Bonjour sylvainlefrancomtois,
Merci pour les liens et la vidéo explicative.
Bonjour racmterrof,
J'ai regardé le pas à pas sur le pied galbé, merci pour ça.
Mais je ne pense pas le réaliser à la toupie, plutôt à la scie à ruban. Je ne sais pas vraiment quels avantages et inconvénients apportent l'une ou l'autre des techniques, mais je voulais essayer cette dernière.
Bonjour Folgansky,
Merci pour l'astuce, je vais effectivement réfléchir à la bonne technique pour éviter de gâcher trop de bois pour rien.
Bonjour Etienne,
Merci pour votre réponse. Je vais donc faire en sorte de commander à ma scierie des pièces de bois me permettant de faire mes pieds d'un seul bloc.
Quand on débute dans un domaine, on se pose tellement de questions sur la bonne façon de faire des choses, et surement plein de questions dont la réponse peut sembler évidente pour beaucoup. Je suis heureux qu'il existe ce genre de plateforme d'échanges sur le travail du bois, ainsi que des personnes expérimentées qui prennent le temps de répondre à ce genre de question :)
Bonne soirée.
Bonjour PFabien88, merci pour ta réponse.
Je t'avoue que je ne sais pas trop si la surface de l'assemblage sera suffisant pour tenir la table, mais je ne pense pas qu'il y aura de grosses contraintes sur la table. Et j'espère que je pourrai bien ajuster ces assemblages pour éviter un jeu trop important.
Un assemblage à queue-d'aronde à ce niveau là m'obligerait à avoir la mortaise qui se prolonge jusqu'au bord arrière de la table, ce qui se laisserait un trou visible à moins de réaliser des bouchons en forme de queue-d'aronde pas simple à réaliser.
Les tenons font 16 mm d'épaisseur et 14 mm de profondeur. La table et les montants font eux 21 mm d'épaisseur.
Ah oui, je n'avais pas du tout pensé à des assemblages en queue de renard, mais ça a l'air tout à fait approprié.
Je vais me renseigner là-dessus, mais j'ai quand même un peu peur de mal faire pour une première réalisation. Et comme ça apparaitra à la surface de la table je suis un peu frileux.
Il faut que je réfléchisse, mais merci beaucoup pour la proposition.
Oui, j'imagine que ça ne doit pas être si difficile à réaliser, mais je voudrais éviter de faire un assemblage "visible" (puisqu'il apparaitra sur le dessus de la petite table), et qui n'est pas bien ajusté.
Et je ne sais pas trop comment se comporte ce type d'assemblage avec les années.
Bref, après réflexion, je pense que je me lancerai sur ce type d'assemblage pour un autre projet.
Bonjour Kentaro, et merci pour ta réponse.
Oui j'ai prévu de mettre toutes les planches dans le même sens de fil. A l'exception de la petite étagère, je me suis posé la question et me suis dit que ce serait la seule pièce à avoir le fil dans le sens transversale (dans la longueur de la pièce), et c'est pour ça que j'ai choisit un assemblage en queue-d'aronde pour contraindre les légers mouvements qu'il pourrait y avoir à cause de la différence de sens du fil.
Merci Noobodyy !
C'est vrai que je suis parti, pour le débit, sur une lame relativement adaptée au délignage et au tronçonnage. Mais je comprends bien que des lames spécialisées dans chaque type de coupe est encore mieux.
Je voulais commencer par un lot de lame relativement polyvalent.
Je pense que je verrai plus tard, après avoir pris de l'expérience dans le domaine et en connaissant mes besoins réels et mes usages courant, si j'ai besoin de lames plus spécifiques.
En tout cas merci pour ton retour, ton choix de lames me parait effectivement assez judicieux.
Merci niconathy !
Pour le moment, je ne vais pas m'équiper de lame pour mélaminé, je verrai plus tard à l'usage.
Et pour le bois massif, cela semble confirmer que ma commande est correcte.
Pour faire des coupes sur du contre-plaqué et du MDF, sans besoin de finitions précises, les lames prévues pour le bois massif sont-elles relativement adaptée ou faut-il quand même préférer des lames dédiées à ces matériaux ?
Merci baaat !
Donc pour la scie à format, je peux considérer que 72 dents c'est correct pour avoir une bonne finition sur du bois massif.
Et ma lame 48 dents fournie avec la machine, je la converti en poêle à frire ? :p Elle pourrait devenir la "lame à merde", parce que j'ai plein de vieux bois avec surement des clous et des cailloux.
Et le jour où j'ai besoin de couper des panneaux de bois industriel en quantité, j'investirai dans une lame trapézoïdale.
Pour la petite scie plongeante, peut-on suivre le même plan en terme de lame que pour la scie à format, ou les besoins sont différents ?
Oui, je comprends bien pour la lame 72 dents.
Mais dans le cas où tu veux une bonne finition sur le chant d'une pièce de bois, tu procèdes comment ?
Tu délignes avec la lame de débit et tu fais les finitions à base de rabotage ou ponçage ?
Pour la plongeante, une lame 36 dents pour un diamètre de 160mm me parait beaucoup. Surtout que j'ai déjà une 48 dents fournie avec la machine. J'ai peur d'être limité si je dois faire une coupe sur une pièce de bois avec une forte épaisseur.
Mais bon comme je suis totalement débutant dans le domaine, c'est compliqué de prévoir les situations auxquelles je vais devoir faire face pour bien choisir mes lames.
En tout cas, merci encore pour ton retour, ça m'aide bien.
Et quand bien même il venait à mourir, outre la chute de branches qui peut poser problème, un arbre mort héberge énormément de vie. C'est une bénédiction pour la biodiversité tant il peut être le gite de beaucoup d'espèces vivantes.
On a trop tendance à se débarrasser de nos arbres morts. Si vous en avez la possibilité, essayez de conserver ce havre de vie.
Salut iai13,
Merci pour ton avis, ça m'aide beaucoup d'avoir le point de vue d'autres personnes sur le sujet.
Je comprends l'idée d'avoir un léger éclairage générale et des éclairages additionnels propres à chaque machine et plan de travail.
C'est vrai que je voulais un peu éviter de disposer mes panneaux en fonction de la position exacte des différents éléments de mon atelier, car je ne suis pas vraiment fixé sur ceux-ci, et ça risque de bouger. Et en plus j'aime bien l'idée avoir une répartition des panneaux homogène et symétrique.
Mais au vu des réponses que j'ai sur le sujet, l'adaptation semble être quand même la bonne chose à faire, quitte à déplacer les sources lumineuses si on change la disposition des machines.
Coté prises de courant, j'ai essayé de prévoir large. J'ai mis 2 prises par phase (je suis en triphasé) et par mur, ce qui donne 24 prises répartis tout autour de l'atelier. Je peux encore en ajouter simplement si besoin.
Pour les cônes d'éclairage, j'y fait attention oui. Si je mets des panneaux entre les solives, je les mets à mis hauteur pour justement gérer les 120° d'angle de lumière de mes panneaux.
Pour la fixation provisoire, j'étais parti sur des lattes en bois avec des petits crochets vissés dedans sur lesquels je pourrai accrocher mon panneau. Je peux relier les lattes avec une traverse centrale ou un cadre simple, et le tout solidarisé, ce sera plus simple à fixer aux solives. J'ai pensé à la fixation avec des câbles/fils, mais je m'imagine galérer à régler la longueur de chaque câble pour éviter d'avoir un truc bancal. Enfin je vais voir.
Je l'ai acheté en ligne, de la toile de moustiquaire grise en fibre de verre en 250 cm x 135 cm à 8,90 € l'unité.
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