. Entre un arbre qui a poussé à grande vitesse en plaine dans des "forêts" en lignes droites et un autre qui a grandit en montagne entouré de concurrents il n'y a pas beaucoup de comparaison possible. Le grain est beaucoup plus serré et donc il est plus facile à travailler. Mais le prix n'est souvent pas le même...
J'ai tenté pour refaire une pièce de couper du parquet stratifié à la circulaire avec une lame spécifique mais j'ai passé 3 lames...
Depuis je le coupe à la scie sauteuse, la coupe est cachée par la plinthe donc si il y a des éclats ça ne se voit pas...
Il parait qu'il existe des cisailles à parquet stratifié très efficaces mais pour le nombre de lames que je pose, l'investissement n'est pas rentable et ça fait un outil de plus à ranger...