Il faut travailler avec un bédane de la largeur de la mortaise et la tracer au trusquin, ce qui tranche la fibre du bois et permet d’avoir une arrête propre.
Pour la question sur le fond, il faut qu’il soit globalement propre mais pas besoin d’etre nickel, le collage se fait sur les joues et l’arasement, pas au fond du trou. D’ailleurs, on fait les mortaises un peu plus profondes que la longueur des tenons afin d’être sûr que ça rentre bien.
Par contre, il est interdit de faire sa compta uniquement sur tableur: les comptes ne doivent pas être modifiables.
Pour une association dont je faisais partie, j’ai voulu mettre en place dolibarr. Le logiciel est gratuit et en open source et permet de faire la compta mais aussi les devis, les factures, commandes fournisseurs, de la gestion de projet et plein d’autres trucs..
Au final on ne l’a pas utilisé, nos besoins étaient un peu trop particuliers, il fallait développer de nouveaux plugins.
Mais pour un artisan et ses « comptes d’apothicaire » ça doit mériter le coup d’œil !
J’ai lu une réponse où l’on conseille le port de gants. Pour ma part, je suis partisan de ne jamais porter de gants quand on utilise une machine. Il y a plus de risque de voir le gant se faire happer par la machine et d’engendrer une blessure grave que de se couper sans gants. Bien sûr, il faut avoir appris où se situe le danger sur la machine et les bons gestes pour éviter les accidents!
On peut aussi déposer sous licence Creative Commons, comme l’est le site l’air du bois.
L’idée principale c’est de se dire qu’on n’empechera pas la copie mais qu’on explicitera dans quel cadre on peu copier, redistribuer.
A vrai dire, je sais pas si ça pèse bien lourd face à quelqu’un qui aura voulu plagier de façon malveillante mais ça coûte rien à faire, c’est juste déclaratif.
Oui ça doit marcher.
La cote de 30, c'est surtout fonction de tes poignées.
Mais attention, les charnières ouvrent généralement à 110°
Si tu ouvres trop peu, elles risquent de forcer la porte à se refermer.
Perso, pour pas être embêté, je laisse toujours 50mm minimum entre un mur et une porte.
je t'ai fait un petit crobard:
D’accord avec Bonbonveronbi, une plaqueuse qui dresse les chants c’est top, d’autant que tu fais ton debit à la côte finie, sacré gain de temps!
Au boulot on a une cehisa assez simple, ça fonctionne bien mais je désactive le cassage d’arrete et je n’affleure pas le chant à ras du panneau, trop de loupés, je préfère le faire à la main plutôt que flinguer mes panneaux!
Mais pourquoi donc la raboteuse fait des ondes ?
Sur ce dessin, on voit les ondes générées par un tour d'arbre de raboteuse (ici à 4 fers)
Chaque fer crée une onde, c'est comme ça, on n'y peut rien.
En réduisant la vitesse d'ammenage, il se passe ça:
en noir un premier tour d'arbre, en rouge un second, qui va raboter les extrémités des ondes du premier tour.
Et ainsi de suite: plus l'avance est lente, plus les crêtes se font éliminer jusqu'à avoir un rendu lisse.
On comprend aussi que plus il y a de fers sur l'arbre, meilleure sera la finition pour une vitesse de rotation de l'outil et d'ammenage donnée.
Et effectivement, si un fer dépasse il laissera des ondes en décalage avec les autres et l'on ne profitera pas de l'effet "gommage"
Voila pour un peu d'explications vite faites !
Pour les maboules de théorie et d'abaques en tout genre, vous retrouverez ça dans le memotech du bois: eyrolles.com/B...-9782713534461/