Excellente recup ! J'utilise ça pour le contact bois/terre, et j'en suis très content : pointp.fr/p/gr...e-20x2-A6082265
Ca permet de faire une sorte de lame d'air.
Oak de rien :)
Astragal Dans mon cas, ce sont des bacs en contact avec le sol. La protection est donc sur les parois verticales et il n'y a rien au fond. C'est agrafé.
J'ai fait ça chez moi avec un emprunt au travail, et le gros intérêt que j'ai vu est le repérage des ponts thermiques. C'est le plus simple. Au delà, faut bien regarder les émissivités des matériaux, j'ai joué 2h en soirée, donc je ne suis pas allez là dedans.
J'ai fait ça en plein hiver pour avoir un bon contraste. Choisir sa saison me parait aussi essentiel.
dneis Merci pour le pdf. As-tu remarqué que les pages ne font pas toutes la même taille dans le pdf ? Les 120 à 190 sont plus larges (mieux résolues ?).
Lutralutra Si je comprends bien, la scierie est fermée. Ca te dit de mettre à jour l'état d'activité dans la fiche fournisseur stp ? Ca évitera que des gens s'y rendent pour rien.
Tu sera encore plus déçu quand tu verra qu'il utilise des outils électriques. La preuve en image.
Ara Et la cape de protection, pfff. Irrécupérable :P
A mon sens, il n'y a pas besoin de faire de mesure ni de calcul.
Il suffit de tracer la bisectrice, soit à l'aide la sauterelle en traçant un parallélogramme (donc faire des parallèles), soit au compas. Ensuite, utiliser la sauterelle pour récupérer l'angle de la bisectrice et utiliser cet angle pour tracer la pièce si on scie à main levée ou pointer une machine.
Je n'utilise jamais de rapporteur dans l'atelier.
Si ça peut susciter l'envie de lire de bons ouvrages et de découvrir la vie de petites gens, j'en suis fort heureux.
Raspitef On te voit sur la photo n°3, c'est ça ?
tarpan Je suis d'accord avec toi. En plus, reprendre un chant qui n'est pas d'équerre ne demande pas d'enlever beaucoup de matière. Avec un peu de pratique, j'arrive à incliner mon rabot sur le coté le plus haut du chant, une passe ou deux pour faire un petit plat, et ensuite je poursuis pour étendre à toute la largeur. Dans le cas du fer convexe décentré, il faudrait repasser un rabot de finition pour avoir une surface parfaite.
C'est d'ailleurs assez fascinant comment on exerce l'oeil et la main pour ça. A mes débuts, mes chants étaient une vraie catastrophe et maintenant, j'arrive à voir au coup d'oeil un hors d'équerre et à le corriger en dosant plus ou moins le coup de rabot. Ce n'est pas infaillible à l'épreuve de l'équerre mais tout de même pas mal.
Par contre, je peux utiliser le scrub plane pour dégager de gros défauts sur un chant et je ne joue pas sur la courbure de toute façon. Simplement enlever des gros copeaux là où c'est nécessaire.
Quant au mouchage des coins, ça ne fait pas moins d'irrégularités, elles sont juste plus lisses. Je n'ai pas encore fait un choix très tranché
Le problème vient en partie de ces images que l'on a d'amateurs communicants équipés jusqu'aux dents ayant des ateliers mieux fournis que bon nombre de pros.
Honnêtement, pour une passion où l'on sort trois réalisations par an, devoir s'équiper de telles machines, ça me parait démesuré au moins d'un point de vue des ressources de cette planète.
Je suis en train de lire ce témoignage qui a le mérite de recadrer deux trois choses à ce sujet
dneis C'est déjà ultra chouette ! Merci pour tout ce travail.
Ca fait de sacrées pièces pour avoir la courbure !