J'ai acheté la boîte de 5 forêts Milkawee chez M. Ducoin (l'affuteur) parce qu'il n'était pas trop cher et que franchement, les forêts de 7, 9, 11... je ne les utilise pas souvent.
Et ça m'a changé la vie : un vrai plaisir d'avoir des forêts qui coupent ! Par contre je n'en n'ai pas un usage intensif, je ne peux pas dire pour la durée.
Si c'est comme les Bosch, il faut desserrer l'écrou (jusque là, c'est normal) et une fois qu'il est un peu libre, tu continues à le dévisser et il y a un dur mécanique. Tu reprends la clé plate et tu le desserres une seconde fois, et là la fraise peut être extraite.
Je n'ai jamais compris pourquoi ça fait comme ça, mais c'est pareil sur toutes les Bosch que j'ai utilisées, c'est peut-être pareil chez toi.
Sur la mienne le sens de rotation fait que le cylindre ponce en opposition. Moi je prends des passes de 0,3mm en général (0,4 pour des petites pièces, 0,2 si ça peine) jusqu'à ce que toute la surface soit plane (soit c'est visible, soit je tâte toute la surface en sortie, ça doit être chaud), puis je réduis à 0,1mm pour la dernière passe si besoin).
Je n'ai jamais eu d'avance saccadée, mais si ce que dit glaude e ne marche pas, tu peux peut-être appeler le fournisseur (sauf si c'est un pur marchand internet, mais ils ont peut-être un magasin et des compétences dans le domaine...).
Pour la question n°1, il faut présenter la planche et la tracer en prenant appui sur le plafond (tabletter) avant de la couper. Tu trouveras ici, 6ème photo la manière dont je m'y étais pris lors de l'épreuve pratique du CAP. Je pense que ton souci est similaire, en espérant que tu puisses t'en inspirer.
Moi ce que je trouve insupportable, c'est les gens qui créent un compte juste pour laisser un avis - négatif - (ou on l'a vu une fois, pour envoyer une invective sans se montrer).
Donc loin de moi l'idée de mettre des échelons pour que les anciens aient plus de poids que les nouveaux, car au contraire je trouve super que sur L'AdB une parole = une parole, tout le monde a la même valeur quel que soit son nombre de contributions ou son ancienneté.
Mais si la première contribution d'un nouveau compte est un Skud (ou les premières, hein, on se comprend), alors oui il ne faut pas hésiter à "modérer".
L'Air du Bois est une communauté, la première des choses quand on s'y inscrit, c'est de s'annoncer et de se présenter, de prendre la température, de voir ce qui s'y passe, de contribuer pour apporter quelque chose. Après chacun ses principes, ses méthodes, son langage, ses apports ; ce que je dis n'exclut pas les coups de gueule (argumentés, c'est mieux !), mais ce n'est pas l'objet de L'AdB.
[Edit :] Je vois d'ailleurs que mister "Mister", non seulement a créé son compte pour invectiver (il y a 15 jours), mais ne s'est pas reconnecté depuis 15 jours. Ce serait moi à cette heure il n'aurait plus de compte, mais il m'arrive d'être un poil dans l'excès parfois...
C'est ambitieux (c'est bien) ! Mais Gustave Eiffel n'a pas commencé par la tour qui porte son nom, il a commencé par des projets plus raisonnables.
Si j'étais toi je commencerais par les outils à main de base de qualité correcte, et quelques outils électroportatifs : perceuse, visseuse, scie circulaire avec rail magique (pas de scie sauteuse !), lamelleuse si tu as un projet de dressing, et puis tout ce qui va avec (une bonne lame de scie, etc.). Avec ça tu peux déjà faire un sacré bon boulot.
Et petit à petit tu auras toi-même des idées sur ce dont tu as besoin. En attendant, tu fais raboter tes planches à la scierie où tu les achètes, ils font cela très bien !
Si le sol n'est pas fiable, refais-le ! (enfin façon de parler)
Donc option 2 : une "estrade" de la hauteur des plinthes, dont tu fignoles le calage. À partir de là tu construis ton dressing sur une base saine. L'inverse serait trop trop chiant à devoir caler tes montants ou les couper en tablettant...
Pour le plafond, soit tu fais des étagères qui terminent à 30cm au-dessous du plafond, soit tu refais un "faux plafond" en méla, en laissant un jeu de 2 cm avec le vrai plafond. Donc le vrai peut être comme il veut, cela ne te concerne pas.
Bienvenue sur L'Air du Bois, Cyril !
En effet tu as très bien fait de poser la question, puisque l'expérience des autres n'est souvent pas très utile (il n'y a pas deux cas pareils). Pour autant elle peut enrichir ta réflexion et te donner du grain à moudre pour prendre la bonne décision (ta décision).
Je me suis posé à peu près la même question à peu près au même âge que toi (je me voyais ébéniste). Et deux choses m'y on fait renoncer : il y avait un ébéniste dans mon patelin, à qui j'ai acheté une armoire ancienne qu'il avait rénovée (et dont il m'avait dit combien de temps il y avait passé), et j'ai calculé assez facilement que pour maintenir mon niveau de revenu, ça allait être très compliqué. Certains acceptent de baisser leur niveau de vie et baisser un peu leur confort matériel parce que leur nouvelle vie leur apporte beaucoup plus que le confort matériel, je le comprends mais je ne suis pas capable de faire le pas.
L'autre raison : à cette époque j'ai eu la possibilité de faire de la menuiserie pendant une semaine non-stop (un petit projet pour mes beaux-parents), dans des conditions idéales (j'étais en congés, personne ne me reprochait de passer mes journées dans le garage, je commençais mes journées quand je voulais et je les terminais quand je voulais, et aux repas je me mettais les pieds sous la table). Et finalement après une semaine à ce régime, j'ai trouvé que c'était un boulot "comme les autres" : en quelque sorte remplacer des journées de graphisme dans l'audiovisuel à des journées de menuisier, je n'aimais pas assez cette activité pour en faire mon métier.
Conclusion : cette semaine "test" + l'idée qu'après avoir fabriqué ou restauré un meuble, il faut encore un filière pour l'écouler (ouvrir un magasin ? revendre à un distributeur ? mettre des annonces dans LBC ? vendre sur une plateforme de vente de créations artisanales ?) + les revenus que je n'étais pas prêt à réduire, je me suis dit qu'il valait mieux continuer à faire ce que je sais faire, et garder la menuiserie pour les loisirs (parmi tant d'autres loisirs).
Attention je ne dis pas tout cela pour te refroidir (chaque projet / personnalité est différente), et ce n'est même pas une mise en garde, c'est juste pour donner un éclairage complémentaire à tous les projets de reconversion réussis sur L'Air du Bois (et qui montrent que c'est possible). D'autant que si vingt ans plus tard je suis très content d'avoir fait ce choix (j'ai eu une très belle carrière), eh bien finalement j'ai entamé un processus de reconversion dans lequel je vais faire un peu de menuiserie, comme quoi les choses ne sont pas figées.
Quoi que tu fasses, je te souhaite de belles réussites !
Hello woodworker710 !
J'ai mis longtemps avant de comprendre comment ça marche, et j'ai raconté l'histoire ici :
Donc la réponse est : fais-toi un gabarit sur mesure à 22,5°, le seul truc à prendre en compte, c'est que tes plans de travail rectangles seront d'environ 2 cm plus longs que sur le schéma théorique que tu as montré.
NB : j'avais posé la question ici (pour un angle de 90°, mais le principe est le même)
Je n'ai pas la réponse à toutes tes questions mais j'en ai fait un à peu près comme le tien...
...dont j'ai fait le plan...
(j'avais calculé comme toi 75 kg par niveau, on y est vite !)
Le "plan" est un fichier PDF où je raconte ma vie avec texte et photos, montage, retour d'expérience et tout.
Tu y trouveras déjà quelques réponses.
L'implantation sur plots béton est possible, mais quel avantage par rapport à une dalle ? Cela t'oblige à faire un beau plancher, alors que pour un abri de jardin, faire une dalle et poser ton abri dessus n'est pas plus mal : c'est stable, peu salissant... pour mettre ta tondeuse dessus, il n'y a pas mieux ! Tu peux d'ailleurs faire la dalle plus grande que l'abri pour stocker des choses à côté ou derrière... Enfin pour la construction, faire une dalle consiste à créer un coffrage (horizontal) et couler du béton dedans, alors que faire des plots et qu'ils soient parfaitement de niveaux, ce n'est pas plus facile.