C’est propre et net, bravo!
Par contre je n’en comprend pas l’utilité de ton gabarit pour l’affleureuse. On utilise plutôt une fraise à roulement ou bien un roulement réglable fixé à l’affleureuse elle même.
Peut être n’avais tu ni l’un ni l’autre? Mais ce gabarit sera très utile en revanche pour des rainures par exemple.
C’est pas pour t’embeter, si on pouvait faire les assemblages à plat cul sans risque, on s’embeterait pas à faire des assemblages.
Sans tenon, l’équerrage de ta porte va se fausser, c’est tout, parcequ’elle Est tenue d’un côté et que son propre poids la tire de l’autre ( les écharpes sur les portes, les calages de vitrage tentent de contrarier ça justement)
Et j’en reviens à mon histoire de barbette, on appelle ça aussi un renfort d’epaulement, qui maintient l’equerrage du châssis.
Par ailleurs, il faut aussi penser qu’on fait normalement une rainure à la toupie ou au Bouvet et qu’on la fait filer tout le long de la pièce. Tu verras qu’un lamello dans une rainure ça marche moyen. Du coup on comble la rainure... avec un tenon! Et tant qu’a faire on le prolonge dans une mortaise parce que ça tient bien mieux encore!
Tout découle d’une’ logique de fabrication, d’usinages interdépendants, pas d’un dogme bête et méchant!
Moi j'ai pensé à ça aussi, prise de matière trop importante: sur les outils multipente, c'est plutôt prévu pour faire des chanfreins légers.
Une pente à 60° sur toute l'épaisseur d'un panneau, je pense qu'on dépasse les capacités de l'outil.
Il faut faire des petites passes successives, c'est très long...
Je me dirigerais plutôt vers un montage d'usinage à la scie à format avec un dispositif pour maintenir la pièce à chant
Robuste et sans état d’ame...
Quand Kentaro en fait un avec du padouk dedans, c’est beau,rigolo, ca fait envie mais il faut pas oublier que dans la vraie vie c’est fait pour taper dessus!
Profites en pour faire en fonction de tes molettes de toupie.